Occurences de l'expression
est
pour ROTROU, Jean
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LES SOSIES (1638)
- Soeur du plus grand des Dieux, (car ce nom seul me reste) v.1 (Prologue, scène 1, JUNON)
- Honteuse, je descends de la voûte Céleste, v.2 (Prologue, scène 1, JUNON)
- Des pudiques, la gloire est due aux vicieuses, v.21 (Prologue, scène 1, JUNON)
- C'est ce superbe objet de mon juste courroux, v.39 (Prologue, scène 1, JUNON)
- C'est d'elle, (si du sort qui régit l'Univers v.43 (Prologue, scène 1, JUNON)
- C'est d'elle que va naître un Héros indomptable, v.45 (Prologue, scène 1, JUNON)
- Mortel, il est l'objet d'une immortelle haine, v.61 (Prologue, scène 1, JUNON)
- Tout autre est impuissant, il ne le sera pas ; v.88 (Prologue, scène 1, JUNON)
- Absolu comme il est sur tous les autres Dieux, v.101 (Acte 2, scène 1, MERCURE)
- C'est Éloquence à moi, que de servir ses feux, v.105 (Acte 2, scène 1, MERCURE)
- Et mon nom est celui de messager du Pôle, v.107 (Acte 2, scène 1, MERCURE)
- À quelle complaisance un serf est-il réduit, v.117 (Acte 2, scène 1, SOSIE)
- Se trouve sur mes pas, Quelle est mon infortune ? v.120 (Acte 2, scène 1, SOSIE)
- Chez les grands, le servage est plus rude, en ce point, v.133 (Acte 2, scène 1, SOSIE)
- Veille, course, ni peine à leur avis n'est dure. v.140 (Acte 2, scène 1, SOSIE)
- Il est plus à propos, que mon humble pensée, v.143 (Acte 2, scène 1, SOSIE)
- Et mon maître à nous voir les destins si propices, v.151 (Acte 2, scène 1, SOSIE)
- Des rebelles enfin, l'espérance est à bas, v.153 (Acte 2, scène 1, SOSIE)
- Créon est rétabli dedans tous ses états, v.154 (Acte 2, scène 1, SOSIE)
- Inspiré de mon père à qui tout est connu, v.157 (Acte 2, scène 3, MERCURE)
- D'un funeste flambeau la guerre est allumée, v.192 (Acte 2, scène 3, SOSIE)
- L'herbe en prend la couleur, et la terre en est teinte, v.212 (Acte 2, scène 3, SOSIE)
- Mais, leur trépas est beau, chacun meurt en sa place, v.220 (Acte 2, scène 3, SOSIE)
- L'ordre est en ce désordre, et de ces nobles coeurs, v.221 (Acte 2, scène 3, SOSIE)
- Remplit ce qui resta de terreur et d'effroi, v.234 (Acte 2, scène 3, SOSIE)
- Si leur cours est si lent, ne rompra son sommeil : v.262 (Acte 2, scène 3, SOSIE)
- Mais, à l'heure qu'il est, que fait cet homme ici ? v.274 (Acte 2, scène 3, SOSIE)
- Il est poltron, au point, où plus on le peut être. v.275 (Acte 2, scène 3, MERCURE)
- Soigneux de mon repos, plus qu'il n'en est besoin, v.281 (Acte 2, scène 3, SOSIE)
- Ô la funeste odeur ! v.294 (Acte 2, scène 3, SOSIE)
- Il est seul, comme toi, parle-lui hardiment. v.310 (Acte 2, scène 3, SOSIE)
- Ami, qui que tu sois, ou domestique, ou non. v.326 (Acte 2, scène 3, MERCURE)
- Je fuis de ce logis ; c'est où tendent mes pas, v.329 (Acte 2, scène 3, SOSIE)
- Oui, puisque j'y demeure, et qu'elle est à mon Maître. v.336 (Acte 2, scène 3, SOSIE)
- Tu viens si prestement, de forger cette fable ; v.344 (Acte 2, scène 3, MERCURE)
- Au secours, aux voleurs, tout est sourd à mes cris. v.346 (Acte 2, scène 3, SOSIE)
- Quoi Sosie est ton nom ? v.349 (Acte 2, scène 3, MERCURE)
- Ton audace est extrême, v.355 (Acte 2, scène 3, MERCURE)
- C'est moi, qui suis Sosie, et dans cette maison, v.357 (Acte 2, scène 3, MERCURE)
- Es-tu Sosie encor, réponds, qui l'est de nous ? v.361 (Acte 2, scène 3, MERCURE)
- Approche, dis ton nom, parle, quel est ton maître ? v.363 (Acte 2, scène 3, MERCURE)
- Mon Maître est. v.366 (Acte 2, scène 3, SOSIE)
- Pour rompre son serment, il est trop généreux. v.377 (Acte 2, scène 3, SOSIE)
- Et ton mal je m'assure, est décru de moitié. v.381 (Acte 2, scène 3, MERCURE)
- Je suis le vrai Sosie, et ce logis est nôtre. v.388 (Acte 2, scène 3, SOSIE)
- Il dit de point en point, ce qui m'est arrivé ; v.401 (Acte 2, scène 3, MERCURE)
- Il me ne reste plus, avec quoi contester. v.425 (Acte 2, scène 3, SOSIE)
- Tout enfin est pareil, et plus que je ne veux ; v.438 (Acte 2, scène 3, SOSIE)
- Ha ! C'est trop, le Ciel même, v.443 (Acte 2, scène 3, MERCURE)
- Ne m'est-il pas permis, de dire à ma Maîtresse, v.447 (Acte 2, scène 3, SOSIE)
- Ce qui m'est ordonné, par une charge expresse ? v.448 (Acte 2, scène 3, SOSIE)
- Où me suis-je perdu ? Quelle est cette aventure ? v.452 (Acte 2, scène 3, SOSIE)
- Quel est cet accident ? Retournons à mon Maître, v.459 (Acte 2, scène 3, SOSIE)
- Son bonheur est tout pur, et ses ravissements, v.469 (Acte 2, scène 4, MERCURE)
- Surtout conserve-toi ; le temps est expiré, v.481 (Acte 2, scène 5, JUPITER)
- Je m'acquitte des soins, où Créon me destine ; v.487 (Acte 2, scène 5, JUPITER)
- Marche, peste des hommes. v.499 (Acte 3, scène 1, AMPHITRYON)
- Pestes, ivrognes, fous, impudents, effrontés, v.501 (Acte 3, scène 1, SOSIE)
- Le servage est l'objet, de toutes ces disgrâces. v.504 (Acte 3, scène 1, SOSIE)
- Ma patience ô Dieux ! est bien incomparable ! v.507 (Acte 3, scène 1, AMPHITRYON)
- C'est à moi de souffrir, puisque je suis à vous, v.510 (Acte 3, scène 1, SOSIE)
- C'est l'effet d'un pouvoir, que moi-même j'ignore, v.516 (Acte 3, scène 1, SOSIE)
- Misérable est celui, v.517 (Acte 3, scène 1, AMPHITRYON)
- C'est bien haïr ta vie, il le faut avouer, v.522 (Acte 3, scène 1, AMPHITRYON)
- Quelle confusion, à la mienne est pareille ? v.527 (Acte 3, scène 1, AMPHITRYON)
- Mais il n'est rien plus vrai. v.543 (Acte 3, scène 1, SOSIE)
- Il est trop vrai, vous dis-je, et cet étonnement, v.545 (Acte 3, scène 1, SOSIE)
- Je me suis tout conté, comme il est advenu, v.550 (Acte 3, scène 1, SOSIE)
- Dieux ! Comme il est troublé ! Cette disgrâce insigne v.559 (Acte 3, scène 1, AMPHITRYON)
- Est le fatal présent, de quelque main maligne, v.560 (Acte 3, scène 1, AMPHITRYON)
- Quel est premièrement, ce Sosie inconnu, v.569 (Acte 3, scène 1, AMPHITRYON)
- Qui t'a tout raconté, ce qui t'est advenu ? v.570 (Acte 3, scène 1, AMPHITRYON)
- Il est votre valet. v.571 (Acte 3, scène 1, SOSIE)
- Il m'est pareil de nom, de visage, de port, v.577 (Acte 3, scène 1, SOSIE)
- Il m'est conforme en tout, il est grand, il est fort, v.578 (Acte 3, scène 1, SOSIE)
- Un semblable miracle est trop prodigieux, v.581 (Acte 3, scène 1, AMPHITRYON)
- Ce n'est point en dormant, que je fais mon devoir, v.594 (Acte 3, scène 1, SOSIE)
- Par cette vue enfin, je resterai confus. v.601 (Acte 3, scène 1, AMPHITRYON)
- C'est la première loi, des lois de la nature, v.607 (Acte 3, scène 2, ALCMÈNE)
- Par l'ennui du départ, est payé doublement. v.622 (Acte 3, scène 2, ALCM?NE)
- Il est vrai que l'honneur dessus l'amour l'emporte, v.635 (Acte 3, scène 2, ALCMÈNE)
- De tous les beaux objets, la gloire est le plus doux, v.637 (Acte 3, scène 2, ALCM?NE)
- Aussi de tous les biens, ce bien seul est à nous. v.638 (Acte 3, scène 2, ALCM?NE)
- Et de ses jours le sort est plus maître que lui. v.642 (Acte 3, scène 2, ALCM?NE)
- Le plaisir est plus doux, quand on ne l'attend pas, v.646 (Acte 3, scène 3, AMPHITRYON)
- Qu'elle est moins attendue, et que moins on l'espère. v.648 (Acte 3, scène 3, AMPHITRYON)
- Quelle est cette surprise, et quel trouble l'agite ? v.663 (Acte 3, scène 3, SOSIE)
- Est le premier salut, que ma bouche t'apporte. v.676 (Acte 3, scène 3, AMPHITRYON)
- Sosie, écoute, ô dieux ! quelle est sa frénésie ? v.687 (Acte 3, scène 3, AMPHITRYON)
- Quelle est cette merveille ? v.692 (Acte 3, scène 3, AMPHITRYON)
- C'est irriter les fous, que de les contredire, v.699 (Acte 3, scène 3, SOSIE)
- La folie est un mal, que le remède empire. v.700 (Acte 3, scène 3, SOSIE)
- Est-ce là cet abord, de respect, et de flamme, v.703 (Acte 3, scène 3, AMPHITRYON)
- Nous sommes tous deux fous, si l'un et l'autre est sage. v.712 (Acte 3, scène 3, AMPHITRYON)
- Mais peut-être tous quatre, et c'est mon sentiment. v.713 (Acte 3, scène 3, SOSIE)
- Alcmène, est-ce folie, ou divertissement ? v.714 (Acte 3, scène 3, AMPHITRYON)
- Que t'est-il arrivé ? Quelle douleur te presse ? v.715 (Acte 3, scène 3, AMPHITRYON)
- Sa manie est extrême ! v.719 (Acte 3, scène 3, AMPHITRYON)
- Croyez ce qui n'est pas ; si vous le voulez croire, v.728 (Acte 3, scène 3, ALCMÈNE)
- La prise de Télèbe, et le triste destin v.737 (Acte 3, scène 3, ALCMÈNE)
- La voyant, comme elle est, de sens si dépourvue ? v.747 (Acte 3, scène 3, SOSIE)
- Non, il t'est destiné, t'en a-t-on avertie ? v.755 (Acte 3, scène 3, AMPHITRYON)
- Trouverez-vous encor, de quoi le contester ? v.757 (Acte 3, scène 3, ALCMÈNE)
- Elle est folle, vous dis-je, v.760 (Acte 3, scène 3, SOSIE)
- Le voici, que je porte, il est dans ce sachet, v.761 (Acte 3, scène 3, SOSIE)
- Cet avis ce me semble, est assez à propos. v.766 (Acte 3, scène 3, AMPHITRYON)
- Il est bien véritable, il faut que je le die, v.767 (Acte 3, scène 3, ALCMÈNE)
- Est-ce une illusion, ou ce vase, en effet. v.774 (Acte 3, scène 4, ALCMÈNE)
- Sosie, approche, tiens, le voilà, c'est lui-même. v.776 (Acte 3, scène 4, AMPHITRYON)
- Quelle est cette aventure ? v.779 (Acte 3, scène 4, SOSIE)
- Ce vase l'est encor, ou nous sommes troublés. v.782 (Acte 3, scène 4, SOSIE)
- Des contraires partis, le contraire destin, v.798 (Acte 3, scène 4, ALCMÈNE)
- Tout cela m'est suspect, nous étions trop amis, v.802 (Acte 3, scène 4, AMPHITRYON)
- Où ? C'est ici le point que sur tout j'appréhende. v.807 (Acte 3, scène 4, AMPHITRYON)
- Auprès de vous, pourquoi ? Quelle est cette demande ? v.808 (Acte 3, scène 4, ALCMÈNE)
- Ce funeste discours me rend assez confus ; v.814 (Acte 3, scène 4, AMPHITRYON)
- Malheureuse cent fois ma triste destinée : v.816 (Acte 3, scène 4, AMPHITRYON)
- Ce mal est si commun, que ce n'est plus un mal ; v.818 (Acte 3, scène 4, SOSIE)
- Qu'est-ce ? qu'a mon époux ? v.821 (Acte 3, scène 4, ALCMÈNE)
- Ne m'appelle jamais de ce funeste nom. v.822 (Acte 3, scène 4, AMPHITRYON)
- Je ne sais quel caprice est celui de nature, v.828 (Acte 3, scène 4, SOSIE)
- Ailleurs que dans le camp, il s'est porté des coups, v.833 (Acte 3, scène 4, SOSIE)
- J'atteste de Jupin, la majesté suprême, v.835 (Acte 3, scène 4, ALCMÈNE)
- Tels sont tes jeux, amour, et ta gloire est extrême, v.871 (Acte 4, scène 1, JUPITER)
- Tant soit faux un soupçon, il est pourtant douteux, v.898 (Acte 4, scène 2, ALCMÈNE)
- L'honneur qu'on a noirci l'est éternellement, v.901 (Acte 4, scène 2, ALCM?NE)
- Il n'est coeur de rocher, qui tînt contre ses larmes, v.903 (Acte 4, scène 2, JUPITER)
- S'il ne vous fait justice, est indigne d'autels ; v.910 (Acte 4, scène 2, CÉPHALIE)
- Pour lui, nous devons tout, pour lui tout est permis, v.929 (Acte 4, scène 2, ALCMÈNE)
- Et qui hait notre honneur est de nos ennemis. v.930 (Acte 4, scène 2, ALCM?NE)
- Je la détourne ainsi, de qui m'est odieux, v.937 (Acte 4, scène 2, ALCMÈNE)
- De qui t'est odieux ! v.939 (Acte 4, scène 2, JUPITER)
- Et connaît combien forte, est cette aversion. v.942 (Acte 4, scène 2, ALCMÈNE)
- Il connaît combien prompte, est aussi ta colère, v.943 (Acte 4, scène 2, JUPITER)
- Et c'est trop de rigueur, pour un mal si léger. v.946 (Acte 4, scène 2, JUPITER)
- Ne me souffrez jamais, si votre esprit est sain ; v.950 (Acte 4, scène 2, ALCMÈNE)
- Si quelque autre est plus sage en mon opinion, v.985 (Acte 4, scène 2, JUPITER)
- Tel est l'ordre des choses, v.991 (Acte 4, scène 2, JUPITER)
- Mon coeur en est touché, jusqu'à le ressentir ; v.1002 (Acte 4, scène 2, ALCMÈNE)
- On est bien insensé, si l'on est insensible ; v.1012 (Acte 4, scène 2, JUPITER)
- Un pareil compliment, ne vous est pas commun. v.1025 (Acte 4, scène 2, ALCMÈNE)
- Je ne l'achève point, puisqu'il t'est importun : v.1026 (Acte 4, scène 2, JUPITER)
- Qu'il amène les chefs du reste des soldats, v.1029 (Acte 4, scène 2, JUPITER)
- Le temps, qui détruit tout, vous est officieux, v.1034 (Acte 4, scène 3, ALCMÈNE)
- Il semble, que ce corps, tienne des destinées, v.1035 (Acte 4, scène 3, ALCM?NE)
- Êtes-vous tous deux fous ? Quel est ce changement ? v.1042 (Acte 4, scène 4, SOSIE)
- S'éloigne qui pourra, fuie quiconque est sage, v.1060 (Acte 4, scène 5, MERCURE)
- Mars, voit, (pris comme il est) des troupes d'Encelades, v.1075 (Acte 4, scène 5, MERCURE)
- C'est sous ce nom aussi, que je lui dois répondre ; v.1108 (Acte 4, scène 6, MERCURE)
- Notre immortelle essence, à qui rien n'est absent. v.1110 (Acte 4, scène 6, MERCURE)
- Il est à peine au port. v.1111 (Acte 4, scène 6, MERCURE)
- Le rivage est désert, chacun s'est retiré, v.1117 (Acte 4, scène 6, MERCURE)
- Sosie est toujours lui. v.1134 (Acte 4, scène 6, CÉPHALIE)
- Il n'est temple, bureau, halle, jeu, carrefour, v.1141 (Acte 4, scène 1, AMPHITRYON)
- Mais rien ne me succède, et sa recherche est vaine, v.1143 (Acte 4, scène 1, AMPHITRYON)
- Ma seule lassitude est le fruit de ma peine ; v.1144 (Acte 4, scène 1, AMPHITRYON)
- Je trouve tout changé, tout est ici confus, v.1145 (Acte 4, scène 1, AMPHITRYON)
- Cet importun destin, qui brouille toutes choses, v.1147 (Acte 4, scène 1, AMPHITRYON)
- Nous sommes deux doublés, celui-là s'est perdu, v.1149 (Acte 4, scène 1, AMPHITRYON)
- De ces confusions est le subtil auteur ; v.1154 (Acte 4, scène 1, AMPHITRYON)
- Tirons par la rigueur, si la douceur est vaine, v.1155 (Acte 4, scène 1, AMPHITRYON)
- Qu'est-ce ? v.1159 (Acte 4, scène 2, MERCURE)
- Ouvre, c'est moi. v.1161 (Acte 4, scène 2, AMPHITRYON)
- Qu'est-ce, comment ? Que veut cet insensé ? v.1165 (Acte 4, scène 2, MERCURE)
- Quoi, tout, jusqu'aux esprits, est ici renversé ? v.1166 (Acte 4, scène 2, AMPHITRYON)
- Eh bien ? C'est moi, crains-tu que je l'oublie ? v.1168 (Acte 4, scène 2, MERCURE)
- A-t-il perdu l'esprit ; Dieux ! Quelle est son audace ? v.1180 (Acte 4, scène 2, AMPHITRYON)
- Misérable est le serf, qui s'attaque à son maître. v.1192 (Acte 4, scène 2, AMPHITRYON)
- Sosie, ouvre les yeux, quelle est ta frénésie ? v.1199 (Acte 4, scène 2, AMPHITRYON)
- Oui, te dis-je, est ici. v.1210 (Acte 4, scène 2, MERCURE)
- Peste, ivrogne éternel, qui méconnais ton maître. v.1216 (Acte 4, scène 2, AMPHITRYON)
- Il n'est rien plus certain. v.1231 (Acte 4, scène 3, SOSIE)
- Vous pourrez mal dîner, si ma crainte n'est vaine. v.1248 (Acte 4, scène 3, SOSIE)
- Je doute quel succès est le plus glorieux, v.1249 (Acte 4, scène 3, AMPHITRYON)
- La fin de mon triomphe est un désordre extrême, v.1251 (Acte 4, scène 3, AMPHITRYON)
- Qui me rend plus vaincu, que n'est le vaincu même ; v.1252 (Acte 4, scène 3, AMPHITRYON)
- Le seul travail est mien, la gloire en est aux Dieux. v.1254 (Acte 4, scène 3, AMPHITRYON)
- La coupe de Ptérèle est une autre merveille, v.1259 (Acte 4, scène 3, AMPHITRYON)
- De l'esprit de Sosie, est sans doute un caprice ; v.1264 (Acte 4, scène 3, AMPHITRYON)
- Quelque incommodité m'est encor destinée. v.1268 (Acte 4, scène 3, SOSIE)
- Misérable est son sort, sur tous ceux des humains, v.1270 (Acte 4, scène 3, AMPHITRYON)
- Allez, sachez de lui, quelle est cette disgrâce, v.1275 (Acte 4, scène 3, SOSIE)
- Et Sosie est porteur de ce commandement. v.1282 (Acte 4, scène 3, PREMIER CAPITAINE)
- Ma colère est extrême, v.1288 (Acte 4, scène 3, AMPHITRYON)
- Approche, c'est toi, traître, à qui je veux parler ; v.1290 (Acte 4, scène 3, AMPHITRYON)
- Toi, peste des mortels, dont l'audace effrontée, v.1291 (Acte 4, scène 3, AMPHITRYON)
- À ma vue, à mon su, jusqu'à moi s'est portée, v.1292 (Acte 4, scène 3, AMPHITRYON)
- L'autre, est un insolent, un fourbe, un imposteur. v.1346 (Acte 4, scène 4, SOSIE)
- Que voyez-vous mes yeux ? Quelle est cette merveille ? v.1347 (Acte 4, scène 4, PREMIER CAPITAINE)
- Que ne lui parlez-vous, c'est lui, n'en doutez plus, v.1349 (Acte 4, scène 4, SOSIE)
- Voyez, qu'à son abord, l'autre reste confus. v.1350 (Acte 4, scène 4, SOSIE)
- La guerre dure encor, et n'est pas achevée ; v.1364 (Acte 4, scène 4, AMPHITRYON)
- L'autre est l'Amphitryon, que chacun autorise ; v.1380 (Acte 4, scène 4, SOSIE)
- Qui de nous est celui, sous qui vous le versez, v.1386 (Acte 4, scène 4, JUPITER)
- Ce n'est donc point de l'art que j'attends ma défense, v.1391 (Acte 4, scène 4, JUPITER)
- C'est aux fausses beautés, qu'on applique le fard, v.1394 (Acte 4, scène 4, JUPITER)
- Plus l'innocence est nue, et plus elle a de force, v.1395 (Acte 4, scène 4, JUPITER)
- Quelle est cette aventure, et quelle occasion, v.1397 (Acte 4, scène 4, PREMIER CAPITAINE)
- Le premier est un fourbe, il est trop apparent. v.1402 (Acte 4, scène 4, SOSIE)
- Qui n'y balancerait, c'est certes justement. v.1406 (Acte 4, scène 4, PREMIER CAPITAINE)
- Ne parlez qu'à moi seul ; vous, quel est votre nom ? v.1409 (Acte 4, scène 4, PREMIER CAPITAINE)
- Cette voie en effet est la meilleure preuve, v.1427 (Acte 4, scène 4, AMPHITRYON)
- C'est par elle, qu'il faut qu'Amphitryon se trouve, v.1428 (Acte 4, scène 4, AMPHITRYON)
- C'est moi, qui de mon père ai vengé l'homicide, v.1459 (Acte 4, scène 4, JUPITER)
- Pour moi, puisqu'à ce point chacun reste confus, v.1466 (Acte 4, scène 4, PREMIER CAPITAINE)
- Est de suivre celui, chez qui la table est prête. v.1468 (Acte 4, scène 4, PREMIER CAPITAINE)
- Quoi cet affront encor, à tant d'autres est joint ? v.1473 (Acte 4, scène 4, AMPHITRYON)
- Quoi, par cet imposteur, ma maison m'est ravie, v.1476 (Acte 4, scène 4, AMPHITRYON)
- Non, non, à qui tout manque, il reste du courage, v.1479 (Acte 4, scène 4, AMPHITRYON)
- S'il est vrai, que Sosie aime de s'outrager, v.1493 (Acte 6, scène 1, SOSIE)
- C'est bien haïr ta vie, et chercher ta ruine ; v.1496 (Acte 6, scène 1, MERCURE)
- Nom fatal, nom maudit, dont ton bras est parrain. v.1509 (Acte 6, scène 1, SOSIE)
- Il m'est honteux de craindre, et lâche de me taire, v.1520 (Acte 6, scène 1, SOSIE)
- Reviens, oui, je soutiens que Sosie est mon nom. v.1522 (Acte 6, scène 1, SOSIE)
- Ha ! De quelle fureur est mon âme saisie, v.1523 (Acte 6, scène 1, SOSIE)
- Mais lorsque ma colère est prête d'éclater, v.1529 (Acte 6, scène 1, SOSIE)
- S'est à tort imprimé ce faux nom de Sosie, v.1540 (Acte 6, scène 1, SOSIE)
- Qui me demande seul, près de sa Majesté. v.1570 (Acte 6, scène 2, JUPITER)
- Est un jeu de nature à la honte des yeux. v.1578 (Acte 6, scène 3, PREMIER CAPITAINE)
- Mais l'enfer est auteur de ce désordre extrême, v.1579 (Acte 6, scène 3, SECOND CAPITAINE)
- (À bien considérer) n'est point exempt de Sort. v.1582 (Acte 6, scène 3, SECOND CAPITAINE)
- Me cherche chez moi-même, et s'y rend domestique, v.1592 (Acte 6, scène 4, AMPHITRYON)
- Ce que vous nous contez est si prodigieux, v.1601 (Acte 6, scène 4, CAPITAINE DES GARDES)
- Mais cette ressemblance, est assez confirmée, v.1611 (Acte 6, scène 4, AMPHITRYON)
- Cette distinction ne leur est pas possible, v.1615 (Acte 6, scène 4, AMPHITRYON)
- Et leur incertitude est encor invincible. v.1616 (Acte 6, scène 4, AMPHITRYON)
- Que dit-il ? n'est-ce pas de votre courtoisie, v.1619 (Acte 6, scène 4, PREMIER CAPITAINE)
- Et fisse des festins, lorsque j'étais en peine. v.1628 (Acte 6, scène 4, AMPHITRYON)
- L'artifice est subtil, quiconque en soit l'auteur. v.1630 (Acte 6, scène 4, SECOND CAPITAINE)
- L'honnêteté d'Alcmène, est hors de tout soupçon. v.1633 (Acte 6, scène 4, CAPITAINE DES GARDES)
- S'agissant de l'honneur, l'erreur même est un crime, v.1635 (Acte 6, scène 4, AMPHITRYON)
- Rien ne peut, que la mort, rétablir son estime. v.1636 (Acte 6, scène 4, AMPHITRYON)
- La terre ouvre son centre, et le Ciel est de flamme. v.1648 (Acte 6, scène 4, AMPHITRYON)
- Amphitryon, est mort, et de cette tempête, v.1663 (Acte 6, scène 5, CÉPHALIE)
- De quels traits, sans mourir, est ma vie assaillie ! v.1672 (Acte 6, scène 5, AMPHITRYON)
- Dieux ? qu'est-ce que je vois ? v.1677 (Acte 6, scène 5, PREMIER CAPITAINE)
- C'est ainsi qu'il en use, il fait parler la nue, v.1684 (Acte 6, scène 5, CÉPHALIE)
- La raison est restée, à cette seule fille, v.1692 (Acte 6, scène 5, AMPHITRYON)
- Je suis la plus troublée, et tout le reste est sain. v.1694 (Acte 6, scène 5, CÉPHALIE)
- Que n'est fou tout le reste, et qu'Alcmène n'est sage, v.1695 (Acte 6, scène 5, AMPHITRYON)
- Le Ciel est trop soigneux de conserver mon nom. v.1705 (Acte 6, scène 5, AMPHITRYON)
- Le Ciel est trop soigneux, de ma postérité, v.1717 (Acte 6, scène 5, AMPHITRYON)
- Son innocence, enfin, vous sera manifeste, v.1719 (Acte 6, scène 5, CÉPHALIE)
- Ne m'interrompez point; écoutez ce qui reste, v.1720 (Acte 6, scène 5, C?PHALIE)
- Tant qu'à son petit corps, ne restât nul obstacle. v.1731 (Acte 6, scène 5, CÉPHALIE)
- Dieux ? par ton seul récit, leur venin m'est funeste, v.1739 (Acte 6, scène 5, AMPHITRYON)
- Écoutez donc le reste. v.1740 (Acte 6, scène 5, CÉPHALIE)
- Ô Dieux, a-t-elle dit, quelle est cette aventure ? v.1743 (Acte 6, scène 5, C?PHALIE)
- Son père est Jupiter, qu'Hercule soit son nom. v.1750 (Acte 6, scène 5, C?PHALIE)
- Les Cieux se sont fermés, l'air est resté tranquille, v.1759 (Acte 6, scène 5, C?PHALIE)
- Ma couche est partagée, Alcmène est infidèle, v.1763 (Acte 6, scène 5, AMPHITRYON)
- Mais l'affront en est doux, et la honte en est belle, v.1764 (Acte 6, scène 5, AMPHITRYON)
- L'outrage est obligeant ; le rang du suborneur, v.1765 (Acte 6, scène 5, AMPHITRYON)
- Cet agréable charme, est enfin dissipé, v.1797 (Acte 6, scène 6, AMPHITRYON)
- Cet honneur, ce me semble, est un triste avantage, v.1807 (Acte 6, scène 6, SOSIE)
LA BAGUE DE L'OUBLI (1635)
- Dites plutôt qu'à voir vos célestes attraits, v.5 (Acte 1, scène 1, LÉANDRE)
- S'il est en d'autres mains qu'en celles de Léandre, v.32 (Acte 1, scène 1, LÉONOR)
- Et quel que je sois né, je sais qu'un Sceptre est tel, v.41 (Acte 1, scène 1, LÉANDRE)
- C'est bien à notre Hymen procurer des jaloux. v.46 (Acte 1, scène 1, L?ANDRE)
- Menacent mon destin de la rigueur des Parques, v.48 (Acte 1, scène 1, L?ANDRE)
- La même ambition dont mon âme est atteinte, v.52 (Acte 1, scène 1, LÉONOR)
- Le Sceptre m'est bien cher en la main de mon frère, v.55 (Acte 1, scène 1, L?ONOR)
- De ces extrémités Léandre est incapable : v.68 (Acte 1, scène 1, LÉANDRE)
- Et loin de nos destins détourner ses tempêtes. v.76 (Acte 1, scène 1, L?ANDRE)
- Si ta flamme est égale, à celle de mon sein. v.78 (Acte 1, scène 1, LÉONOR)
- Où contre mon désir, le Roi m'a destinée. v.80 (Acte 1, scène 1, L?ONOR)
- Autant qu'il est certain que votre coeur soupire, v.87 (Acte 1, scène 2, FABRICE)
- Cher Fabrice, il est vrai que j'adore ses charmes : v.91 (Acte 1, scène 2, LE ROI)
- Moi, qui m'estime avoir une âme naturelle, v.95 (Acte 1, scène 2, FABRICE)
- C'est bien aimer (pour moi) que de ne pas haïr, v.98 (Acte 1, scène 2, FABRICE)
- Avoir donné son coeur, c'est être en mauvais point : v.101 (Acte 1, scène 2, FABRICE)
- Et qu'il n'est point ailleurs de beauté si puissante v.115 (Acte 1, scène 3, LE ROI)
- Ce respect est contraire à nos contentements, v.125 (Acte 1, scène 3, LE ROI)
- Où la force nuirait, la ruse est de saison. v.150 (Acte 1, scène 3, LE ROI)
- Que votre Majesté s'y donne en mon absence, v.156 (Acte 1, scène , ALEXANDRE)
- Je sais bien que l'amour est un enfant honteux, v.157 (Acte 1, scène , ALEXANDRE)
- Des secrets de ce Dieu la vieillesse est bannie, v.159 (Acte 1, scène , ALEXANDRE)
- Il est vrai, j'ai couru jusqu'à perdre l'haleine, v.171 (Acte 1, scène , ALEXANDRE)
- Combien ma prévoyance est juste en ses soupçons, v.185 (Acte 1, scène , ALEXANDRE)
- Ce malheur est encor capable de remède : v.188 (Acte 1, scène , ALEXANDRE)
- Je sais qu'elle est facile, et que l'honnêteté v.193 (Acte 1, scène , ALEXANDRE)
- Mais la peine, mon père, est de changer l'anneau. v.202 (Acte 1, scène 5, LÉANDRE)
- Et s'il est favorable au dessein que je fais, v.214 (Acte 1, scène 5, LÉANDRE)
- Léandre en votre estime est un objet divin, v.221 (Acte 1, scène 6, LE ROI)
- Ce mignon qui vous plaît est bon pour favori, v.229 (Acte 1, scène 6, LE ROI)
- Mais le Duc de Calabre est meilleur pour mari : v.230 (Acte 1, scène 6, LE ROI)
- Si Léandre m'est cher, c'est sa Vertu que j'aime : v.235 (Acte 1, scène 6, LÉONOR)
- FabriceDont l'objet. Mais Fabrice est déjà de retour, v.242 (Acte 1, scène 6, LE ROI)
- Votre Maîtresse est seule, et vous désire fort. v.246 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Ô céleste discours ! réponse favorable ! v.247 (Acte 1, scène 7, LE ROI)
- Mais Sire, il est bien tard, v.250 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Et c'est bien à regret qu'il faut que je vous voie, v.251 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Celle que vous servez n'est plus si près de vous, v.253 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Et puisque Liliane à mes voeux est propice, v.263 (Acte 1, scène 7, LE ROI)
- Recule pour me nuire ; est-il bien loin encor ? v.278 (Acte 2, scène 1, TANCRÈDE)
- Que je lui dois de voeux ! Que mon âme est contente v.291 (Acte 2, scène 2, ALEXANDRE)
- Qu'il ne soit point puni, puisqu'il n'est point coupable. v.299 (Acte 2, scène 2, TANCRÈDE)
- C'est le triste sujet qui nous amène ici. v.314 (Acte 2, scène 3, LE CAPITAINE)
- Je m'ignore moi-même, ou le Roi s'est mépris, v.318 (Acte 2, scène 3, TANCRÈDE)
- Quoique si j'ai failli, c'est pour la trop aimer. v.322 (Acte 2, scène 3, TANCR?DE)
- Cette défense est vaine, et vous rendrait coupable : v.324 (Acte 2, scène 3, LE CAPITAINE)
- C'est sans sujet aussi, que notre âme s'étonne : v.336 (Acte 2, scène 3, TANCRÈDE)
- Seule tu mets, et nous, et ton estime en proie, v.339 (Acte 2, scène 3, ALEXANDRE)
- Puisqu'à votre repos, ma honte est nécessaire, v.343 (Acte 2, scène 3, ALEXANDRE)
- Et combien il est doux de vivre sous sa loi ? v.346 (Acte 2, scène 3, LILIANE)
- Il n'est point de prison si belle, ni si bonne, v.351 (Acte 2, scène 3, MÉLITE)
- Et justement au point qu'il est prêt à laver. v.366 (Acte 2, scène 4, LÉANDRE)
- L'apparence souvent est autre que leurs âmes, v.372 (Acte 2, scène 5, LE ROI)
- Quoi qu'on ait estimé, ma soeur n'est pas de glace, v.375 (Acte 2, scène 5, LE ROI)
- Je sais que depuis peu ce Seigneur est parti, v.377 (Acte 2, scène 5, LE ROI)
- Rien que vous ne voyez, et c'est assez d'offense, v.383 (Acte 2, scène 6, FABRICE)
- Tancrède est prisonnier, Alexandre arrêté, v.389 (Acte 2, scène 6, FABRICE)
- Ton arc est détendu, ma Maîtresse est aux fers, v.401 (Acte 2, scène 6, LE ROI)
- Je n'importune plus votre Majesté, Sire. v.408 (Acte 2, scène 6, FABRICE)
- Si votre Majesté n'en signe l'ordonnance. v.416 (Acte 2, scène 6, FABRICE)
- Il est vrai qu'ils ont tort, si Fabrice a raison : v.417 (Acte 2, scène 6, LE ROI)
- C'est ici qu'il te faut être prudent et prompt : v.425 (Acte 2, scène 6, LÉANDRE)
- Avec ces deux Seigneurs la fille est arrêtée. v.452 (Acte 2, scène 7, LE CAPITAINE)
- Quel homme maintenant est plus heureux que moi ? v.457 (Acte 2, scène 7, LÉANDRE)
- Dieux ! que l'ambition est forte, et que ce vice, v.471 (Acte 2, scène 7, LE ROI)
- Dorame, si le Duc est chargé de ce crime, v.479 (Acte 2, scène 7, LE ROI)
- Sire, le plus fidèle est parfois combattu, v.493 (Acte 2, scène 7, LÉANDRE)
- Qu'un tel est accusé, qui n'est pas condamnable. v.496 (Acte 2, scène 7, L?ANDRE)
- Depuis que j'appartiens à votre Majesté. v.506 (Acte 2, scène 8, FABRICE)
- Si votre Majesté ne veut signer ce don. v.510 (Acte 2, scène 8, FABRICE)
- Sire, cet argent-là n'est pas de bon aloi : v.522 (Acte 2, scène 8, FABRICE)
- Est le chemin du trône où ma fortune monte. v.530 (Acte 3, scène 1, LILIANE)
- C'est assez de savoir que votre humeur est telle, v.557 (Acte 3, scène 1, MÉLITE)
- Et que c'est vous fâcher que vous être fidèle. v.558 (Acte 3, scène 1, M?LITE)
- Dieux ! qu'est-ce que j'entends ? Sire, que sert de feindre ? v.565 (Acte 3, scène 2, FABRICE)
- Mais vous le commandez, et il vous est fidèle : v.569 (Acte 3, scène 2, FABRICE)
- C'est un miroir bien faux que l'humeur d'avarice, v.581 (Acte 3, scène 2, FABRICE)
- Comme de son esprit la raison est bannie ! v.605 (Acte 3, scène 2, FABRICE)
- Votre corps n'est-il pas pourvu des mêmes sens v.611 (Acte 3, scène 2, LILIANE)
- Quoi, ce prompt changement est le prix de ma foi ? v.620 (Acte 3, scène 2, LILIANE)
- Ma soeur n'est-ce pas vous ? v.625 (Acte 3, scène 2, LE ROI)
- Que votre Majesté m'ait si tôt méconnue ? v.626 (Acte 3, scène 2, LILIANE)
- Liliane, est-ce vous ? v.631 (Acte 3, scène 2, LE ROI)
- Et que vous destiniez à tant d'heureuses nuits, v.632 (Acte 3, scène 2, LILIANE)
- Donc si jusqu'à ce point votre esprit est changé, v.639 (Acte 3, scène 2, LILIANE)
- Que votre Majesté consente à l'hyménée, v.641 (Acte 3, scène 2, LILIANE)
- Qui doit ailleurs aussi ranger ma destinée. v.642 (Acte 3, scène 2, LILIANE)
- Il est bon qu'il repose, et soit sain quelque temps : v.660 (Acte 3, scène 2, LÉANDRE)
- Ah ! qu'il vous est aisé de rire et de railler, v.675 (Acte 3, scène 2, FABRICE)
- La ruse toutefois est un peu languissante, v.697 (Acte 3, scène 3, LÉONOR)
- Assembler nos destins, et couronner nos fronts. v.700 (Acte 3, scène 3, L?ONOR)
- C'est qu'il n'a plus l'anneau pour nous si salutaire, v.705 (Acte 3, scène 3, LÉANDRE)
- Liliane est-ce toi ? ma Déesse ? ma vie ; v.717 (Acte 3, scène 5, LE ROI)
- Eh ! Quel destin m'avait ta présence ravie ? v.718 (Acte 3, scène 5, LE ROI)
- Et comme ton péché, ta repentance est feinte. v.742 (Acte 3, scène 5, LE ROI)
- En quoi puis-je obéir à votre Majesté ? v.744 (Acte 3, scène 5, LILIANE)
- J'estime après l'affront qu'a reçu cette belle, v.761 (Acte 3, scène 5, FILÈNE)
- Sire, ce n'est pas tout : car la voyant paraître, v.765 (Acte 3, scène 5, FILÈNE)
- Qu'un muet innocent est (chez vous) plus capableE v.777 (Acte 3, scène 6, ALEXANDRE)
- Que votre Majesté dispose d'une vie, v.781 (Acte 3, scène 6, TANCRÈDE)
- Qui s'est donné le droit de délivrer ces traîtres ? v.785 (Acte 3, scène 6, LE ROI)
- Cette feinte est requise au bien de nos amours. v.788 (Acte 3, scène 6, LE ROI)
- De qui cette sortie est-elle autorisée ? v.790 (Acte 3, scène 6, LE ROI)
- Dieux ! qu'est-ce que je vois ? Sire, aucune licence v.793 (Acte 3, scène 6, LE CAPITAINE)
- Qui m'a dit le tenir de votre Majesté. v.800 (Acte 3, scène 6, LE CAPITAINE)
- Que mon désir est prompt, et que sa fin est lente ! v.814 (Acte 3, scène 6, LE ROI)
- Triste, lent, assoupi, froid comme est une souche, v.817 (Acte 3, scène 6, LE ROI)
- Comme il est tôt venu, s'en ira tôt aussi. v.824 (Acte 3, scène 6, LILIANE)
- Quel lui semble mon mal, et quelle en est la source ? v.833 (Acte 3, scène 7, LE ROI)
- Cette ordonnance n'est que pour un mal de bourse, v.834 (Acte 3, scène 7, FABRICE)
- Si l'ordonnance n'est que d'un peu d'Ellébore, v.837 (Acte 3, scène 7, LE ROI)
- Ah ! qu'il est libéral ! pour tout prix de mes pas, v.847 (Acte 3, scène 7, FABRICE)
- Mais la Fortune est femme, et je n'ai point d'argent. v.852 (Acte 3, scène 7, FABRICE)
- Que l'aveugle Déesse est propice à nos voeux, v.855 (Acte 4, scène 1, LÉANDRE)
- S'il est en cet état de vos avis capable, v.874 (Acte 4, scène 1, LÉONOR)
- Quel destin m'a tiré des lieux de ma naissance, v.877 (Acte 4, scène 2, LE ROI)
- De quel astre inclément est ce mal provenu, v.887 (Acte 4, scène 2, FILÈNE)
- Il est vrai, que depuis le mal qui vous possède, v.901 (Acte 4, scène 2, LÉANDRE)
- Votre conseil, ma soeur, m'est important ici, v.911 (Acte 4, scène 2, LE ROI)
- Ce Léandre, qui parle à votre Majesté, v.915 (Acte 4, scène 2, LÉONOR)
- Si votre Majesté jusque à ce point m'honore, v.925 (Acte 4, scène 2, LÉONOR)
- Sa mort est nécessaire à votre sûreté. v.928 (Acte 4, scène 2, L?ONOR)
- Il suffit, ton conseil est l'arrêt de sa mort. v.932 (Acte 4, scène 2, LE ROI)
- Et comme il est crédule, en ce point de misère, v.957 (Acte 4, scène 3, FABRICE)
- Et d'un autre côté ma mère est si connue, v.969 (Acte 4, scène 4, FABRICE)
- Mais c'est trop différer, faisons ce qui lui plaît : v.971 (Acte 4, scène 4, FABRICE)
- Que ne croira-t-il point, insensé comme il est. v.972 (Acte 4, scène 4, FABRICE)
- Ah ! qu'un de ses enfants s'est acquis de mémoire, v.981 (Acte 4, scène 4, FABRICE)
- Et qu'il en est parlé dans les Métamorphoses ! v.986 (Acte 4, scène 4, FABRICE)
- Qui sur tout s'est acquis les secrets de la Sphère. v.994 (Acte 4, scène 4, FABRICE)
- Et qu'il nous a prédit une funeste année. v.998 (Acte 4, scène 4, FABRICE)
- Il est le seul sujet de tous les maux des hommes. v.1006 (Acte 4, scène 4, LE ROI)
- Puisque cette aventure à tout homme est commune, v.1017 (Acte 4, scène 4, FABRICE)
- Sire, c'est un esprit bien troublé, que le sien, v.1088 (Acte 4, scène 6, FABRICE)
- Il est bien vrai, qu'alors que cette humeur vous prit, v.1095 (Acte 4, scène 6, FABRICE)
- Liliane épousée ! Ô Ciel est-il un foudre, v.1101 (Acte 4, scène 6, LE ROI)
- Traîtres, s'il est ainsi, ni mer, ni cieux, ni terres v.1105 (Acte 4, scène 6, LE ROI)
- Il est vrai justes Dieux, que souffrir mon supplice, v.1113 (Acte 5, scène 1, ALEXANDRE)
- C'est pour un juste effet, permettre une injustice, v.1114 (Acte 5, scène 1, ALEXANDRE)
- C'est vouloir par la mort, m'exempter de mourir. v.1115 (Acte 5, scène 1, ALEXANDRE)
- Enfin, c'est me blesser, afin de me guérir : v.1116 (Acte 5, scène 1, ALEXANDRE)
- Un tyran peut beaucoup ; mais il est incapable, v.1121 (Acte 5, scène 1, ALEXANDRE)
- Le coupable est ouï sur le point du trépas, v.1131 (Acte 5, scène 1, TANCRÈDE)
- C'est une lâcheté que de tant différer. v.1140 (Acte 5, scène 1, LE BOURREAU)
- S'il meurt, dois-je rester au nombre des humains : v.1143 (Acte 5, scène 1, LILIANE)
- C'est que je rende l'âme avec cette assurance, v.1149 (Acte 5, scène 1, ALEXANDRE)
- C'est de l'amour du Roi le furieux effet : v.1159 (Acte 5, scène 1, ALEXANDRE)
- Mais contre leurs douleurs ma constance est sans armes : v.1161 (Acte 5, scène 1, ALEXANDRE)
- Un mal dont toutefois le genre est inconnu, v.1184 (Acte 5, scène 2, LE ROI)
- Et j'atteste le ciel, qui partout remédie, v.1185 (Acte 5, scène 2, LE ROI)
- Il est vrai qu'autrefois te vouant mon service, v.1197 (Acte 5, scène 2, LE ROI)
- Dorame, c'est ici qu'il faut paraître agile, v.1213 (Acte 5, scène 2, LE ROI)
- Et si sa Majesté sait l'auteur de ce vol, v.1219 (Acte 5, scène 3, FABRICE)
- Quel homme est aujourd'hui plus malheureux que moi ? v.1228 (Acte 5, scène 4, LÉANDRE)
- Destins injurieux et sourds à ma prière, v.1229 (Acte 5, scène 4, L?ANDRE)
- Avancez mon trépas, s'il est vrai qu'il est sain. v.1232 (Acte 5, scène 4, L?ANDRE)
- Ô Ciel ! qu'est devenu ce fatal diamant ? v.1236 (Acte 5, scène 4, LÉANDRE)
- Ce mot de diamant est l'arrêt de ma perte, v.1237 (Acte 5, scène 4, FABRICE)
- C'en est fait, je suis mort, ma fourbe est découverte. v.1238 (Acte 5, scène 4, FABRICE)
- Que mon sens est troublé, que mon âme est émue ! v.1241 (Acte 5, scène 4, FABRICE)
- Ait enfin à son sort uni ma destinée, v.1246 (Acte 5, scène 4, LÉANDRE)
- Est ma mort, que ce bras ne dût plus différer. v.1248 (Acte 5, scène 4, L?ANDRE)
- Et que dois-je estimer de ce confus langage ? v.1250 (Acte 5, scène 4, FABRICE)
- Si ce n'est point un sort que cette pierre cache, v.1254 (Acte 5, scène 4, FABRICE)
- Mais qu'il est malaisé d'y voir aucune marque, v.1257 (Acte 5, scène 4, FABRICE)
- En l'état où je suis, tout objet m'est suspect, v.1259 (Acte 5, scène 5, LE ROI)
- D'avouer ce qu'il pense à votre Majesté, v.1264 (Acte 5, scène 5, FABRICE)
- Que ce charme est d'une force extrême ! v.1294 (Acte 5, scène 5, LE ROI)
- Saura combien au Ciel la mienne est précieuse. v.1306 (Acte 5, scène 5, LE ROI)
- Et s'il m'en reste aucun, c'est l'amour seulement. v.1312 (Acte 5, scène 6, LE ROI)
- Est-il rejoint, apporte, et cours en diligence v.1321 (Acte 5, scène 6, LE ROI)
- Dieux, que de modestie en ce beau front se lit, v.1327 (Acte 5, scène 6, LE ROI)
- Que votre Majesté désirait de nous voir. v.1332 (Acte 5, scène 7, LÉONOR)
- Ah ! Fabrice, est-ce toi ? que mes yeux sont contents ! v.1335 (Acte 5, scène 7, LE ROI)
- Voyez bien mon visage, il est sans artifice, v.1338 (Acte 5, scène 7, FABRICE)
- Le Ciel est favorable à notre humble prière, v.1345 (Acte 5, scène 7, LÉONOR)
- Sire, tout est fermé, les ponts-levis haussés, v.1347 (Acte 5, scène 8, LE CAPITAINE)
- Dieux ! qu'est-ce que je vois ? que ses yeux ont d'horreur ! v.1351 (Acte 5, scène 8, FILÈNE)
- La qualité du mal m'est encore incertaine, v.1361 (Acte 5, scène 8, LE ROI)
- Elle est même cachée à votre jugement. v.1364 (Acte 5, scène 8, LE ROI)
- Un sceptre dans mes mains est un trop rude faix, v.1368 (Acte 5, scène 8, LE ROI)
- Je connais mes défauts, et vois qu'il est facile, v.1369 (Acte 5, scène 8, LE ROI)
- Mais pource qu'une femme est faible en tant de soin, v.1375 (Acte 5, scène 8, LE ROI)
- Nous aurons sous vos Lois un destin plus heureux. v.1384 (Acte 5, scène 8, LÉONOR)
- Mais ce n'est pas à nous que les choses s'adressent. v.1402 (Acte 5, scène 8, TANCRÈDE)
- Sire, le cas est tel, un vassal infidèle v.1413 (Acte 5, scène 8, LE ROI)
- Qu'ordonne là-dessus votre Majesté, Sire ? v.1430 (Acte 5, scène 8, LE ROI)
- il est vrai que l'offense v.1433 (Acte 5, scène 8, LÉANDRE)
- Est d'une qualité, qui paraît sans défense : v.1434 (Acte 5, scène 8, L?ANDRE)
- La destine à l'amour d'un Seigneur étranger. v.1444 (Acte 5, scène 8, L?ANDRE)
- Qu'auriez-vous estimé de semblable action ? v.1452 (Acte 5, scène 8, L?ANDRE)
- Si ce n'est que l'amour est auteur de ces crimes. v.1454 (Acte 5, scène 8, L?ANDRE)
- Traîtres, c'est vainement, que vous m'avez surpris, v.1467 (Acte 5, scène 8, LE ROI)
- Alexandre, il est vrai, cette rare merveille v.1469 (Acte 5, scène 8, LE ROI)
- Fait des coups sans pareils, comme elle est sans pareille, v.1470 (Acte 5, scène 8, LE ROI)
- Je doute qui je suis, et mon âme est troublée, v.1481 (Acte 5, scène 8, ALEXANDRE)
- Soyez juge du reste, et que votre équité v.1487 (Acte 5, scène 8, LE ROI)
- Si cet honneur est joint à ceux que j'ai reçus, v.1491 (Acte 5, scène 8, LE DUC)
- Saragosse est le lieu de ce bannissement, v.1511 (Acte 5, scène 8, LE ROI)
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IPHIGÉNIE (1641)
- Ton avis vient trop tard, il n'est plus de saison. v.3 (Acte 1, scène 1, AGAMEMNON)
- Que le premier des droits est celui de nature, v.18 (Acte 1, scène 1, AGAMEMNON)
- Quel siège entreprends-tu, si ta fille est la proie v.21 (Acte 1, scène 1, AGAMEMNON)
- C'est un trésor sacré, que le penser d'un Roi, v.51 (Acte 1, scène 2, AMYNTAS)
- Où nul ne doit toucher, si ce n'est par sa Loi, v.52 (Acte 1, scène 2, AMYNTAS)
- Est-ce vous Amyntas ? v.55 (Acte 1, scène 3, LE VALET DE CHAMBRE)
- Le calme quelquefois est pire que l'orage, v.70 (Acte 1, scène 3, AMYNTAS)
- Le repos est partout aussi calme qu'en l'onde, v.77 (Acte 1, scène 4, AMYNTAS)
- Tel est l'ordre fatal des affaires humaines, v.81 (Acte 1, scène 4, AMYNTAS)
- S'il est servi de tous, il les sert tous aussi : v.84 (Acte 1, scène 4, AMYNTAS)
- Une grande puissance, est un noble servage, v.86 (Acte 1, scène 4, AMYNTAS)
- Mais quelqu'un vient ; c'est lui. v.89 (Acte 1, scène 4, AMYNTAS)
- Est au dessus de tout, et ne respecte rien. v.112 (Acte 1, scène 5, AMYNTAS)
- Sur quoi rêvez-vous tant, t quelle est cette lettre, v.114 (Acte 1, scène 5, AMYNTAS)
- Quelle est de tant d'ennuis la funeste matière ? v.117 (Acte 1, scène 5, AMYNTAS)
- C'est la raison aussi qui fait qu'en ce besoin v.131 (Acte 1, scène 5, AGAMEMNON)
- Celui pour qui le sort destinait ses appas : v.152 (Acte 1, scène 5, AGAMEMNON)
- Que le Ciel destinait pour être son époux, v.164 (Acte 1, scène 5, AGAMEMNON)
- Et transporté qu'il est de cet amour extrême v.169 (Acte 1, scène 5, AGAMEMNON)
- À peine il s'est rangé sous cet hymen funeste, v.185 (Acte 1, scène 5, AGAMEMNON)
- Que le juge mortel du diffèrent céleste, v.186 (Acte 1, scène 5, AGAMEMNON)
- ( Si ce que l'on en dit est une vérité ) v.188 (Acte 1, scène 5, AGAMEMNON)
- Déteste, mais trop tard, ce fatal mariage, v.198 (Acte 1, scène 5, AGAMEMNON)
- Comme sa plainte est juste, on arme à sa requête, v.201 (Acte 1, scène 5, AGAMEMNON)
- Au bout de quelque mois toute l'armée est prête, v.202 (Acte 1, scène 5, AGAMEMNON)
- L'importune splendeur de ce funeste rang, v.208 (Acte 1, scène 5, AGAMEMNON)
- C'est ce calme importun qui retient la tempête. v.213 (Acte 1, scène 5, AGAMEMNON)
- M'ayant fait rétracter ce funeste dessein, v.247 (Acte 1, scène 5, AGAMEMNON)
- J'écris à Clytemnestre une seconde lettre, v.249 (Acte 1, scène 5, AGAMEMNON)
- À CLYTEMNESTRE. v.257 (Acte 1, scène 5, AGAMEMNON)
- Qui ne s'est entre-nous promis ni proposé. v.272 (Acte 1, scène 5, AGAMEMNON)
- Est-il ni jugement, ni raison qui ne cède, v.278 (Acte 1, scène 5, AGAMEMNON)
- Tout glacé qu'est mon sang, pour vous il bout encore. v.282 (Acte 1, scène 5, AMYNTAS)
- Si ma fille est dedans détournes-en le cours, v.287 (Acte 1, scène 5, AGAMEMNON)
- C'est le plus digne soin que je te puis commettre : v.289 (Acte 1, scène 5, AGAMEMNON)
- Mais que t'a fait mon sang, sa proie est dans les bois, v.300 (Acte 1, scène 6, AGAMEMNON)
- Fais tourner contre moi le coup qui m'est futur, v.303 (Acte 1, scène 6, AGAMEMNON)
- Mais quoi, sans ce devoir sa haine est implacable, v.305 (Acte 1, scène 6, AGAMEMNON)
- Qui ? Dieux ! Quel est l'ennui qui le transporte ainsi. v.324 (Acte 1, scène 7, ORONTE)
- Je ne lui rendrai point ce funeste devoir. v.328 (Acte 1, scène 7, AGAMEMNON)
- Le pouvoir qui m'emploie est au dessus du vôtre. v.334 (Acte 2, scène 1, AMYNTAS)
- Traître un trop long refus à ton audace est joint. v.344 (Acte 2, scène 1, MÉNELAS)
- Ce refus est civil et cette audace honnête. v.345 (Acte 2, scène 1, AMYNTAS)
- À qui meurt pour son maître, il est doux de mourir. v.347 (Acte 2, scène 1, AMYNTAS)
- Savez-vous que c'est moi que cet outrage offense. v.354 (Acte 2, scène 2, AGAMEMNON)
- Est-ce là le devoir qu'on défère à mon rang. v.367 (Acte 2, scène 2, AGAMEMNON)
- A qui d'un confident l'assistance est utile. v.378 (Acte 2, scène 2, MÉNELAS)
- Qu'une langue diserte est souvent un grand mal. v.379 (Acte 2, scène 2, AGAMEMNON)
- C'en est un bien plus grand qu'un esprit inégal : v.380 (Acte 2, scène 2, MÉNELAS)
- Et votre modestie alors incomparable : v.389 (Acte 2, scène 2, M?NELAS)
- Rien n'est plus messéant que ces métamorphoses : v.410 (Acte 2, scène 2, M?NELAS)
- Et qu'il n'est d'un grand Roi, ni d'un homme de bien, v.411 (Acte 2, scène 2, M?NELAS)
- Il tient la clef des vents elle est dans ses trésors, v.419 (Acte 2, scène 2, M?NELAS)
- Et c'est de cette clef que fermant leur passage, v.421 (Acte 2, scène 2, M?NELAS)
- De qui l'expérience est la plus confirmée : v.434 (Acte 2, scène 2, M?NELAS)
- Du rapt de votre femme, est-il quitte à ce prix ? v.440 (Acte 2, scène 2, M?NELAS)
- C'est de votre intérêt que vous êtes jaloux, v.443 (Acte 2, scène 2, M?NELAS)
- Puisque vous l'étouffez aussitôt qu'elle est née, v.454 (Acte 2, scène 2, M?NELAS)
- Ce mal est ordinaire, à un homme ambitieux, v.463 (Acte 2, scène 2, M?NELAS)
- Puis quand il tient un rang, dont il est incapable, v.465 (Acte 2, scène 2, M?NELAS)
- Bouillante comme elle est d'éprouver son adresse : v.470 (Acte 2, scène 2, M?NELAS)
- La sagesse d'un Prince est son souverain bien, v.475 (Acte 2, scène 2, M?NELAS)
- Avecque la sagesse un homme est tous les hommes, v.477 (Acte 2, scène 2, M?NELAS)
- Sans elle ce n'est rien que tout ce que nous sommes. v.478 (Acte 2, scène 2, M?NELAS)
- Il sied moins d'offenser, à qui plus est permis, v.487 (Acte 2, scène 2, AGAMEMNON)
- Et quel fruit vous naîtra de ce funeste ouvrage, v.493 (Acte 2, scène 2, AGAMEMNON)
- Ce trésor de son sang est souvent sa ruine, v.502 (Acte 2, scène 2, AGAMEMNON)
- C'est un présent des cieux à la vertu fatal, v.503 (Acte 2, scène 2, AGAMEMNON)
- Le visage en est beau, mais je doute de l'âme, v.506 (Acte 2, scène 2, AGAMEMNON)
- Sa mauvaise conduite et sa perte est suivie, v.510 (Acte 2, scène 2, AGAMEMNON)
- S'il est donc de la sorte, est-il juste en effet, v.511 (Acte 2, scène 2, AGAMEMNON)
- Est-ce ainsi que l'honneur gouverne vos désirs, v.519 (Acte 2, scène 2, AGAMEMNON)
- Tandis que le remède est encor de saison v.524 (Acte 2, scène 2, AGAMEMNON)
- Funeste a mon honneur, et fatal à la Grèce, v.530 (Acte 2, scène 2, AGAMEMNON)
- Que mon affliction vous est si peu commune. v.550 (Acte 2, scène 2, MÉNELAS)
- Ha ! N'en appelons plus cette espérance est vaine, v.573 (Acte 2, scène 3, AGAMEMNON)
- De l'ordre que j'avais de votre Majesté : v.576 (Acte 2, scène 3, LE MESSAGER)
- Ma chère fille hélas ! Ta mort est résolue v.581 (Acte 2, scène 3, AGAMEMNON)
- C'est à vous d'accepter cette commission, v.584 (Acte 2, scène 3, AGAMEMNON)
- C'est un doux privilège à la basse fortune, v.593 (Acte 2, scène 3, AGAMEMNON)
- Et c'est un triste effet de ma condition, v.595 (Acte 2, scène 3, AGAMEMNON)
- Voilà l'heureux Hymen que le ciel lui destine, v.601 (Acte 2, scène 3, AGAMEMNON)
- Où les chants sont décrits, où la fête est un deuil, v.603 (Acte 2, scène 3, AGAMEMNON)
- Enfin je cède au sort qui vous est si contraire, v.609 (Acte 2, scène 3, MÉNELAS)
- C'est un pressant discours que les larmes d'un frère. v.610 (Acte 2, scène 3, M?NELAS)
- Il n'est si sourde oreille, il n'est coeur de rocher v.611 (Acte 2, scène 3, M?NELAS)
- Il n'est pas juste enfin que mon faix vous accable, v.613 (Acte 2, scène 3, M?NELAS)
- Si c'est de Ménélas que j'entends ce langage, v.625 (Acte 2, scène 3, ULYSSE)
- Est prête et résolue à tous événements : v.648 (Acte 2, scène 3, ULYSSE)
- C'est sur cette vertu que tant d'illustres âmes, v.649 (Acte 2, scène 3, ULYSSE)
- Nestor ni Ménélas n'ont point été nommés, v.654 (Acte 2, scène 3, ULYSSE)
- Un seul Agamemnon s'est parmi tant de Rois, v.658 (Acte 2, scène 3, ULYSSE)
- Non, non, il est aux Grecs un trop solide appui, v.678 (Acte 2, scène 3, ULYSSE)
- Tout notre sang est sien, tout le sien est à nous. v.683 (Acte 2, scène 3, ULYSSE)
- Que le sang est encor plus éloquent que lui, v.687 (Acte 2, scène 3, AGAMEMNON)
- Prépares le bûcher votre victime est prête, v.689 (Acte 2, scène 3, AGAMEMNON)
- Que ce funeste bruit ne se répande pas, v.691 (Acte 2, scène 3, AGAMEMNON)
- Je ne sais de quel mal ce coeur est agité, v.699 (Acte 3, scène 1, IPHIGÉNIE)
- Mais l'hymen est un Dieu familier et charmant, v.710 (Acte 3, scène 1, CLYTEMNESTRE)
- La fille s'enhardit aussitôt qu'elle est femme, v.712 (Acte 3, scène 1, CLYTEMNESTRE)
- Et de glace qu'elle est, elle vient tout de flamme. v.713 (Acte 3, scène 1, CLYTEMNESTRE)
- Au reste au jugement de quiconque à des yeux, v.718 (Acte 3, scène 1, CLYTEMNESTRE)
- Cieux pourquoi pressez-vous ce voyage funeste, v.724 (Acte 3, scène 2, AGAMEMNON)
- Elle aura trop tôt fait le chemin qui lui reste, v.725 (Acte 3, scène 2, AGAMEMNON)
- Bienheureuse est la loi que nous avons reçue, v.728 (Acte 3, scène 2, CLYTEMNESTRE)
- Je vous le donne aussi, c'est tout ce que je puis. v.739 (Acte 3, scène 2, AGAMEMNON)
- Leur source est naturelle et la cause en est injuste. v.741 (Acte 3, scène 2, AGAMEMNON)
- Mais la loi d'hyménée est un mal volontaire. v.748 (Acte 3, scène 2, IPHIGÉNIE)
- Celle qui les prescrit est un mal nécessaire. v.749 (Acte 3, scène 2, AGAMEMNON)
- Quelle nécessité me destine un époux. v.750 (Acte 3, scène 2, IPHIGÉNIE)
- Il n'est pas à propos qu'une fille les cache. v.752 (Acte 3, scène 2, AGAMEMNON)
- L'éloigner de ma vue est m'ôter à moi-même : v.768 (Acte 3, scène 3, CLYTEMNESTRE)
- Est quoi qu'elle en témoigne un changement bien doux, v.770 (Acte 3, scène 3, CLYTEMNESTRE)
- Elle est d'âge en un mot à ne pas refuser, v.773 (Acte 3, scène 3, CLYTEMNESTRE)
- On est bien aveuglé si l'on ouvre les yeux, v.778 (Acte 3, scène 3, CLYTEMNESTRE)
- C'est par eux qu'à jamais vivra votre mémoire. v.783 (Acte 3, scène 3, CLYTEMNESTRE)
- C'est à quoi je travaille on dresse le bûcher. v.786 (Acte 3, scène 3, AGAMEMNON)
- Comme la flamme l'est au lieu de sa nature, v.788 (Acte 3, scène 3, AGAMEMNON)
- Mais durant cet hymen, il n'est pas à propos, v.789 (Acte 3, scène 3, AGAMEMNON)
- Un trône est un beau lieu qui veut être occupé, v.793 (Acte 3, scène 3, AGAMEMNON)
- Où qui demeurant vide est bientôt usurpé, v.794 (Acte 3, scène 3, AGAMEMNON)
- M'est un bannissement honnête et spécieux, v.814 (Acte 3, scène 3, CLYTEMNESTRE)
- Ce fleuve si tranquille est bien moins en repos, v.817 (Acte 3, scène 3, CLYTEMNESTRE)
- Que n'est l'état présent des affaires d'Argos. v.818 (Acte 3, scène 3, CLYTEMNESTRE)
- N'est ni démon honneur ni de la bienséance, v.820 (Acte 3, scène 3, AGAMEMNON)
- Que leur feule maison est leur propre élément, v.825 (Acte 3, scène 3, AGAMEMNON)
- Quoi que l'on me propose, il n'est point déshonnête, v.827 (Acte 3, scène 3, CLYTEMNESTRE)
- Honneur peste des moeurs, noir poison de la vie, v.842 (Acte 3, scène 4, CLYTEMNESTRE)
- Que ta possession est bien digne d'envie : v.843 (Acte 3, scène 4, CLYTEMNESTRE)
- Que l'on est insensé d'encenser les Autels , v.845 (Acte 3, scène 4, CLYTEMNESTRE)
- N'est qu'un amusement de leur oisiveté, v.849 (Acte 3, scène 4, CLYTEMNESTRE)
- Quel est ici l'emploi de votre majesté, v.879 (Acte 3, scène 5, ACHILLE)
- Mais la paix est bien mieux l'exercice des Reines, v.882 (Acte 3, scène 5, ACHILLE)
- Vers votre Majesté mon respect me dispense. v.893 (Acte 3, scène 5, ACHILLE)
- Il est presque ordinaire naturel à tous, v.898 (Acte 3, scène 5, CLYTEMNESTRE)
- De croire a autant moins que ce qu'on croit est doux, v.899 (Acte 3, scène 5, CLYTEMNESTRE)
- N'est point sans quelque fourbe ou sans quelque mystère. v.913 (Acte 3, scène 5, CLYTEMNESTRE)
- On s'est voulu jouer et de vous et de moi. v.915 (Acte 3, scène 5, ACHILLE)
- Ciel impitoyable ! Ô funeste contrée, v.916 (Acte 3, scène 6, AMYNTAS)
- Qu'est-ce Achille , écoutons ne m'abandonnez pas. v.919 (Acte 3, scène 6, CLYTEMNESTRE)
- Ce triste sacrifice est l'hymen spécieux, v.930 (Acte 3, scène 6, AMYNTAS)
- Elle me touche autant qu'elle vous est cruelle. v.937 (Acte 3, scène 6, ACHILLE)
- Il m'est très déplaisant de voir qu'Agamemnon, v.942 (Acte 3, scène 6, ACHILLE)
- La perte d'un enfant nous est plus amère ; v.956 (Acte 3, scène 6, CLYTEMNESTRE)
- Dont l'ardeur d'être à vous est la première flamme, v.960 (Acte 3, scène 6, CLYTEMNESTRE)
- Ce n'est pas que rebelle au joug d'un souverain, v.982 (Acte 3, scène 6, ACHILLE)
- C'est par où se maintient le respect des couronnes, v.985 (Acte 3, scène 6, ACHILLE)
- La raison est le chef qui m'a conduit à Troie, v.992 (Acte 3, scène 6, ACHILLE)
- Bien plus qu'Agamemnon c'est elle qui m'emploie, v.993 (Acte 3, scène 6, ACHILLE)
- Et ce bras tout ardent et tout bouillant qu'il est, v.994 (Acte 3, scène 6, ACHILLE)
- Est un foudre immobile ou la raison se tait, v.995 (Acte 3, scène 6, ACHILLE)
- Le crime qu'il propose est mien si je l'endure, v.1004 (Acte 3, scène 6, ACHILLE)
- Par l'honneur que je dois à votre Majesté ; v.1011 (Acte 3, scène 6, ACHILLE)
- À sa honte apprendra quel est le bras d'Achille, v.1017 (Acte 3, scène 6, ACHILLE)
- C'est une vertu née avec les gens de bien, v.1022 (Acte 3, scène 6, CLYTEMNESTRE)
- En vous un seul ami m'est tout le monde ensemble. v.1041 (Acte 3, scène 6, CLYTEMNESTRE)
- Mon malheur est trop faible et mon parti trop fort. v.1043 (Acte 3, scène 6, CLYTEMNESTRE)
- Que je ne pleure point quand votre mort est proche, v.1044 (Acte 4, scène 1, ARDÉLIE)
- Mourir est un tribut qu'on doit aux destinées, v.1052 (Acte 4, scène 1, IPHIGÉNIE)
- Je n'y pouvais rester ses pleurs m'en ont chassée, v.1061 (Acte 4, scène 1, IPHIGÉNIE)
- Rien que de malheureux et funeste présage. v.1065 (Acte 4, scène 1, IPHIG?NIE)
- Répondez à l'amour dont son âme est ravie. v.1076 (Acte 4, scène 2, AGAMEMNON)
- Il tient l'être des Dieux, sa gloire est sans défaut. v.1078 (Acte 4, scène 2, AGAMEMNON)
- Votre soin en effet me destine trop haut. v.1079 (Acte 4, scène 2, IPHIGÉNIE)
- Ha quel est ton bonheur de ne te pas entendre, v.1080 (Acte 4, scène 2, AGAMEMNON)
- La mort de votre fille est elle résolue, v.1092 (Acte 4, scène 3, CLYTEMNESTRE)
- Ce silence est l'effet du remords qui vous touche, v.1104 (Acte 4, scène 3, CLYTEMNESTRE)
- Ce n'est pas d'aujourd'hui que je dois être instruite, v.1108 (Acte 4, scène 3, CLYTEMNESTRE)
- De votre procédure est de votre conduite : v.1109 (Acte 4, scène 3, CLYTEMNESTRE)
- C'est ouvrage est celui que vous voulez défaire, v.1148 (Acte 4, scène 3, CLYTEMNESTRE)
- Cet auguste maintien, cet oeil modeste et doux, v.1150 (Acte 4, scène 3, CLYTEMNESTRE)
- C'est un fatal honneur que d'être votre fille, v.1153 (Acte 4, scène 3, CLYTEMNESTRE)
- Elle vous doit le jour sa vie est votre bien, v.1154 (Acte 4, scène 3, CLYTEMNESTRE)
- C'est prendre bien avant les intérêts d'un frère, v.1164 (Acte 4, scène 3, CLYTEMNESTRE)
- Et mettre à haute estime une femme adultère, v.1165 (Acte 4, scène 3, CLYTEMNESTRE)
- D'une si périlleuse et funeste victoire, v.1185 (Acte 4, scène 3, CLYTEMNESTRE)
- À votre intention ce titre est bien contraire, v.1189 (Acte 4, scène 3, IPHIGÉNIE)
- Et je me plains bien moins en mon mauvais destin, v.1198 (Acte 4, scène 3, IPHIG?NIE)
- La mort est un écueil fatal à tous les hommes, v.1200 (Acte 4, scène 3, IPHIG?NIE)
- Est la nécessité de mourir une fois, v.1203 (Acte 4, scène 3, IPHIG?NIE)
- Est-ce à moi d'épouser son amour ni sa haine, v.1213 (Acte 4, scène 3, IPHIG?NIE)
- Qui plus qu'elle, est leur sang, et qui de ses parents, v.1218 (Acte 4, scène 3, IPHIG?NIE)
- C'est une lâcheté que leur sang me défend, v.1222 (Acte 4, scène 3, IPHIG?NIE)
- Mais où le Ciel est juge, il n'est point de puissance, v.1232 (Acte 4, scène 3, AGAMEMNON)
- Des funestes arrêts dont les Dieux sont auteurs, v.1238 (Acte 4, scène 3, AGAMEMNON)
- Sur vous seul est fondé tout l'espoir de la Grèce, v.1240 (Acte 4, scène 3, AGAMEMNON)
- la résolution est trop confirmée, v.1245 (Acte 4, scène 3, AGAMEMNON)
- Ce n'est point Ménélas dont l'intérêt me presse, v.1248 (Acte 4, scène 3, AGAMEMNON)
- C'est le ciel, c'est l'Armée, et c'est toute la Grève : v.1249 (Acte 4, scène 3, AGAMEMNON)
- Après l'arrêt des Dieux l'innocence est coupable, v.1252 (Acte 4, scène 3, AGAMEMNON)
- •Autant qu'ils sont puissants il est irrévocable : v.1253 (Acte 4, scène 3, AGAMEMNON)
- C'est perdre encor le temps que d'en délibérer. v.1255 (Acte 4, scène 3, AGAMEMNON)
- Et par ton propre exemple a toi-même funeste, v.1264 (Acte 4, scène 4, CLYTEMNESTRE)
- Venger sur toi mon sang et celui de Thieste, v.1265 (Acte 4, scène 4, CLYTEMNESTRE)
- Est offenser Diane et fouiller sa victime, v.1269 (Acte 4, scène 4, IPHIGÉNIE)
- S'il est possible au moins sauvez ma pureté. v.1271 (Acte 4, scène 4, IPHIG?NIE)
- De ce voeu négligé sont les funestes fruits. v.1275 (Acte 4, scène 4, CLYTEMNESTRE)
- À qui votre intérêt si mon soupçon n'est vain, v.1278 (Acte 4, scène 5, CLYTEMNESTRE)
- Qu'est-ce Seigneur ? v.1288 (Acte 4, scène 5, CLYTEMNESTRE)
- Un orage de cris sur moi s'est excité, v.1295 (Acte 4, scène 5, ACHILLE)
- Sous qui je remontrais qu'elle m'est destinée, v.1301 (Acte 4, scène 5, ACHILLE)
- C'est sans doute un grand mal qu'une grande assemblée, v.1304 (Acte 4, scène 5, CLYTEMNESTRE)
- Son calme est une paix qu'on a bientôt troublée, v.1305 (Acte 4, scène 5, CLYTEMNESTRE)
- Sur tout autre respect l'honneur m'est précieux, v.1314 (Acte 4, scène 5, ACHILLE)
- C'est mon Chef, c'est mon Roi, mon Oracle, et mes Dieux. v.1315 (Acte 4, scène 5, ACHILLE)
- La pointe en est aigüe et la trempe en est forte. v.1317 (Acte 4, scène 5, ACHILLE)
- Et si l'événement est conforme à mes voeux, v.1322 (Acte 4, scène 6, ACHILLE)
- C'est trop laisser la honte avecque l'innocence, v.1324 (Acte 4, scène 6, CLYTEMNESTRE)
- Outre qu'elle est honteuse est encor importune, v.1329 (Acte 4, scène 6, IPHIGÉNIE)
- Et quiconque est heureux fuit toujours sa rencontre. v.1333 (Acte 4, scène 6, IPHIG?NIE)
- Le foudre est-il si prompt, que ces astres vainqueurs. v.1338 (Acte 4, scène 6, ACHILLE)
- Est aujourd'hui vaincu d'un seul de vos regards. v.1343 (Acte 4, scène 6, ACHILLE)
- Est joindre la misère à la misère même : v.1345 (Acte 4, scène 6, IPHIGÉNIE)
- La frayeur de la mort nous est un mauvais fard. v.1355 (Acte 4, scène 6, IPHIG?NIE)
- C'est un hydre effroyable. v.1365 (Acte 4, scène 6, IPHIGÉNIE)
- Achille est un Alcide. v.1365 (Acte 4, scène 6, CLYTEMNESTRE)
- Qu'est-ce contre les Dieux que la force des hommes : v.1373 (Acte 4, scène 6, IPHIGÉNIE)
- C'est un arbre sans fruit que ce zèle indiscret, v.1374 (Acte 4, scène 6, IPHIG?NIE)
- Et qu'au pieux destin d'empêcher mon trépas, v.1378 (Acte 4, scène 6, IPHIG?NIE)
- Mourir n'est plus mourir, c'est tirer de peine v.1389 (Acte 4, scène 6, IPHIG?NIE)
- Partout l'ancre est levée, et le timon est prêt v.1394 (Acte 4, scène 6, IPHIG?NIE)
- N'est-ce pas lâcheté que de n'y courir pas ? v.1399 (Acte 4, scène 6, IPHIG?NIE)
- Le Prince est tout aux siens, comme tout est au Prince : v.1400 (Acte 4, scène 6, IPHIG?NIE)
- Si vos soins, si vos voeux, si votre sang est sien, v.1402 (Acte 4, scène 6, IPHIG?NIE)
- Ce n'est pas trop payer un renom immortel : v.1415 (Acte 4, scène 6, IPHIG?NIE)
- C'est un homme bien fort qu'Achille intéressé. v.1435 (Acte 4, scène 6, ACHILLE)
- Mais il m'est interdit, et je suis destinée v.1440 (Acte 4, scène 6, IPHIGÉNIE)
- Et certes je l'estime autant que je vous plains : v.1455 (Acte 4, scène 6, ACHILLE)
- Mais craignant que l'horreur du funeste appareil, v.1458 (Acte 4, scène 6, ACHILLE)
- Tout l'appareil est prêt, je vous y vais attendre. v.1464 (Acte 4, scène 6, ACHILLE)
- Et sa mort est un fruit de sa virginité. v.1474 (Acte 5, scène 1, CALCHAS)
- Il est vrai que d'abord en ce funeste arrêt v.1481 (Acte 5, scène 1, MÉNELAS)
- Ce vous est en effet une sensible atteinte, v.1491 (Acte 5, scène 1, M?NELAS)
- N'est-il pas à la terre un tribut glorieux, v.1522 (Acte 5, scène 1, CALCHAS)
- C'est lui qui sur vos fronts a mis votre couronne, v.1527 (Acte 5, scène 1, CALCHAS)
- Vos sujets, vos enfants, c'est lui qui vous les donne, v.1528 (Acte 5, scène 1, CALCHAS)
- C'est son moindre défaut que cette qualité ; v.1546 (Acte 5, scène 1, AGAMEMNON)
- Ce n'est pas désirer que sa mort se retarde, v.1547 (Acte 5, scène 1, AGAMEMNON)
- Ou plutôt en ses mains elle est fort sûrement, v.1549 (Acte 5, scène 1, AGAMEMNON)
- C'est un lâche devoir que l'honneur vous défend. v.1553 (Acte 5, scène 1, CALCHAS)
- Le zèle défaillant, l'ouvrage est sans mérite. v.1559 (Acte 5, scène 1, CALCHAS)
- Si le zèle est petit, l'oeuvre n'est pas petite, v.1560 (Acte 5, scène 1, AGAMEMNON)
- N'est tenu qu'à porter, et ne sent pas les coups ; v.1562 (Acte 5, scène 1, AGAMEMNON)
- Le Ciel sait mieux que vous combien il est contraire, v.1563 (Acte 5, scène 1, AGAMEMNON)
- Vous lui volez le temps que je reste en ces lieux, v.1573 (Acte 5, scène 2, IPHIGÉNIE)
- C'est à tort en effet que nous vous y tenons, v.1577 (Acte 5, scène 2, CLYTEMNESTRE)
- Il est vain de retarder mes pas. v.1581 (Acte 5, scène 2, IPHIGÉNIE)
- Mais c'est beaucoup au moins de ne point démentir v.1597 (Acte 5, scène 2, IPHIGÉNIE)
- J'embrasse ce parti, tout funeste qu'il est, v.1605 (Acte 5, scène 2, IPHIG?NIE)
- Mourir pour son pays, est payer une dette : v.1608 (Acte 5, scène 2, IPHIG?NIE)
- Va contre cet assaut, ma constance est sans armes, v.1619 (Acte 5, scène 2, AGAMEMNON)
- Il est très résolu quelque sort qui me suive, v.1643 (Acte 5, scène 3, ACHILLE)
- C'est assez bien payer, que de payer d'Achille. v.1648 (Acte 5, scène 3, ACHILLE)
- Ma mort est entre vous un coup à disputer : v.1650 (Acte 5, scène 3, ACHILLE)
- C'est peu que la clarté par lui me soit ravie, v.1663 (Acte 5, scène 3, IPHIGÉNIE)
- L'honneur que vous m'ôtez m'est bien plus que la vie : v.1664 (Acte 5, scène 3, IPHIG?NIE)
- Est-ce que vous voulez, avoir seul l'avantage v.1671 (Acte 5, scène 3, IPHIG?NIE)
- C'est qu'en vain je combats l'amour qui me possède, v.1675 (Acte 5, scène 3, ACHILLE)
- Il est vrai que tandis que j'ai pu le souffrir, v.1677 (Acte 5, scène 3, ACHILLE)
- Ce n'est plus la pitié, c'est l'amour qui me presse ; v.1688 (Acte 5, scène 3, ACHILLE)
- Ce sexe seul est mâle en cette occasion. v.1706 (Acte 5, scène 3, ULYSSE)
- Est de faire l'amour quand la guerre s'allume ; v.1708 (Acte 5, scène 3, ULYSSE)
- Est sitôt engagé dedans ses intérêts. v.1714 (Acte 5, scène 3, ULYSSE)
- Certes, c'est mal venger l'enlèvement d'Hélène, v.1715 (Acte 5, scène 3, ULYSSE)
- Et c'est traiter celui qui lui ravit l'honneur, v.1717 (Acte 5, scène 3, ULYSSE)
- C'est Achille, il est vrai, mais nu, mais désarmé. v.1726 (Acte 5, scène 3, ULYSSE)
- Tout désarmé qu'il est, Achille sans défense v.1727 (Acte 5, scène 3, ACHILLE)
- Mais mon style n'est pas d'en faire vanité, v.1733 (Acte 5, scène 3, ULYSSE)
- Diane qui des Grecs est le visible appui, v.1741 (Acte 5, scène 3, ULYSSE)
- À votre regard donc toute la terre est sainte. v.1760 (Acte 5, scène 3, ACHILLE)
- Achille est toujours vain, et toujours violent. v.1761 (Acte 5, scène 3, ULYSSE)
- S'agissant de se battre, Ulysse est toujours lent. v.1762 (Acte 5, scène 3, ACHILLE)
- Et qui ne doit céder ou le Ciel est rival ? v.1802 (Acte 5, scène 3, IPHIGÉNIE)
- Qui se rend de bonne heure où la défense est vaine, v.1803 (Acte 5, scène 3, IPHIG?NIE)
- C'est le dernier devoir que j'exige de vous, v.1825 (Acte 5, scène 3, IPHIG?NIE)
- Et si ce n'est assez, je l'implore à genoux. v.1826 (Acte 5, scène 3, IPHIG?NIE)
- De vos soins ce renom est le moins important, v.1829 (Acte 5, scène 3, ACHILLE)
- Ma mort est le seul fruit que la vôre prétend : v.1830 (Acte 5, scène 3, ACHILLE)
- Ce trône est-il celui pour qui je t'élevais. v.1842 (Acte 5, scène 3, CLYTEMNESTRE)
- Si d'une illusion mon oeil n'est ébloui, v.1858 (Acte 5, scène 3, AGAMEMNON)
- Cette chaste victime a ces lieux est ravie. v.1860 (Acte 5, scène 3, AGAMEMNON)
- Quel est cet accident, m'abusez vous mes yeux. v.1861 (Acte 5, scène 3, CALCAS)
- Quelle est cette aventure à nulle autre pareille, v.1863 (Acte 5, scène 3, ACHILLE)
- Le sort disposera du reste de ma vie : v.1895 (Acte 5, scène 3, ACHILLE)
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HERCULE MOURANT (1636)
- Que le foudre en tes mains n'est plus qu'un vain fardeau. v.8 (Acte 1, scène 1, HERCULE)
- Des objets de ton bras le mien est l'homicide, v.9 (Acte 1, scène 1, HERCULE)
- M'est encor interdit après tous ces exploits. v.12 (Acte 1, scène 1, HERCULE)
- L'impuissante qu'elle est n'en peut borner le cours v.24 (Acte 1, scène 1, HERCULE)
- Enfin Iole est votre, et ses caresses prêtes v.61 (Acte 1, scène 2, DÉJANIRE)
- Le servage est pour elle une heureuse victoire, v.65 (Acte 1, scène 2, D?JANIRE)
- Un fort ne se rend point qui n'est point combattu. v.80 (Acte 1, scène 2, HERCULE)
- Quel timide respect à votre amour est joint ! v.87 (Acte 1, scène 2, DÉJANIRE)
- Ce qui vous plaît est juste et vous ne faillez point. v.88 (Acte 1, scène 2, D?JANIRE)
- Pour un objet mortel, c'est trop qu'un demi-dieu ; v.100 (Acte 1, scène 2, D?JANIRE)
- C'est trop que jusqu'à nous Hercule se ravale ; v.101 (Acte 1, scène 2, D?JANIRE)
- Hercule divisé m'est encore trop cher. v.104 (Acte 1, scène 2, D?JANIRE)
- Qui te fut préférable au reste des humains, v.127 (Acte 1, scène 2, DÉJANIRE)
- Mais son espoir est vain, et le cours de cet âge v.137 (Acte 1, scène 2, D?JANIRE)
- Si ma force n'est vaine en cette occasion, v.139 (Acte 1, scène 2, D?JANIRE)
- Et ma jalouse humeur t'est un monstre plus fort v.143 (Acte 1, scène 2, D?JANIRE)
- Ton aiguille à mes doigts est un faix bien léger ; v.152 (Acte 1, scène 3, HERCULE)
- Ou, si ce passe-temps, mon coeur, t'est importun, v.155 (Acte 1, scène 3, HERCULE)
- Iole a fait le meurtre, et son malheur est tel v.171 (Acte 1, scène 3, HERCULE)
- Quoi ! Possédant Hercule, Iole est malheureuse ! v.182 (Acte 1, scène 3, HERCULE)
- Et crois que me déplaire est le pire péché v.203 (Acte 1, scène 3, HERCULE)
- Et, s'il ne s'aime pas, il est maître de soi. v.220 (Acte 1, scène 3, IOLE)
- L'amour est avec vous, et cet enfant honteux v.247 (Acte 1, scène 1, DÉJANIRE)
- Il est vrai, mais au moins vois devant ta sortie v.249 (Acte 1, scène 1, HERCULE)
- Et si la continence ici n'est pas honteuse, v.258 (Acte 1, scène 1, HERCULE)
- Madame est plus charmante encor que vos discours. v.260 (Acte 1, scène 1, DÉJANIRE)
- Hercule est glorieux de sa captivité, v.267 (Acte 1, scène 1, HERCULE)
- Arcas te le ravit, Arcas en est vainqueur, v.288 (Acte 1, scène 1, HERCULE)
- Alors qu'on aime bien, est une extrême rage ! v.298 (Acte 2, scène 1, LUCINDE)
- Par son geste confus figurant son tourment, v.307 (Acte 2, scène 1, LUCINDE)
- La maison est étroite et ne lui suffit pas. v.312 (Acte 2, scène 1, LUCINDE)
- Mais on ouvre ; c'est elle, ô dieux ! De quelle sorte v.321 (Acte 2, scène 1, LUCINDE)
- Ton intérêt est joint à ma juste prière. v.326 (Acte 2, scène 2, DÉJANIRE)
- S'il est quelque serpent, horrible, épouvantable, v.329 (Acte 2, scène 2, D?JANIRE)
- Ou, s'il n'est point de monstre assez fort pour ta haine, v.333 (Acte 2, scène 2, D?JANIRE)
- C'est trop délibérer, imagine une peine v.377 (Acte 2, scène 2, DÉJANIRE)
- D'une telle fureur votre esprit est capable ? v.382 (Acte 2, scène 2, LUCINDE)
- Si mon forfait est grand, mon mal est infini. v.388 (Acte 2, scène 2, DÉJANIRE)
- À ses plus douces nuits Iole est destinée, v.413 (Acte 2, scène 2, DÉJANIRE)
- Écoute ; mais c'est en cette action v.435 (Acte 2, scène 2, DÉJANIRE)
- Là ce monstre commence à bénir son destin : v.455 (Acte 2, scène 2, DÉJANIRE)
- S'il est jamais blessé d'autres que de tes yeux. v.476 (Acte 2, scène 2, D?JANIRE)
- J'ai gardé ce présent, éprouvons s'il est tel, v.483 (Acte 2, scène 2, D?JANIRE)
- N'est plus qu'une eau rougeâtre et qui n'y peut paraître. v.486 (Acte 2, scène 2, D?JANIRE)
- Votre intérêt, Madame, est mon dernier recours. v.492 (Acte 2, scène 3, IOLE)
- Qu'on est venu tirer de sa natale rive v.494 (Acte 2, scène 3, IOLE)
- Il te faut Jupin même, et c'est trop peu d'Hercule ! v.514 (Acte 2, scène 3, DÉJANIRE)
- L'honneur de voir ton sort à son destin uni ? v.520 (Acte 2, scène 3, DÉJANIRE)
- Il souffre des refus, et sa flamme est oisive ? v.522 (Acte 2, scène 3, D?JANIRE)
- Ton visage qu'il prise est horrible à mes yeux, v.531 (Acte 2, scène 3, D?JANIRE)
- Nous trouvons ton abord différemment funeste ; v.533 (Acte 2, scène 3, D?JANIRE)
- Lui comme un doux poison et moi comme une peste. v.534 (Acte 2, scène 3, D?JANIRE)
- Ô ciel ! Ô terre ! Ô dieux ! quelle est mon infortune v.537 (Acte 2, scène 3, IOLE)
- Et le crime qu'il fait, c'est que je n'en fais pas. v.556 (Acte 2, scène 3, IOLE)
- Arcas, roi de mes voeux et de mes destinées, v.557 (Acte 2, scène 3, IOLE)
- Comme dans ces prisons son teint s'est alteré ! v.564 (Acte 2, scène 3, ARSIDÉS)
- Est-ce vous, mon soleil ? Quelle heureuse nouvelle v.565 (Acte 2, scène 1, ARCAS)
- C'est prolonger ma mort que de la différer, v.572 (Acte 2, scène 1, ARCAS)
- Une belle injustice établit son estime ; v.578 (Acte 2, scène 1, ARCAS)
- Non parce qu'il fait bien, mais parce qu'il est fort. v.580 (Acte 2, scène 1, ARCAS)
- C'est ne me perdre pas, que me sauver d'Alcide, v.585 (Acte 2, scène 1, ARCAS)
- Et c'est m'aimer beaucoup, qu'être mon homicide. v.586 (Acte 2, scène 1, ARCAS)
- Ô quel est mon bonheur ! Qu'en cette extrémité v.595 (Acte 2, scène 1, ARCAS)
- Où comme en tout le monde Hercule est révéré, v.615 (Acte 3, scène 1, HERCULE)
- Où même des vaincus mon nom est adoré, v.616 (Acte 3, scène 1, HERCULE)
- Toi, ceints de ce rameau ton front majestueux, v.623 (Acte 3, scène 1, HERCULE)
- Quel est cet accident ? v.659 (Acte 3, scène 1, PHILOCTÈTE)
- Toi, funeste porteur v.659 (Acte 3, scène 1, HERCULE)
- Mais lui-même est coupable, et sa déloyauté v.671 (Acte 3, scène 1, PHILOCTÈTE)
- La jalousie est pire en un jeune courage v.673 (Acte 3, scène 1, PHILOCT?TE)
- Que monstres, que serpents, que pestes et que rage, v.674 (Acte 3, scène 1, PHILOCT?TE)
- La terre en cet effort est ferme sous mes pas ! v.683 (Acte 3, scène 2, HERCULE)
- Et ce brasier est tel, dont je me sens atteint, v.707 (Acte 3, scène 2, HERCULE)
- Et ce n'est pas un fer qui me prive du jour ! v.716 (Acte 3, scène 2, HERCULE)
- Et ce n'est pas un mont qui m'écrase le corps. v.720 (Acte 3, scène 2, HERCULE)
- N'est pas sous Pelion, sous Olympe ou sous Osse, v.722 (Acte 3, scène 2, HERCULE)
- Ô Ciel ! Ô dieux cruels ! Ô sévère destin ! v.727 (Acte 3, scène 2, HERCULE)
- La haine de Junon devait m'être funeste ; v.733 (Acte 3, scène 2, HERCULE)
- C'est une femme aussi, mais son être est céleste. v.734 (Acte 3, scène 2, HERCULE)
- Et voir d'un oeil content finir ma destinée ? v.738 (Acte 3, scène 2, HERCULE)
- Sa haine a son effet, la tienne est impuissante. v.742 (Acte 3, scène 2, HERCULE)
- Il vous reste à dompter le dernier élément ; v.748 (Acte 3, scène 2, AGIS)
- Que n'ont tant de géants accourci mon destin ? v.755 (Acte 3, scène 2, HERCULE)
- Elle est pire que l'Hydre et pire que Cerbère ? v.762 (Acte 3, scène 2, HERCULE)
- Ha ! C'est trop consulter, cours, malheureux Alcide, v.765 (Acte 3, scène 2, HERCULE)
- Chaque instant m'est un jour, tout objet m'est hideux. v.772 (Acte 3, scène 3, DÉJANIRE)
- Quand le Ciel une fois attaque un grand destin, v.779 (Acte 3, scène 3, D?JANIRE)
- Après cet accident vous restez en ces lieux ? v.800 (Acte 3, scène 4, AGIS)
- Courez, c'est le chemin que vous devez tenir. v.804 (Acte 3, scène 4, AGIS)
- Le destin des mortels avait mis sur la terre... v.810 (Acte 3, scène 4, AGIS)
- Comment ! Hercule est mort ? v.811 (Acte 3, scène 4, DÉJANIRE)
- Il meurt par un poison dont la vertu funeste v.813 (Acte 3, scène 4, AGIS)
- Aura bientôt éteint la vigueur qui lui reste. v.814 (Acte 3, scène 4, AGIS)
- Dont une telle perte est l'effet malheureux. v.816 (Acte 3, scène 4, AGIS)
- Il pleure, il tonne, il peste, et ses cris furieux v.823 (Acte 3, scène 4, AGIS)
- Ou celui qui causa le funeste accident, v.843 (Acte 3, scène 4, DÉJANIRE)
- Au chemin de la mort est timide, et recule, v.846 (Acte 3, scène 4, D?JANIRE)
- Non, non, si sous le fer ce bras est engourdi, v.851 (Acte 3, scène 4, D?JANIRE)
- Si pour fendre ce flanc il n'est assez hardi, v.852 (Acte 3, scène 4, D?JANIRE)
- Qu'en un endroit du roc ma main reste pendue, v.857 (Acte 3, scène 4, D?JANIRE)
- Une mort est trop douce, il la faut prolonger, v.859 (Acte 3, scène 4, D?JANIRE)
- Et mourir d'un seul coup, c'est trop peu le venger. v.860 (Acte 3, scène 4, D?JANIRE)
- Hylus l'ayant perdu, qu'il lui reste une mère, v.865 (Acte 3, scène 4, LUCINDE)
- Quoi ! Voulez-vous traîner en ce malheur funeste v.877 (Acte 3, scène 4, LUCINDE)
- Toute votre famille, et tout ce qui vous reste ? v.878 (Acte 3, scène 4, LUCINDE)
- La plus pure innocence est encor trop coupable ; v.882 (Acte 3, scène 4, DÉJANIRE)
- Au lieu que ton esprit est touché de mon mal, v.883 (Acte 3, scène 4, D?JANIRE)
- Et de cet accident mon bras seul est auteur. v.892 (Acte 3, scène 4, D?JANIRE)
- D'affreuses légions la campagne est couverte, v.894 (Acte 3, scène 4, D?JANIRE)
- Il est prêt à sortir, piquez, percez ce flanc. v.900 (Acte 3, scène 4, D?JANIRE)
- Pardon, mon crime, ô Ciel ! N'est qu'un crime d'amour : v.904 (Acte 3, scène 4, D?JANIRE)
- Mais, que dis-je ? Ma mort est encor incertaine, v.905 (Acte 3, scène 4, D?JANIRE)
- La main qui tue Hercule est assez généreuse, v.909 (Acte 3, scène 4, D?JANIRE)
- Elle cherche où finir sa triste destinée. v.914 (Acte 3, scène 4, LUCINDE)
- Mais elle est déjà loin, courons, suivons ses pas. v.916 (Acte 3, scène 4, LUCINDE)
- Voir en ce triste corps ce qui reste d'Alcide, v.930 (Acte 4, scène 1, HERCULE)
- D'où me naît cette peste, et quel est ce poison ? v.932 (Acte 4, scène 1, HERCULE)
- Ou c'est du sang mortel qui de l'hydre jaillit, v.935 (Acte 4, scène 1, HERCULE)
- De mes nerfs les plus forts cette peste dispose, v.937 (Acte 4, scène 1, HERCULE)
- Et ce qui fut Alcide est un bûcher ardent. v.940 (Acte 4, scène 1, HERCULE)
- Que ne m'est ce poison également funeste ! v.941 (Acte 4, scène 1, PHILOCTÈTE)
- Que ne puis-je avec vous partager cette peste ! v.942 (Acte 4, scène 1, PHILOCT?TE)
- Est-ce donc là ce bras dont les faits sont si rares ? v.945 (Acte 4, scène 1, HERCULE)
- Et ceux qui m'adoraient m'estimeront enfin v.955 (Acte 4, scène 1, HERCULE)
- Ou, s'il t'est trop amer de foudroyer ton fils v.995 (Acte 4, scène 1, HERCULE)
- Voyez où m'a réduit cet accident funeste, v.1005 (Acte 4, scène 2, HERCULE)
- Voyez de votre fils le déplorable reste, v.1006 (Acte 4, scène 2, HERCULE)
- Est-ce que vous feignez d'ignorer ma naissance, v.1009 (Acte 4, scène 2, HERCULE)
- Ô détestable femme ! Ô lâche trahison ! v.1019 (Acte 4, scène 2, ALCMÈNE)
- Quoi ! Le monde et l'Enfer, tout est sourd à mes cris ! v.1035 (Acte 4, scène 2, HERCULE)
- Son sein est travaillé d'un cruel battement, v.1047 (Acte 4, scène 2, ALCMÈNE)
- Et si plaisant aux yeux Hercule est-il venu ? v.1060 (Acte 4, scène 2, HERCULE)
- Ce corps, est épuisé de sang et de moelle, v.1082 (Acte 4, scène 2, HERCULE)
- Crédule Déjanire, et Nesse détestable ! v.1098 (Acte 4, scène 3, AGIS)
- Dis-moi de quelle sorte elle se l'est ravie, v.1106 (Acte 4, scène 3, ALCMÈNE)
- Elle s'est retirée aux vallons d'alentour, v.1119 (Acte 4, scène 3, AGIS)
- Ses yeux se sont troublés et son teint est pâli. v.1128 (Acte 4, scène 3, AGIS)
- Ainsi par le pouvoir d'un aveugle destin, v.1139 (Acte 4, scène 3, ALCMÈNE)
- Que déjà de son coeur mon sein n'est le tombeau ? v.1151 (Acte 4, scène 4, HERCULE)
- Et ce linge par elle imbu de cette peste v.1161 (Acte 4, scène 4, ALCMÈNE)
- Fait d'un dessein d'amour, un accident funeste. v.1162 (Acte 4, scène 4, ALCM?NE)
- Ce que vous m'apprenez explique mon destin. v.1164 (Acte 4, scène 4, HERCULE)
- Telle est mon aventure et la loi de mon sort, v.1171 (Acte 4, scène 4, HERCULE)
- Il reste de choisir une fin mémorable v.1173 (Acte 4, scène 4, HERCULE)
- Sus, pour aider le feu dont ce sein est pressé, v.1175 (Acte 4, scène 4, HERCULE)
- Que celui du soleil n'est dessus l'orient. v.1200 (Acte 5, scène 1, PHILOCTÈTE)
- Là de ses propres mains la flamme est allumée, v.1237 (Acte 5, scène 1, PHILOCTÈTE)
- Vous plaignez mon destin quand mon père m'attend, v.1243 (Acte 5, scène 1, PHILOCT?TE)
- C'est là que la constance eut d'inutiles armes, v.1249 (Acte 5, scène 1, PHILOCT?TE)
- C'est là qu'il soupira, son oeil versa des larmes, v.1250 (Acte 5, scène 1, PHILOCT?TE)
- Accompli, seulement l'arrêt qui t'est prescrit, v.1259 (Acte 5, scène 1, PHILOCT?TE)
- Mais elle vient ici, vois qu'elle est affligée, v.1277 (Acte 5, scène 1, PHILOCTÈTE)
- Que son geste est confus, et comme elle est changée ! v.1278 (Acte 5, scène 1, PHILOCT?TE)
- En ce vase chétif tout Hercule est enclos, v.1283 (Acte 5, scène 2, ALCMÈNE)
- Et vous, fatales soeurs, reines des destinées, v.1357 (Acte 5, scène 2, ALCMÈNE)
- Que fait Alcmène ici quand Alcide n'est plus ? v.1360 (Acte 5, scène 2, ALCM?NE)
- Quel aveugle destin en exempte la mère ? v.1362 (Acte 5, scène 2, ALCM?NE)
- Madame, tout est sourd en ce fatal empire, v.1369 (Acte 5, scène 2, LUCINDE)
- Elle épargne ses coups, toute avare qu'elle est ; v.1371 (Acte 5, scène 2, LUCINDE)
- Donc son affection ne m'est pas légitime, v.1377 (Acte 5, scène 3, IOLE)
- Je nuis à qui je plais et m'aimer est un crime. v.1378 (Acte 5, scène 3, IOLE)
- Donc, pour ce qu'il m'est cher, je creuse son tombeau v.1379 (Acte 5, scène 3, IOLE)
- C'est moi qu'Alcide veut, et c'est moi qui lui plais. v.1392 (Acte 5, scène 3, IOLE)
- De leurs coeurs inhumains toute crainte est bannie ; v.1401 (Acte 5, scène 3, ARCAS)
- Que votre affection est lente en cet office ! v.1406 (Acte 5, scène 3, ALCMÈNE)
- Tu frapperas Arcas, puisqu'il est dans mon coeur. v.1412 (Acte 5, scène 3, IOLE)
- La vertu ne peut rien où le vice est puissant. v.1423 (Acte 5, scène 3, ARCAS)
- C'est moi qui t'ôte l'âme et qui t'ouvre le sein. v.1428 (Acte 5, scène 3, IOLE)
- C'est d'égale rigueur nous nuire et nous poursuivre, v.1441 (Acte 5, scène 3, IOLE)
- C'est lui même. v.1450 (Acte 5, scène 3, ALCMÈNE)
- Admis dans le céleste rang ; v.1451 (Acte 5, scène 4, HERCULE)
- Ô céleste aventure ! Ô glorieux héros ! v.1475 (Acte 5, scène 4, IOLE)
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COSROËS (1649)
- Je vous honore en Reine, et l'estime en parent. v.4 (Acte 1, scène 1, SYROES)
- Et votre Majesté, parlant sans passion, v.19 (Acte 1, scène 1, SYROES)
- Mon père est Cosroës, ma mère fut Princesse, v.21 (Acte 1, scène 1, SYROES)
- Et cet honneur, sans doute, est le plus glorieux, v.35 (Acte 1, scène 1, SYROES)
- Il sait, qu'il est au Ciel, un Maître souverain, v.63 (Acte 1, scène 1, SYROES)
- Et dont le foudre est fait, pour ce genre de crimes, v.65 (Acte 1, scène 1, SYROES)
- C'est bien vous déclarer, et nous jurer la guerre, v.69 (Acte 1, scène 1, SYRA)
- Une si détestable, et noire calomnie. v.83 (Acte 1, scène 2, SYROES)
- Et son ambition, si son crédit n'est vain, v.92 (Acte 1, scène 2, SYROES)
- Et j'estime trop peu, l'éclat d'une Couronne, v.114 (Acte 1, scène 2, MARDESANE)
- Ce n'est qu'un joug pompeux, le repos m'est plus doux ; v.116 (Acte 1, scène 2, MARDESANE)
- C'est votre sentiment, et ce n'est pas le mien ; v.129 (Acte 1, scène 2, MARDESANE)
- Et pour bien établir l'heur qu'elle vous destine, v.150 (Acte 1, scène 2, SYROES)
- Il est bien mal aisé, de vous dissuader ! v.156 (Acte 1, scène 2, MARDESANE)
- C'est mal me la céder, v.160 (Acte 1, scène 3, PALMYRAS)
- Le courroux d'une femme est longtemps à dormir, v.164 (Acte 1, scène 3, PALMYRAS)
- Son hymen, dont j'osai, contester le dessein, v.168 (Acte 1, scène 3, PALMYRAS)
- Et quand elle peut tout, quand elle est souveraine, v.170 (Acte 1, scène 3, PALMYRAS)
- Ce trait est un avis, Prince, qui parle à vous, v.172 (Acte 1, scène 3, PALMYRAS)
- C'est un exemple illustre, aux siècles à venir, v.192 (Acte 1, scène 3, SYROES)
- Mon crime, est seulement, l'orgueil d'une marâtre, v.194 (Acte 1, scène 3, SYROES)
- Dont un fils est l'idole, un père l'idolâtre ; v.195 (Acte 1, scène 3, SYROES)
- Célestes protecteurs, des puissances suprêmes, v.198 (Acte 1, scène 3, SYROES)
- Le Ciel est inutile, à qui ne s'aide pas ; v.205 (Acte 1, scène 3, PALMYRAS)
- Déteste, de le voir, si près de son couchant, v.232 (Acte 1, scène 3, PALMYRAS)
- Laisser ravir un trône , est une lâcheté, v.259 (Acte 1, scène 3, SYROES)
- Mais en chasser un père, est une impiété ; v.260 (Acte 1, scène 3, SYROES)
- Par son exemple, hélas ! M'est-elle plus permise ! v.262 (Acte 1, scène 3, SYROES)
- Mais, c'est mon père, enfin ! v.268 (Acte 1, scène 3, SYROES)
- Qui n'a point épargné, le sang dont il est né, v.271 (Acte 1, scène 3, PALMYRAS)
- Ô dure destinée, et fatale aventure, v.273 (Acte 1, scène 3, SYROES)
- C'est un bruit, toutefois, Seigneur, qui vous menace ; v.302 (Acte 1, scène 4, PHARNACE)
- Il faut pour conserver, la majesté des lois, v.327 (Acte 1, scène 4, SYROES)
- C'est sous ce mâle front, Seigneur, qu'il faut paraître, v.341 (Acte 1, scène 4, PALMYRAS)
- Ce n'est qu'en m'épargnant, que la mort m'est cruelle, v.357 (Acte 2, scène 1, COSROES)
- C'est une illusion, dont ils sont effrayés, v.363 (Acte 2, scène 1, SYRA)
- Ô dangereux poison, peste des grandes âmes, v.377 (Acte 2, scène 1, COSROES)
- Nourrirez-vous toujours, ce remords qui vous reste ; v.393 (Acte 2, scène 1, SYRA)
- Si vous ne l'étouffez, il vous sera funeste ; v.394 (Acte 2, scène 1, SYRA)
- L'avoir gardé vingt ans, est trop vous en punir. v.396 (Acte 2, scène 1, SYRA)
- M'est un témoin public, de la mort d'Hormisdas ; v.400 (Acte 2, scène 1, COSROES)
- C'est un faix qu'il me faut déposer avec vous, v.415 (Acte 2, scène 1, SYRA)
- Cosroës m'est plus cher, qu'un Monarque de Perse ; v.418 (Acte 2, scène 1, SYRA)
- Aussi depuis longtemps, le faix, ne m'en est doux, v.431 (Acte 2, scène 1, COSROES)
- D'un énorme forfait, n'est qu'une marque illustre. v.438 (Acte 2, scène 1, COSROES)
- J'en ai joui sans droit, la garde en est un crime ; v.446 (Acte 2, scène 1, COSROES)
- L'intérêt de l'aîné, (vous vivant) est couvert, v.471 (Acte 2, scène 1, SYRA)
- Je connais sa vertu, c'est mon sang, c'est le vôtre, v.502 (Acte 2, scène 1, SYRA)
- Et que j'ose pleiger, du reste de mon sang. v.504 (Acte 2, scène 1, SYRA)
- Par l'âge qui me reste, et qu'il éclairera, v.507 (Acte 2, scène 1, COSROES)
- Et ce projet, Madame, est d'assez d'importance, v.517 (Acte 2, scène 1, SARDARIGUE)
- Un exemple en tous cas, à l'un des chefs funeste, v.533 (Acte 2, scène 1, SYRA)
- En ces soulèvements, désarme tout le reste. v.534 (Acte 2, scène 1, SYRA)
- Funeste ambition, cache-moi tes amorces ! v.538 (Acte 2, scène 2, MARDESANE)
- Et qui bientôt m'appelle, au tribunal céleste ; v.541 (Acte 2, scène 2, COSROES)
- Souffrent qu'à mon Empire, après ma mort je reste ; v.542 (Acte 2, scène 2, COSROES)
- Malgré l'effort du temps, et de mes destinées, v.545 (Acte 2, scène 2, COSROES)
- Et c'est vous, Mardesane, en qui je veux renaître ; v.550 (Acte 2, scène 2, COSROES)
- C'est un prix que je dois, à l'amour de Syra ; v.552 (Acte 2, scène 2, COSROES)
- Et destiner mes soins, qu'au soutien de votre âge ? v.562 (Acte 2, scène 2, MARDESANE)
- La loi, qu'impose un père, est la première loi. v.572 (Acte 2, scène 2, COSROES)
- L'importance, est de voir, quel chemin nous y mène ; v.586 (Acte 2, scène 2, MARDESANE)
- De cette vérité, sa preuve est assez ample ; v.590 (Acte 2, scène 2, MARDESANE)
- Et l'État est le temple, et le trône l'autel, v.627 (Acte 2, scène 2, MARDESANE)
- C'est un de vos présents, je ne puis le haïr ; v.639 (Acte 2, scène 2, MARDESANE)
- J'éprouve, et j'apprends trop, combien vous l'estimez, v.647 (Acte 2, scène 3, SYROES)
- Le souvenir m'en reste, au plus profond de l'âme. v.658 (Acte 2, scène 3, MARDESANE)
- Ce reproche est fréquent, et nous l'apprend assez ; v.659 (Acte 2, scène 3, SYRA)
- Et vous me mettriez bien, dans l'estime du Roi, v.664 (Acte 2, scène 3, SYROES)
- Prince, c'est de ma part. v.675 (Acte 2, scène 3, COSROES)
- Et c'est elle qui parle, en tout ce qu'il prescrit. v.679 (Acte 2, scène 4, SYROES)
- Mon ordre, est que je vous arrête ; v.681 (Acte 2, scène 4, SARDARIGUE)
- Il est temps de paraître, et temps de voir vos lois, v.687 (Acte 2, scène 4, SARDARIGUE)
- Dispenser les destins, des peuples, et des Rois ; v.688 (Acte 2, scène 4, SARDARIGUE)
- Il est temps, d'arracher, des mains d'une marâtre, v.693 (Acte 2, scène 4, SARDARIGUE)
- Il n'est plus de respect, qui doive retenir, v.695 (Acte 2, scène 4, SARDARIGUE)
- Tout le Peuple est pour vous, tout le Camp vous convie ; v.698 (Acte 2, scène 4, SARDARIGUE)
- Et pour vous tout l'État, n'est qu'une seule brigue. v.701 (Acte 2, scène 4, SARDARIGUE)
- N'a pu par son crédit, m'en contester le choix ; v.712 (Acte 3, scène 1, SYRA)
- Règne, et fait, aujourd'hui, le destin de la Perse. v.718 (Acte 3, scène 1, SYRA)
- C'est ce que ma raison, ne peut s'imaginer. v.732 (Acte 3, scène 1, HORMISDATE)
- Le sort est inconstant, et le peuple est trompeur. v.739 (Acte 3, scène 1, HORMISDATE)
- Si mon repos t'est cher, et si de mes bienfaits, v.743 (Acte 3, scène 1, SYRA)
- D'un glorieux destin, fais-toi le fondement. v.748 (Acte 3, scène 1, SYRA)
- Si la mienne, Madame, est de quelque mérite, v.750 (Acte 3, scène 1, HORMISDATE)
- Madame, il est tout vôtre, et peut tout pour vous plaire ; v.754 (Acte 3, scène 1, HORMISDATE)
- Qui le sacrifiera, pour votre Majesté. v.756 (Acte 3, scène 1, HORMISDATE)
- Madame, au seul penser, d'un destin si funeste, v.765 (Acte 3, scène 1, HORMISDATE)
- Je crois voir dessus moi, choir le courroux céleste ! v.766 (Acte 3, scène 1, HORMISDATE)
- C'est aux sujets, enfin, d'obéir, et se taire. v.774 (Acte 3, scène 1, HORMISDATE)
- Tant de précaution, aux grands projets est vaine ; v.785 (Acte 3, scène 1, SYRA)
- Votre ordre, Sardarigue, est-il exécuté ? v.788 (Acte 3, scène 1, SYRA)
- Quelle audace est la vôtre ! v.790 (Acte 3, scène 2, SYRA)
- Qui donc ? est-ce mon fils, traître, qui te l'ordonne ! v.794 (Acte 3, scène 2, SYRA)
- Syroës est mon Roi, Syroës est mon maître, v.797 (Acte 3, scène 2, SARDARIGUE)
- Flatteurs, faibles amis, vile peste des Cours, v.807 (Acte 3, scène 2, SYRA)
- Ma plainte est inutile, et mes cris superflus ? v.815 (Acte 3, scène 2, SYRA)
- Pour laisser outrager, la majesté des lois. v.820 (Acte 3, scène 2, SYRA)
- C'est en son équité, que Syroës espère. v.821 (Acte 3, scène 2, SARDARIGUE)
- Un reste de respect, défend la violence ; v.830 (Acte 3, scène 2, SARDARIGUE)
- Il n'est pas merveilleux, qu'un sujet infidèle, v.833 (Acte 3, scène 2, SYRA)
- Quand par un détestable, et perfide attentat, v.835 (Acte 3, scène 2, SYRA)
- N'est pas l'effort, d'un homme, et l'ouvrage d'un jour. v.844 (Acte 3, scène 2, SYRA)
- Si le sort peut changer, comme il est inconstant ! v.848 (Acte 3, scène 2, SYRA)
- Trêve d'orgueil, Princesse, il n'est plus de saison ; v.860 (Acte 3, scène 3, SYROES)
- La grandeur qui n'est plus, n'est plus considérée ; v.861 (Acte 3, scène 3, SYROES)
- Sujette, c'est à vous, à révérer les Rois, v.863 (Acte 3, scène 3, SYROES)
- Si le Sceptre est un faix, que le Roi lui dépose. v.869 (Acte 3, scène 3, SYRA)
- Quittant le nom de Roi, c'est à moi qu'il le doit. v.872 (Acte 3, scène 3, SYROES)
- Sire, l'ordre n'est point, de tant parlementer, v.879 (Acte 3, scène 3, PALMYRAS)
- Allons, délivre-moi, de ces objets funestes, v.885 (Acte 3, scène 3, SYRA)
- Ces horreurs de mes yeux, ces odieuses pestes, v.886 (Acte 3, scène 3, SYRA)
- Le sang des ennemis, est le vrai fondement ; v.892 (Acte 3, scène 3, PALMYRAS)
- Et la pitié, n'est pas la vertu des Monarques ; v.894 (Acte 3, scène 3, PALMYRAS)
- Du droit qu'on vous ravit, tout le Camp est jaloux, v.895 (Acte 3, scène 3, PALMYRAS)
- Tout est calme au Palais, la Reine est en vos mains ; v.904 (Acte 3, scène 3, PALMYRAS)
- Peu de chose vous reste, et l'arrêt de deux têtes, v.905 (Acte 3, scène 3, PALMYRAS)
- Leur perte vous conserve ; et c'est à cet effort, v.907 (Acte 3, scène 3, PALMYRAS)
- D'un père, qui pour vous, ne sent plus qu'il est père, v.913 (Acte 3, scène 3, PALMYRAS)
- La raison est pour moi, mais le sang ne l'est pas, v.916 (Acte 3, scène 3, SYROES)
- Me conserver un droit, qui m'est si légitime, v.918 (Acte 3, scène 3, SYROES)
- Cependant que je dompte un reste de faiblesse, v.933 (Acte 3, scène 3, SYROES)
- Celle qu'on veut m'ôter, à peine est sur ma tête, v.941 (Acte 3, scène 3, SYROES)
- Votre sort est le mien, notre amour l'a réglé, v.951 (Acte 3, scène 4, SYROES)
- Vos lois, font mes destins, et ce coeur ne respire, v.953 (Acte 3, scène 4, SYROES)
- J'estime également, ma couronne, et vos fers, v.955 (Acte 3, scène 4, SYROES)
- Vous fait donc oublier, que la Reine est ma mère ? v.962 (Acte 3, scène 4, NARSEE)
- L'une nous est contraire, et l'autre nous succède, v.970 (Acte 3, scène 4, SYROES)
- Et qu'un père aveuglé, destine pour victime, v.977 (Acte 3, scène 4, SYROES)
- L'autorité naissante, est toujours enviée ; v.1002 (Acte 3, scène 4, SYROES)
- Une Reine en des fers, n'est donc pas affligée ? v.1005 (Acte 3, scène 4, NARSEE)
- Elle n'est pas en lieu, d'en être soulagée ; v.1006 (Acte 3, scène 4, SYROES)
- Et de mettre en usage, un reste de pouvoir v.1007 (Acte 3, scène 4, SYROES)
- Mais un extrême ennui, n'en est guère prodigue. v.1041 (Acte 3, scène 4, NARSEE)
- Et ne regarde plus, ni le droit qui m'est dû, v.1047 (Acte 3, scène 4, SYROES)
- Ce billet est un gage, à votre Majesté, v.1073 (Acte 4, scène 1, SYROES)
- Qu'est-ce Artanasde ? v.1077 (Acte 4, scène 1, SYROES)
- Ô détestable femme ! v.1085 (Acte 4, scène 1, SYROES)
- J'ai d'une même horreur, ce dessein détesté, v.1099 (Acte 4, scène 1, ARTANASDE)
- Et l'avis important à votre Majesté, v.1100 (Acte 4, scène 1, ARTANASDE)
- Mais travaillant ailleurs, il s'en est défendu, v.1103 (Acte 4, scène 1, ARTANASDE)
- Au parti de Syra, n'est point intéressée. v.1122 (Acte 4, scène 1, ARTANASDE)
- Une troisième course, eût tranché le destin ; v.1124 (Acte 4, scène 1, ARTANASDE)
- De vous dire le reste, il serait superflu ; v.1128 (Acte 4, scène 1, ARTANASDE)
- De cette jeune fleur, trancha la destinée ; v.1142 (Acte 4, scène 1, ARTANASDE)
- Hélas, Narsée est morte, elle vient d'expirer, v.1147 (Acte 4, scène 1, ARTANASDE)
- Dans mon aveuglement, il ne s'est point mépris ; v.1172 (Acte 4, scène 1, SYROES)
- Dont loin d'exécuter, j'ai détesté la haine ; v.1182 (Acte 4, scène 1, ARTANASDE)
- Est que tous les soldats, d'un même coeur unis, v.1199 (Acte 4, scène 2, SARDARIGUE)
- Sandoce, s'est d'abord, saisi de sa personne, v.1213 (Acte 4, scène 2, SARDARIGUE)
- Cosroës s'est ému, quelque alarme se donne ; v.1214 (Acte 4, scène 2, SARDARIGUE)
- L'alarme s'est éteinte, aussitôt qu'allumée, v.1221 (Acte 4, scène 2, SARDARIGUE)
- Que votre faste est vain, ô grandeurs souveraines, v.1225 (Acte 4, scène 2, SYROES)
- Quand de le prévenir, on s'est fait incapable ; v.1238 (Acte 4, scène 2, SARDARIGUE)
- Puisqu'il faut étouffer la pitié qui me reste, v.1241 (Acte 4, scène 2, SYROES)
- Laissez-moi préparer, à ce combat funeste, v.1242 (Acte 4, scène 2, SYROES)
- Contre ses mouvements, ma résistance est vaine ; v.1249 (Acte 4, scène 2, SYROES)
- Un tyran détestable, un maudit intérêt, v.1255 (Acte 4, scène 2, SYROES)
- Et l'or de ta couronne, est le fer qui le tue. v.1258 (Acte 4, scène 2, SYROES)
- Est, comme aux plus petits, fatal aux plus grands hommes ? v.1260 (Acte 4, scène 2, SARDARIGUE)
- Mais, il n'est pas de saison de m'ouvrir davantage. v.1271 (Acte 4, scène 4, PALMYRAS)
- La Reine étant aux fers, toute grandeur m'est vaine. v.1279 (Acte 4, scène 4, NARSEE)
- N'importe en rien, Madame, à votre Majesté ; v.1302 (Acte 4, scène 4, PALMYRAS)
- Votre ennui m'attendrit ; ô Nature, il est temps, v.1309 (Acte 4, scène 4, PALMYRAS)
- Dieux ! Quel est cette énigme, et qu'y puis-je comprendre ! v.1332 (Acte 4, scène 5, NARSEE)
- Ma rage est avortée, et mon attente est vaine. v.1345 (Acte 5, scène 1, SYRA)
- Si pour ce qu'à mes yeux, il reste de clarté, v.1351 (Acte 5, scène 1, SYRA)
- Ne t'en étonne pas, le jour m'est à mépris ; v.1367 (Acte 5, scène 2, SYRA)
- Est-ce assez ? les témoins sont ici superflus, v.1371 (Acte 5, scène 2, SYRA)
- Mon procès est bien court, prononce là-dessus. v.1372 (Acte 5, scène 2, SYRA)
- Fait de grands changements, mais funestes pour vous. v.1376 (Acte 5, scène 2, SYROES)
- Je considère peu, ce qui m'en est funeste ? v.1377 (Acte 5, scène 2, SYRA)
- Tout le mal qui m'en vient, est le bien qui t'en reste ; v.1378 (Acte 5, scène 2, SYRA)
- Ou si de tes destins, j'avais tranché la trame. v.1381 (Acte 5, scène 2, SYRA)
- Il faut, ou plus de force, ou plus d'heur qu'on n'estime, v.1385 (Acte 5, scène 2, SYROES)
- Les funestes complots, qu'on fait contre ses jours, v.1387 (Acte 5, scène 2, SYROES)
- Est l'intérêt des Rois, dont les causes sont justes ? v.1398 (Acte 5, scène 2, SYROES)
- Au fait dont il s'agit, ces questions sont vaines ; v.1402 (Acte 5, scène 2, SYRA)
- Et mon plus grand supplice, est celui de ta vue. v.1406 (Acte 5, scène 2, SYRA)
- Ce reste de proscrits, échappés aux bourreaux, v.1411 (Acte 5, scène 2, SYRA)
- Est, non d'avoir osé, mais osé sans effet. v.1424 (Acte 5, scène 2, SYRA)
- C'est quelque grâce, encor, je n'osais l'espérer ; v.1427 (Acte 5, scène 2, SYRA)
- Je l'estimerai moins, un poison, qu'un remède, v.1429 (Acte 5, scène 2, SYRA)
- Reine est ma qualité, quand tu sais qu'elle est vaine ! v.1442 (Acte 5, scène 2, SYRA)
- Elle est femme, elle meurt, et ce sont des paroles ; v.1446 (Acte 5, scène 2, SYROES)
- Est contraint de punir, s'il ne se veut venger ; v.1456 (Acte 5, scène 2, PALMYRAS)
- Sa justice, est le bien de toute la Province, v.1457 (Acte 5, scène 2, PALMYRAS)
- Est le plus grand défaut, qu'ait un grand Potentat. v.1460 (Acte 5, scène 2, PALMYRAS)
- Le voici, tout son crime, est l'orgueil de sa mère, v.1461 (Acte 5, scène 2, SYROES)
- Et le sceptre de Perse, est-il un faix bien doux ? v.1472 (Acte 5, scène 3, SYROES)
- En effet, cette épreuve, en vous-même est visible, v.1478 (Acte 5, scène 3, MARDESANE)
- Contre un droit naturel, quel père m'est contraire ? v.1482 (Acte 5, scène 3, SYROES)
- Un coeur né pour régner, est capable de tout, v.1523 (Acte 5, scène 3, MARDESANE)
- Et c'est en ce grand coeur, qu'on ne méconnaît plus, v.1555 (Acte 5, scène 4, PALMYRAS)
- Mais, il reste une épreuve, à cette force extrême, v.1558 (Acte 5, scène 4, PALMYRAS)
- Et c'est ici, qu'il faut montrer tout Syroës ; v.1559 (Acte 5, scène 4, PALMYRAS)
- Seigneur, il vous est d'importance, v.1561 (Acte 5, scène 4, PALMYRAS)
- Ha ! C'est ici, que cède ma confiance ! v.1562 (Acte 5, scène 4, SYROES)
- À l'objet d'un État, mon lâche sang s'est tu ; v.1596 (Acte 5, scène 4, SYROES)
- Qu'il sait être sa source, et dont il est sorti ; v.1600 (Acte 5, scène 4, SYROES)
- Mon fils, dessus mon trône, est juge de ma vie ; v.1606 (Acte 5, scène 5, COSROES)
- Ma tête n'est la base, et mon sang le ciment, v.1608 (Acte 5, scène 5, COSROES)
- Est-il un bras d'un fils, qu'un soupir, une larme, v.1625 (Acte 5, scène 5, SYROES)
- Politique qu'elle est, saura vous prévenir ; v.1656 (Acte 5, scène 6, PALMYRAS)
- Ô destin déplorable ! v.1669 (Acte 5, scène 7, NARSEE)
- Qu'est-ce, Madame ! v.1671 (Acte 5, scène 7, SYROES)
- Il se l'est dans le sein enfoncé jusqu'aux gardes ; v.1678 (Acte 5, scène 7, NARSEE)
- Un prompt torrent de sang, est sorti de son sein ; v.1679 (Acte 5, scène 7, NARSEE)
- Appeler les destins, et les Dieux ennemis, v.1692 (Acte 5, scène 7, NARSEE)
- Ha Sire ! Malgré vous, le destin de la Perse, v.1697 (Acte 5, scène 8, SARDARIGUE)
- Qu'est-ce, encor ? v.1699 (Acte 5, scène 8, SYROES)
- Avant qu'elle eût tout pris, s'est saisi de la coupe, v.1702 (Acte 5, scène 8, SARDARIGUE)
- Et buvant ce qui reste, il faut (nous a-t-il dit, v.1703 (Acte 5, scène 8, SARDARIGUE)
- La Couronne, inhumaine, à ce prix m'est trop chère ? v.1713 (Acte 5, scène 8, SYROES)
- Le poison est trop prompt, le Tyran ne vit plus. v.1716 (Acte 5, scène 8, SARDARIGUE)
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LA BELLE ALPHRÈDE (1639)
- En vain contre les Dieux ton coeur s'est mutiné ; v.4 (Acte 1, scène 1, ALPHRÈDE)
- Est à peine remis de la peur de l'orage, v.18 (Acte 1, scène 1, ALPHR?DE)
- C'est celui de ses faits, que j'aurais cru le moins. v.28 (Acte 1, scène 1, CLÉANDRE)
- Rien n'est à ses regards ni plus beau, ni plus cher ; v.35 (Acte 1, scène 1, ALPHRÈDE)
- Tel est ce Dieu cruel, ce tyran de nos âmes, v.41 (Acte 1, scène 1, ALPHR?DE)
- Et qu'il s'est fait passage en de jeunes esprits, v.44 (Acte 1, scène 1, ALPHR?DE)
- Il n'est tigre plus fort, lion plus redoutable, v.46 (Acte 1, scène 1, ALPHR?DE)
- Et tout Amour qu'il est, il n'a rien moins qu'amour ; v.52 (Acte 1, scène 1, ALPHR?DE)
- N'est-ce point que la foi qu'il vous avait donnée, v.61 (Acte 1, scène 1, CLÉANDRE)
- Je sens bien que le temps est prêt de m'accuser. v.68 (Acte 1, scène 1, ALPHRÈDE)
- Apprends donc en deux mots, quel est pour mon dommage, v.69 (Acte 1, scène 1, ALPHR?DE)
- Depuis qu'il est témoin de nos jeunes amours ; v.72 (Acte 1, scène 1, ALPHR?DE)
- Le beau noeud d'hyménée unir nos destinées, v.74 (Acte 1, scène 1, ALPHR?DE)
- Mais écoute le reste ; ô moeurs ! Ô piété ! v.83 (Acte 1, scène 1, ALPHR?DE)
- Quand elle est poursuivie, embrasse sa défense, v.118 (Acte 1, scène 2, RODOLPHE)
- Cédons au nombre, amis, fuyons, Timandre est mort. v.120 (Acte 1, scène 2, DEUXIÈME ARABE)
- Fatale à ces mutins est encore de flamme ; v.130 (Acte 1, scène 3, FERRANDE)
- Ton remords est les voeux, et ta vie est l'offrande, v.149 (Acte 1, scène 4, ALPHRÈDE)
- Belle Alphrède, est-ce vous ! v.157 (Acte 1, scène 4, RODOLPHE)
- Votre ressentiment est moindre que mon crime, v.170 (Acte 1, scène 4, RODOLPHE)
- Mais la nécessité qui suit la destinée v.173 (Acte 1, scène 4, RODOLPHE)
- Alphrède est toujours belle, et moi je suis léger. v.184 (Acte 1, scène 4, RODOLPHE)
- Isabelle est son nom ; et Londres le séjour, v.207 (Acte 1, scène 4, RODOLPHE)
- Il suffit de vous dire, (et c'est avec regret) v.211 (Acte 1, scène 4, RODOLPHE)
- Et par vous elle est prête encor d'être ravie, v.222 (Acte 1, scène 4, RODOLPHE)
- Cette juste (il est vrai) mais sanglante action, v.224 (Acte 1, scène 4, RODOLPHE)
- Ce fer est dans mes mains, un inutile faix ; v.228 (Acte 1, scène 4, RODOLPHE)
- Ou, s'il vous est suspect le voilà, qui vous laisse v.229 (Acte 1, scène 4, RODOLPHE)
- Conserve donc le jour, et suis tes destinées, v.237 (Acte 1, scène 4, ALPHRÈDE)
- Et ce qu'elle est pour tous, elle l'est pour Alphrède ; v.242 (Acte 1, scène 4, ALPHR?DE)
- L'occasion est belle ! v.260 (Acte 1, scène 5, PREMIER ARABE)
- Ô rigoureux destins ! v.260 (Acte 1, scène 5, FERRANDE)
- À quels malheurs, ô Ciel ! Ta rigueur me destine ! v.265 (Acte 1, scène 5, RODOLPHE)
- Puisque rien n'est égal au bonheur que j'espère, v.273 (Acte 2, scène 1, AMYNTAS)
- Mon coeur s'est réjoui tout mon sang s'est ému, v.276 (Acte 2, scène 1, AMYNTAS)
- Seul espoir qui me reste, v.281 (Acte 2, scène 2, AMYNTAS)
- Mon fils ; s'il te souvient de l'accident funeste, v.282 (Acte 2, scène 2, AMYNTAS)
- Je ne redirai point, quel destin rigoureux v.287 (Acte 2, scène 2, AMYNTAS)
- Et savoir s'y résoudre est la moitié du mal. v.308 (Acte 2, scène 3, AMYNTAS)
- Certes est sans exemple, et sans comparaison. v.320 (Acte 2, scène 3, ACASTE)
- Et m'informer de vous quelle est votre naissance ; v.325 (Acte 2, scène 3, AMYNTAS)
- C'est là de mon destin la plus sévère loi, v.327 (Acte 2, scène 3, FERRANDE)
- Qu'heureux vous est le sort, qui fait que je ne puis v.331 (Acte 2, scène 3, FERRANDE)
- Dieux ! Quelle extravagance à la sienne est égale ? v.333 (Acte 2, scène 3, ACASTE)
- Mais puisque à vos désirs la Fortune est fatale, v.334 (Acte 2, scène 3, AMYNTAS)
- Elle est indifférente à tous hommes de coeur, v.339 (Acte 2, scène 3, AMYNTAS)
- Et savoir la souffrir, c'est en être vainqueur. v.340 (Acte 2, scène 3, AMYNTAS)
- Toujours aux plus vaillants sa haine est plus nuisible ; v.341 (Acte 2, scène 3, FERRANDE)
- Ah ! Que n'est à mes yeux cette peste visible, v.342 (Acte 2, scène 3, FERRANDE)
- Je romprais le bandeau dont sa tête est couverte, v.350 (Acte 2, scène 3, FERRANDE)
- Mais puisqu'elle est un monstre invisible aux mortels, v.359 (Acte 2, scène 3, FERRANDE)
- L'Espagne est mon pays, et Ferrande mon nom, v.363 (Acte 2, scène 3, FERRANDE)
- Ce nom est trop célèbre, et mes moindres exploits, v.367 (Acte 2, scène 3, FERRANDE)
- Sa folie est plaisante, et nous peut être utile ; v.369 (Acte 2, scène 3, AMYNTAS)
- Barcelone est le lieu, qui premier m'a porté. v.372 (Acte 2, scène 3, FERRANDE)
- C'est un étrange Dieu, qui fait d'étranges choses. v.386 (Acte 2, scène 3, FERRANDE)
- Mais qu'entends-je bons Dieux ! Que je reste confus ! v.387 (Acte 2, scène 3, FERRANDE)
- Dieux ! Qu'est-ce que j'entends ! Quelle est cette merveille ? v.405 (Acte 2, scène 3, FERRANDE)
- Mon âme d'un doux trouble aussitôt s'est émue, v.410 (Acte 2, scène 3, AMYNTAS)
- Le puis-je [taire] encor ? Alphrède est en ces lieux ! v.415 (Acte 2, scène 3, AMYNTAS)
- Rends Acaste à mes yeux un bien qui m'est si rare v.417 (Acte 2, scène 3, AMYNTAS)
- Et que la mort est prête à terminer ses peines ; v.426 (Acte 2, scène 3, AMYNTAS)
- Qu'agréable est l'orage v.429 (Acte 2, scène 3, FERRANDE)
- Et que douce est la perte, à qui tant d'heur est joint. v.431 (Acte 2, scène 3, FERRANDE)
- Celui de ma franchise, est le seul que j'implore ; v.437 (Acte 2, scène 4, FERRANDE)
- Qui de cette rivale est la natale terre, v.462 (Acte 2, scène 4, FERRANDE)
- Et Rodolphe, est le nom de ce jeune inconstant. v.468 (Acte 2, scène 4, FERRANDE)
- C'est l'unique moyen de fléchir ses pareils. v.471 (Acte 2, scène 5, ACASTE)
- Mon malheur, tel qu'il est, n'est pas encor extrême, v.477 (Acte 2, scène 5, ALPHRÈDE)
- Comme à d'autres le craindre, est une lâcheté. v.484 (Acte 2, scène 5, AMYNTAS)
- Mais chercher son repos, c'est se rendre justice. v.486 (Acte 2, scène 5, ALPHRÈDE)
- La mort est effroyable aux yeux d'un criminel. v.488 (Acte 2, scène 5, ALPHRÈDE)
- Qui la gagne, la craint ; mais elle est désirable, v.489 (Acte 2, scène 5, ALPHR?DE)
- Est-ce rébellion, qu'employer son courage, v.493 (Acte 2, scène 5, ALPHRÈDE)
- Donc ta vie, orgueilleux, est de grand intérêt ? v.495 (Acte 2, scène 5, AMYNTAS)
- Allez voir de ce pas, si son supplice est prêt ; v.496 (Acte 2, scène 5, AMYNTAS)
- Déteste maintenant, crie, peste, murmure, v.497 (Acte 2, scène 5, AMYNTAS)
- La mort des malheureux est une heureuse mort, v.507 (Acte 2, scène 5, ALPHRÈDE)
- Et le naufrage est doux, quand il nous jette au port. v.508 (Acte 2, scène 5, ALPHR?DE)
- Dont le sang, est mon sang, et qui dans peu de temps... v.515 (Acte 2, scène 5, ALPHR?DE)
- Dieux, qu'est-ce que j'entends ? v.516 (Acte 2, scène 6, ALPHRÈDE)
- Quel bonheur est celui qui m'arrive en ces lieux ? v.524 (Acte 2, scène 6, ALPHRÈDE)
- Et n'est pas habitant du ténébreux Empire ? v.526 (Acte 2, scène 6, ALPHR?DE)
- C'est à lui que je parle, il respire le jour ? v.532 (Acte 2, scène 6, ALPHR?DE)
- Il est temps, chère soeur, qu'à mon tour je t'embrasse, v.542 (Acte 2, scène 6, ACASTE)
- Je reste également, et confuse, et ravie, v.545 (Acte 2, scène 6, ALPHRÈDE)
- Quelle est cette aventure ? Ô Dieux ! La puis-je croire ? v.549 (Acte 2, scène 6, ALPHR?DE)
- Où, puisqu'il plut aux Dieux, tel fut notre destin, v.559 (Acte 2, scène 6, AMYNTAS)
- Ton frère me resta, pendant à mes genoux, v.567 (Acte 2, scène 6, AMYNTAS)
- De ma chère moitié tranché les destinées. v.586 (Acte 2, scène 6, AMYNTAS)
- C'est là que de mes maux est la fatale source, v.625 (Acte 2, scène 6, ALPHRÈDE)
- Et c'est là que mon soin en doit borner la course, v.626 (Acte 2, scène 6, ALPHR?DE)
- Ce n'est pas sans regret, qu'Alphrède délibère v.629 (Acte 2, scène 6, ALPHR?DE)
- Ce m'est un bien plus cher que vous ne croiriez pas, v.668 (Acte 2, scène 6, ALPHRÈDE)
- Malgré tous tes desseins, Amour, peste des coeurs, v.671 (Acte 2, scène 6, ALPHR?DE)
- Quel destin m'interdit, et la mort, et la vie, v.673 (Acte 3, scène 1, RODOLPHE)
- Que ne m'est la dernière, ou permise, ou ravie, v.674 (Acte 3, scène 1, RODOLPHE)
- Chaque instant de sa vie est pire que la mort, v.676 (Acte 3, scène 1, RODOLPHE)
- Est à l'homme une peur sur un songe établie, v.706 (Acte 3, scène 1, CLÉANDRE)
- Et toujours tant de trouble à mon sommeil est joint, v.711 (Acte 3, scène 1, CL?ANDRE)
- Qu'est-ce, faut-il mourir ? Dis tôt. v.721 (Acte 3, scène 2, RODOLPHE)
- Du chef de ces voleurs est lassée de carnage ; v.722 (Acte 3, scène 2, FERRANDE)
- Comment, Alphrède est morte ? v.725 (Acte 3, scène 2, CLÉANDRE)
- De votre seule rage, Alphrède est le butin. v.727 (Acte 3, scène 2, FERRANDE)
- Si telle dans les fers est votre égalité, v.743 (Acte 3, scène 2, FERRANDE)
- Même, il voit que sa bouche est à peine fermée, v.753 (Acte 3, scène 2, FERRANDE)
- Que par une rougeur sa voix est confirmée, v.754 (Acte 3, scène 2, FERRANDE)
- Peste contre elle et vous, et j'ai vu le moment v.779 (Acte 3, scène 2, FERRANDE)
- J'ai vu son sein ouvert, son visage est pâli, v.795 (Acte 3, scène 2, FERRANDE)
- Et jusque sur mon front son beau sang est jailli. v.796 (Acte 3, scène 2, FERRANDE)
- Il déteste le meurtre aussitôt qu'il l'a fait, v.800 (Acte 3, scène 2, FERRANDE)
- Il s'altère, se trouble, et sa douleur est telle v.805 (Acte 3, scène 2, FERRANDE)
- Vaine ombre est descendue aux rives de là-bas. v.820 (Acte 3, scène 2, FERRANDE)
- Ce n'est pas tout, le fils de ce barbare, v.821 (Acte 3, scène 2, FERRANDE)
- Si bien, qu'ayant appris qu'elle est en Angleterre, v.825 (Acte 3, scène 2, FERRANDE)
- Du sang qu'elle répand, ce coeur seul est la source, v.838 (Acte 3, scène 2, RODOLPHE)
- De tous ses ornements, Alphrède est dépourvue, v.845 (Acte 3, scène 2, CLÉANDRE)
- C'est m'être plus cruel, que d'en borner le cours, v.848 (Acte 3, scène 2, RODOLPHE)
- Et qu'un long repentir, leur est un long trépas. v.852 (Acte 3, scène 2, RODOLPHE)
- Pour mon sujet encor est capable d'amour ; v.864 (Acte 3, scène 2, RODOLPHE)
- L'inconstance est leur prix, un rebut mon accueil, v.867 (Acte 3, scène 2, RODOLPHE)
- Frappe, frappe, s'il reste à ta débile main v.875 (Acte 3, scène 3, RODOLPHE)
- Ombre, à qui rien d'humain ne reste que la voix. v.891 (Acte 3, scène 3, RODOLPHE)
- Alphrède contre toi s'est à tort mutinée, v.905 (Acte 3, scène 3, RODOLPHE)
- Vieille prison d'une âme aux enfers destinée, v.906 (Acte 3, scène 3, RODOLPHE)
- Et vaine ombre qu'elle est ne craindra plus une ombre. v.910 (Acte 3, scène 3, RODOLPHE)
- Mort funeste aux vivants, toi qui me l'as ravie ; v.922 (Acte 3, scène 3, RODOLPHE)
- Il répondra pour soi, sors, ou reste en ce lieu, v.935 (Acte 3, scène 3, AMYNTAS)
- Telle est la loi d'Alphrède et je l'observe, adieu. v.936 (Acte 3, scène 3, AMYNTAS)
- Il est bien moins cruel, que tu n'es inhumain, v.951 (Acte 3, scène 4, RODOLPHE)
- Et jusques à mon sang ta rigueur est allée, v.958 (Acte 3, scène 4, RODOLPHE)
- Et le lieu de son être est devenu sa bière ; v.966 (Acte 3, scène 4, RODOLPHE)
- Quel mortel ennemi, quel Monstre, quelle peste, v.969 (Acte 3, scène 4, RODOLPHE)
- Quel tigre, quel serpent est aux siens si funeste ; v.970 (Acte 3, scène 4, RODOLPHE)
- Parents infortunés, toi Thyeste qui fis v.971 (Acte 3, scène 4, RODOLPHE)
- C'est trop perdre de temps, soyons-en plus avares, v.977 (Acte 3, scène 4, FERRANDE)
- Ou dans mon propre sang, (si le sort est pour lui) v.987 (Acte 3, scène 4, RODOLPHE)
- Amis n'avançons plus, la place est favorable, v.989 (Acte 3, scène 5, ÉRASTE)
- Et malgré Ciel, Enfers, Destins, père, et famille, v.997 (Acte 3, scène 6, ÉRASTE)
- Ô destin rigoureux ! v.1004 (Acte 3, scène 6, ÉRASTE)
- Contez-nous seulement quelle est cette aventure. v.1014 (Acte 3, scène 6, ACASTE)
- Dont le Ciel par vos mains a tranché les destins, v.1016 (Acte 3, scène 6, EURYLAS)
- A diverti le coup qui m'était destiné. v.1040 (Acte 3, scène 6, EURYLAS)
- Dieux ! Quel est mon bonheur, d'avoir en sa ruine, v.1041 (Acte 3, scène 6, ACASTE)
- Cet avis est aisé. v.1047 (Acte 3, scène 6, ACASTE)
- Le Ciel m'est favorable, et par vous sa puissance, v.1053 (Acte 3, scène 6, EURYLAS)
- Mon sein demeure entier, et ma main est oisive. v.1070 (Acte 3, scène 7, ISABELLE)
- D'accomplir d'un meurtrier le funeste courroux ; v.1072 (Acte 3, scène 7, ORANTE)
- Quelle est cette aventure ; v.1082 (Acte 3, scène 8, ISABELLE)
- Que vois-je, est-ce mon père, ô Ciel ! Ô justes Dieux ! v.1083 (Acte 3, scène 8, ISABELLE)
- Mais la vertu mon père est le prix de soi-même, v.1090 (Acte 3, scène 8, ISABELLE)
- Et vous avoir servie est pour nous trop de gloire, v.1094 (Acte 3, scène 8, ACASTE)
- Se peut-elle informer quelle est votre fortune ? v.1098 (Acte 3, scène 8, EURYLAS)
- Barcelone, en Espagne est ma natale terre, v.1101 (Acte 3, scène 8, ALPHRÈDE)
- Comment, Rodolphe est mort ! v.1108 (Acte 3, scène 8, EURYLAS)
- Ô loi de nos destins, inhumaine, et barbare ! v.1109 (Acte 3, scène 8, ISABELLE)
- À qui doit s'adresser ce funeste rapport. v.1112 (Acte 3, scène 8, ISABELLE)
- Isabelle est mon nom. v.1113 (Acte 3, scène 8, ISABELLE)
- Avançons ; et suivant le chemin qui vous reste, v.1117 (Acte 3, scène 8, ALPHRÈDE)
- Je vous entretiendrai de ce rapport funeste ; v.1118 (Acte 3, scène 8, ALPHR?DE)
- J'ose enfin l'espérer : Amour, peste des coeurs, v.1119 (Acte 3, scène 8, ALPHR?DE)
- Ma soeur m'est-il permis de t'ouvrir ma pensée ? v.1121 (Acte 4, scène 1, ACASTE)
- En effet, je croyais qu'après ces corps célestes v.1125 (Acte 4, scène 1, ACASTE)
- Dont les divers aspects sont heureux, ou funestes, v.1126 (Acte 4, scène 1, ACASTE)
- Isabelle est l'honneur des ouvrages des Cieux. v.1132 (Acte 4, scène 1, ACASTE)
- Il est vrai, j'aurais fait comme lui. v.1136 (Acte 4, scène 1, ACASTE)
- Quel est un changement qu'en effet je sens naître, v.1146 (Acte 4, scène 1, ACASTE)
- Si c'est amour ou non. Et pour me l'exprimer v.1147 (Acte 4, scène 1, ACASTE)
- Est égal en douceur à ce dérèglement ? v.1160 (Acte 4, scène 1, ACASTE)
- Mon frère est pris, après ? v.1173 (Acte 4, scène 1, ALPHRÈDE)
- Est-ce Amour ? v.1191 (Acte 4, scène 1, ACASTE)
- Au reste, de quel prix, et de quelles largesses, v.1201 (Acte 4, scène 1, ALPHRÈDE)
- Puisque cette merveille est mon unique bien, v.1207 (Acte 4, scène 1, ACASTE)
- Que seule elle m'est tout, et tout sans elle rien. v.1208 (Acte 4, scène 1, ACASTE)
- Un grand espoir manquant, est un grand désespoir. v.1216 (Acte 4, scène 1, ACASTE)
- C'est là qu'innocemment un jeune coeur respire v.1229 (Acte 4, scène 1, ALPHRÈDE)
- C'est là qu'un couple heureux, l'un de l'autre dispose, v.1233 (Acte 4, scène 1, ALPHR?DE)
- Et qu'au milieu des fers, on est en liberté. v.1236 (Acte 4, scène 1, ALPHR?DE)
- C'est là... v.1237 (Acte 4, scène 1, ALPHR?DE)
- C'est sucrer le nectar, et dorer le soleil. v.1240 (Acte 4, scène 1, ACASTE)
- Et servir ton amour, est servir mon honneur. v.1244 (Acte 4, scène 1, ALPHRÈDE)
- C'est trop, qu'avec le coeur, je perde aussi la voix, v.1247 (Acte 4, scène 2, ORANTE)
- Vous découvrir au vrai quelle est ma maladie, v.1248 (Acte 4, scène 2, ORANTE)
- Je sens qu'il me dévore, et qu'il est en mon âme, v.1266 (Acte 4, scène 2, ORANTE)
- Mais que sa violence est douce ! v.1269 (Acte 4, scène 2, ORANTE)
- Et ce défaut n'est point aux oeillets de ma bouche, v.1296 (Acte 4, scène 3, ORANTE)
- Je ne les puis souffrir, l'odeur m'en est contraire ; v.1304 (Acte 4, scène 3, ORANTE)
- Combien des maux de coeur, la douleur est sensible, v.1308 (Acte 4, scène 3, ALPHRÈDE)
- Ce n'est pas sans dessein, ô divine beauté, v.1317 (Acte 4, scène 3, ALPHR?DE)
- Quel est ce malheureux ? v.1327 (Acte 4, scène 3, ORANTE)
- C'est un autre moi-même ; v.1331 (Acte 4, scène 3, ALPHRÈDE)
- Qu'un amant est timide, il ne s'ose nommer. v.1334 (Acte 4, scène 3, ORANTE)
- C'est mon frère en un mot, v.1335 (Acte 4, scène 3, ALPHRÈDE)
- Il est passionné ; v.1336 (Acte 4, scène 3, ALPHRÈDE)
- Quelle est ma vanité ! je pense sous ma loi v.1337 (Acte 4, scène 3, ORANTE)
- Mon frère est mort sans vous, contez-lui son souci. v.1350 (Acte 4, scène 3, ALPHRÈDE)
- La constance est aisée, à qui vit comme Orante, v.1363 (Acte 4, scène 4, ISABELLE)
- La vertu que tu suis, est un défaut de l'âge, v.1368 (Acte 4, scène 4, ISABELLE)
- Tôt ou tard, on est pris ; et sache qu'à son tour, v.1369 (Acte 4, scène 4, ISABELLE)
- Non, non, si c'en est un, mon coeur est vicieux ; v.1373 (Acte 4, scène 4, ORANTE)
- J'aime, mais il est vrai que de suivre les pas, v.1377 (Acte 4, scène 4, ORANTE)
- De quoi me parles-tu ? Quelle est ta rêverie, v.1379 (Acte 4, scène 4, ISABELLE)
- Plus parce qu'on vous voit, que parce qu'il est mort ? v.1386 (Acte 4, scène 4, ORANTE)
- À peine il s'est fait voir, et déjà ne vit plus, v.1389 (Acte 4, scène 4, ORANTE)
- Cléomède est le mien, qu'Acaste soit le vôtre. v.1404 (Acte 4, scène 4, ORANTE)
- Ce malheur est conjoint à l'amoureux martyre, v.1407 (Acte 4, scène 5, ACASTE)
- Le coeur étant lié, la langue l'est aussi ; v.1409 (Acte 4, scène 5, ACASTE)
- Tel, en la vive ardeur dont mon âme est pressée, v.1411 (Acte 4, scène 5, ACASTE)
- Et mon désordre est tel que dire seulement v.1413 (Acte 4, scène 5, ACASTE)
- Que je ne puis rien dire, est tout mon compliment, v.1414 (Acte 4, scène 5, ACASTE)
- C'est à la flamme, et l'eau ne donner qu'une place, v.1427 (Acte 4, scène 5, ISABELLE)
- C'est vouloir que je brûle, et que je sois de glace ; v.1428 (Acte 4, scène 5, ISABELLE)
- Qu'heureux est le trépas qui vous coûte des larmes ! v.1432 (Acte 4, scène 5, ACASTE)
- Et c'est au même Acaste à faire qu'elle cesse ; v.1448 (Acte 4, scène 6, EURYLAS)
- Quel sort est en bontés égal à ma fortune ! v.1455 (Acte 4, scène 6, ACASTE)
- Je ne tiens que de vous ce reste de mon âge, v.1460 (Acte 4, scène 6, EURYLAS)
- Et ma maison entière est un indigne prix, v.1461 (Acte 4, scène 6, EURYLAS)
- D'une commune voix bénir nos destinées. v.1464 (Acte 4, scène 6, EURYLAS)
- Non, non, c'est pour un coup, assez d'un hyménée, v.1467 (Acte 4, scène 6, ALPHRÈDE)
- J'ai droit de l'espérer, Amour, peste des coeurs, v.1473 (Acte 4, scène 6, ALPHRÈDE)
- Est à d'autres duels, que de Mars, destinée, v.1480 (Acte 5, scène 1, FERRANDE)
- Ôtez à ce rival le bien qui vous est dû, v.1489 (Acte 5, scène 1, FERRANDE)
- Isabelle n'est plus le sujet qui m'anime, v.1491 (Acte 5, scène 1, RODOLPHE)
- Sa beauté ne m'est plus ce qu'elle me parut, v.1493 (Acte 5, scène 1, RODOLPHE)
- Alphrède me veut seule, et sa fortune est telle, v.1499 (Acte 5, scène 1, RODOLPHE)
- Où dès ce même jour, si le sort m'est prospère v.1503 (Acte 5, scène 1, RODOLPHE)
- Mais puisque c'est un mal qu'il ne peut éviter, v.1505 (Acte 5, scène 1, FERRANDE)
- Si par les assistants ce dessein est connu ? v.1510 (Acte 5, scène 1, FERRANDE)
- Cet affront n'est pas grand, mais il le pouvait être, v.1515 (Acte 5, scène 1, RODOLPHE)
- Sa trahison n'importe, et pourtant il est traître, v.1516 (Acte 5, scène 1, RODOLPHE)
- Fallût-il au milieu du bal, ou du festin, v.1517 (Acte 5, scène 1, RODOLPHE)
- Aller de ce perfide achever le destin, v.1518 (Acte 5, scène 1, RODOLPHE)
- C'est ce qu'on répétait en notre hôtellerie ; v.1527 (Acte 5, scène 1, FERRANDE)
- L'invention est rare ; v.1535 (Acte 5, scène 1, RODOLPHE)
- Et surtout elle est sûre ; v.1535 (Acte 5, scène 1, FERRANDE)
- Que d'une vaine ardeur son âme est enflammée, v.1539 (Acte 5, scène 1, FERRANDE)
- Lorsque de mets exquis ailleurs elle est couverte, v.1552 (Acte 5, scène 2, ORANTE)
- Les douceurs d'un festin dressé superbement ; v.1554 (Acte 5, scène 2, ORANTE)
- S'est à quelques désirs peut-être dispensée, v.1568 (Acte 5, scène 2, ORANTE)
- Je vois l'excès de joie, où ma soeur est ravie, v.1576 (Acte 5, scène 2, ORANTE)
- Je reste sans discours, et l'agréable chaîne, v.1587 (Acte 5, scène 3, ACASTE)
- Et c'est le plus grand mal qui te puisse arriver. v.1614 (Acte 5, scène 3, ISABELLE)
- Que le combat est beau, dont la cause est si belle ! v.1616 (Acte 5, scène 3, ACASTE)
- Mon âme est transportée à tel point de plaisir, v.1617 (Acte 5, scène 3, ACASTE)
- Il est mort à propos, et ses plus doux appas, v.1625 (Acte 5, scène 3, ISABELLE)
- Et qu'avant ce beau feu dont ton oeil est auteur v.1641 (Acte 5, scène 3, ISABELLE)
- S'il est vrai que ton coeur, belle et rare merveille, v.1647 (Acte 5, scène 3, ACASTE)
- Pour lui ravir tes voeux, il n'est point d'artifice, v.1655 (Acte 5, scène 3, ISABELLE)
- C'est là que je croirais accorder la raison, v.1657 (Acte 5, scène 3, ISABELLE)
- Votre présence au moins jusqu'au soir nous est due ; v.1676 (Acte 5, scène 6, LE PÈRE)
- Pas un ne s'est brouillé parmi les entrechats, v.1695 (Acte 5, scène 6, L'ONCLE)
- Il est temps que le verre, à la danse succède ; v.1697 (Acte 5, scène 6, LE PÈRE)
- Il est temps que ma soeur tente un dernier remède, v.1698 (Acte 5, scène 6, ACASTE)
- C'est lui seul, qui m'instruit de l'usage des larmes, v.1710 (Acte 5, scène 7, RODOLPHE)
- Et quel si dur rocher est capable d'amour ? v.1720 (Acte 5, scène 7, RODOLPHE)
- Ce penser est suivi d'un long ruisseau de pleurs, v.1727 (Acte 5, scène 7, RODOLPHE)
- Ne joins point la risée au funeste remords v.1739 (Acte 5, scène 8, RODOLPHE)
- Quelque ressentiment vous serait-il resté ? v.1747 (Acte 5, scène 9, ACASTE)
- J'ignore ses raisons, c'est à lui de le faire. v.1754 (Acte 5, scène 9, ACASTE)
- Et moi, je lui prétends, si le sort m'est prospère, v.1765 (Acte 5, scène 9, RODOLPHE)
- Il est vrai que le bruit des charmes d'Isabelle, v.1769 (Acte 5, scène 9, ACASTE)
- Donnons, c'est [de] la main qu'un noble coeur réplique v.1773 (Acte 5, scène 9, RODOLPHE)
- Et que la jalousie, est son seul fondement, v.1780 (Acte 5, scène 9, ACASTE)
- Est prête de la rendre à votre passion. v.1784 (Acte 5, scène 9, ACASTE)
- Et l'amour est bien faible, où la peur est si forte, v.1794 (Acte 5, scène 9, RODOLPHE)
- Et le bien t'est mal dû, que tu défends si mal, v.1796 (Acte 5, scène 9, RODOLPHE)
- Ma seule intention est d'immoler l'offrande, v.1801 (Acte 5, scène 9, RODOLPHE)
- Mais le mien est fondé sur une trahison, v.1815 (Acte 5, scène 10, ACASTE)
- Pour moi, je vivrai libre ; et mon courage est tel, v.1827 (Acte 5, scène 10, RODOLPHE)
- Qu'il s'est pu dégager de tout objet mortel. v.1828 (Acte 5, scène 10, RODOLPHE)
- Pour moi je vivrai vôtre, et mon amour est telle, v.1829 (Acte 5, scène 10, ISABELLE)
- Ni plaire, ni charmer n'est plus mon entreprise, v.1841 (Acte 5, scène 10, RODOLPHE)
- N'est point l'occasion qui m'a conduit ici, v.1844 (Acte 5, scène 10, RODOLPHE)
- Que ce combat est long, v.1852 (Acte 5, scène 10, CLÉANDRE)
- Certes il est charmant. v.1852 (Acte 5, scène 10, FERRANDE)
- Que la vie à chacun est une belle hôtesse, v.1858 (Acte 5, scène 10, ACASTE)
- Eh bien, ce mal est grand, mais n'est pas sans remède, v.1866 (Acte 5, scène 10, ACASTE)
- Mais au reste, arrivant, qu'ayant vu ce visage, v.1877 (Acte 5, scène 10, ACASTE)
- Dieux ! Qu'est-ce que je vois ? v.1882 (Acte 5, scène 11, ISABELLE)
- Errante comme elle est sur les rives d'Élyse, v.1906 (Acte 5, scène 11, RODOLPHE)
- Est tout ce qui m'est cher, et tout ce que je sers ; v.1908 (Acte 5, scène 11, RODOLPHE)
- Je ne suis pas funeste aux objets que je vois, v.1915 (Acte 5, scène 11, ALPHRÈDE)
- J'ose bien me vanter que tu m'as estimée. v.1922 (Acte 5, scène 11, ALPHR?DE)
- Mon esprit est confus d'aise, et d'étonnement ; v.1927 (Acte 5, scène 11, RODOLPHE)
- Ah Rodolphe est-il vrai que la bonté des Dieux v.1931 (Acte 5, scène 11, ALPHRÈDE)
- Puisqu'elle ne me vient que de la fausse estime, v.1942 (Acte 5, scène 11, ALPHR?DE)
- Reçu dans vos prisons, je proteste d'y vivre, v.1961 (Acte 5, scène 11, RODOLPHE)
- Ô divin changement faveur vraiment céleste, v.1969 (Acte 5, scène 11, RODOLPHE)
- Je crains qu'en ton excès tu ne me sois funeste. v.1970 (Acte 5, scène 11, RODOLPHE)
- À ces sacrés Auteurs du destin des mortels. v.1976 (Acte 5, scène 11, ALPHRÈDE)
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DON BERNARD DE CABRERE (1647)
- Nous va, de nos destins, forcer la tyrannie, v.2 (Acte 1, scène 1, DON LOPE)
- Sur la destruction des Sardes déconfits ; v.8 (Acte 1, scène 1, DON LOPE)
- Et si l'âme est prophète en ses pressentiments, v.11 (Acte 1, scène 1, DON LOPE)
- Il est vrai que jamais les destins rigoureux v.19 (Acte 1, scène 1, DON LOPE)
- Et comme à la valeur, qui m'est héréditaire, v.33 (Acte 1, scène 1, DON LOPE)
- D'abord l'insinuant, en l'estime du Roi v.39 (Acte 1, scène 1, DON LOPE)
- Cette lame enrouillée est toute ma richesse. v.58 (Acte 1, scène 1, LAZARILLE)
- Et puis... mais quelle peine est celle où je me trouve ? v.65 (Acte 1, scène 1, DON LOPE)
- Est perdu. v.68 (Acte 1, scène 1, LAZARILLE)
- Et sa haine est pour nous, sans quartier et sans trêve ; v.74 (Acte 1, scène 1, LAZARILLE)
- Sans nous manifester, contons nos aventures ; v.90 (Acte 1, scène 1, DON LOPE)
- Si les Rois sont des Dieux, leur Palais est un temple, v.94 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Où pour tous il est juste, et libre de prier, v.95 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Est d'être égal aux siens, autant qu'il le peut être ; v.98 (Acte 1, scène 2, LE ROI)
- C'est de sa dignité le plus sûr fondement, v.100 (Acte 1, scène 2, LE ROI)
- L'armée est décampée, et s'avance à grand pas, v.107 (Acte 1, scène 3, DON SANCHE)
- Saragosse est au trône un important rempart. v.112 (Acte 1, scène 3, DON SANCHE)
- C'est trop faire acheter, qu'en retarder la joie. v.122 (Acte 1, scène 4, LE SECRÉTAIRE)
- Qui sur le reste des monarques, v.130 (Acte 1, scène 4, LE ROI)
- Font briller votre Majesté, v.131 (Acte 1, scène 4, LE ROI)
- Beau, mais funeste écueil, insensible rocher. v.143 (Acte 1, scène 4, LE ROI)
- Si votre Majesté doit trouver quelques charmes v.149 (Acte 1, scène 4, DON LOPE)
- Qui pouvant tout, demande, est digne du refus. v.176 (Acte 1, scène 4, LE ROI)
- Cette distraction est un défaut aux Princes, v.181 (Acte 1, scène 4, LE ROI)
- Toi, de ce triste écrit funeste messager, v.191 (Acte 1, scène 5, LE ROI)
- Va j'attends sa réponse : ha comte, est-il possible, v.197 (Acte 1, scène 5, LE ROI)
- L'avantage des Rois, sur le reste des hommes, v.202 (Acte 1, scène 5, LE ROI)
- Est le sort aussi bien des Rois que des sujets. v.208 (Acte 1, scène 5, LE COMTE)
- Est que mon dessein même, à mon dessein s'oppose, v.210 (Acte 1, scène 5, LE ROI)
- Est le champ d'un combat de moi contre moi-même, v.218 (Acte 1, scène 5, LE ROI)
- C'est par ce beau combat, que vous rendez des marques, v.221 (Acte 1, scène 5, LE COMTE)
- L'amour est un doux mal commun à tous les Rois, v.223 (Acte 1, scène 5, LE COMTE)
- De Pedre, et non du Roi, le monde est amoureux ; v.228 (Acte 1, scène 5, LE COMTE)
- C'est un malheur d'un trône où l'on est élevé, v.231 (Acte 1, scène 5, LE COMTE)
- Et juges de l'État, l'État est leur arbitre ; v.238 (Acte 1, scène 5, LE COMTE)
- Pour votre Majesté, c'est un repos bien doux, v.239 (Acte 1, scène 5, LE COMTE)
- Et c'est pour un Monarque une vertu sublime, v.241 (Acte 1, scène 5, LE COMTE)
- Elle est trop favorable, ô sort guide nos pas ! v.252 (Acte 1, scène 6, DON LOPE)
- Seigneur, c'est un bonheur pour moi, v.263 (Acte 1, scène 8, LÉONOR)
- C'est de votre mérite une infaillible preuve, v.266 (Acte 1, scène 8, LE ROI)
- Si me terrassant même elle m'est importune ; v.274 (Acte 1, scène 8, LÉONOR)
- Si ma chute s'élève, et si choir est un saut, v.275 (Acte 1, scène 8, L?ONOR)
- C'est d'un bonheur insigne une preuve constante. v.277 (Acte 1, scène 8, L?ONOR)
- Si j'osais remontrer à votre Majesté, v.284 (Acte 1, scène 8, LÉONOR)
- Il m'est de conséquence étant... v.286 (Acte 1, scène 8, L?ONOR)
- Qu'est-ce ci ? Quelque trait encor de la fortune ! v.302 (Acte 1, scène 9, LAZARILLE)
- Qu'est-ce ? v.303 (Acte 1, scène 9, DON LOPE)
- Et votre âme est prophète en ses pressentiments, v.304 (Acte 1, scène 9, LAZARILLE)
- Ma parole est soufferte, et n'est point écoutée, v.318 (Acte 1, scène 9, DON LOPE)
- Ma requête est reçue, et puis est rejetée, v.319 (Acte 1, scène 9, DON LOPE)
- Et fuyons pour jamais de ce funeste lieu. v.329 (Acte 1, scène 9, DON LOPE)
- Qu'il est un ennemi, qu'il a pu redouter ? v.333 (Acte 2, scène 1, DON BERNARD)
- Je sais que le destin qui dispense les rangs, v.348 (Acte 2, scène 1, DON BERNARD)
- Mais ce même destin dont l'aveugle caprice, v.358 (Acte 2, scène 1, DON BERNARD)
- Au reste de quel oeil voyez-vous Violante ? v.370 (Acte 2, scène 1, DON BERNARD)
- Ce nom m'est inconnu. v.371 (Acte 2, scène 1, DON LOPE)
- Par eux il n'est dessein dont on ne vienne à bout, v.408 (Acte 2, scène 2, LE COMTE)
- Et ne rien épargner, est l'art d'acquérir tout ; v.409 (Acte 2, scène 2, LE COMTE)
- Est le plus digne objet de vos profusions ; v.413 (Acte 2, scène 2, LE COMTE)
- Heureux restaurateur et soutien de mon trône, v.430 (Acte 2, scène 3, LE ROI)
- Bien plus qu'eux, et que moi, votre nom est la foudre, v.438 (Acte 2, scène 3, DON BERNARD)
- Il n'est soldat si las, à qui le coeur ne vole, v.490 (Acte 2, scène 3, DON BERNARD)
- L'escadron reconnu, lorsque pour l'investir, v.496 (Acte 2, scène 3, DON BERNARD)
- Oristan, est son gouvernement. v.548 (Acte 2, scène 3, LE ROI)
- Calaris est pour lui ; v.553 (Acte 2, scène 3, LE ROI)
- Et vous restaurateur de la gloire publique, v.554 (Acte 2, scène 3, LE ROI)
- Et d'un si lourd fardeau ma force est incapable. v.559 (Acte 2, scène 3, DON BERNARD)
- Votre crédit est grand, on vous de bon oeil, v.569 (Acte 2, scène 4, LAZARILLE)
- Ma disgrâce n'est plus un caprice du sort, v.577 (Acte 2, scène 4, DON LOPE)
- À qui tu veux du mal, tout travail est sans fruit : v.582 (Acte 2, scène 4, DON LOPE)
- Ton aveugle conduite est sans aveuglement, v.586 (Acte 2, scène 4, DON LOPE)
- Que m'ont duré d'instants mes tristes destinées ; v.608 (Acte 2, scène 5, DON LOPE)
- Me fait justice en vous, et ne m'est plus ingrat ; v.610 (Acte 2, scène 5, DON LOPE)
- Le rebut m'en est doux, puisqu'elle vous caresse ; v.612 (Acte 2, scène 5, DON LOPE)
- Il est vrai que jamais vertu n'avait produit, v.629 (Acte 2, scène 5, LE COMTE)
- Me la rend trop fertile, et m'est un prix sans prix. v.638 (Acte 2, scène 5, DON LOPE)
- Succède quelquefois, et vainc la destinée : v.640 (Acte 2, scène 5, DON BERNARD)
- Est d'un rang et d'un sang, digne d'une maîtresse. v.652 (Acte 2, scène 6, DOROTHÉE)
- Quelle est la malheureuse, à qui vous pourriez plaire ? v.656 (Acte 2, scène 6, LAZARILLE)
- Violante ! Est-ce un songe ! Est-ce une illusion ? v.663 (Acte 2, scène 6, DON LOPE)
- Je vis l'Infante à Vas, ma doute n'est point vaine ; v.669 (Acte 2, scène 6, DON LOPE)
- L'Infante ! Ô qu'il est vain ! Ô quelle extravagance ! v.677 (Acte 2, scène 6, LAZARILLE)
- Cherchons, cherchons parti, mon maître est achevé. v.680 (Acte 2, scène 6, LAZARILLE)
- La plus belle vertu n'est pas la plus austère ; v.682 (Acte 3, scène 1, L'INFANTE)
- Les regards, l'entretien de modestes ébats, v.683 (Acte 3, scène 1, L'INFANTE)
- L'approche en est suspecte avec une Couronne, v.686 (Acte 3, scène 1, LÉONOR)
- Toute honnête qu'elle est, elle fait murmurer. v.687 (Acte 3, scène 1, L?ONOR)
- Est bien mal ménager l'espoir d'un diadème ; v.694 (Acte 3, scène 1, L'INFANTE)
- C'est pour vous que l'amour a destiné des Rois. v.708 (Acte 3, scène 1, LÉONOR)
- Il m'est donc libre enfin de vous ouvrir mon âme, v.717 (Acte 3, scène 1, LÉONOR)
- Ai cru qu'il procédait d'ailleurs que de l'estime ; v.734 (Acte 3, scène 1, L?ONOR)
- Que l'état que j'en fais, doive passer l'estime. v.749 (Acte 3, scène 1, L'INFANTE)
- Et m'est autant qu'à vous, préférable à des Rois, v.759 (Acte 3, scène 1, L'INFANTE)
- S'il est assez puissant pour me donner des lois. v.760 (Acte 3, scène 1, L'INFANTE)
- Est mère aussi souvent, que fille de l'amour. v.768 (Acte 3, scène 1, L'INFANTE)
- Mais l'oeil est aux amants un mauvais secrétaire ; v.779 (Acte 3, scène 2, LÉONOR)
- Au travers du cristal dont il est composé ; v.781 (Acte 3, scène 2, L?ONOR)
- Cent soupirs étouffés, et cent gestes confus, v.784 (Acte 3, scène 2, L?ONOR)
- Où le dessein est pris, son ordre est superflu, v.792 (Acte 3, scène 2, L?ONOR)
- Qu'est-ce Perez ? v.796 (Acte 3, scène 3, LÉONOR)
- S'informe à tous moments quelle est votre santé. v.797 (Acte 3, scène 3, LE SECRÉTAIRE)
- Est un siège, où déjà chacun vous considère ; v.803 (Acte 3, scène 3, LE SECRÉTAIRE)
- Le reste par mes soins, concerté dextrement : v.829 (Acte 3, scène 3, LÉONOR)
- J'apprends trop... Don Bernard ; cette lettre est de lui. v.849 (Acte 3, scène 4, LE SECRÉTAIRE)
- Notre entreprise, Sire, est si prête d'éclore, v.850 (Acte 3, scène 4, LE SECR?TAIRE)
- Les ordres que j'avais de votre Majesté ; v.853 (Acte 3, scène 4, LE SECR?TAIRE)
- La tienne assez conforme, est aisé d'imiter. v.857 (Acte 3, scène 4, LE SECR?TAIRE)
- Est le respect d'un vassal à son maître ! v.897 (Acte 3, scène 5, LE ROI)
- C'est avec juste droit, traître que je te fie v.904 (Acte 3, scène 5, LE ROI)
- Si tu me peux tramer ce détestable tour, v.906 (Acte 3, scène 5, LE ROI)
- C'est là ce zèle ardent que tu faisais paraître ? v.908 (Acte 3, scène 5, LE ROI)
- Nous rend solliciteurs vers votre Majesté. v.927 (Acte 3, scène 8, DON BERNARD)
- Est-ce une offense, Sire, indigne de pardon ? v.939 (Acte 3, scène 8, DON BERNARD)
- Ce n'est qu'un attentat, qui s'adresse à moi-même. v.940 (Acte 3, scène 8, LE ROI)
- C'est un trait, cher ami, de ton malheur extrême, v.941 (Acte 3, scène 8, DON BERNARD)
- Au reste de Carlos, les troupes insolentes, v.952 (Acte 3, scène 8, LE ROI)
- Faites voir aujourd'hui quelle est votre fortune ; v.957 (Acte 3, scène 8, LE ROI)
- Tout l'espoir de l'État à vos soins est commis, v.958 (Acte 3, scène 8, LE ROI)
- Et bien, mon seul recours, est sincère et fidèle, v.969 (Acte 3, scène 9, DON LOPE)
- Cette douleur muette est une voix parlante, v.974 (Acte 3, scène 9, DON LOPE)
- Vous m'étiez trop bénins, ô destins inhumains ! v.983 (Acte 3, scène 9, DON LOPE)
- Si c'est un crime hélas ! d'avoir fait de mes veines, v.985 (Acte 3, scène 9, DON LOPE)
- Si pour ces actions sa haine est légitime, v.993 (Acte 3, scène 9, DON LOPE)
- Fait prendre à nos destins cette diverse route, v.998 (Acte 3, scène 9, DON BERNARD)
- Et doute avec raison si ma route est plus sûre. v.1006 (Acte 3, scène 9, DON BERNARD)
- Le Roi s'est emporté d'un si bouillant courroux, v.1008 (Acte 3, scène 9, DON BERNARD)
- L'heur le mieux établi, n'est assuré de rien, v.1019 (Acte 3, scène 9, DON BERNARD)
- Nul bien n'est immortel qu'après que nous le sommes, v.1021 (Acte 3, scène 9, DON BERNARD)
- L'homme est mal assuré, quand il se fie aux hommes. v.1022 (Acte 3, scène 9, DON BERNARD)
- Tout dépend du hasard et la vie est un feu. v.1024 (Acte 3, scène 9, DON BERNARD)
- Au reste Don Carlos prêt de nous investir, v.1035 (Acte 3, scène 9, DON BERNARD)
- De mon destin encor marque la dureté ! v.1044 (Acte 3, scène 9, DON LOPE)
- J'en demande une preuve à votre Majesté. v.1064 (Acte 4, scène 1, LÉONOR)
- C'est par mon ordre, allez. v.1080 (Acte 4, scène 1, LÉONOR)
- Et dans ce grand respect restreignant sa pensée, v.1086 (Acte 4, scène 2, LÉONOR)
- Vous auriez mal assis l'honneur de votre estime. v.1098 (Acte 4, scène 2, LÉONOR)
- C'est une peur aussi qui ne me peut frapper, v.1099 (Acte 4, scène 2, L?ONOR)
- Ce n'est pas d'à présent, insensible, inhumaine, v.1101 (Acte 4, scène 2, LE ROI)
- Est forcé d'exercer une austère vertu. v.1104 (Acte 4, scène 2, LE ROI)
- Se posséder soi-même est le plus grand des biens ; v.1108 (Acte 4, scène 2, LÉONOR)
- Aux Rois non plus qu'à nous, tout n'est pas légitime. v.1109 (Acte 4, scène 2, L?ONOR)
- Quel est donc notre Empire, et par quelles rigueurs v.1115 (Acte 4, scène 2, LE ROI)
- Il n'est point de faveur que cette offre n'excède, v.1134 (Acte 4, scène 2, LÉONOR)
- Et puisqu'il m'est permis de choisir mon vainqueur ; v.1135 (Acte 4, scène 2, L?ONOR)
- Son nom, est... Mais voici l'Infante. v.1146 (Acte 4, scène 2, LÉONOR)
- Sire, quels voeux rendrai-je à votre Majesté ? v.1147 (Acte 4, scène 3, LE SECRÉTAIRE)
- C'est moi qui vous la rends pour vous l'avoir ravie, v.1149 (Acte 4, scène 3, LÉONOR)
- Quoi c'est vous Duc d'Alcale, honneur de ma Province, v.1169 (Acte 4, scène 4, LE ROI)
- Je dois aux actions dont votre histoire est pleine, v.1173 (Acte 4, scène 4, LE ROI)
- On fait halte, et la doute est bientôt confirmée ; v.1210 (Acte 4, scène 4, DON BERNARD)
- Le Ciel ( dit-il ) est juste, et nous a garantis ; v.1269 (Acte 4, scène 4, DON BERNARD)
- Et les plus fiers du sort détestant la rigueur, v.1272 (Acte 4, scène 4, DON BERNARD)
- C'est assez le nommer, que de taire son nom. v.1280 (Acte 4, scène 4, LE ROI)
- Certes sa modestie est sans comparaison. v.1281 (Acte 4, scène 4, L'INFANTE)
- Ô vainqueur fortuné que le ciel me destine ! v.1282 (Acte 4, scène 4, LÉONOR)
- L'inestimable excès d'un si rare mérite. v.1287 (Acte 4, scène 4, LE ROI)
- Mon coeur est le seul prix digne de sa valeur. v.1288 (Acte 4, scène 4, L'INFANTE)
- Et c'est de vos bontés que je tiens tout mon bien, v.1300 (Acte 4, scène 4, DON BERNARD)
- Que mon destin sans vous n'a que l'éclat du verre, v.1302 (Acte 4, scène 4, DON BERNARD)
- Et ne me donner pas, c'est ne lui donner rien. v.1317 (Acte 4, scène 4, L'INFANTE)
- Et plein de mon estime, il s'en va sans me voir ? v.1321 (Acte 4, scène 5, DON LOPE)
- Est-ce que l'un diffère, et l'autre dissimule ! v.1326 (Acte 4, scène 5, DON LOPE)
- L'un avec tant d'estime, et l'autre tant d'amour, v.1328 (Acte 4, scène 5, DON LOPE)
- Votre excuse est de mise, et se peut recevoir : v.1353 (Acte 4, scène 6, DOROTHÉE)
- Est-ce vous témoigner un coeur assez épris, v.1356 (Acte 4, scène 6, DOROTH?E)
- Au reste cette amour tendant à l'hyménée, v.1358 (Acte 4, scène 6, DOROTH?E)
- Jugez de la grandeur qui vous est destinée. v.1359 (Acte 4, scène 6, DOROTH?E)
- Je ne puis que répondre à tant de modestie, v.1367 (Acte 4, scène 6, DON LOPE)
- Dont un coeur est capable en cette occasion. v.1369 (Acte 4, scène 6, DON LOPE)
- D'un heur si surprenant, un homme est-il capable ? v.1375 (Acte 4, scène 6, DON LOPE)
- A sous un mauvais astre ourdi sa destinée : v.1419 (Acte 5, scène 1, DON BERNARD)
- Il est vrai, mais vous seul me pouvez relever, v.1428 (Acte 5, scène 2, L'INFANTE)
- À la force d'un sexe, à qui tout est possible ; v.1439 (Acte 5, scène 2, L'INFANTE)
- L'importance n'est pas d'aimer mais d'être aimé ; v.1457 (Acte 5, scène 2, DON BERNARD)
- Restreint dans ce respect je puis vous obéir, v.1460 (Acte 5, scène 2, DON BERNARD)
- Est le Prince mon frère, âme de cet empire, v.1486 (Acte 5, scène 3, L'INFANTE)
- Est cette Léonor, pour qui toute la Cour v.1488 (Acte 5, scène 3, L'INFANTE)
- Éprouvons aujourd'hui sa haine ou son estime, v.1526 (Acte 5, scène 5, DON LOPE)
- Je pourrais ( il est vrai ) passer pour téméraire, v.1538 (Acte 5, scène 5, DON LOPE)
- Mais la mienne est célèbre, et peu sans vanité, v.1540 (Acte 5, scène 5, DON LOPE)
- Ont fait ce que j'ai fait pour votre Majesté : v.1541 (Acte 5, scène 5, DON LOPE)
- C'est une qualité dont je me puis vanter : v.1549 (Acte 5, scène 5, DON LOPE)
- Est-il fol ? v.1555 (Acte 5, scène 5, LE ROI)
- Son geste vous le montre ? v.1555 (Acte 5, scène 5, L'INFANTE)
- Si de l'abord des Rois le mérite est indigne... v.1558 (Acte 5, scène 5, DON LOPE)
- Pour avoir si bien fait notre fortune est grande, v.1562 (Acte 5, scène 5, DON LOPE)
- Quand on sert on est sage, et fol quand on demande. v.1563 (Acte 5, scène 5, DON LOPE)
- Ce fol peint par ces mots, mon destin rigoureux, v.1564 (Acte 5, scène 6, LE ROI)
- Mon service est souffert, et ma prière offense ; v.1567 (Acte 5, scène 6, LE ROI)
- L'État, ma chère soeur, où Dieu m'a destiné, v.1568 (Acte 5, scène 6, LE ROI)
- Même par les mépris ma foi s'est excitée ; v.1611 (Acte 5, scène 7, DON LOPE)
- Est prodigue à la main, dont elle est déchirée, v.1615 (Acte 5, scène 7, DON LOPE)
- Est-ce fatal appas, cette mortelle feinte, v.1619 (Acte 5, scène 7, DON LOPE)
- Tenez votre fortune est en haute posture, v.1626 (Acte 5, scène 8, LAZARILLE)
- Mais quelle à votre avis est cette Violante ? v.1634 (Acte 5, scène 8, LAZARILLE)
- Aux célestes attraits dont l'Infante est pourvue ; v.1639 (Acte 5, scène 8, LAZARILLE)
- Mais par ce qu'il est seul et, qu'il n'a point de frère, v.1651 (Acte 5, scène 8, LAZARILLE)
- Pour son poil il est sien, pour l'avoir acheté ; v.1657 (Acte 5, scène 8, LAZARILLE)
- Qui chez l'Infante au reste a quelque autorité, v.1660 (Acte 5, scène 8, LAZARILLE)
- C'est une vieille fille et presque décrépite, v.1663 (Acte 5, scène 8, DON BERNARD)
- Cour où la valeur même est trop favorisée, v.1678 (Acte 5, scène 8, DON LOPE)
- Alors qu'elle est soufferte, ou n'est que méprisée : v.1679 (Acte 5, scène 8, DON LOPE)
- Où le plus haut crédit est le prix du mensonge ; v.1683 (Acte 5, scène 8, DON LOPE)
- Qui n'est à bien parler, qu'un servage doré, v.1684 (Acte 5, scène 8, DON LOPE)
- La Cour est généreuse, et le sort rend justice. v.1691 (Acte 5, scène 8, DON LOPE)
- L'objet qu'il caressait, est souvent foudroyé ; v.1728 (Acte 5, scène 9, DON BERNARD)
- Leur vol trop orgueilleux m'oblige à les restreindre. v.1741 (Acte 5, scène 9, DON BERNARD)
- Puisqu'à mon propre bien votre heur m'est préférable, v.1745 (Acte 5, scène 9, LE ROI)
- Ce vol est trop borné, s'il ne va qu'à ma soeur, v.1751 (Acte 5, scène 9, LE ROI)
- Si l'heur que je conçois, n'est une vérité, v.1763 (Acte 5, scène 10, DON BERNARD)
- N'est-elle plus aux Rois, qu'un songe, ou qu'une Idole ? v.1766 (Acte 5, scène 10, LÉONOR)
- Si je manque à ma foi, c'est pour vous la donner, v.1771 (Acte 5, scène 10, LE ROI)
- Et qui place en son trône, est une heureuse offense. v.1778 (Acte 5, scène 10, LÉONOR)
- Ce prodige animé dont les gestes guerriers, v.1783 (Acte 5, scène 10, DON BERNARD)
- Sa dernière infortune est encor son absence ; v.1790 (Acte 5, scène 10, DON BERNARD)
VENCESLAS (1648)
- Par le reste qu'en vous, elle me laissa d'elle. v.12 (Acte 1, scène 1, VENCESLAS)
- Perd beaucoup de son lustre, et s'est bien effacé, v.14 (Acte 1, scène 1, VENCESLAS)
- Est d'en posséder mieux, la parfaite raison ; v.26 (Acte 1, scène 1, VENCESLAS)
- Régner est un secret, dont la haute science, v.27 (Acte 1, scène 1, VENCESLAS)
- Est douce, au sentiment, de votre ambition ; v.30 (Acte 1, scène 1, VENCESLAS)
- S'il est doux, pour timide, et partisan du vice ; v.36 (Acte 1, scène 1, VENCESLAS)
- S'il entretient la paix, il n'est pas généreux ; v.38 (Acte 1, scène 1, VENCESLAS)
- S'il pardonne, il est mol ; s'il se venge, il est barbare ; v.39 (Acte 1, scène 1, VENCESLAS)
- S'il donne, il est prodigue ; et s'il épargne, avare ; v.40 (Acte 1, scène 1, VENCESLAS)
- En l'estime des siens, ne passe toute nue ; v.44 (Acte 1, scène 1, VENCESLAS)
- Et parce qu'il m'est cher, il vous est odieux : v.58 (Acte 1, scène 1, VENCESLAS)
- Encore, est-ce trop peu ; votre aveugle colère, v.63 (Acte 1, scène 1, VENCESLAS)
- Nécessaire à son roi, plus qu'il n'en est chéri ! v.74 (Acte 1, scène 1, VENCESLAS)
- C'est un emploi célèbre ! Et digne d'un grand cour ! v.77 (Acte 1, scène 1, VENCESLAS)
- Et c'est de vos leçons, qu'il faut que je l'apprenne ; v.80 (Acte 1, scène 1, VENCESLAS)
- Ou, du moins, on vous tient, en si mauvaise estime ; v.87 (Acte 1, scène 1, LE ROI)
- Est la punition, de cette impunité ; v.94 (Acte 1, scène 1, LE ROI)
- Efface son estime, et s'acquiert des mépris ; v.98 (Acte 1, scène 1, LE ROI)
- Quoiqu'on vous mésestime, on vous chérit encore ; v.104 (Acte 1, scène 1, LE ROI)
- Quelle guerre est nuisible, et quelle d'importance v.171 (Acte 1, scène 1, LADISLAS)
- N'est-ce pas, sur cet art (leur dis-je) et ces maximes, v.191 (Acte 1, scène 1, LADISLAS)
- Dont l'un est votre cour, si l'autre est votre bras, v.197 (Acte 1, scène 1, LADISLAS)
- J'ai haï l'un, il est vrai, cet insolent ministre, v.199 (Acte 1, scène 1, LADISLAS)
- Qui vous est précieux, autant, qu'il m'est sinistre ; v.200 (Acte 1, scène 1, LADISLAS)
- Arrêté les progrès, et restreint les limites ; v.216 (Acte 1, scène 1, LADISLAS)
- Mais, s'il n'est trop puissant pour craindre ma colère, v.219 (Acte 1, scène 1, LADISLAS)
- Où tout brillant qu'il est, il lui sera frivole, v.223 (Acte 1, scène 1, LADISLAS)
- Et c'est un des sujets, Seigneur, dont je me plains. v.226 (Acte 1, scène 1, LADISLAS)
- Ha ! J'atteste du ciel, le pouvoir souverain, v.238 (Acte 1, scène 1, LE PRINCE)
- Puisque, je suis au peuple, en si mauvaise estime, v.243 (Acte 1, scène 1, LE PRINCE)
- Essayons l'artifice, ou la rigueur est vaine ; v.248 (Acte 1, scène 1, LE ROI)
- N'est pas sans quelque erreur, et cette erreur m'est chère ; v.252 (Acte 1, scène 1, LE ROI)
- Prince, il est temps, qu'enfin, sur un trône commun ; v.257 (Acte 1, scène 1, LE ROI)
- Qu'est-ce encore ? Que me vouliez-vous dire ? v.268 (Acte 1, scène 2, LE ROI)
- Le Prince, est mon aîné je respecte son rang, v.273 (Acte 1, scène 2, ALEXANDRE)
- Ce respect est frivole ; v.344 (Acte 1, scène 4, LE ROI)
- La parole des rois, est un gage important, v.345 (Acte 1, scène 4, LE ROI)
- Il est d'un prix trop cher, pour en laisser la garde, v.347 (Acte 1, scène 4, LE ROI)
- N'est-ce pas de tes soins, et de ta diligence, v.383 (Acte 1, scène 6, LE PRINCE)
- C'est mon roi, c'est mon père, il est vrai, je m'emporte, v.392 (Acte 1, scène 6, LE PRINCE)
- Et ne vois sous l'éclat, dont il est revêtu, v.413 (Acte 2, scène 1, CASSANDRE)
- Aux vertueux, enfin, son amour est réduite ; v.420 (Acte 2, scène 1, CASSANDRE)
- C'est appeler l'honneur au secours de son vice ; v.424 (Acte 2, scène 1, CASSANDRE)
- Et puis, qu'est un palais, qu'une maison pompeuse, v.435 (Acte 2, scène 1, CASSANDRE)
- Sachons si mon hymen, ou mon cercueil est prêt. v.461 (Acte 2, scène 2, LE PRINCE)
- Parlez, belle ennemie, il est temps de résoudre ; v.463 (Acte 2, scène 2, LE PRINCE)
- L'hymen à vos beaux jours, joindra-t-il mon destin, v.469 (Acte 2, scène 2, LE PRINCE)
- Il est vrai, qu'ébloui de ces yeux adorables, v.487 (Acte 2, scène 2, LE PRINCE)
- Et c'est trop le punir, que de bannissement ; v.494 (Acte 2, scène 2, LE PRINCE)
- Et restreinte à l'espoir de notre hymen futur, v.501 (Acte 2, scène 2, LE PRINCE)
- Que détestant mon crime, à vos pieds me confond ; v.506 (Acte 2, scène 2, LE PRINCE)
- Cette offense est un mal, que je veux toujours faire, v.511 (Acte 2, scène 2, LE PRINCE)
- Mais, quand j'estimerais vos ardeurs véritables, v.515 (Acte 2, scène 2, CASSANDRE)
- Cette offense est un mal, que je veux toujours faire, v.531 (Acte 2, scène 2, CASSANDRE)
- Mais vous venger, ainsi, c'est vous punir vous-même ; v.551 (Acte 2, scène 2, THÉODORE)
- Il ne me reste plus, que la seule rougeur ; v.590 (Acte 2, scène 2, LE PRINCE)
- Tant que ce lâche cour s'est dit votre vaincu ; v.598 (Acte 2, scène 2, LE PRINCE)
- Ce n'est que d'aujourd'hui qu'il vit, et qu'il respire ; v.599 (Acte 2, scène 2, LE PRINCE)
- Détestent votre vue, à l'égard de la mort. v.602 (Acte 2, scène 2, LE PRINCE)
- À ne vous plus montrer, ce que vous détestez. v.606 (Acte 2, scène 2, CASSANDRE)
- C'est se plaindre d'un mal qu'on ne mérite pas, v.622 (Acte 2, scène 3, LE PRINCE)
- Avec combien d'orgueil elle s'est retirée ? v.635 (Acte 2, scène 3, LE PRINCE)
- C'est dans sa frénésie armer un furieux. v.638 (Acte 2, scène 3, LE PRINCE)
- Qui veut vaincre est déjà bien près de la victoire ; v.648 (Acte 2, scène 3, THÉODORE)
- Se faisant violence, on s'est bientôt dompté, v.649 (Acte 2, scène 3, TH?ODORE)
- Et rien n'est tant à nous que notre volonté. v.650 (Acte 2, scène 3, TH?ODORE)
- Hélas ! Il est aisé de juger de ma peine, v.651 (Acte 2, scène 3, LE PRINCE)
- Ce mystère, ma soeur, n'est plus une nouvelle, v.668 (Acte 2, scène 3, LE PRINCE)
- C'est de cette amour que procède ma haine ; v.671 (Acte 2, scène 3, LE PRINCE)
- Est-il rien de menteur comme vos vanités ? v.686 (Acte 2, scène 4, THÉODORE)
- Estimant sa conquête un heur à mépriser. v.690 (Acte 2, scène 4, TH?ODORE)
- C'est lui qui les protège, et c'est lui qui les donne ; v.716 (Acte 2, scène 4, TH?ODORE)
- Et d'un indifférent la perte m'est sensible : v.728 (Acte 2, scène 5, THÉODORE)
- C'est moi ma chère soeur qui réponds à Cassandre v.751 (Acte 2, scène 6, ALEXANDRE)
- Elle vous est suspecte, ou vous la violez, v.793 (Acte 3, scène 2, ALEXANDRE)
- Ne s'est point contenté de s'ouvrir à demi ; v.798 (Acte 3, scène 2, ALEXANDRE)
- Et c'est assez et trop qu'il fasse un malheureux, v.813 (Acte 3, scène 2, LE DUC)
- Sans irriter sa haine, elle est assez aigrie. v.833 (Acte 3, scène 2, LE DUC)
- Il est prince, Seigneur, respectons sa furie ; v.834 (Acte 3, scène 2, LE DUC)
- Tout précieux qu'il m'est, m'ordonnent d'oublier, v.840 (Acte 3, scène 2, LE DUC)
- C'est le plus digne objet où vous puissiez prétendre ; v.846 (Acte 3, scène 2, ALEXANDRE)
- D'un crime, dont Cassandre est la cause et l'excuse ; v.854 (Acte 3, scène 2, ALEXANDRE)
- Si c'est vous qui parlez, ou moi qui vous attends. v.860 (Acte 3, scène 2, LE DUC)
- Croiriez-vous l'adorant m'altérer votre estime. v.865 (Acte 3, scène 2, ALEXANDRE)
- Au reste, (et cet avis) s'ils vous étaient suspects v.879 (Acte 3, scène 2, LE DUC)
- Cassandre par le Prince est si persécutée v.881 (Acte 3, scène 2, LE DUC)
- Il n'est plut temps d'aimer sous un nom emprunté, v.884 (Acte 3, scène 2, LE DUC)
- Il est temps que l'hymen règle vos avantages. v.894 (Acte 3, scène 2, LE DUC)
- L'avis vient de sa part, il vous est important. v.896 (Acte 3, scène 2, LE DUC)
- La mande, (s'il est vrai ce qu'elle a pressenti) v.900 (Acte 3, scène 2, LE DUC)
- L'espérance d'un sceptre est brillante à ses yeux. v.904 (Acte 3, scène 2, LE DUC)
- Ne précipitez rien qu'il ne vous soit funeste, v.909 (Acte 3, scène 2, LE DUC)
- Mais vous souffrez bien peu d'un transport si modeste, v.910 (Acte 3, scène 2, LE DUC)
- Puisqu'il fait mon destin, qu'il règle mon devoir, v.915 (Acte 3, scène 2, ALEXANDRE)
- Trompons pour quelques jours jusqu'à ses domestiques v.918 (Acte 3, scène 2, ALEXANDRE)
- Et hors de ses plus chers dont le zèle est pour nous, v.919 (Acte 3, scène 2, ALEXANDRE)
- C'est l'ordre qu'on m'impose, où le Prince irrité v.943 (Acte 3, scène 3, CASSANDRE)
- Ou l'artisan des maux que le sort vous destine v.953 (Acte 3, scène 3, ALEXANDRE)
- L'ordre seul de l'affaire est à considérer : v.963 (Acte 3, scène 3, LE DUC)
- Détestent ma présence, à l'égard de la mort. v.976 (Acte 3, scène 4, CASSANDRE)
- Vous m'avez résisté la gloire en est commune : v.1002 (Acte 3, scène 4, LE PRINCE)
- Est bien vain, s'il espère et vante son crédit. v.1044 (Acte 3, scène 5, LE DUC)
- J'ai déjà sa parole, s'il en est besoin v.1047 (Acte 3, scène 5, LE PRINCE)
- Pour reprendre sitôt l'estime ou le mépris, v.1059 (Acte 3, scène 5, LE DUC)
- Le prix qu'on vous retient est un bien qu'on vous vole, v.1066 (Acte 3, scène 6, LE ROI)
- Le prix est si conjoint à l'heur de vous servir, v.1075 (Acte 3, scène 6, LE DUC)
- Que c'est une faveur qu'on ne me peut ravir ; v.1076 (Acte 3, scène 6, LE DUC)
- N'est-ce pas un loyer digne de cent combats ? v.1080 (Acte 3, scène 6, LE DUC)
- C'est trop que votre Roi soit votre redevable ; v.1082 (Acte 3, scène 6, LE ROI)
- Tranchez le cours du temps à mes jours destiné, v.1115 (Acte 3, scène 6, LE PRINCE)
- Est-ce un grand sujet d'en prendre l'épouvante ? v.1141 (Acte 4, scène 1, LEONOR)
- C'est les examiner d'un soin trop curieux, v.1151 (Acte 4, scène 1, LEONOR)
- D'où j'apprends que ma peur n'est pas sans fondement, v.1172 (Acte 4, scène 1, THÉODORE)
- Mon cour de son service à peine est diverti, v.1195 (Acte 4, scène 2, LE PRINCE)
- Contre mon propre effort s'est toujours révoltée, v.1206 (Acte 4, scène 2, LE PRINCE)
- Pendant qu'en l'escalier tout le monde est en plainte, v.1230 (Acte 4, scène 2, LE PRINCE)
- Tant qu'Octave passant, s'est donné le souci v.1239 (Acte 4, scène 2, LE PRINCE)
- Est-ce vous, Ladislas ? v.1256 (Acte 4, scène 4, LE ROI)
- Ne marquent plus qu'un corps dont l'âme est séparée ? v.1258 (Acte 4, scène 4, LE ROI)
- Me ménage avec soin ce reste de lumière ; v.1286 (Acte 4, scène 4, LE ROI)
- Vous à qui l'âge, encor, garde un si long destin ? v.1288 (Acte 4, scène 4, LE ROI)
- Mon destin de bien près touche son précipice ; v.1290 (Acte 4, scène 4, LE PRINCE)
- Ce bras (puisqu'il est vain de vous déguiser rien) v.1291 (Acte 4, scène 4, LE PRINCE)
- Le Duc est mort, Seigneur, et j'en suis l'homicide. v.1293 (Acte 4, scène 4, LE PRINCE)
- Ô Dieu ! Le Duc est mort, perfide ! v.1294 (Acte 4, scène 4, LE ROI)
- Le Duc est mort, barbare ! Et pour excuse enfin v.1295 (Acte 4, scène 4, LE ROI)
- Si le Duc est vivant, quelle vie ai-je éteinte ? v.1313 (Acte 4, scène 5, LE PRINCE)
- Votre majesté, Sire, a connue ma famille ! v.1325 (Acte 4, scène 6, CASSANDRE)
- Est descendu d'aïeux, issus de sang royal, v.1327 (Acte 4, scène 6, LE ROI)
- Mais avec différence, et d'objet, et d'estime, v.1333 (Acte 4, scène 6, CASSANDRE)
- L'infant, par sa vertu, s'est soumis ma franchise, v.1341 (Acte 4, scène 6, CASSANDRE)
- Cette adresse a trompé, jusqu'à nos domestiques ; v.1353 (Acte 4, scène 6, CASSANDRE)
- Ô Dieu ? L'infant est mort ! v.1369 (Acte 4, scène 6, LE ROI)
- Oui, Seigneur, il est mort, et je suivrai ses pas, v.1371 (Acte 4, scène 6, CASSANDRE)
- C'est votre propre sang, Seigneur, qu'on a versé, v.1375 (Acte 4, scène 6, CASSANDRE)
- Le mort est votre fils, et ma cause est la vôtre ; v.1378 (Acte 4, scène 6, CASSANDRE)
- Vous dit, que Ladislas, est meurtrier d'Alexandre : v.1386 (Acte 4, scène 6, CASSANDRE)
- Ce geste, encore, Seigneur, ce maintien interdit, v.1387 (Acte 4, scène 6, CASSANDRE)
- Le sien saura s'étendre, et n'est pas raccourci ; v.1428 (Acte 4, scène 6, CASSANDRE)
- Et j'estimerai plus une mort qui lui plaise v.1438 (Acte 4, scène 6, LE PRINCE)
- Qu'un destin qui pourrait m'affranchir du trépas, v.1439 (Acte 4, scène 6, LE PRINCE)
- Et pour dire à quel point ce cour est embrasé, v.1443 (Acte 4, scène 6, LE PRINCE)
- Puisqu'être sa victime, est un décret des cieux, v.1451 (Acte 4, scène 6, LE PRINCE)
- Mon épée ! Ha ! Mon crime est-il énorme au point ? v.1467 (Acte 4, scène 6, LE PRINCE)
- Presse la fin où tu m'a destiné, v.1471 (Acte 4, scène 6, LE PRINCE)
- Qui fera détester, son crime à nos neveux. v.1476 (Acte 4, scène 6, LE ROI)
- Ce coup, n'est pas, Madame, un crime à protéger, v.1483 (Acte 4, scène 7, LE ROI)
- Et l'un d'eux, qui par l'autre, aujourd'hui m'est ôté ; v.1487 (Acte 4, scène 7, LE ROI)
- M'oblige, à perdre encore, celui qui m'est resté ! v.1488 (Acte 4, scène 7, LE ROI)
- En vain, sa modestie, a voulu déguiser, v.1491 (Acte 5, scène 1, LEONOR)
- Et que j'apprends qu'il vit, j'apprends qu'un frère est mort ! v.1500 (Acte 5, scène 1, THÉODORE)
- Je plains également, l'un et l'autre destin : v.1504 (Acte 5, scène 1, TH?ODORE)
- Cette épreuve, Madame, est facile à tenter ; v.1512 (Acte 5, scène 2, LE DUC)
- Aussi, par ma raison, n'est-il pas approuvé ! v.1524 (Acte 5, scène 2, LE DUC)
- Ne cherchez point d'excuse, en votre modestie, v.1525 (Acte 5, scène 2, THÉODORE)
- Le beau feu, dont pour vous, ce cour est embrasé, v.1539 (Acte 5, scène 2, LE DUC)
- Tant s'en faut, cette épreuve est de tenir caché, v.1543 (Acte 5, scène 2, THÉODORE)
- N'est-ce pas m'ordonner de vivre, et de mourir ! v.1564 (Acte 5, scène 2, LE DUC)
- À ma justice en vain, ta tendresse est contraire, v.1573 (Acte 5, scène 3, LE ROI)
- S'il est temps de partir, mon âme est toute prête. v.1597 (Acte 5, scène 4, LE PRINCE)
- L'échafaud l'est aussi, portez-y votre tête ; v.1598 (Acte 5, scène 4, LE ROI)
- Mais ou l'art de régner n'est plus une vertu, v.1608 (Acte 5, scène 4, LE ROI)
- Et c'est une chimère aux rois que la justice ; v.1609 (Acte 5, scène 4, LE ROI)
- D'un bras qui s'est mépris, et crut trop ma fureur ; v.1616 (Acte 5, scène 4, LE PRINCE)
- C'est un léger tribut, qu'une vie à quitter, v.1628 (Acte 5, scène 4, LE PRINCE)
- C'est peu pour satisfaire, et pour plaire à Cassandre, v.1629 (Acte 5, scène 4, LE PRINCE)
- À quoi que votre cour, destine votre mort, v.1635 (Acte 5, scène 4, LE ROI)
- Toute obscure qu'elle est, la nuit a beaucoup d'yeux, v.1639 (Acte 5, scène 4, LE ROI)
- Si né, pour commander, et destiné si haut, v.1643 (Acte 5, scène 4, LE ROI)
- J'apprends, qu'au Prince, hélas ! L'arrêt est prononcé, v.1659 (Acte 5, scène 6, THÉODORE)
- Que de son châtiment, l'appareil est dressé ; v.1660 (Acte 5, scène 6, TH?ODORE)
- C'est trop, qu'en votre fils, condamner une erreur ; v.1664 (Acte 5, scène 6, TH?ODORE)
- Du carnage d'un frère, un frère est incapable, v.1665 (Acte 5, scène 6, TH?ODORE)
- De cet assassinat, la nuit seule est coupable ; v.1666 (Acte 5, scène 6, TH?ODORE)
- Et par son propre crime, il est assez puni ; v.1668 (Acte 5, scène 6, TH?ODORE)
- N'est pas moins la vertu d'un roi que la justice ; v.1670 (Acte 5, scène 6, TH?ODORE)
- La justice est souvent, le masque du courroux ; v.1672 (Acte 5, scène 6, TH?ODORE)
- Ce lion est dompté, mais peut-être, Madame, v.1709 (Acte 5, scène 6, LE ROI)
- La pitié qu'il vous cause, est digne d'un grand cour, v.1715 (Acte 5, scène 6, LE ROI)
- Mais, si je veux régner, il l'est de ma rigueur, v.1716 (Acte 5, scène 6, LE ROI)
- C'est en ce moment, Sire, v.1721 (Acte 5, scène 7, LE DUC)
- Qu'il est prince, en effet, et qu'il peut se le dire ! v.1722 (Acte 5, scène 7, LE DUC)
- Il n'est plus en état, de m'imposer silence, v.1726 (Acte 5, scène 7, LE DUC)
- Il est juste, et fut il, de toute ma province. v.1729 (Acte 5, scène 7, LE ROI)
- Je le restreins, Seigneur, à la grâce du prince. v.1730 (Acte 5, scène 7, LE DUC)
- Contre votre refus, m'est un gage assuré ; v.1732 (Acte 5, scène 7, LE DUC)
- C'est peu, que pour un prince, une faute s'efface ! v.1737 (Acte 5, scène 7, LE DUC)
- Le seul sang de l'Infant, par son crime est versé, v.1739 (Acte 5, scène 7, LE DUC)
- Mais par son châtiment, tout l'État est blessé ; v.1740 (Acte 5, scène 7, LE DUC)
- Sa cause, quoiqu'injuste, est la cause publique ! v.1741 (Acte 5, scène 7, LE DUC)
- Il n'est pas toujours bon, d'être trop politique, v.1742 (Acte 5, scène 7, LE DUC)
- Proteste de périr, ou lui sauver la vie ; v.1750 (Acte 5, scène 8, OCTAVE)
- Et si cette chaleur, n'est bientôt apaisée, v.1753 (Acte 5, scène 8, OCTAVE)
- C'est assez, faites-le moi venir. v.1756 (Acte 5, scène 8, LE ROI)
- Est l'unique moyen, que j'ai pu concevoir, v.1767 (Acte 5, scène 9, LE ROI)
- Voulant que vous viviez, qu'il est las que je règne ; v.1774 (Acte 5, scène 9, LE ROI)
- La justice est aux rois, la reine des vertus, v.1775 (Acte 5, scène 9, LE ROI)
- Et me vouloir injuste, est ne me vouloir plus ; v.1776 (Acte 5, scène 9, LE ROI)
- C'est hors, de mon pouvoir, mettre votre pardon : v.1780 (Acte 5, scène 9, LE ROI)
- Une perte est aisée, ou l'amour vous convie ; v.1785 (Acte 5, scène 9, LE ROI)
- Par quel heureux destin, Duc, ai-je mérité, v.1807 (Acte 5, scène 9, LE PRINCE)
- J'implore une faveur de votre majesté. v.1812 (Acte 5, scène 9, LE DUC)
- Il est de tout l'État, la force, et l'ornement, v.1831 (Acte 5, scène 9, LE PRINCE)
- Est que vous demeuriez, l'âme de cet Empire v.1834 (Acte 5, scène 9, LE PRINCE)
- C'est à ce prix, Seigneur, qu'aspirait mon crédit ! v.1843 (Acte 5, scène 9, LE DUC)
AMARILLIS (1653)
- Ce lieu comme Lyon est rempli de délices. v.13 (Acte 1, scène 1, BÉLISE)
- Dans les Palais d'Issoire on est en sûreté, v.20 (Acte 1, scène 1, LISMÈNE)
- Il est bien mal aisé qu'un autre objet vous blesse, v.34 (Acte 1, scène 1, LISM?NE)
- Vous la savez, pourtant ; c'est que jusqu'à ce jour, v.39 (Acte 1, scène 1, LISMÈNE)
- Que n'est-il vrai Tyrène ? v.43 (Acte 1, scène 1, BÉLISE)
- Ô Dieux qu'elle est adroite ! Il est vrai que leurs chants v.47 (Acte 1, scène 1, LISMÈNE)
- Il est Roi parmi nous, il est Tyran ailleurs. v.56 (Acte 1, scène 1, LISM?NE)
- Et contre ses écrits une âme est sans défense : v.66 (Acte 1, scène 1, LISMÈNE)
- Si bien, que ce perfide est le seul qui lui plaît, v.79 (Acte 1, scène 1, BÉLISE)
- Et qu'elle l'aime encor, tout volage qu'il est, v.80 (Acte 1, scène 1, B?LISE)
- Et c'est l'intention de mon coeur désolé ; v.87 (Acte 1, scène 1, BÉLISE)
- Il est vrai que Tyrène a mon coeur enflammé ; v.91 (Acte 1, scène 1, B?LISE)
- Mais j'ignorais le mal qui m'était destiné, v.95 (Acte 1, scène 1, B?LISE)
- Et c'est où j'ai connu, qu'amour vous a touchée. v.102 (Acte 1, scène 1, LISMÈNE)
- Tyrène est d'un esprit, et d'une humeur aimable, v.105 (Acte 1, scène 1, LISM?NE)
- Et sa condition à la vôtre est sortable. v.106 (Acte 1, scène 1, LISM?NE)
- Quiconque est riche, enfin partout peut être gendre, v.130 (Acte 1, scène 1, BÉLISE)
- De ce Siècle pervers c'est le plus riche don, v.131 (Acte 1, scène 1, B?LISE)
- C'est ainsi qu'on le dit. v.141 (Acte 1, scène 1, BÉLISE)
- On connaît à sa voix que son coeur est atteint. v.165 (Acte 1, scène 2, LISMÈNE)
- Et l'on veut t'accorder le bonheur qui t'est dû. v.174 (Acte 1, scène 2, LISMÈNE)
- Tyrène, une maîtresse est d'humeur plus discrète, v.187 (Acte 1, scène 2, LISMÈNE)
- Si ton coeur n'est l'objet de ses plus doux souhaits ; v.190 (Acte 1, scène 2, LISM?NE)
- Et tu m'as si bien su prouver ce qui n'est pas. v.206 (Acte 1, scène 3, BÉLISE)
- Quoi Bélise, est-ce vous que je trouve en ces lieux ? v.209 (Acte 1, scène 3, TYRÈNE)
- Il n'en est point ainsi de ton âme inconstante ; v.212 (Acte 1, scène 3, BÉLISE)
- En toi tout est changé jusqu'à l'habillement, v.214 (Acte 1, scène 3, B?LISE)
- Mais un secret destin porte mes voeux ailleurs. v.230 (Acte 1, scène 3, TYRÈNE)
- Dis qu'un secret destin porte ailleurs ta folie. v.231 (Acte 1, scène 3, BÉLISE)
- Bélise est toujours gaie, et sans mélancolie. v.232 (Acte 1, scène 3, TYRÈNE)
- Elle est de son instinct sujette au changement. v.238 (Acte 1, scène 3, BÉLISE)
- C'est un sujet d'en rire ou l'on n'en eut jamais. v.242 (Acte 1, scène 3, B?LISE)
- Si tu considérais combien l'absence est forte, v.243 (Acte 1, scène 3, TYRÈNE)
- Il est vrai ta constance est digne qu'on t'adore ! v.247 (Acte 1, scène 3, BÉLISE)
- Ma mémoire est trop bonne, et trop officieuse. v.256 (Acte 1, scène 3, BÉLISE)
- Donnez un mot au mal dont mon âme est atteinte. v.284 (Acte 1, scène 4, TYRÈNE)
- Ce n'est que de mon coeur que leurs plaisirs dépendent, v.287 (Acte 1, scène 4, AMARILLIS)
- Si la plainte est plus juste, où la fortune est pire, v.296 (Acte 1, scène 4, TYRÈNE)
- Ô qu'il est satisfait et qu'il profite au change, v.311 (Acte 1, scène 5, BÉLISE)
- Tyrène, qui méprise est enfin méprisé. v.313 (Acte 1, scène 5, B?LISE)
- J'éprouve qu'il est vrai que l'Amour n'a point d'yeux, v.325 (Acte 1, scène 5, BÉLISE)
- Je réputais jadis mon destin glorieux, v.326 (Acte 1, scène 5, B?LISE)
- Je n'estime plus tant les charmes de ta voix, v.333 (Acte 1, scène 5, B?LISE)
- Mon âme s'est rendue à de faibles atteintes, v.335 (Acte 1, scène 5, B?LISE)
- Mais cet abaissement est honteux à Tyrène. v.340 (Acte 1, scène 5, B?LISE)
- Elle n'estime rien que ses propres appas, v.345 (Acte 1, scène 5, TYRÈNE)
- Sa broderie est riche, et jette des éclats v.353 (Acte 1, scène 5, TYRÈNE)
- Il m'est aisé de feindre, et de tromper sa vue. v.360 (Acte 1, scène 5, BÉLISE)
- Cette peinture est belle, et je te prie achève. v.419 (Acte 2, scène 1, PREMIER SATYRE)
- S'essuyait en tous lieux, comme c'est la raison. v.426 (Acte 2, scène 1, TROISIÈME SATYRE)
- C'est le fils de Luxure ; ou du moins son Neveu. v.438 (Acte 2, scène 1, TROISIÈME SATYRE)
- Pour les plaisirs d'amour, il est insatiable. v.439 (Acte 2, scène 1, PREMIER SATYRE)
- Pour être si petit, il est ribaud en Diable. v.440 (Acte 2, scène 1, TROISIÈME SATYRE)
- On a qu'à remarquer vos mines et vos gestes, v.443 (Acte 2, scène 1, DEUXIÈME SATYRE)
- On vous prendra tous deux pour bouquins fort modestes. v.444 (Acte 2, scène 1, DEUXI?ME SATYRE)
- Il n'est point de fétu, de paille, ou de hasard, v.453 (Acte 2, scène 1, DEUXIÈME SATYRE)
- Qui peut, si ce n'est vous, chérir mes intérêts ? v.461 (Acte 2, scène 2, AMARILLIS)
- Il est bien malaisé qu'il fasse tout paraître ; v.464 (Acte 2, scène 2, DAPHNÉ)
- Qui même n'est pas su des plus chers confidents. v.466 (Acte 2, scène 2, DAPHN?)
- Mais surtout en amour la plus libre est secrète, v.467 (Acte 2, scène 2, DAPHN?)
- Et comme elle est aveugle, elle est aussi muette. v.468 (Acte 2, scène 2, DAPHN?)
- Ha ma soeur ! pensez-vous qu'on le puisse estimé ? v.473 (Acte 2, scène 2, DAPHN?)
- L'Amour est un archer qui n'a jamais failli, v.477 (Acte 2, scène 2, DAPHN?)
- Si le coeur ne se rend quand il est assailli, v.478 (Acte 2, scène 2, DAPHN?)
- Il est maître des coeurs qui se laissent dompter, v.481 (Acte 2, scène 2, AMARILLIS)
- Cet enfant vole-t-il, faible encor comme il est ? v.486 (Acte 2, scène 2, AMARILLIS)
- Et mon âme à ses traits est toute disposée. v.492 (Acte 2, scène 2, AMARILLIS)
- Vois comme elle me fuit, l'insensible qu'elle est v.510 (Acte 2, scène 3, PHILIDAS)
- Philidas elle est fille, et la fille est changeante, v.515 (Acte 2, scène 3, CÉLIDAN)
- Ne l'avoir pas suivie, est un pas pour l'atteindre, v.519 (Acte 2, scène 3, C?LIDAN)
- La feinte est mal aisée, et ne nous sert de rien. v.538 (Acte 2, scène 3, PHILIDAS)
- Puisque c'est le dessein qui t'amène en ces bois, v.542 (Acte 2, scène 3, CÉLIDAN)
- On estime aujourd'hui que les fruits de ta veine. v.544 (Acte 2, scène 3, C?LIDAN)
- Il est vrai que j'ai l'art de flatter qui me plaît, v.545 (Acte 2, scène 3, PHILIDAS)
- Je peints, quand bon me semble, un oeil plus beau qu'il n'est. v.546 (Acte 2, scène 3, PHILIDAS)
- Et j'ai fait estimer cent visages divers v.552 (Acte 2, scène 3, PHILIDAS)
- Mais tout est au-dessous de sa beauté parfaite : v.554 (Acte 2, scène 3, PHILIDAS)
- Ma Muse en ce travail est timide et muette ; v.555 (Acte 2, scène 3, PHILIDAS)
- Je ne puis estimer de style que le tien. v.565 (Acte 2, scène 3, CÉLIDAN)
- Ce style est au-dessus de ton style ordinaire, v.615 (Acte 2, scène 3, CÉLIDAN)
- Achève, cher ami, c'est trop bien commencé, v.617 (Acte 2, scène 3, C?LIDAN)
- Ce feu grand et subtil est aussi tôt passé. v.618 (Acte 2, scène 3, C?LIDAN)
- Et c'est bien vainement qu'un malheureux présume v.623 (Acte 2, scène 3, PHILIDAS)
- Est-il quelque martyre égal à mes travaux ? v.626 (Acte 2, scène 3, PHILIDAS)
- Mais que mon oeil est las de souffrir la lumière, v.627 (Acte 2, scène 3, PHILIDAS)
- Et qu'il est malaisé d'éviter leur présence. v.632 (Acte 2, scène 4, AMARILLIS)
- Je vante son esprit, j'estime ses discours ; v.641 (Acte 2, scène 4, AMARILLIS)
- Il faut ouïr le reste. v.665 (Acte 2, scène 4, DAPHNÉ)
- Qu'il est insensé, v.683 (Acte 2, scène 4, AMARILLIS)
- Son pouvoir t'est suspect, prenant pour lui les armes, v.704 (Acte 2, scène 4, AMARILLIS)
- Qu'elle est dissimulée. v.710 (Acte 2, scène 4, DAPHNÉ)
- Je lui veux obéir, tout endormi qu'il est. v.719 (Acte 2, scène 4, AMARILLIS)
- C'est mon frère en ces lieux arrivé fraîchement. v.726 (Acte 2, scène 5, TYRÈNE)
- Ô Dieux qu'il est charmant ! v.727 (Acte 2, scène 5, DAPHNÉ)
- Ce discours est fondé sur beaucoup d'apparence, v.736 (Acte 2, scène 5, CLÉONTE)
- Vous voir sans soupirer, cela n'est pas possible, v.740 (Acte 2, scène 5, CLÉONTE)
- Je ne suis pas de roche, et mon coeur est sensible. v.741 (Acte 2, scène 5, CL?ONTE)
- Il est trop vrai, mon frère, v.744 (Acte 2, scène 5, CLÉONTE)
- Nous souffrons le Soleil, et le logis est près, v.755 (Acte 2, scène 5, AMARILLIS)
- L'oser imaginer, c'est en paraître indigne. v.777 (Acte 2, scène 6, PHILIDAS)
- Donc il m'est ordonné de vivre et d'espérer ? v.799 (Acte 3, scène 1, PHILIDAS)
- Oui, je vis, et j'espère un destin plus humain, v.802 (Acte 3, scène 1, PHILIDAS)
- C'est assez, Philidas, que chacun songe à soi, v.822 (Acte 3, scène 1, AMARILLIS)
- Je ne conserve point ce qui n'est point à moi. v.823 (Acte 3, scène 1, AMARILLIS)
- Philidas n'est pas sourd. v.831 (Acte 3, scène 1, PHILIDAS)
- Il est bien abusé quand il croit que je l'aime. v.841 (Acte 3, scène 1, AMARILLIS)
- Je l'estime beaucoup, en êtes-vous jaloux ? v.859 (Acte 3, scène 2, AMARILLIS)
- Vous devez avouer qu'il est fort agréable. v.860 (Acte 3, scène 2, TYRÈNE)
- C'est en dire beaucoup. v.862 (Acte 3, scène 2, TYRÈNE)
- Il est la vertu même. v.863 (Acte 3, scène 2, AMARILLIS)
- Il est vrai que la mienne est un but, où Tyrène v.868 (Acte 3, scène 2, AMARILLIS)
- Je l'aperçois qui vient ; ô Dieu ! qu'il est charmant. v.870 (Acte 3, scène 2, TYRÈNE)
- Que Cléonte est chagrin ! v.874 (Acte 3, scène 3, AMARILLIS)
- Et qu'il l'est justement. v.874 (Acte 3, scène 3, CLÉONTE)
- Bergère, sa beauté m'est peu considérable ; v.881 (Acte 3, scène 3, CLÉONTE)
- Que la franchise est rare en ce siècle où nous sommes ! v.888 (Acte 3, scène 3, AMARILLIS)
- La feinte seulement est la vertu des hommes, v.889 (Acte 3, scène 3, AMARILLIS)
- Surtout l'art de tromper est fréquent à la Cour ; v.890 (Acte 3, scène 3, AMARILLIS)
- Enfin tous sont Amants, et si pas un ne l'est. v.895 (Acte 3, scène 3, AMARILLIS)
- C'est déjà trop parler Dieux quelle ardeur me presse ! v.904 (Acte 3, scène 3, CLÉONTE)
- Il est atteint déjà, cruelle, et permettez, v.918 (Acte 3, scène 3, CLÉONTE)
- Que j'atteste le Ciel et toute la Nature, v.920 (Acte 3, scène 3, CL?ONTE)
- C'est qu'ils n'en trouvent pas d'égaux à leur offense, v.932 (Acte 3, scène 3, AMARILLIS)
- La Bergère est touchée, et je le suis aussi. v.939 (Acte 3, scène 4, TYRÈNE)
- Il n'est rien de pareil à son rare mérite, v.940 (Acte 3, scène 4, TYR?NE)
- Elle n'est pas ici. v.946 (Acte 3, scène 5, DAPHNÉ)
- Dont l'esprit est charmant, la beauté sans seconde, v.953 (Acte 3, scène 5, TYRÈNE)
- C'est à Cléonte, enfin. v.954 (Acte 3, scène 5, TYR?NE)
- Vos yeux vous diront mieux si son coeur est atteint. v.959 (Acte 3, scène 5, TYRÈNE)
- Ô rigoureux malheur ! Ma soeur en est aimée, v.965 (Acte 3, scène 5, DAPHNÉ)
- Ce nom est maintenant une honorable injure, v.973 (Acte 3, scène 6, CÉLIDAN)
- Je crois que ton amour est un peu refroidie. v.981 (Acte 3, scène 6, CÉLIDAN)
- Je vous atteste, ô Dieux ! Mais qu'est-il nécessaire v.1000 (Acte 4, scène 1, CLÉONTE)
- La foudre que je crains est celle de vos yeux. v.1003 (Acte 4, scène 1, CLÉONTE)
- Mon oeil vous dit-il pas que c'est vous qui les faites ? v.1015 (Acte 4, scène 1, CLÉONTE)
- Dieux ! Qu'est-ce que j'entends ? v.1020 (Acte 4, scène 1, CÉLIDAN)
- Toute froide qu'elle est, je sais qu'elle vous prise, v.1026 (Acte 4, scène 1, DAPHNÉ)
- C'est me bien obéir, que de m'être fidèle. v.1031 (Acte 4, scène 1, DAPHNÉ)
- Si rien est comparable à ma fidélité. v.1033 (Acte 4, scène 1, CLÉONTE)
- Son frère a témoigné qu'il est homme de coeur, v.1041 (Acte 4, scène 2, PHILIDAS)
- Oui vaillant, mais modeste. v.1054 (Acte 4, scène 2, CLÉONTE)
- Cherche un de tes amis, nous ferons ce qui reste. v.1055 (Acte 4, scène 2, CÉLIDAN)
- Est-il donc insensé ? parle-t-il tout de bon ? v.1061 (Acte 4, scène 2, CÉLIDAN)
- Enfin c'est trop railler, et vous laisser en peine ; v.1063 (Acte 4, scène 2, CLÉONTE)
- C'est l'effet, Célidan, de vos soupçons jaloux. v.1065 (Acte 4, scène 2, CL?ONTE)
- Le terme n'est pas long. v.1071 (Acte 4, scène 2, PHILIDAS)
- Il est vrai, Philidas, mais c'est pour votre bien. v.1077 (Acte 4, scène 2, CLÉONTE)
- Et peu s'en est fallu que deux Amants jaloux v.1108 (Acte 4, scène 3, CLÉONTE)
- Ce n'est qu'un en ces lieux que m'aimer et me voir, v.1113 (Acte 4, scène 3, CLÉONTE)
- Tyrène est bien heureux, s'il s'en peut exempter. v.1117 (Acte 4, scène 3, CL?ONTE)
- Cette règle d'amour t'est encore inconnue. v.1123 (Acte 4, scène 3, CLÉONTE)
- Vous aimez à rêver, ce visage est changé. v.1128 (Acte 4, scène 4, DAPHNÉ)
- Je m'abuse, ma soeur, ou l'amour s'est vengé ; v.1129 (Acte 4, scène 4, DAPHN?)
- Je ne vous entends plus estimer vos liens, v.1132 (Acte 4, scène 4, AMARILLIS)
- Au moins ce choix est juste, et mon coeur enflammé v.1152 (Acte 4, scène 4, AMARILLIS)
- Le choix est libre encor à mes affections. v.1157 (Acte 4, scène 4, AMARILLIS)
- J'estime comme vous ses rares qualités. v.1160 (Acte 4, scène 4, DAPHNÉ)
- Vous les estimez tant, que vous les ressentez. v.1161 (Acte 4, scène 4, AMARILLIS)
- Et vous m'importunez de trop de questions, v.1165 (Acte 4, scène 4, AMARILLIS)
- Depuis que cet Amant s'est fait voir en ces lieux, v.1172 (Acte 4, scène 4, AMARILLIS)
- Son coeur à tous moments est trahi par sa bouche, v.1175 (Acte 4, scène 4, AMARILLIS)
- Et tant de questions font assez présumer v.1176 (Acte 4, scène 4, AMARILLIS)
- Que ce teint est changé ! Quelle douleur vous presse ? v.1178 (Acte 4, scène 5, CLÉONTE)
- Dieux ! qu'est-ce que je vois ? v.1179 (Acte 4, scène 5, CL?ONTE)
- Ma seule affection vous est considérable, v.1186 (Acte 4, scène 5, CLÉONTE)
- Et le moindre mérite est au mien préférable ; v.1187 (Acte 4, scène 5, CL?ONTE)
- Je connais mes défauts ; pour me bien estimer v.1188 (Acte 4, scène 5, CL?ONTE)
- J'attesterais en vain les hommes et les Dieux, v.1200 (Acte 4, scène 5, CLÉONTE)
- Est la fontaine enfin des vérités d'amour. v.1205 (Acte 4, scène 5, AMARILLIS)
- La Bergère qui vient est à mon autre Amante. v.1218 (Acte 4, scène 5, CLÉONTE)
- Là, si comme mes feux ton amour est certaine, v.1227 (Acte 4, scène 6, CLÉONTE)
- Que toucher une fille est une chose aisée ! v.1240 (Acte 4, scène 6, CLÉONTE)
- Étant ce que je suis, c'est en cette aventure. v.1244 (Acte 4, scène 6, CL?ONTE)
- Tout beau, c'est un peu trop. v.1254 (Acte 4, scène 7, PREMIER SATYRE)
- Ce n'est pas trop pour moi. v.1254 (Acte 4, scène 7, DEUXIÈME SATYRE)
- Ce péril n'est pas grand pour un homme dispos. v.1258 (Acte 4, scène 7, DEUXIÈME SATYRE)
- Déjà plus d'un Satyre en est sur la litière. v.1259 (Acte 4, scène 7, PREMIER SATYRE)
- Ah ! qu'il est dangereux pour les gens qui sommeillent. v.1267 (Acte 4, scène 7, PREMIER SATYRE)
- Ah ! qu'il est redoutable à ceux qui se réveillent. v.1268 (Acte 4, scène 7, DEUXIÈME SATYRE)
- C'est bien manquer, et mériter son mal. v.1281 (Acte 5, scène 1, CÉLIDAN)
- Il est adoré d'elle, et son intention v.1285 (Acte 5, scène 1, C?LIDAN)
- Est d'arriver par feinte à sa possession. v.1286 (Acte 5, scène 1, C?LIDAN)
- Ce que je vous ai dit, n'est qu'une raillerie, v.1304 (Acte 5, scène 2, CLÉONTE)
- C'est tenir trop longtemps votre esprit en balance. v.1307 (Acte 5, scène 2, CL?ONTE)
- J'ai disposé son coeur à n'estimer que vous. v.1337 (Acte 5, scène 3, CLÉONTE)
- Pour servir cette belle il n'est point de danger v.1341 (Acte 5, scène 3, PHILIDAS)
- Il est besoin de plus. v.1351 (Acte 5, scène 3, CLÉONTE)
- Si mon bonheur n'est faux, que je vous dois de voeux ! v.1362 (Acte 5, scène 3, PHILIDAS)
- Il est déjà bien tard, et mon fidèle Amant v.1369 (Acte 5, scène 4, AMARILLIS)
- Peste qu'il frappe fort. v.1389 (Acte 5, scène 6, PREMIER SATYRE)
- C'est l'effet seulement de mon obéissance, v.1395 (Acte 5, scène 6, PHILIDAS)
- La chose est très certaine. v.1403 (Acte 5, scène 6, PHILIDAS)
- Est-il un crime égal à ton ingratitude ? v.1420 (Acte 5, scène 6, AMARILLIS)
- Peste de l'Univers ? le plus méchant des hommes ! v.1424 (Acte 5, scène 6, AMARILLIS)
- Quelle rage est pareille à mon ressentiment ? v.1433 (Acte 5, scène 7, AMARILLIS)
- Quoi tu parais encor, détestable parjure ? v.1443 (Acte 5, scène 7, AMARILLIS)
- Il est l'unique objet de l'ardeur qui m'enflamme, v.1447 (Acte 5, scène 7, CLÉONTE)
- Nos destins sont unis par un même lien, v.1449 (Acte 5, scène 7, CL?ONTE)
- Dieux qu'il est insensé ? Croit-il être Bergère ? v.1454 (Acte 5, scène 7, AMARILLIS)
- Ma soeur est endormie, v.1476 (Acte 5, scène 8, DAPHNÉ)
- J'entends du bruit, c'est lui. v.1480 (Acte 5, scène 8, DAPHN?)
- Cher Cléonte, est-ce vous ? v.1481 (Acte 5, scène 9, DAPHNÉ)
- Ô dieux c'est Célidan ! v.1484 (Acte 5, scène 9, DAPHNÉ)
- Cléonte s'est moqué, ce vainqueur glorieux v.1490 (Acte 5, scène 9, CÉLIDAN)
- Le superbe qu'il est ne considère pas v.1494 (Acte 5, scène 9, C?LIDAN)
- Oui, c'est lui-même, et je jure, v.1500 (Acte 5, scène 9, CÉLIDAN)
- Vois s'il t'est glorieux de vanter ta conquête, v.1505 (Acte 5, scène 9, C?LIDAN)
- Qu'est-ce ? que voulez-vous ? v.1508 (Acte 5, scène 10, CLÉONTE)
- Quoi vous ? est-ce un affront que mon indifférence ? v.1512 (Acte 5, scène 10, CLÉONTE)
- Qu'est-ce qu'un inconnu doit à votre espérance ? v.1513 (Acte 5, scène 10, CL?ONTE)
- Ah ma soeur ! c'est assez, v.1518 (Acte 5, scène 10, AMARILLIS)
- L'honneur de vos baisers est son bien le plus doux, v.1522 (Acte 5, scène 10, AMARILLIS)
- Elle a perdu l'esprit ! Dieux qu'est-ce que j'entends ? v.1530 (Acte 5, scène 10, DAPHNÉ)
- Et pour vos deux beautés mon ardeur est pareille, v.1533 (Acte 5, scène 10, CLÉONTE)
- Reconnaissez l'erreur dont votre âme est blessée, v.1537 (Acte 5, scène 10, LISMÈNE)
- Ce cavalier est fille, et ce soir mêmement v.1538 (Acte 5, scène 10, LISM?NE)
- Pour le même que vous nous l'avons estimé, v.1542 (Acte 5, scène 10, AMARILLIS)
- Une faute si belle est toujours pardonnable. v.1544 (Acte 5, scène 10, AMARILLIS)
CLÉAGÉNOR et DORISTÉE (1634)
- Et quel secret destin arrête ici mes pas v.3 (Acte 1, scène 1, CLÉAGÉNOR)
- Et l'onde m'est ingrate aussi bien que la terre, v.10 (Acte 1, scène 1, CL?AG?NOR)
- Contre un mal si cruel mon courage est si fort, v.19 (Acte 1, scène 1, CL?AG?NOR)
- Et je vis si longtemps quand mon espoir est mort. v.20 (Acte 1, scène 1, CL?AG?NOR)
- Que je dois à mon sort un bien inestimable, v.21 (Acte 1, scène 2, THÉANDRE)
- Quel est cet accident ? v.29 (Acte 1, scène 2, THÉANDRE)
- Comment, Cléagénor est de ces amoureux, v.31 (Acte 1, scène 2, THÉANDRE)
- Me plaindre et soupirer est tout ce que je puis, v.36 (Acte 1, scène 2, CLÉAGÉNOR)
- Si tu me veux laisser la force qui me reste, v.44 (Acte 1, scène 2, CLÉAGÉNOR)
- Ami, dispense-moi d'un rapport si funeste v.45 (Acte 1, scène 2, CL?AG?NOR)
- Doristée est l'objet dont les aimables charmes. v.52 (Acte 1, scène 2, CLÉAGÉNOR)
- C'est celle que je sers. v.54 (Acte 1, scène 2, CLÉAGÉNOR)
- C'est là que cet objet dont toute âme est ravie v.56 (Acte 1, scène 2, CLÉAGÉNOR)
- Attendant un festin dressé superbement v.86 (Acte 1, scène 2, CLÉAGÉNOR)
- Nous parlions à l'envi de notre destinée. v.89 (Acte 1, scène 2, CL?AG?NOR)
- La Victoire est à nous Menandre a Doristée, v.100 (Acte 1, scène 2, CL?AG?NOR)
- Et je reste en ce lieu froid et sans mouvement. v.107 (Acte 1, scène 2, CL?AG?NOR)
- Et dessus toutes deux mon espérance est vaine v.121 (Acte 1, scène 2, CLÉAGÉNOR)
- Ami ta peine est grande, il faut que je l'avoue ; v.124 (Acte 1, scène 2, THÉANDRE)
- Ainsi les plus heureux ont un frêle destin v.126 (Acte 1, scène 2, TH?ANDRE)
- Et tel n'est pas le soir ce qu'il fut le matin v.127 (Acte 1, scène 2, TH?ANDRE)
- Mon malheur est extrême car je n'espère plus, v.131 (Acte 1, scène 2, CLÉAGÉNOR)
- La maison n'est pas loin. v.138 (Acte 1, scène 2, THÉANDRE)
- Ce qu'un juste butin est à son possesseur. v.155 (Acte 1, scène 3, OZANOR)
- Frappe, j'attends le coup ma gorge s'est offerte ? v.160 (Acte 1, scène 3, DORISTÉE)
- Non non, ce sein est prêt, suis ta brutale envie v.172 (Acte 1, scène 3, DORISTÉE)
- C'est elle. v.180 (Acte 1, scène 3, CLÉAGÉNOR)
- Il est vrai ? mais veux-tu, v.182 (Acte 1, scène 3, DORISTÉE)
- Il s'est entretenu par sa seule défense v.189 (Acte 1, scène 3, DORIST?E)
- C'est trop de liberté, et ton ingratitude v.196 (Acte 1, scène 3, OZANOR)
- Leur pouvoir est moins fort que celui de tes charmes. v.201 (Acte 1, scène 3, OZANOR)
- Ô destins inhumains ! v.208 (Acte 1, scène 3, OZANOR)
- Généreux Cavalier. Dieux ! C'est Cléagénor. v.210 (Acte 1, scène 3, DORISTÉE)
- Par vous, leur dit Menandre, enfin tout m'est permis : v.243 (Acte 1, scène 3, DORISTÉE)
- C'en est fait, me dit-il, mes vainqueurs sont vaincus, v.246 (Acte 1, scène 3, DORIST?E)
- Et comme Ozanor au détestable office, v.265 (Acte 1, scène 3, DORIST?E)
- Le traître que je nomme est ce brutal infâme, v.268 (Acte 1, scène 3, DORISTÉE)
- Les respects qu'il feignait, ses voeux, sa modestie, v.276 (Acte 1, scène 3, DORIST?E)
- Je sens régir mes yeux, j'estimais ma présence : v.281 (Acte 1, scène 3, DORIST?E)
- Sa maison n'est pas loin, la route en est secrète, v.300 (Acte 1, scène 3, CLÉAGÉNOR)
- Ma faiblesse est extrême, v.312 (Acte 1, scène 3, DORISTÉE)
- Ou l'apporteras-tu, cours tôt, si ce n'est loin. v.314 (Acte 1, scène 3, DORIST?E)
- Est faible, comparée à votre providence : v.317 (Acte 1, scène 3, DORISTÉE)
- Notre destin penchant est bientôt relevé. v.319 (Acte 1, scène 3, DORIST?E)
- Que mes sens sont troublés, que mon âme est émue. v.329 (Acte 1, scène 4, DORISTÉE)
- Fuirai-je ces voleurs, leur geste et leur façon v.330 (Acte 1, scène 4, DORIST?E)
- Qu'espérez-vous de moi, prenez ce qui me reste v.336 (Acte 1, scène 4, DORISTÉE)
- De ma captivité, ce signe manifeste, v.337 (Acte 1, scène 4, DORIST?E)
- Ce vieil habillement, ce reste de mon bien, v.338 (Acte 1, scène 4, DORIST?E)
- C'est trop, et ton trépas v.340 (Acte 1, scène 4, DEUXIEME_VOLEUR)
- Ô ciel ! de quel malheur ma fortune est suivie, v.342 (Acte 1, scène 4, DORISTÉE)
- C'est lui, n'en doutons plus, courons après ces pas : v.353 (Acte 1, scène 5, CLÉAGÉNOR)
- Ô destins inhumains : v.356 (Acte 1, scène 6, CLÉAGÉNOR)
- Il est vrai, cette mort est un coup de mes mains, v.357 (Acte 1, scène 6, CL?AG?NOR)
- Ô Ciel ingrat ! Ô rigoureux destin. v.360 (Acte 1, scène 6, CLÉAGÉNOR)
- Et les friands repas, si ce n'est sur le soir, v.380 (Acte 2, scène 1, PREMIER_VOLEUR)
- Lors Bacchus est souffert en notre compagnie, v.382 (Acte 2, scène 1, PREMIER, VOLEUR)
- Si quelqu'un d'entre nous est vu d'un mauvais astre, v.386 (Acte 2, scène 1, PREMIER, VOLEUR)
- Il sait que le malheur à tous nous est commun, v.388 (Acte 2, scène 1, PREMIER, VOLEUR)
- Et s'il est généreux n'en accuse pas un : v.389 (Acte 2, scène 1, PREMIER, VOLEUR)
- Il reste maintenant d'accomplir ta promesse, v.394 (Acte 2, scène 1, PREMIER, VOLEUR)
- Si mon désir extrême est vu d'un bon destin, v.404 (Acte 2, scène 1, PHILEMOND)
- C'est fait que de ses jours, je tue au premier mot. v.413 (Acte 2, scène 1, PHILEMOND)
- Ce corps est menacé, fait esclave, ravi v.424 (Acte 2, scène 1, PHILEMOND)
- D'un troisième accident le second est suivi. v.425 (Acte 2, scène 1, PHILEMOND)
- Hélas ! Cléagénor est sourd à ma prière, v.438 (Acte 2, scène 1, PHILEMOND)
- C'est que quelqu'un adresse ici ses pas, v.441 (Acte 2, scène 1, PHILEMOND)
- Au dessein de forcer mon destin misérable. v.443 (Acte 2, scène 1, PHILEMOND)
- Pour toi, s'il est besoin j'exposerai ma tête, v.462 (Acte 2, scène 2, THÉANDRE)
- Chez moi, si tu le veux, ton destin sera doux, v.489 (Acte 2, scène 2, THÉANDRE)
- C'est Philemond. v.502 (Acte 2, scène 2, PHILEMOND)
- Car tous ont estimé l'irréparable effort v.512 (Acte 2, scène 3, CONSEILLER)
- J'ignore en quelles mains son destin est tombé, v.536 (Acte 2, scène 3, CLÉAGÉNOR)
- Un songe interrompu, dont la suite est confuse, v.580 (Acte 2, scène 4, DORANTE)
- N'est qu'une illusion, telle erreur nous abuse : v.581 (Acte 2, scène 4, DORANTE)
- Disent des vérités, et leur effet est prompt : v.583 (Acte 2, scène 4, DORANTE)
- Ce n'est pas tout, lui-même fut épris, v.606 (Acte 2, scène 4, DORANTE)
- Là mon oeil s'est ouvert, et mon songe cessé. v.611 (Acte 2, scène 4, DORANTE)
- Servir de cette sorte est tout ce que je vaux. v.627 (Acte 2, scène 5, PHILEMOND)
- Ô Dieux ! que ce présent m'est de fatale augure. v.628 (Acte 2, scène 5, DORANTE)
- Combien, Cléagénor est lâche en son courage, v.632 (Acte 2, scène 5, PHILEMOND)
- Un captif, le captive et sa maîtresse est Page. v.633 (Acte 2, scène 5, PHILEMOND)
- Sa Grâce est si naïve, et son adresse est telle, v.637 (Acte 3, scène 1, DIANE)
- Son entretien est rare, et celui dont la voix v.642 (Acte 3, scène 1, DIANE)
- Que l'oreille est ravie à ses moindres accents, v.647 (Acte 3, scène 1, DIANE)
- Est entre ses belles mains un charme inévitable, v.649 (Acte 3, scène 1, DIANE)
- Et vous estimerez ce divertissement. v.663 (Acte 3, scène 1, DIANE)
- Et ce qu'il estimait arrache enfin des voeux. v.671 (Acte 3, scène 1, DORANTE)
- Il m'est cher comme à vous, son mérite est extrême, v.672 (Acte 3, scène 1, DIANE)
- L'estime et le désir sont souvent séparés. v.679 (Acte 3, scène 1, DIANE)
- Le brasier importun dont mon âme est pressée, v.685 (Acte 3, scène 1, DORANTE)
- Indigne des faveurs que ton sort lui destine, v.701 (Acte 3, scène 1, DORANTE)
- Et qu'un bruit spécieux dont leur crainte est suivie, v.712 (Acte 3, scène 1, DORANTE)
- Je vois ces doux attraits dont mon coeur est le prix. v.715 (Acte 3, scène 1, DORANTE)
- Il est vrai qu'on m'a vu hasarder quelquefois v.722 (Acte 3, scène 2, PHILEMOND)
- Quand le temps est borné leur intérêt les pousse, v.736 (Acte 3, scène 2, DIANE)
- Commence je l'entends, que ta grâce est naïve. v.744 (Acte 3, scène 2, DORANTE)
- Et qu'à tort cette main est si longtemps oisive ! v.745 (Acte 3, scène 2, DORANTE)
- Qu'on vous a fait avoir de rester si contente : v.749 (Acte 3, scène 2, PHILEMOND)
- Mais si vous n'estimez, ni ma voix, ni ma main, v.750 (Acte 3, scène 2, PHILEMOND)
- Adieu Page, à ce soir : combien il est charmant ! v.758 (Acte 3, scène 3, DORANTE)
- J'estimais sa fortune, v.761 (Acte 3, scène 3, DIANE)
- Dure loi de mon sort combien ton joug est rude ! v.765 (Acte 3, scène 3, DIANE)
- Est-ce assez, juste Ciel, exercer ta colère ? v.768 (Acte 3, scène 4, PHILEMOND)
- Est-ce assez prolonger ma peine et ma misère ? v.769 (Acte 3, scène 4, PHILEMOND)
- C'est Doristée, ô Dieux ! Ô bonheur sans égal. v.786 (Acte 3, scène 5, THÉANDRE)
- Et que toujours ma foi soit pure en ton estime : v.789 (Acte 3, scène 5, PHILEMOND)
- Toujours d'un saint désir le Ciel est protecteur. v.794 (Acte 3, scène 5, THÉANDRE)
- Mais que ma passion est vaine à son Auteur ! v.795 (Acte 3, scène 5, PHILEMOND)
- Et dans le triste état où ma vie est réduite, v.796 (Acte 3, scène 5, PHILEMOND)
- Le nom de mon Amant est connu dans ces plaines, v.804 (Acte 3, scène 5, PHILEMOND)
- Et quelle ingratitude est peinte en ton visage ? v.813 (Acte 3, scène 6, THÉANDRE)
- Si ton joug est trop rude il le faut alléger : v.815 (Acte 3, scène 6, TH?ANDRE)
- Je respecte le joug où mon destin m'engage, v.824 (Acte 3, scène 6, PHILEMOND)
- Ton esprit est plus grand que ta condition, v.831 (Acte 3, scène 6, THÉANDRE)
- Et le Ciel destinait un si parfait ouvrage v.832 (Acte 3, scène 6, TH?ANDRE)
- Voilà son même teint, c'est son oeil que je vois, v.838 (Acte 3, scène 6, TH?ANDRE)
- Je sens la même bouche, Elize n'est pas morte, v.844 (Acte 3, scène 6, THÉANDRE)
- Ton modeste discours l'offense en t'offensant, v.855 (Acte 3, scène 6, THÉANDRE)
- Il est vrai, je suis fille, et la moins fortunée v.876 (Acte 3, scène 6, PHILEMOND)
- Lasse des cruautés d'un destin si sévère v.880 (Acte 3, scène 6, PHILEMOND)
- Qui de tant de travaux est la source et la fin. v.927 (Acte 3, scène 6, PHILEMOND)
- Votre moindre aventure est digne de mémoire : v.928 (Acte 3, scène 6, THÉANDRE)
- Et votre mauvais sort en vous nuisant m'est doux v.930 (Acte 3, scène 6, TH?ANDRE)
- Si je ne vous le rends, ne m'estimez jamais : v.935 (Acte 3, scène 6, TH?ANDRE)
- Ô divine faveur dont mon âme est ravie, v.944 (Acte 3, scène 6, PHILEMOND)
- Lâche, c'est trop souffrir, et ton âme discrète v.948 (Acte 4, scène 1, DIANE)
- Est trop longtemps malade et trop longtemps muette. v.949 (Acte 4, scène 1, DIANE)
- Qu'enfin à leur exemple il t'est permis d'aimer, v.955 (Acte 4, scène 1, DIANE)
- C'est beaucoup faire au moins que l'offense soit belle. v.957 (Acte 4, scène 1, DIANE)
- Et le tourment est beau que causent de beaux yeux. v.959 (Acte 4, scène 1, DIANE)
- Force ici tout respect, c'est là qu'il faut oser. v.962 (Acte 4, scène 1, DIANE)
- Par le dessein l'offense est à moitié commise, v.965 (Acte 4, scène 1, DIANE)
- Le mal où l'on consent est presque exécuté, v.966 (Acte 4, scène 1, DIANE)
- Et c'est avoir failli que l'avoir souhaité. v.967 (Acte 4, scène 1, DIANE)
- Quoi Diane est rêveuse ? v.980 (Acte 4, scène 2, PHILEMOND)
- S'il vous plaît il est doux. v.983 (Acte 4, scène 2, DIANE)
- Moi ! sais-je les douleurs dont votre âme est atteinte ? v.984 (Acte 4, scène 2, PHILEMOND)
- Est-ce que vous aimez, et que vos passions v.986 (Acte 4, scène 2, PHILEMOND)
- Et qui touche mon coeur c'est toi qui l'as tiré. v.999 (Acte 4, scène 2, DIANE)
- Et c'est là le tourment que tu peux secourir. v.1003 (Acte 4, scène 2, DIANE)
- En l'espoir des faveurs qu'elle m'a destinées. v.1013 (Acte 4, scène 2, PHILEMOND)
- Mais cruel, ton oreille est sourde à mes discours : v.1019 (Acte 4, scène 2, DIANE)
- Et mes seuls plaisirs mon amour est bornée : v.1025 (Acte 4, scène 2, PHILEMOND)
- Lorsque la jouissance est d'obligation, v.1026 (Acte 4, scène 2, PHILEMOND)
- Qu'elle n'est plus l'effet de notre passion, v.1027 (Acte 4, scène 2, PHILEMOND)
- La vertu me déplaît quand elle est importune, v.1033 (Acte 4, scène 2, PHILEMOND)
- Et la fleur que j'espère et que tu me destines, v.1036 (Acte 4, scène 2, PHILEMOND)
- Le vrai bien que tu dis est un bien décevant. v.1046 (Acte 4, scène 2, DIANE)
- Ton âge m'est suspect. La jeunesse imprudente v.1052 (Acte 4, scène 2, DIANE)
- Insolente qu'elle est elle vante son crime ; v.1056 (Acte 4, scène 2, DIANE)
- Cette gloire est toujours ce que plus elle estime : v.1057 (Acte 4, scène 2, DIANE)
- Philemond, Diane est autre chose qu'on pense. v.1060 (Acte 4, scène 2, PHILEMOND)
- Comme l'affection le respect est extrême v.1064 (Acte 4, scène 2, PHILEMOND)
- Oblige à me chercher si ma créance est vraie. v.1093 (Acte 4, scène 2, PHILEMOND)
- Est, si j'en puis juger, moindre que ta naissance, v.1101 (Acte 4, scène 3, DORANTE)
- Retenu, tempéré, beau, modeste, discret, v.1102 (Acte 4, scène 3, DORANTE)
- Mais sans faire le vain, mon destin est plus doux, v.1114 (Acte 4, scène 3, PHILEMOND)
- Et de pouvoir montrer qu'elle est assez traitable v.1120 (Acte 4, scène 3, PHILEMOND)
- Ce n'est pas toutefois qu'ils soient ni grands ni hauts, v.1130 (Acte 4, scène 3, PHILEMOND)
- Quand tu posséderais ta seule modestie, v.1152 (Acte 4, scène 3, DORANTE)
- C'est en un jeune esprit une rare partie, v.1153 (Acte 4, scène 3, DORANTE)
- Et sache, Philemond, qu'il n'est si chaste dame v.1156 (Acte 4, scène 3, DORANTE)
- L'homme n'est point haï tout importun qu'il est, v.1162 (Acte 4, scène 3, DORANTE)
- Si je dis de quel mal mon esprit est atteint. v.1179 (Acte 4, scène 3, DORANTE)
- N'est pas capable encore de tant de vanité. v.1183 (Acte 4, scène 3, PHILEMOND)
- Quelle crainte, cruel, et quel soupçon te reste, v.1184 (Acte 4, scène 3, DORANTE)
- Craint d'être cru stupide en paraissant modeste, v.1185 (Acte 4, scène 3, DORANTE)
- Crois-tu faire brûler ce coeur qui t'est suspect ? v.1186 (Acte 4, scène 3, DORANTE)
- Et vous détesteriez cette fausse douceur. v.1218 (Acte 4, scène 3, PHILEMOND)
- N'estimeras-tu point ton destin malheureux ? v.1223 (Acte 4, scène 3, DORANTE)
- N'est-ce point un présent que tu dois refuser ? v.1226 (Acte 4, scène 3, DORANTE)
- Ha ! que mon coeur est lâche, et que son impuissance, v.1228 (Acte 4, scène 3, DORANTE)
- Et ma juste fureur est si longtemps oisive. v.1233 (Acte 4, scène 3, THÉANDRE)
- Leur fin est estimable et certes je vous plains, v.1239 (Acte 4, scène 4, THÉANDRE)
- Ce Page est trop cruel, sa froideur est extrême, v.1240 (Acte 4, scène 4, TH?ANDRE)
- Estime-t-il si peu l'heur de vous posséder, v.1242 (Acte 4, scène 4, TH?ANDRE)
- Qu'est-ce donc ? v.1244 (Acte 4, scène 4, DORANTE)
- Éloigne de ton lit ce monstre détestable, v.1261 (Acte 4, scène 4, THÉANDRE)
- Quel astre me gouverne, et quelle est ma fortune ? v.1268 (Acte 4, scène 4, PHILEMOND)
- C'est à vous de m'instruire, à vous de me donner v.1278 (Acte 4, scène 4, THÉANDRE)
- Si vous me condamnez, son crime est condamnable, v.1280 (Acte 4, scène 4, TH?ANDRE)
- Une longue amitié s'est longtemps opposée, v.1285 (Acte 4, scène 4, TH?ANDRE)
- Cléagénor m'est cher, j'aime son intérêt : v.1286 (Acte 4, scène 4, TH?ANDRE)
- L'honnêteté, Madame, est une vertu lâche v.1300 (Acte 4, scène 4, THÉANDRE)
- Si le simple dessein de l'estimer la fâche, v.1301 (Acte 4, scène 4, TH?ANDRE)
- Votre honneur, Doristée, est ici sûrement, v.1319 (Acte 4, scène 4, THÉANDRE)
- Je jure que ce feu dont mon âme est pressée v.1320 (Acte 4, scène 4, TH?ANDRE)
- De ces présomptions ton esprit est capable, v.1337 (Acte 5, scène 1, DORANTE)
- Et de ta modestie et de ton jugement : v.1339 (Acte 5, scène 1, DORANTE)
- Ton esprit arrogant se l'est persuadé, v.1343 (Acte 5, scène 1, DORANTE)
- Ton pouvoir est trop faible et j'ai trop de courage, v.1345 (Acte 5, scène 1, DORANTE)
- Dieux ! qu'est-ce que j'entends. v.1348 (Acte 5, scène 1, PHILEMOND)
- Je ne saurais forcer la loi des destinées, v.1352 (Acte 5, scène 1, PHILEMOND)
- L'un est libre à chacun, mais l'autre est nécessaire, v.1357 (Acte 5, scène 1, DORANTE)
- Sa contrainte est frivole. v.1364 (Acte 5, scène 1, PHILEMOND)
- Je t'aime, je l'avoue, et le Ciel m'est témoin, v.1366 (Acte 5, scène 1, DORANTE)
- Tu vois en quel danger ma passion est mise v.1372 (Acte 5, scène 1, DORANTE)
- Ha ! c'est trop, Madame, étant ce que je suis. v.1374 (Acte 5, scène 1, PHILEMOND)
- Je puis vous estimer, mais non vous satisfaire, v.1380 (Acte 5, scène 1, PHILEMOND)
- Et votre propre sexe en moi vous est contraire, v.1381 (Acte 5, scène 1, PHILEMOND)
- Et si me connaissant Théandre en est jaloux. v.1383 (Acte 5, scène 1, PHILEMOND)
- Quoi, Philemond est fille ? v.1384 (Acte 5, scène 1, DORANTE)
- Vos voeux sont les effets de mon mauvais destin, v.1398 (Acte 5, scène 1, PHILEMOND)
- Leur flamme leur nuit moins qu'elle ne m'est importune. v.1401 (Acte 5, scène 1, PHILEMOND)
- Et votre mari même est de ces languissants. v.1407 (Acte 5, scène 1, PHILEMOND)
- J'entends déjà du bruit, c'est Diane, écoutez v.1430 (Acte 5, scène 1, PHILEMOND)
- Apprenez de quel trait cette fille est blessée, v.1432 (Acte 5, scène 1, PHILEMOND)
- Qui donne tant d'amour, et n'est pas amoureux. v.1435 (Acte 5, scène 2, DIANE)
- Quoi, Diane est gausseuse, et qui m'aimait me joue. v.1436 (Acte 5, scène 2, PHILEMOND)
- Ton innocence est grande, il faut que je l'avoue. v.1437 (Acte 5, scène 2, DIANE)
- Poursuis, n'estime point un si frêle bonheur, v.1442 (Acte 5, scène 2, DIANE)
- Est-il quelque courage, à l'épreuve des traits v.1446 (Acte 5, scène 2, PHILEMOND)
- Est-ce ailleurs qu'en mes yeux que cet enfant demeure, v.1448 (Acte 5, scène 2, PHILEMOND)
- Que ton pouvoir est grand. v.1460 (Acte 5, scène 2, DIANE)
- Cléagénor n'est plus. v.1482 (Acte 5, scène 3, PHILEMOND)
- J'entendis, il est mort, il ne respire plus. v.1492 (Acte 5, scène 3, PHILACTE)
- Il est mort, et ton coeur soi-même se survit, v.1499 (Acte 5, scène 3, PHILEMOND)
- Il est vrai, leur dit-il, j'ai ce meurtre commis : v.1504 (Acte 5, scène 3, PHILACTE)
- C'est tout ce que j'ai vu. v.1513 (Acte 5, scène 3, PHILACTE)
- Cléagénor n'est plus et lâche je respire ; v.1514 (Acte 5, scène 3, PHILEMOND)
- Cléagénor n'est plus, et cet oeil provident, v.1519 (Acte 5, scène 3, PHILEMOND)
- Et ne peut m'empêcher d'accourcir mon destin, v.1528 (Acte 5, scène 3, PHILEMOND)
- La ruse est bien conduite, v.1533 (Acte 5, scène 3, THÉANDRE)
- Qui joigne à mon destin sa fortune et son âge. v.1550 (Acte 5, scène 3, THÉANDRE)
- Déjà de ce regret mon âme est agitée, v.1573 (Acte 5, scène 3, THÉANDRE)
- Mais pour vous seulement la querelle est honteuse, v.1582 (Acte 5, scène 3, PHILACTE)
- Hommes, destins, ni Dieux, ne sauraient arracher v.1587 (Acte 5, scène 3, THÉANDRE)
- De ce coeur malheureux un fait qui m'est si cher, v.1588 (Acte 5, scène 3, TH?ANDRE)
- Ainsi lascive ainsi le coupable est sans paix, v.1611 (Acte 5, scène 4, THÉANDRE)
- Et sa timide oreille est toujours aux aguets. v.1612 (Acte 5, scène 4, TH?ANDRE)
- Qui soi-même est son Juge, et condamne son vice, v.1614 (Acte 5, scène 4, DORANTE)
- N'est point de profiter de ta confession ; v.1616 (Acte 5, scène 4, DORANTE)
- Ta gloire m'est un crime, et cette même flamme v.1621 (Acte 5, scène 4, DORANTE)
- Ce discours est fort beau. v.1629 (Acte 5, scène 4, THÉANDRE)
- Doristée est plus belle. v.1629 (Acte 5, scène 4, DORANTE)
- J'attesterai pour toi que son Amant est mort, v.1632 (Acte 5, scène 4, DORANTE)
- Que si tu n'es content Doristée est barbare : v.1634 (Acte 5, scène 4, DORANTE)
- C'est c'est par trop longtemps lui refuser la grâce v.1643 (Acte 5, scène 4, PHILACTE)
- Son nom t'est-il connu ? v.1653 (Acte 5, scène 5, THÉANDRE)
- C'est de Cléagénor si j'ai bien retenu, v.1654 (Acte 5, scène 5, DIANE)
- Ô de tous mes malheurs malheur le plus funeste ! v.1655 (Acte 5, scène 5, THÉANDRE)
- Qu'ai-je à délibérer au moment qui me reste ? v.1656 (Acte 5, scène 5, TH?ANDRE)
- Qu'on ouvre je l'attends. Dorante c'est assez v.1657 (Acte 5, scène 5, TH?ANDRE)
- Contre tes volontés est de faible défense, v.1672 (Acte 5, scène 5, THÉANDRE)
- Il est mort le perfide. v.1679 (Acte 5, scène 6, CLÉAGÉNOR)
- Il est mort, et ce bras est son juste homicide, v.1680 (Acte 5, scène 6, CL?AG?NOR)
- La froideur m'a surpris, mon sang s'est fait de glace v.1711 (Acte 5, scène 6, CLÉAGÉNOR)
- Et j'ai resté longtemps interdit sur la place, v.1712 (Acte 5, scène 6, CL?AG?NOR)
- À ce ressouvenir ce fer est inutile, v.1731 (Acte 5, scène 6, CLÉAGÉNOR)
- Peut-être ce jeune Astre est en son occident. v.1734 (Acte 5, scène 6, CL?AG?NOR)
- Quoi Doristée est morte ? v.1739 (Acte 5, scène 6, CLÉAGÉNOR)
- Un voleur dont l'audace à nulle autre est pareille v.1743 (Acte 5, scène 6, THÉANDRE)
- Car la lettre est de vous, qui depuis ce malheur v.1757 (Acte 5, scène 6, TH?ANDRE)
- Est-ce là ce Barbare, v.1763 (Acte 5, scène 7, CLÉAGÉNOR)
- Qui s'est taché du sang d'une beauté si rare ? v.1764 (Acte 5, scène 7, CL?AG?NOR)
- Dieux c'est Cléagénor. v.1768 (Acte 5, scène 7, DORISTÉE)
- C'est, Madame. v.1769 (Acte 5, scène 7, CLÉAGÉNOR)
- Dieux, qu'est ce que je vois ! v.1778 (Acte 5, scène 7, DIANE)
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L'HYPOCONDRIAQUE (1631)
- Et la cour peut-elle être où ma reine n'est pas ? v.18 (Acte 1, scène 1, CLORIDAN)
- C'est effacer l'éclat des victoires d'Alcide : v.24 (Acte 1, scène 1, CLORIDAN)
- Qui pourraient asservir la majesté des rois. v.26 (Acte 1, scène 1, CLORIDAN)
- Estiment à faveur d'avouer ma victoire : v.28 (Acte 1, scène 1, CLORIDAN)
- C'est trop laisser la crainte avec l'impatience. v.52 (Acte 1, scène 1, PERSIDE)
- Mais que cette union m'est encore incertaine, v.91 (Acte 1, scène 1, PERSIDE)
- Après cette faveur, est-il une geôlière v.107 (Acte 1, scène 1, PERSIDE)
- Que le servage est doux sous des chaînes si belles ! v.112 (Acte 1, scène 1, CLORIDAN)
- Ce titre est odieux à ma raison, plus saine v.143 (Acte 1, scène 2, CLÉONICE)
- C'est trop peu, belle ingrate, il faut, pour te complaire, v.155 (Acte 1, scène 2, LISIDOR)
- Est-ce assez, inhumaine ? Ou tes esprits rebelles v.159 (Acte 1, scène 2, LISIDOR)
- Et songez que le temps m'est plus cher que vos plaintes. v.172 (Acte 1, scène 2, CLÉONICE)
- N'est pas de ces tourments où le temps remédie : v.208 (Acte 1, scène 3, LISIDOR)
- Ma force diminue et ma mort est certaine, v.211 (Acte 1, scène 3, LISIDOR)
- Autorisent la force où la douceur est vaine : v.224 (Acte 1, scène 3, LISIDOR)
- C'est où ton amitié peut servir mon amour. v.226 (Acte 1, scène 3, LISIDOR)
- Il n'est point de périls que ce bras ne méprise v.227 (Acte 1, scène 3, ÉRISTHÈNE)
- Reste, dieu des amants, que ton soin secourable v.231 (Acte 1, scène 3, LISIDOR)
- Forme, abusé qu'il est, les sujets de sa peur : v.260 (Acte 2, scène 1, CLÉONICE)
- Quel est ce bras armé qui lui perce le flanc, v.263 (Acte 2, scène 1, CL?ONICE)
- C'est veiller trop longtemps en ce rare séjour v.275 (Acte 2, scène 1, CL?ONICE)
- Où la nuit s'est acquis plus de droit que le jour. v.276 (Acte 2, scène 1, CL?ONICE)
- C'est un dieu qui l'ordonne : il le faut, Cléonice, v.277 (Acte 2, scène 2, LISIDOR)
- Et le rusé qu'il est, s'il a versé des pleurs, v.291 (Acte 2, scène 2, LISIDOR)
- Est plus juste et plus sainte, ainsi qu'elle est plus forte ; v.294 (Acte 2, scène 2, LISIDOR)
- Et, comme le respect enfin m'est un poison, v.295 (Acte 2, scène 2, LISIDOR)
- La force est un conseil qui vient de la raison. v.296 (Acte 2, scène 2, LISIDOR)
- Prouver qu'il est encor de sincères amis ; v.300 (Acte 2, scène 2, LISIDOR)
- Éristhène, où le droit n'est que trop évident v.303 (Acte 2, scène 2, LISIDOR)
- Allons, c'est trop souffrir ces discours inutiles ; v.309 (Acte 2, scène 2, ÉRISTHÈNE)
- S'il est de vrais amis, cette lame et mon sang v.311 (Acte 2, scène 2, ?RISTH?NE)
- Sauraient qu'il est encor des actes inouïs. v.320 (Acte 2, scène 2, LISIDOR)
- Assurés d'une foi qui n'est que trop certaine, v.321 (Acte 2, scène 2, ÉRISTHÈNE)
- Si l'amour sur ton coeur est si fort absolu v.323 (Acte 2, scène 2, ?RISTH?NE)
- Et qu'une jouissance est froide en ton estime ! v.334 (Acte 2, scène 2, LISIDOR)
- Non, tout respect à part, mon repos m'est si cher... v.339 (Acte 2, scène 2, LISIDOR)
- Et que l'eau dit tout bas que ce trésor est mien. v.344 (Acte 2, scène 2, LISIDOR)
- Que le vent est hardi qui fait mouvoir ces arbres, v.345 (Acte 2, scène 2, LISIDOR)
- Il est vrai que, craignant d'approcher ce visage, v.365 (Acte 2, scène 2, LISIDOR)
- Telle estime est injuste, un jugement plus sain v.383 (Acte 2, scène 2, CLÉONICE)
- Ton reproche est inique et ta voix inhumaine, v.385 (Acte 2, scène 2, LISIDOR)
- Est beaucoup plus sensible à la voix qu'au toucher. v.396 (Acte 2, scène 2, CLÉONICE)
- Ah ! C'est trop discourir, il faut, âme de souche, v.401 (Acte 2, scène 2, LISIDOR)
- Son coeur est trop injuste, et cette ingrate amorce v.405 (Acte 2, scène 2, LISIDOR)
- Je méprise les yeux ; un homme est insensé v.407 (Acte 2, scène 2, LISIDOR)
- C'est de vous seulement que dépend mon bonheur, v.427 (Acte 2, scène 2, CLÉONICE)
- Te rangeant au destin d'un ami si parfait. v.444 (Acte 2, scène 3, CLORIDAN)
- Est-il ici des coeurs qui me fussent ingrats ? v.452 (Acte 2, scène 3, CLÉONICE)
- L'honneur est le plus beau qu'on doive souhaiter ! v.460 (Acte 2, scène 3, CLORIDAN)
- Le prix est plus parfait si Cléonice est tienne ; v.462 (Acte 2, scène 3, CLÉONICE)
- C'est avec trop de droit mériter mon martyre ; v.490 (Acte 2, scène 3, CLÉONICE)
- C'est témoigner un coeur plus barbare que ferme ; v.502 (Acte 2, scène 4, PERSIDE)
- Et les ris criminels où Cloridan n'est plus ? v.504 (Acte 2, scène 4, PERSIDE)
- Combien l'éloignement est un sensible outrage ; v.506 (Acte 2, scène 4, PERSIDE)
- Rire, c'est le trahir, et pleurant je l'offense. v.514 (Acte 2, scène 4, PERSIDE)
- Il nous reste un moyen de nous entretenir. v.532 (Acte 2, scène 4, PERSIDE)
- Comme il est avisé ! Son service m'agrée ; v.541 (Acte 2, scène 4, PERSIDE)
- Que ton droit est fatal aux voluptés humaines ! v.546 (Acte 3, scène 1, CLÉONICE)
- Et qu'on est aveuglé de te peindre sans yeux ! v.548 (Acte 3, scène 1, CL?ONICE)
- Encor si la raison restreignait ta vengeance v.553 (Acte 3, scène 1, CL?ONICE)
- J'aurais baisé mes fers ; ce supplice m'est dû : v.556 (Acte 3, scène 1, CL?ONICE)
- C'est là que ta rigueur commet une injustice, v.565 (Acte 3, scène 1, CL?ONICE)
- C'est où le châtiment est pire que le vice, v.566 (Acte 3, scène 1, CL?ONICE)
- C'est où ta cruauté fait mépriser l'essence v.569 (Acte 3, scène 1, CL?ONICE)
- Qu'ont oublié jamais et mon front et mon geste v.573 (Acte 3, scène 1, CL?ONICE)
- De tout ce qui peut rendre un beau feu manifeste ! v.574 (Acte 3, scène 1, CL?ONICE)
- C'est Corinthe ; on me nuit pour peu qu'on me détourne. v.589 (Acte 3, scène 1, LE PAGE)
- Simple, c'est en ce lieu que ton maître séjourne : v.590 (Acte 3, scène 1, CLÉONICE)
- Il n'est plus à Perside, il est à Cléonice. v.593 (Acte 3, scène 1, CL?ONICE)
- Pourvu que ton désir à ton destin réponde, v.597 (Acte 3, scène 1, CLÉONICE)
- L'or ne te plaît-il point ; est-il assez de mise ? v.602 (Acte 3, scène 1, CL?ONICE)
- Je doute si mon bien est véritable ou feint : v.608 (Acte 3, scène 1, LE PAGE)
- C'est là que ta faveur uniquement m'oblige, v.621 (Acte 3, scène 1, CLÉONICE)
- C'est tout ce que l'amour de ton pouvoir exige. v.622 (Acte 3, scène 1, CL?ONICE)
- Ici la courtoisie est pire que l'outrage ; v.642 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- Lors, s'il te reste encore un sentiment humain, v.651 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- Et qu'il n'est point ici d'esprits si dépravés, v.655 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- Autels où seul il est l'idolâtre et l'idole, v.665 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- Si Madame est un ange, elle doit être aux cieux, v.679 (Acte 3, scène 2, LE PAGE)
- Quoi, Perside n'est plus ? v.685 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- Funeste messager, bourreau, cruel, infâme, v.686 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- Quoi, mon soleil est mort ? Quoi, Perside est sans vie ? v.693 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- Destins, cruels bourreaux qui me l'avez ravie, v.694 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- Que le pouvoir du sort est au-dessus des dieux ? v.696 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- C'est trop, c'est trop souffrir ces erreurs sans exemples, v.705 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- Crains, crains que les destins n'éteignent ta lumière, v.721 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- Vois le funeste effet qui suit ta trahison ! v.740 (Acte 3, scène 2, LE PAGE)
- Ah, dieux ! Je vis encore ! Qu'avez-vous destiné v.743 (Acte 3, scène 2, LE PAGE)
- Mon corps enseveli n'est plus ma sépulture, v.761 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- Si Perside est ici, les tourments y sont doux, v.771 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- Et le moindre des morts est plus heureux que vous. v.772 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- Et les moindres appas dont ma belle est pourvue ; v.777 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- Mortels, si même une ombre est capable d'ombrage ! v.782 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- S'est acquis chez les morts le titre d'homicide. v.834 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- Et, pour te dégager, tu crois que c'est assez v.847 (Acte 3, scène 2, CLÉONICE)
- Ta feinte est trop à nu, mets un peu plus d'étude v.849 (Acte 3, scène 2, CL?ONICE)
- Pour sortir de ces lieux, il est hors de saison v.851 (Acte 3, scène 2, CL?ONICE)
- Il est vrai que je t'aime, et qu'un brasier si beau v.855 (Acte 3, scène 2, CL?ONICE)
- M'est cher, et ne peut plus être éteint qu'au tombeau ; v.856 (Acte 3, scène 2, CL?ONICE)
- Et son trait est plus doux que tous les traits d'amour, v.864 (Acte 3, scène 2, CL?ONICE)
- Hélas ! Que ta lumière est proche du couchant ! v.896 (Acte 3, scène 3, ÉRIMAND)
- Dieux ! Contre ces assauts ma constance est sans armes ; v.897 (Acte 3, scène 3, ?RIMAND)
- Et faire détester à mes mânes errants v.927 (Acte 3, scène 4, PERSIDE)
- Soleil, terre, destins, et nature, et parents. v.928 (Acte 3, scène 4, PERSIDE)
- Le temps, quoi qu'on estime... v.929 (Acte 3, scène 4, ALIASTE)
- C'est vouloir qu'on vous plaigne et non qu'on vous assiste : v.937 (Acte 3, scène 4, ALIASTE)
- Qu'en un point seulement le sort nous est cruel. v.948 (Acte 3, scène 4, ALIASTE)
- Elle est ?... v.951 (Acte 3, scène 4, PERSIDE)
- C'est là que Cléonice, hors du bruit de Corinthe, v.961 (Acte 3, scène 4, ALIASTE)
- Ainsi donc nous voyons, sous mêmes destinées, v.965 (Acte 3, scène 4, PERSIDE)
- Cloridan m'est présent en cette longue absence. v.970 (Acte 3, scène 4, PERSIDE)
- Que je me plains à tort ! Et que le mal est dû v.983 (Acte 3, scène 4, PERSIDE)
- Mais comme le destin nous la montre à propos, v.996 (Acte 3, scène 4, ALIASTE)
- Nous font voir clairement ce qui n'est pas encore : v.1002 (Acte 3, scène 4, PERSIDE)
- Si tu connais combien l'absence est rigoureuse v.1005 (Acte 3, scène 4, PERSIDE)
- Mais c'est trop différer : déclarez qui le sort v.1019 (Acte 3, scène 4, PERSIDE)
- A daigné destiner pour mon époux. v.1020 (Acte 3, scène 4, PERSIDE)
- Qui m'a, cruel destin, suscité ta colère ? v.1021 (Acte 3, scène 4, PERSIDE)
- Donc vous avez, destins, en ce fatal voyage, v.1025 (Acte 3, scène 4, PERSIDE)
- Corinthe est l'occident où doit finir mon jour ? v.1028 (Acte 3, scène 4, PERSIDE)
- Et, si tu sais quel oeil est auteur de mes voeux, v.1031 (Acte 3, scène 4, ALIASTE)
- Si son coeur est encor touché de mon martyre, v.1033 (Acte 3, scène 4, ALIASTE)
- Un mort t'est préféré. v.1036 (Acte 3, scène 4, CÉLINDE)
- Destins injurieux ! v.1036 (Acte 3, scène 4, ALIASTE)
- Un mort m'est préféré ! Cette réponse obscure v.1057 (Acte 3, scène 4, ALIASTE)
- Aux yeux de vos parents ? Leur soin vous est contraire, v.1062 (Acte 3, scène 4, ALIASTE)
- Il est vrai, je le suis, l'auteur de ma disgrâce ; v.1069 (Acte 4, scène 1, CLORIDAN)
- Il est bon d'enchaîner l'amour en sa naissance, v.1085 (Acte 4, scène 1, CLORIDAN)
- Témoignez qui je suis, et quel est son pouvoir ; v.1095 (Acte 4, scène 1, CLORIDAN)
- De ses gages sacrés ne faire plus d'estime, v.1098 (Acte 4, scène 1, CLORIDAN)
- C'est disputer les droits d'un empire absolu. v.1104 (Acte 4, scène 1, CLORIDAN)
- Que ton bras obéit aux lois des destinées, v.1134 (Acte 4, scène 1, CLORIDAN)
- Sais-tu pas que du corps une âme est désunie, v.1145 (Acte 4, scène 1, CLÉONICE)
- Perside est aux enfers, sans vie et sans amour, v.1159 (Acte 4, scène 1, CL?ONICE)
- Un destin dont les rois ne sont pas affranchis. v.1168 (Acte 4, scène 1, CLORIDAN)
- C'est que l'âme a du corps l'impression si forte, v.1170 (Acte 4, scène 1, CLORIDAN)
- Que, vaine ombre qu'elle est, elle croit l'animer, v.1172 (Acte 4, scène 1, CLORIDAN)
- Vois ces lieux destinés aux parjures amants ; v.1179 (Acte 4, scène 1, CLORIDAN)
- C'est trop, c'est trop souffrir ce spectacle d'horreur ; v.1183 (Acte 4, scène 1, CLORIDAN)
- Une âme en ce penser est digne de ta haine. v.1206 (Acte 4, scène 2, CLORIDAN)
- C'est trop, qu'espères-tu des froideurs de ma sainte ? v.1250 (Acte 4, scène 2, CLORIDAN)
- Ces mots sont superflus, où la feinte est si claire. v.1253 (Acte 4, scène 2, ÉRIMAND)
- Donc, traître, à ton sujet sa beauté m'est contraire ? v.1254 (Acte 4, scène 2, CLORIDAN)
- C'est trop, lève le masque, et, d'un discours plus sain... v.1259 (Acte 4, scène 2, ÉRIMAND)
- Ah ! Ce fol extravague, et d'amoureux est père ! v.1262 (Acte 4, scène 2, CLORIDAN)
- Dieux ! Il est donc aussi des fous dans les enfers ? v.1264 (Acte 4, scène 2, CLORIDAN)
- Cet esprit est blessé d'une profonde plaie. v.1266 (Acte 4, scène 2, CLORIDAN)
- Adieu, c'est trop souffrir l'entretien d'un rival. v.1272 (Acte 4, scène 2, CLORIDAN)
- Ingrate, ma misère est enfin trop connue, v.1277 (Acte 4, scène 2, CLORIDAN)
- Ta rage me poursuit et n'est pas assouvie, v.1285 (Acte 4, scène 2, CLORIDAN)
- Injurieux destin, par la fin de ma vie ? v.1286 (Acte 4, scène 2, CLORIDAN)
- Mon esprit malheureux est dégagé des sens, v.1287 (Acte 4, scène 2, CLORIDAN)
- Et ne l'est pas du mal qu'encore je ressens. v.1288 (Acte 4, scène 2, CLORIDAN)
- Sans oreilles, j'entends qu'elle est pour moi de roche ; v.1290 (Acte 4, scène 2, CLORIDAN)
- Si d'une telle erreur votre âme est dégagée... v.1297 (Acte 4, scène 2, CLÉONICE)
- Sous de nouvelles lois l'ingrate s'est rangée ; v.1298 (Acte 4, scène 2, CLORIDAN)
- Quoi, ton âme est aveugle ; et tu crois, insensée, v.1309 (Acte 4, scène 2, CLORIDAN)
- La trame de tes jours n'est pas encore usée ? v.1318 (Acte 4, scène 2, CLORIDAN)
- Et que la mort est due à qui ne la sent pas ! v.1320 (Acte 4, scène 2, CLORIDAN)
- Pourrai-je désormais rentrer dans son estime ? v.1325 (Acte 4, scène 2, CLORIDAN)
- Elle est trop favorable, et je suis trop heureux ; v.1328 (Acte 4, scène 2, CLORIDAN)
- Perside s'est cachée en un lieu plus obscur : v.1332 (Acte 4, scène 2, CLORIDAN)
- Le repos m'est acquis au sein de ma maîtresse. v.1338 (Acte 4, scène 2, CLORIDAN)
- Enfin, parfait amant, c'est assez endurer, v.1343 (Acte 4, scène 2, CLÉONICE)
- L'enfer est indigné qu'un tel esprit soupire, v.1345 (Acte 4, scène 2, CL?ONICE)
- Déjà mille faveurs à vos peines destine, v.1350 (Acte 4, scène 2, CL?ONICE)
- Si jamais ta promesse est de l'effet suivie, v.1357 (Acte 4, scène 2, CLORIDAN)
- Je proteste l'enfer, les eaux, le firmament, v.1364 (Acte 4, scène 2, CLORIDAN)
- Que ta divinité seule m'est adorable ; v.1366 (Acte 4, scène 2, CLORIDAN)
- Épier si Perside est dans le rang des morts : v.1372 (Acte 4, scène 2, CLORIDAN)
- S'il pense en être aimé, que son estime est fausse ! v.1373 (Acte 4, scène 2, CLORIDAN)
- Font assez estimer l'honneur de vos visites. v.1402 (Acte 4, scène 3, ORONTE)
- La plus longue louange est la plus importune : v.1406 (Acte 4, scène 3, PERSIDE)
- Mais c'est peu si la fin n'en réussit aussi. v.1408 (Acte 4, scène 3, PERSIDE)
- Que son esprit n'est pas comme son front glacé ; v.1416 (Acte 4, scène 4, ORONTE)
- C'est lorsqu'elle est moins seule, et qu'elle a plus d'affaire. v.1418 (Acte 4, scène 4, ORONTE)
- L'amour est absolu dessus ces jeunes coeurs, v.1419 (Acte 4, scène 4, ORONTE)
- Une fille est bien faible en ces rudes combats, v.1427 (Acte 4, scène 4, ORONTE)
- Elle est assez discrète en ses contentements, v.1431 (Acte 4, scène 4, ORONTE)
- Quel modeste respect tient votre oeil abattu ? v.1435 (Acte 4, scène 4, ORONTE)
- Être si vertueux souvent n'est pas vertu. v.1436 (Acte 4, scène 4, ORONTE)
- Rien n'est bon qu'en son temps, il faut que le visage v.1437 (Acte 4, scène 4, ORONTE)
- On est aise au printemps de voir que tout est vert, v.1439 (Acte 4, scène 4, ORONTE)
- Mais le ciel au printemps n'est pas toujours serein ; v.1448 (Acte 4, scène 4, ALIASTE)
- Mon plus puissant sujet est de n'en avoir point. v.1456 (Acte 4, scène 4, ALIASTE)
- Là, là, c'est trop causé, discoureur ; dépêchez, v.1463 (Acte 4, scène 4, CLARINDE)
- Si tu dis qui d'eux tous a gagné ton estime... v.1470 (Acte 4, scène 4, ORONTE)
- Et confesse pour qui ta belle âme est atteinte. v.1498 (Acte 4, scène 4, ORONTE)
- Que l'un est abusé, que l'autre sait bien feindre ! v.1505 (Acte 4, scène 4, CLARINDE)
- Enfin, c'est m'ennuyer en ce respect honteux : v.1507 (Acte 4, scène 4, ORONTE)
- Aliaste, est-ce vous ? Dieux ! Cette ressemblance v.1521 (Acte 4, scène 4, ORONTE)
- Ici le jugement est du tout ennobli, v.1547 (Acte 5, scène 1, CLORIDAN)
- Le sort n'est point celui qui fait les différences ; v.1550 (Acte 5, scène 1, CLORIDAN)
- Ce n'est qu'entre les morts qu'on vit comme les dieux. v.1556 (Acte 5, scène 1, CLORIDAN)
- Ne vous est pas, mortels, une entière puissance ; v.1574 (Acte 5, scène 1, CLORIDAN)
- Quand son courage est vain contre la vanité, v.1588 (Acte 5, scène 1, CLORIDAN)
- C'est trop s'entretenir de ces vaines pensées, v.1593 (Acte 5, scène 1, CLÉONICE)
- C'est trop longtemps laisser tant d'âmes offensées : v.1594 (Acte 5, scène 1, CL?ONICE)
- Et n'adorer que vous, est-ce être criminel ? v.1596 (Acte 5, scène 1, CL?ONICE)
- C'est trop, c'est trop, vaine ombre. Où m'attend ma déesse ? v.1613 (Acte 5, scène 1, CLORIDAN)
- Trouve mon beau soleil : que ta poursuite est lente ! v.1617 (Acte 5, scène 1, CLORIDAN)
- Ce coeur, pouvant t'aimer, est digne de ses fers ; v.1624 (Acte 5, scène 1, CLÉONICE)
- Est-ce remédier aux douleurs qu'il ressent ? v.1636 (Acte 5, scène 1, CLORIDAN)
- Est-ce me procurer les faveurs de ma sainte ? v.1638 (Acte 5, scène 1, CLORIDAN)
- Telle qu'elle est au monde en la saison première ; v.1658 (Acte 5, scène 1, CLORIDAN)
- Son mal est trop visible. Adieu, je suis ici v.1679 (Acte 5, scène 1, CLÉONICE)
- Voleurs, dès le berceau destinés à la roue, v.1682 (Acte 5, scène 2, LE PAGE)
- D'obliger vos destins par un pieux outrage, v.1686 (Acte 5, scène 2, LE PAGE)
- Ce collier est plus propre aux filles qu'à des pages ; v.1709 (Acte 5, scène 2, PREMIER VOLEUR)
- Non, non, ce vêtement est bien à mon usage, v.1717 (Acte 5, scène 2, DEUXIÈME VOLEUR)
- Tu sais qu'il est un foudre, et tu n'en uses pas ? v.1724 (Acte 5, scène 2, LE PAGE)
- Qu'il a, nu comme il est, baisé des courtisanes ! v.1725 (Acte 5, scène 2, PREMIER VOLEUR)
- Un point vous reste encore à la rendre assouvie ; v.1741 (Acte 5, scène 2, LE PAGE)
- Ah ! La mort n'est pas loin ; console-toi, perfide. v.1754 (Acte 5, scène 3, LE PAGE)
- Dieu ! Qu'un heureux destin m'a conduite en ces lieux ! v.1779 (Acte 5, scène 3, PERSIDE)
- C'est moi : je suis le traître v.1781 (Acte 5, scène 3, LE PAGE)
- Que Perside est l'objet de sa douce furie. v.1814 (Acte 5, scène 3, LE PAGE)
- La mort aux malheureux est un aimable point, v.1831 (Acte 5, scène 3, PERSIDE)
- Il est vrai que la mort plaît à ma frénésie, v.1833 (Acte 5, scène 3, LE PAGE)
- Dont le trait le plus doux m'est fatal, et m'accuse v.1837 (Acte 5, scène 3, LE PAGE)
- Dieu ! Que son souvenir est doux à ma pensée ! v.1873 (Acte 5, scène 4, CLÉONICE)
- Ah ! C'est trop, Cléonice, avoir l'âme abattue ; v.1877 (Acte 5, scène 4, CL?ONICE)
- C'est nourrir trop longtemps une amour qui te tue ; v.1878 (Acte 5, scène 4, CL?ONICE)
- La plus sensible ardeur de ma flamme est passée ; v.1886 (Acte 5, scène 4, CL?ONICE)
- Oui, si mon coeur est tel, beau miracle des belles. v.1902 (Acte 5, scène 5, ALIASTE)
- C'est trop, objet sacré de mes chastes amours : v.1911 (Acte 5, scène 5, ALIASTE)
- Je meurs dans ces appas ! Que la vengeance est douce ! v.1926 (Acte 5, scène 5, ALIASTE)
- M'accusent de l'avoir estimé trop sévère ; v.1930 (Acte 5, scène 5, CLÉONICE)
- Languir en un cercueil, et ta vie est ici ! v.1936 (Acte 5, scène 6, PERSIDE)
- Ah ! Propos qui me charme ! Est-ce toi, ma déesse ? v.1937 (Acte 5, scène 6, CLORIDAN)
- Ces lieux sont destinés au châtiment des âmes : v.1945 (Acte 5, scène 6, CLORIDAN)
- Nous verrons les enfers, lorsque les destinées v.1957 (Acte 5, scène 6, PERSIDE)
- Un cruel artifice a déçu ton estime ; v.1970 (Acte 5, scène 6, CLÉONICE)
- Quel bonheur est pareil à mon contentement ? v.1987 (Acte 5, scène 6, ORONTE)
- Est-ce pas en ce jour, mon ange, ma Cypris, v.2011 (Acte 5, scène 6, CLORIDAN)
- Quel envieux démon, quel inique destin v.2051 (Acte 5, scène 6, PREMIER MORT)
- À quoi se résoudra mon estime incertaine ? v.2069 (Acte 5, scène 6, CLORIDAN)
- Les rigueurs du destin m'ont encor pour objet ! v.2080 (Acte 5, scène 6, PREMIER MORT)
- Ce mal ne m'est venu que pour ton allégeance ; v.2081 (Acte 5, scène 6, PREMIER MORT)
LES OCCASIONS PERDUES (1636)
- Quand ils sont éveillés que ma force est petite, v.19 (Acte 1, scène 1, CLÉONTE)
- Je crois qu'il est exempt du pouvoir des hivers, v.22 (Acte 1, scène 2, CLORIMAND)
- Le céleste flambeau qui fait le tour du monde v.27 (Acte 1, scène 2, CLORIMAND)
- N'est pas si près encor de se noyer dans l'onde ; v.28 (Acte 1, scène 2, CLORIMAND)
- Le reste du chemin n'est plus que de trois milles. v.32 (Acte 1, scène 2, ATYS)
- Ses favorables soins à vos destins sinistres v.59 (Acte 1, scène 2, CLORIMAND)
- Quand je saurai nommer la céleste beauté v.97 (Acte 1, scène 2, CLORIMAND)
- Qu'il n'était destiné que pour une couronne ; v.104 (Acte 1, scène 2, CLORIMAND)
- L'Espagne est le pays où j'ai reçu le jour, v.109 (Acte 1, scène 2, CLORIMAND)
- Mon nom est Clorimand, ma demeure la cour ; v.110 (Acte 1, scène 2, CLORIMAND)
- Cette peste de gens toutes les cours infecte ; v.135 (Acte 1, scène 2, CLORIMAND)
- Mais c'est trop différer ; leur envieuse rage v.143 (Acte 1, scène 2, CLORIMAND)
- Qu'autrement, estimé du peuple et de l'infante, v.167 (Acte 1, scène 2, CLORIMAND)
- M'a fait ambassadeur vers votre majesté, v.170 (Acte 1, scène 2, CLORIMAND)
- Trouver où l'on sût mieux estimer vos pareils. v.190 (Acte 1, scène 2, LA REINE)
- D'eux tous, ce cavalier est le plus généreux, v.193 (Acte 1, scène 3, CLÉONTE)
- Ah ! Mon maître, est-ce vous ? Voyez ces mains liées ! v.199 (Acte 1, scène 3, LYSIS)
- Cet homme est de mes gens, et j'aime sa folie v.207 (Acte 1, scène 3, CLORIMAND)
- Pour ce qu'elle est contraire à ma mélancolie. v.208 (Acte 1, scène 3, CLORIMAND)
- Il nous doit excuser, sachant qu'on s'est mépris. v.214 (Acte 1, scène 3, LA REINE)
- Et, si sa majesté suivait mon sentiment, v.221 (Acte 1, scène 3, CLORIMAND)
- Il est vrai que je hais la qualité de traître, v.227 (Acte 1, scène 3, LYSIS)
- Mais l'affront est passé, je me veux contenir, v.229 (Acte 1, scène 3, LYSIS)
- Vraiment j'en fais état : sa candeur est aimable, v.231 (Acte 1, scène 3, LA REINE)
- Et sa bouffonne humeur n'est pas désagréable. v.232 (Acte 1, scène 3, LA REINE)
- Je connais son mérite, et, si vous l'estimez, v.237 (Acte 1, scène 3, LA REINE)
- Assurez-vous qu'en lui c'est moi que vous aimez. v.238 (Acte 1, scène 3, LA REINE)
- Est-ce trop peu, Monsieur, de vous devoir la vie ? v.247 (Acte 1, scène 3, CLORIMAND)
- Et c'est me surcharger d'un plaisir trop pressant v.249 (Acte 1, scène 3, CLORIMAND)
- Où celle qui chassait elle-même est la proie ! v.256 (Acte 1, scène 3, LA REINE)
- J'en estime bien plus l'absence que la vue. v.264 (Acte 1, scène 4, ATYS)
- C'est nous être attaqués à la même vertu. v.274 (Acte 1, scène 4, LERME)
- Quel obstacle imprévu s'est offert à sa loi : v.282 (Acte 1, scène 4, ORMIN)
- Si ton affection m'est encore assurée, v.291 (Acte 2, scène 1, ADRASTE)
- Si ta divine humeur est toujours de durée, v.292 (Acte 2, scène 1, ADRASTE)
- Soit que vous estimiez ou vous plaindre ou railler, v.297 (Acte 2, scène 1, ISABELLE)
- Me parler d'inconstance est me la conseiller. v.298 (Acte 2, scène 1, ISABELLE)
- Je crois que pour moi seul ton coeur n'est pas de glace, v.299 (Acte 2, scène 1, ADRASTE)
- Mauvaise ! Quelle humeur est comparable aux vôtres ? v.316 (Acte 2, scène 1, ADRASTE)
- Mais c'est trop, quel sujet ainsi seul vous ramène ? v.323 (Acte 2, scène 1, ISABELLE)
- Est d'apporter mes voeux dessus ta main pressée. v.332 (Acte 2, scène 1, ADRASTE)
- Les célestes appas dont le ciel t'a douée... v.335 (Acte 2, scène 1, ADRASTE)
- Mais c'est trop t'ennuyer, tu hais d'être louée : v.336 (Acte 2, scène 1, ADRASTE)
- Apprends que cette chasse est heureuse à la cour, v.342 (Acte 2, scène 1, ADRASTE)
- L'amour qu'on a pour vous, ma mignonne, est bien forte, v.347 (Acte 2, scène 2, LA REINE)
- Que vous paraissez froid, et que ce teint est pâle ! v.351 (Acte 2, scène 2, LA REINE)
- Pour tout autre que vous je crois qu'elle est de glace, v.355 (Acte 2, scène 2, LA REINE)
- Est bien sûre en la main de qui n'en peut user. v.362 (Acte 2, scène 2, ADRASTE)
- Mais est-il bien avant déjà dans cet état ? v.386 (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
- Et c'est de qui je me veux plaindre aussi. v.394 (Acte 2, scène 2, LA REINE)
- Il est vrai que l'amour fait de rudes atteintes, v.399 (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
- Amour même est venu sous ses lois me ranger, v.413 (Acte 2, scène 2, LA REINE)
- Mais l'Amour est un dieu, tout cède à sa puissance. v.420 (Acte 2, scène 2, LA REINE)
- Cet étranger, Madame, est possible de rang v.421 (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
- Son crime est seulement d'avoir aimé l'infante. v.428 (Acte 2, scène 2, LA REINE)
- En quoi puis-je obéir à votre majesté ? v.437 (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
- Je la sais, ma mignonne, et c'est aussi la cause v.439 (Acte 2, scène 2, LA REINE)
- C'est l'unique remède où mon espoir se fonde. v.444 (Acte 2, scène 2, LA REINE)
- Abuser tous les coeurs est une chose aisée ! v.452 (Acte 2, scène 2, LA REINE)
- Si pour vous obéir ma perte est nécessaire, v.455 (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
- Ma mignonne, tout beau, c'est trop bien m'obéir, v.481 (Acte 2, scène 2, LA REINE)
- Son nom est Isabelle. v.504 (Acte 2, scène 3, CLÉONTE)
- Je trouve que son port est plein de majesté v.505 (Acte 2, scène 3, CLORIMAND)
- Je crois que de plusieurs cette belle est servie, v.511 (Acte 2, scène 3, CLORIMAND)
- Mais comment est la Reine en votre sentiment ? v.518 (Acte 2, scène 3, CLÉONTE)
- Son visage est divin, ses vertus sans pareilles : v.523 (Acte 2, scène 3, CLORIMAND)
- N'est pas plus absolu sur les coeurs que ses yeux. v.526 (Acte 2, scène 3, CLORIMAND)
- Ah ! C'est trop découvrir les secrets de son âme, v.527 (Acte 2, scène 3, CLÉONTE)
- Cléonte ! Quel malheur est pareil à ton mal ? v.529 (Acte 2, scène 3, CL?ONTE)
- Ainsi que son objet, mon amour est extrême ; v.540 (Acte 2, scène 3, CLÉONTE)
- Est un effet causé par cette extrémité. v.542 (Acte 2, scène 3, CL?ONTE)
- L'excès de ton mérite est suspect à ma foi ; v.545 (Acte 2, scène 3, CL?ONTE)
- Mais quel est ce papier ? v.563 (Acte 2, scène 3, CLORIMAND)
- C'est à vous qu'il s'adresse. v.563 (Acte 2, scène 3, LYSIS)
- Ah ! Cléonte, le tien n'est que trop véritable ! v.567 (Acte 2, scène 3, CLÉONTE)
- La perfide qu'elle est a tracé cet écrit. v.570 (Acte 2, scène 3, CL?ONTE)
- Me fait encor douter si c'est la vérité ; v.590 (Acte 2, scène 3, CLORIMAND)
- Non, non, c'est perdre temps que de flatter ma peine ; v.595 (Acte 2, scène 3, CLÉONTE)
- Vous lisez Isabelle, il est écrit Hélène. v.596 (Acte 2, scène 3, CL?ONTE)
- Votre esprit m'est suspect : à d'autres, Clorimand ; v.597 (Acte 2, scène 3, CL?ONTE)
- Si de ces trahisons mon esprit est capable. v.600 (Acte 2, scène 3, CLORIMAND)
- Isabelle... Ah ! C'est tout, ce mot est trop puissant, v.601 (Acte 2, scène 3, CLÉONTE)
- Pardonne, cher ami, ma crainte est criminelle ; v.603 (Acte 2, scène 3, CL?ONTE)
- Mon coeur par ces baisers n'est pas moins satisfait v.605 (Acte 2, scène 3, CL?ONTE)
- C'est me faire, Cléonte, un même déplaisir. v.633 (Acte 3, scène 2, CLORIMAND)
- Vous offrir du secours est-ce un mauvais office ? v.640 (Acte 3, scène 2, CLÉONTE)
- Et qu'on ne vous outrage, est-ce vous outrager ? v.642 (Acte 3, scène 2, CL?ONTE)
- Cléonte. C'est pour vous que vous craignez l'outrage ; v.644 (Acte 3, scène 2, CLORIMAND)
- Et combien votre aspect est fatal aux beautés ; v.658 (Acte 3, scène 2, CLÉONTE)
- Mais je connais aussi combien la Reine est sage, v.659 (Acte 3, scène 2, CL?ONTE)
- Et que c'est la raison qui gouverne son âge. v.660 (Acte 3, scène 2, CL?ONTE)
- Pour ce point, je ne puis autre chose estimer, v.665 (Acte 3, scène 2, CLORIMAND)
- Quand ce bien m'est offert en faveur d'une étoile, v.671 (Acte 3, scène 2, CLORIMAND)
- Je n'entends aucun bruit, la lune est endormie ; v.684 (Acte 3, scène 2, CLORIMAND)
- Ma belle aimant mes yeux est jalouse des tiens ; v.697 (Acte 3, scène 2, CLORIMAND)
- Quand tu ne la peux voir, elle est à la fenêtre ; v.699 (Acte 3, scène 2, CLORIMAND)
- Est-ce toi, ma lumière ? v.711 (Acte 3, scène 2, LA REINE)
- C'est bien là se flatter d'une amour insensée. v.748 (Acte 3, scène 2, LYSIS)
- Est-ce là, Clorimand, un sujet de te plaindre ? v.776 (Acte 3, scène 2, LA REINE)
- Si c'est là t'affliger, que ferait un refus ? v.778 (Acte 3, scène 2, LA REINE)
- Est-ce là te montrer une amour assez pure ? v.784 (Acte 3, scène 2, LA REINE)
- C'est là qu'elle m'ouvrait ses plus douces pensées ; v.799 (Acte 3, scène 3, ADRASTE)
- C'est là que nous avons de longues nuits passées. v.800 (Acte 3, scène 3, ADRASTE)
- Je reviens de ce pas. Cléonte, est-ce pas vous ? v.805 (Acte 3, scène 3, CLORIMAND)
- Que votre confidence est une vaine fable ! v.807 (Acte 3, scène 3, CLORIMAND)
- Ce n'est point une erreur qui me vient d'arriver ; v.825 (Acte 3, scène 3, ADRASTE)
- Il est trop véritable, Adraste, que tu veilles ; v.827 (Acte 3, scène 3, ADRASTE)
- Ton malheur est visible, ou le jour ne l'est pas v.830 (Acte 3, scène 3, ADRASTE)
- L'offense est trop sensible à mon âme irritée, v.839 (Acte 3, scène 3, ADRASTE)
- Est-ce que votre haine a résolu ma perte ? v.844 (Acte 3, scène 3, CLORIMAND)
- Cléonte, c'est l'humeur du véritable amant : v.865 (Acte 3, scène 3, CLORIMAND)
- Ce n'est pas bien aimer, que d'aimer autrement. v.866 (Acte 3, scène 3, CLORIMAND)
- Je perds toute espérance, et ma mort est voisine v.867 (Acte 3, scène 3, CLORIMAND)
- Qui me perd, est celui dont je suis le conseil ; v.870 (Acte 3, scène 3, CLORIMAND)
- C'est trop enfin, sa mort rendra mes voeux contents... v.881 (Acte 3, scène 3, ADRASTE)
- Il est perdu dans l'ombre et ne m'écoute plus. v.886 (Acte 3, scène 3, CLORIMAND)
- Avec ce corps tout froid mon espérance est morte. v.896 (Acte 3, scène 3, CLORIMAND)
- Mon oeil est envieux du bien de mon oreille. v.914 (Acte 4, scène 1, LE ROI)
- C'est un étrange dieu qui fait d'étranges choses ; v.922 (Acte 4, scène 1, CLÉONIS)
- La Reine est-elle encore au lit ? v.947 (Acte 4, scène 2, ADRASTE)
- Appelle-moi jaloux, atteste ciel et terre, v.965 (Acte 4, scène 2, ADRASTE)
- Mais ton crime est visible, et ces moyens sont vains. v.968 (Acte 4, scène 2, ADRASTE)
- Hélas ! que ce secret est fatal à mes jours ! v.975 (Acte 4, scène 2, ISABELLE)
- Esprit dissimulé s'il en est sous les cieux, v.987 (Acte 4, scène 2, ADRASTE)
- Et pour ne croire pas combien ton coeur est traître, v.989 (Acte 4, scène 2, ADRASTE)
- Si ton front est encor capable de rougir ? v.996 (Acte 4, scène 2, ADRASTE)
- C'est assez, vois par-là ce que je puis connaître. v.998 (Acte 4, scène 2, ADRASTE)
- J'ai tort, et c'est plutôt mon oreille qui l'est ; v.1024 (Acte 4, scène 2, ADRASTE)
- T'accuser d'être injuste, ah ! c'est une injustice ; v.1026 (Acte 4, scène 2, ADRASTE)
- Inconstante, est-ce là le discours qu'il te faut ? v.1028 (Acte 4, scène 2, ADRASTE)
- Perfide, c'est assez, ne va point concevoir v.1035 (Acte 4, scène 2, ADRASTE)
- Parler de me guérir c'est irriter ma plaie. v.1038 (Acte 4, scène 2, ADRASTE)
- Et qu'il est malaisé d'échapper de ses rets ! v.1040 (Acte 4, scène 2, ADRASTE)
- Adraste, est-il donc vrai que vous quittez la cour ? v.1056 (Acte 4, scène 3, CLORIMAND)
- Si pour votre service elle n'est divertie. v.1058 (Acte 4, scène 3, ADRASTE)
- Sa nature est de vent, que tout peut agiter, v.1063 (Acte 4, scène 3, ADRASTE)
- Craindrais-je ce fardeau puisqu'il est si léger ? v.1068 (Acte 4, scène 3, CLORIMAND)
- Cette légèreté, toutefois, est à craindre, v.1069 (Acte 4, scène 3, ADRASTE)
- Qu'est-ce donc ? v.1071 (Acte 4, scène 3, CLORIMAND)
- Y songeant seulement, ma peine est sans seconde ; v.1074 (Acte 4, scène 3, CLORIMAND)
- Elle seule se garde. Enfin, s'il est possible, v.1085 (Acte 4, scène 3, CLORIMAND)
- Puisque vous estimez ce fardeau si pesant, v.1087 (Acte 4, scène 3, ADRASTE)
- C'est un coeur bien constant que celui d'Isabelle. v.1091 (Acte 4, scène 3, ADRASTE)
- « Adraste, il est vrai que je t'aime v.1099 (Acte 4, scène 3, CLORIMAND)
- Combien mon amour est extrême, v.1104 (Acte 4, scène 3, CLORIMAND)
- Ah, perfide ! est-il vrai que j'idolâtre une onde ? v.1113 (Acte 4, scène 3, CLORIMAND)
- Est-ce dessus du vent que mon espoir se fonde ? v.1114 (Acte 4, scène 3, CLORIMAND)
- Mais il n'est plus ici, j'appelle vainement. v.1116 (Acte 4, scène 3, CLORIMAND)
- Hélas ! il est trop vrai, ma perte est trop certaine, v.1121 (Acte 4, scène 3, CLORIMAND)
- Et cette qualité vous est si naturelle ; v.1134 (Acte 4, scène 3, CLORIMAND)
- Lui qui m'a si souvent protesté de me plaire ? v.1142 (Acte 4, scène 3, ISABELLE)
- Son visage est si doux, que même en sa colère v.1163 (Acte 4, scène 3, ISABELLE)
- C'est fait, je ne puis plus résister à ses charmes. v.1179 (Acte 4, scène 3, ISABELLE)
- Madame, eh ! n'est-ce pas assez de l'amitié, v.1185 (Acte 4, scène 3, CLORIMAND)
- C'est l'amour qui me fait extravaguer ainsi. v.1202 (Acte 4, scène 3, ISABELLE)
- Quelle heure est assignée à ses jeunes désirs, v.1225 (Acte 4, scène 3, LA REINE)
- C'est trop d'obéissance, et vous fonder sur elle v.1243 (Acte 4, scène 3, LA REINE)
- C'est de ma volonté faire une maquerelle ; v.1244 (Acte 4, scène 3, LA REINE)
- C'est à lui, non à moi, que vous obéissez. v.1246 (Acte 4, scène 3, LA REINE)
- Je fiais au larron un bien qui m'est si cher, v.1253 (Acte 4, scène 3, LA REINE)
- Et je devais songer que son coeur est de chair. v.1254 (Acte 4, scène 3, LA REINE)
- Voir votre majesté de là part de son prince. v.1260 (Acte 4, scène 4, CLÉONTE)
- C'est un de mes bonheurs, qu'un roi si glorieux v.1261 (Acte 4, scène 4, LA REINE)
- Et votre majesté considérant sa flamme, v.1263 (Acte 4, scène 4, LE ROI)
- Il n'estime l'éclat de son autorité v.1265 (Acte 4, scène 4, LE ROI)
- Qu'afin de la soumettre à votre majesté. v.1266 (Acte 4, scène 4, LE ROI)
- Et mon prince est blessé des traits qu'il n'a point vus. v.1270 (Acte 4, scène 4, LE ROI)
- Ce discours est ma charge, et son unique envie v.1271 (Acte 4, scène 4, LE ROI)
- Est de joindre à vos jours sa fortune et sa vie ; v.1272 (Acte 4, scène 4, LE ROI)
- Ces lettres diront mieux à votre majesté, v.1273 (Acte 4, scène 4, LE ROI)
- Son nom est Clorimand ; ses mérites sont rares, v.1283 (Acte 4, scène 4, LE ROI)
- Je sais comment je dois estimer vos pareils, v.1293 (Acte 4, scène 4, LA REINE)
- Le ciel est favorable à ma fidèle flamme, v.1307 (Acte 4, scène 4, CLÉONTE)
- C'est enfin dessus moi qu'elle a jeté les yeux, v.1309 (Acte 4, scène 4, CL?ONTE)
- Votre sagesse est rare et doit être louée, v.1312 (Acte 4, scène 4, CL?ONTE)
- N'est pas de s'élever au-dessus de l'honneur, v.1314 (Acte 4, scène 4, CL?ONTE)
- Ce n'est pas pour les soins que les dames sont nées, v.1320 (Acte 4, scène 4, CL?ONTE)
- Épouser son pareil, cette chose est commune ; v.1323 (Acte 4, scène 4, CL?ONTE)
- C'est là nous témoigner une sagesse extrême. v.1328 (Acte 4, scène 4, CL?ONTE)
- Qui s'est fait une place en un si noble coeur ? v.1330 (Acte 4, scène 4, CL?ONTE)
- Qu'une fille est timide en l'art de bien aimer ! v.1333 (Acte 4, scène 4, CLÉONTE)
- Madame. Ah ! que l'Amour est un enfant honteux ! v.1338 (Acte 4, scène 4, CL?ONTE)
- Votre coeur est trop noble et dément votre voix. v.1341 (Acte 4, scène 4, CLÉONTE)
- Ah ! Mon coeur n'est plus libre, il dépend de ses lois. v.1342 (Acte 4, scène 4, LA REINE)
- Ah dieux ! Quelle infortune à la nôtre est pareille ? v.1343 (Acte 4, scène 4, CLÉONTE)
- M'est-il ici permis de croire mon oreille ? v.1344 (Acte 4, scène 4, CL?ONTE)
- Estimez-vous sa gloire et sa naissance vile ? v.1348 (Acte 4, scène 4, LA REINE)
- C'est trop être vous-même à vous-même ennemie : v.1355 (Acte 4, scène 4, CLÉONTE)
- Désespère, déteste, élève mont sur mont, v.1357 (Acte 4, scène 4, LA REINE)
- Elle est plus indulgente au garçon qui lui plaît, v.1383 (Acte 5, scène 1, LA REINE)
- Et le voit autrement toute chaste qu'elle est. v.1384 (Acte 5, scène 1, LA REINE)
- Mais, sire, après cela, quel dessein est le vôtre ? v.1390 (Acte 5, scène 2, CLÉONIS)
- Et crois que sur ses voeux mon âme est souveraine. v.1410 (Acte 5, scène 2, LE ROI)
- Mon coeur est surmonté, v.1418 (Acte 5, scène 2, LE ROI)
- Je vous aime, Hélène est à vous. » v.1428 (Acte 5, scène 2, LE ROI)
- On s'aperçoit toujours qu'il est sur l'hémisphère. v.1446 (Acte 5, scène 2, CLÉONIS)
- Cléonte, il est trop vrai, tout espoir m'est ôté : v.1455 (Acte 5, scène 3, ADRASTE)
- Et qu'on fuit vainement quand le coup est reçu ! v.1460 (Acte 5, scène 3, ADRASTE)
- Moins léger qu'elle n'est, fût sensible à mon mal. v.1464 (Acte 5, scène 3, ADRASTE)
- Si ce fer m'est propice, ira seul voyager, v.1468 (Acte 5, scène 3, ADRASTE)
- Et qu'il est malaisé de vous persuader ! v.1472 (Acte 5, scène 3, CLÉONTE)
- La Reine l'idolâtre, il n'est aimé que d'elle ; v.1474 (Acte 5, scène 3, CL?ONTE)
- Il est vrai que lui-même ignore sa maîtresse, v.1477 (Acte 5, scène 3, CL?ONTE)
- Est-il quelque malheur à celui-ci pareil ? v.1487 (Acte 5, scène 3, CLÉONTE)
- Son coeur s'est déclaré pour ce vil étranger : v.1495 (Acte 5, scène 3, CL?ONTE)
- Qu'as-tu dit ? Quel bonheur est pareil à mon aise ? v.1502 (Acte 5, scène 3, ADRASTE)
- Elle n'est pas plus tôt requise qu'occupée. v.1510 (Acte 5, scène 3, ADRASTE)
- Sa lame est de valeur, s'il en est sous les cieux, v.1515 (Acte 5, scène 3, CLÉONTE)
- Que ce bel étranger est longtemps à venir ! v.1531 (Acte 5, scène 4, ISABELLE)
- Il la punit aussi, Clorimand est à moi, v.1543 (Acte 5, scène 4, ISABELLE)
- Ah ! dieu de nos esprits, que ta force est puissante ! v.1550 (Acte 5, scène 4, ADRASTE)
- Si mon oeil n'est déçu dans un endroit si sombre, v.1553 (Acte 5, scène 4, ADRASTE)
- Es-tu là, Clorimand ? Est-ce toi, mon souci ? v.1555 (Acte 5, scène 4, ISABELLE)
- Est-ce pas Clorimand ? v.1561 (Acte 5, scène 4, ISABELLE)
- Puisque cette visite est si favorisée, v.1565 (Acte 5, scène 5, CLORIMAND)
- Je crois que de là-haut elle est autorisée ; v.1566 (Acte 5, scène 5, CLORIMAND)
- C'est en notre faveur qu'il a fermé les yeux, v.1568 (Acte 5, scène 5, CLORIMAND)
- Tandis qu'elle est présente et qu'elle le peut voir. v.1572 (Acte 5, scène 5, CLORIMAND)
- Je vois qu'il est plus tard que je ne pensais pas. v.1579 (Acte 5, scène 5, CLORIMAND)
- Lysis, c'est l'Espagnol qu'on dit depuis deux jours v.1591 (Acte 5, scène 5, CLORIMAND)
- Que je n'ose frapper, tant mon âme est timide ; v.1594 (Acte 5, scène 5, LE ROI)
- Parle. Donnons, c'est lui, ne soyons plus en peine. v.1598 (Acte 5, scène 5, CLÉONTE)
- Oui, je suis Espagnol ; mais ce discours est vain, v.1599 (Acte 5, scène 5, LE ROI)
- À moi, traîtres, à moi ! c'est trop peu de courage v.1601 (Acte 5, scène 5, CLORIMAND)
- C'est où vous assurez vos âmes criminelles ; v.1609 (Acte 5, scène 5, CLORIMAND)
- Clorimand est mon nom. v.1619 (Acte 5, scène 5, CLORIMAND)
- S'il est propice à ceux qui vous ont fait outrage ? v.1622 (Acte 5, scène 5, LE ROI)
- Clorimand, c'est l'auteur du conseil que j'ai pris, v.1632 (Acte 5, scène 5, LE ROI)
- Et c'est l'occasion qui m'a conduit ici. v.1640 (Acte 5, scène 5, LE ROI)
- Puissions-nous vivre heureux, et que les destinées v.1645 (Acte 5, scène 5, LE ROI)
- La Reine est à la porte. v.1650 (Acte 5, scène 5, LE ROI)
- Est-ce pas toi, ma vie ? v.1650 (Acte 5, scène 5, LA REINE)
- Clorimand est à moi, mon amour est contente. v.1654 (Acte 5, scène 5, LA REINE)
- Clorimand est à moi ! Dieux qu'entends-je ici ? v.1655 (Acte 5, scène 5, CLORIMAND)
- Hélas ! Il est trop vrai qu'en cette nuit fatale v.1661 (Acte 5, scène 6, CLÉONTE)
- Juge par ce discours quel est notre dessein. v.1680 (Acte 5, scène 6, CLÉONTE)
- Ah ! que tout est contraire à mes chastes faveurs ! v.1687 (Acte 5, scène 6, CLORIMAND)
- Est devant vous, Cléonte, et vous tient ces propos ; v.1696 (Acte 5, scène 6, ADRASTE)
- C'est moi, je suis Adraste. v.1697 (Acte 5, scène 6, ADRASTE)
- Quelle étrange infortune à la tienne est égale ? v.1702 (Acte 5, scène 6, CLORIMAND)
- Hélas ! que dois-je croire ? Adraste, est-ce donc vous ? v.1703 (Acte 5, scène 6, ISABELLE)
- Quelle rage est pareille à mon juste courroux ? v.1704 (Acte 5, scène 6, ISABELLE)
- Si de son propre bien la moisson est un crime, v.1709 (Acte 5, scène 6, ADRASTE)
- À qui donc, ma déesse, est-elle légitime ? v.1710 (Acte 5, scène 6, ADRASTE)
- Oui, Clorimand est mien, oui Clorimand est roi. v.1731 (Acte 5, scène 6, LA REINE)
- Croyez que m'obéir est le meilleur avis ; v.1748 (Acte 5, scène 6, LA REINE)
- C'est à cet Espagnol que l'écrit s'adressait. v.1764 (Acte 5, scène 6, FILÉMON)
- Estimais-tu si mal de ma pudique ardeur, v.1767 (Acte 5, scène 6, LA REINE)
- Dieux ! tant de majesté peut-elle être cachée ? v.1774 (Acte 5, scène 6, CLORIMAND)
- Il est venu flatter son amoureux tourment ? v.1776 (Acte 5, scène 6, CLORIMAND)
- Je suis ce Clorimand, grande Reine, c'est moi ; v.1779 (Acte 5, scène 6, CLORIMAND)
- De vos chastes faveurs ce prince seul est digne, v.1781 (Acte 5, scène 6, CLORIMAND)
- Mon sort est au-dessous de ce bonheur insigne. v.1782 (Acte 5, scène 6, CLORIMAND)
- C'est de la main du ciel que vous êtes unis. v.1784 (Acte 5, scène 6, CLORIMAND)
- Ah ! c'est trop, grand monarque, abaisser votre gloire ; v.1785 (Acte 5, scène 6, LA REINE)
- Si mon bonheur n'est faux, et si c'est vous, grand roi, v.1787 (Acte 5, scène 6, LA REINE)
- C'est peu que de mes lois la Sicile dépende ; v.1790 (Acte 5, scène 6, LE ROI)
- Il est vrai que mon coeur idolâtrait vos yeux ; v.1799 (Acte 5, scène 6, CLORIMAND)
- Isabelle, est-ce vous ? v.1801 (Acte 5, scène 6, LA REINE)
- C'est d'elle désormais qu'il faut être jaloux. v.1808 (Acte 5, scène 6, LA REINE)
- Il reste de trouver une chaste beauté v.1811 (Acte 5, scène 6, LE ROI)
AMÉLIE (1637)
- C'est lui que vous aimez. v.11 (Acte 1, scène 1, DORISE)
- Et jamais un tel coup n'est parti de ses mains v.15 (Acte 1, scène 1, AMÉLIE)
- C'est un aimable objet. v.17 (Acte 1, scène 1, DORISE)
- Dieux qu'elle est importune, v.25 (Acte 1, scène 1, AMÉLIE)
- Qu'elle m'a fait de fois détester ma fortune ; v.26 (Acte 1, scène 1, AM?LIE)
- Et qu'entre les humains je déteste le plus ! v.32 (Acte 1, scène 1, AM?LIE)
- Et si comme son corps son âme est sans défauts v.44 (Acte 1, scène 1, AMÉLIE)
- La constance est si rare, et l'artifice est tel v.47 (Acte 1, scène 1, AM?LIE)
- Quelle bonté, Dorise, est pareille à la tienne ? v.62 (Acte 1, scène 1, AMÉLIE)
- C'est assez, et j'espère v.73 (Acte 1, scène 1, DORISE)
- Tout ce qu'on s'imagine est de l'air et du vent ; v.84 (Acte 1, scène 1, DORISE)
- Que ton expérience en ce point m'est utile, v.89 (Acte 1, scène 1, AMÉLIE)
- Qu'elle est subtile, v.90 (Acte 1, scène 1, AMÉLIE)
- Que son coeur s'est souvent exercé là-dessus ; v.91 (Acte 1, scène 1, AM?LIE)
- Ces vieilles dont l'humeur est si triste et si noire, v.93 (Acte 1, scène 1, AM?LIE)
- Leur pouvoir absolu régit nos destinées v.97 (Acte 1, scène 1, AM?LIE)
- Mais je vois cet objet dont mon âme est atteinte, v.105 (Acte 1, scène 1, AM?LIE)
- Et si son coeur est froid autant que ses paroles, v.113 (Acte 1, scène 2, DORISE)
- Votre espérance est vaine, et vos peines frivoles, v.114 (Acte 1, scène 2, DORISE)
- Tout le dessein qu'elle a c'est de charmer les jours, v.116 (Acte 1, scène 2, DORISE)
- Ce jardin l'est aussi de sa beauté première ? v.130 (Acte 1, scène 2, DIONYS)
- Le Ciel t'accordera le bonheur qui t'est dû, v.140 (Acte 1, scène 2, AMÉLIE)
- Si ce divin sommeil n'est une illusion, v.147 (Acte 1, scène 2, DIONYS)
- Tu ne réputes pas ton destin bienheureux, v.155 (Acte 1, scène 2, AMÉLIE)
- Il est à votre gloire, v.157 (Acte 1, scène 2, DORISE)
- Dionys est le sourd et je suis l'importune, v.162 (Acte 1, scène 2, AMÉLIE)
- Hélas ! Parler à moi, c'est parler à toi-même, v.169 (Acte 1, scène 2, AM?LIE)
- La contrainte est honteuse, et c'est un vain tourment, v.171 (Acte 1, scène 2, AM?LIE)
- Et je ne défends point, tout ce qui t'est permis, v.175 (Acte 1, scène 2, AM?LIE)
- Quoi ? C'est vous Dionys ? On me respecte ainsi. v.180 (Acte 1, scène 2, AMÉLIE)
- Ce mot est sans défense. v.193 (Acte 1, scène 2, DIONYS)
- Tu plais seul à mes yeux, mon coeur est adouci, v.203 (Acte 1, scène 2, DIONYS)
- C'est que nous vous craignons. v.213 (Acte 1, scène 3, AMÉLIE)
- Si quelqu'un est puissant en l'amoureux empire ; v.222 (Acte 1, scène 4, ÉRASTE)
- Ils vous estiment seul, et tous leurs voeux sont pour vous. v.224 (Acte 1, scène 4, ?RASTE)
- Ce n'est pas mon dessein. v.229 (Acte 1, scène 4, DIONYS)
- Je ne l'estime pas. v.235 (Acte 1, scène 4, DIONYS)
- Est-ce tout ? v.237 (Acte 1, scène 4, DIONYS)
- Et le temps résoudra toutes ces questions. v.240 (Acte 1, scène 4, DIONYS)
- Traître c'est à ce bras qu'appartient cet office, v.241 (Acte 1, scène 4, ÉRASTE)
- Je les résoudrai seul, si le ciel m'est propice, v.242 (Acte 1, scène 4, ?RASTE)
- Ce Mars de qui la grâce, et la valeur est telle v.249 (Acte 2, scène 1, LE VALET)
- Et t'est-il souvenu du nombre des guerriers, v.255 (Acte 2, scène 1, ÉMILE)
- Est-il quelque dessein plus grand que ma vaillance ? v.266 (Acte 2, scène 1, ÉMILE)
- Il reste encor un point de ma commission. v.288 (Acte 2, scène 1, LE VALET)
- La rare beauté dont votre âme est charmée v.289 (Acte 2, scène 1, LE VALET)
- Mon épée est ma plume, et je signe de sang v.299 (Acte 2, scène 1, ÉMILE)
- Vous devez toutefois, si votre amour est telle, v.301 (Acte 2, scène 1, LE VALET)
- C'est aimer froidement, qu'exprimer son souci v.339 (Acte 2, scène 2, LISIDAN)
- D'un amour excessif le respect l'est aussi. v.340 (Acte 2, scène 2, LISIDAN)
- Le vainqueur est vaincu, mon coeur met bas les armes, v.358 (Acte 2, scène 3, ÉMILE)
- La valeur est défaite, et deux astres d'amour v.359 (Acte 2, scène 3, ?MILE)
- Quelle est cette beauté ? v.361 (Acte 2, scène 3, LISIDAN)
- Mon sentiment est tel ; v.375 (Acte 2, scène 3, ÉMILE)
- Est-elle indifférente aux coeurs les plus barbares, v.377 (Acte 2, scène 3, ?MILE)
- Cet adorable objet, dont mon âme est atteinte, v.385 (Acte 2, scène 3, ÉMILE)
- Ce m'est une faveur, qui n'a point de seconde, v.394 (Acte 2, scène 3, DIONYS)
- C'est tout, si vous plaisez aux yeux de cette belle, v.422 (Acte 2, scène 5, LISIDAN)
- Étant bien en son coeur votre sort est heureux, v.423 (Acte 2, scène 5, LISIDAN)
- Et sa possession, m'est un bien assuré. v.432 (Acte 2, scène 5, LISIDAN)
- Que ne m'est-il permis de parler de la sorte ! v.433 (Acte 2, scène 5, DIONYS)
- C'est elle, abordons-la. v.435 (Acte 2, scène 5, DIONYS)
- Qu'il ne me reste plus qu'un moment, et qu'un pas, v.436 (Acte 2, scène 6, DIONYS)
- Ne m'est point importun, si le vôtre est heureux ; v.448 (Acte 2, scène 6, DIONYS)
- Par de si beaux ennuis mon âme est combattue, v.449 (Acte 2, scène 6, DIONYS)
- Je ne déteste point mon malheur apparent, v.451 (Acte 2, scène 6, DIONYS)
- Votre teint est si bon, et votre voix si saine ; v.454 (Acte 2, scène 6, AMÉLIE)
- Il est aisé de conserver ma vie, v.457 (Acte 2, scène 6, DIONYS)
- Elle aime Lisidan, et je n'estime pas, v.471 (Acte 2, scène 7, DIONYS)
- Il n'est pas mal aisé de trouver une amante, v.477 (Acte 2, scène 7, DIONYS)
- Est plus facile que sa soeur. v.480 (Acte 2, scène 7, DIONYS)
- Mais que je trouve ici son ardeur manifeste ; v.493 (Acte 2, scène 7, DIONYS)
- Et pour n'être pas vain, qu'il faut être modeste, v.494 (Acte 2, scène 7, DIONYS)
- Dieux ! M'a-t-elle estimé capable d'aimer tant v.499 (Acte 2, scène 7, DIONYS)
- Il est vrai que la vie, v.501 (Acte 2, scène 8, DIONYS)
- Mon père est au jardin, qui n'a mandé personne ; v.506 (Acte 2, scène 8, AMÉLIE)
- C'est là bien clairement vous ouvrir sa pensée, v.513 (Acte 2, scène 8, AMÉLIE)
- Il vous est bien aisé de parler de la sorte, v.517 (Acte 2, scène 8, DIONYS)
- Qui peut-être à vos yeux est encore incertaine, v.530 (Acte 2, scène 8, DIONYS)
- Je ne possède rien que l'on puisse estimer, v.535 (Acte 2, scène 8, DIONYS)
- L'amour est nu chez moi, comme au sein de sa mère, v.538 (Acte 2, scène 8, DIONYS)
- Enfin, c'est trop cacher une ardeur si pressante, v.545 (Acte 2, scène 8, AMÉLIE)
- Et cette affection t'est une heureuse preuve, v.550 (Acte 2, scène 8, AM?LIE)
- Est-il rien de pareil à ton contentement. v.556 (Acte 2, scène 8, DIONYS)
- Elle estimait la loi, sous qui l'amour nous range, v.565 (Acte 2, scène 9, LISIDAN)
- Quoi, l'arrêt de ma mort, est signé de sa main, v.571 (Acte 2, scène 9, LISIDAN)
- Ton mérite est contraire à ton intention. v.576 (Acte 2, scène 9, LISIDAN)
- Où sa peine est décrite en termes d'importance ; v.606 (Acte 3, scène 2, LE VALET)
- Il est vrai que tout cède à son mérite extrême, v.613 (Acte 3, scène 2, LE VALET)
- Il est fort valeureux, il me l'a dit lui-même, v.614 (Acte 3, scène 2, LE VALET)
- M'est une occasion, et plaisante, v.620 (Acte 3, scène 2, AMÉLIE)
- J'accuse mon destin, v.627 (Acte 3, scène 2, AM?LIE)
- Et lorsqu'il est grand jour aux yeux de tout le monde v.632 (Acte 3, scène 2, AM?LIE)
- Il n'est que nuit aux miens quand je ne vous vois point. v.633 (Acte 3, scène 2, AM?LIE)
- Qu'est-ce, conte moi tout. v.642 (Acte 3, scène 2, AMÉLIE)
- Ô dieux ! Qu'il est plaisant ? v.646 (Acte 3, scène 2, AMÉLIE)
- Sera, s'il est prudent, la fin de son amour. v.649 (Acte 3, scène 2, LE VALET)
- Voyez que d'arrogance est jointe à ses discours, v.668 (Acte 3, scène 3, LE VALET)
- Ne s'est mieux employé qu'à punir cet outrage. v.671 (Acte 3, scène 3, LE VALET)
- Mais l'ingrate qu'elle est se rit de mes désirs v.677 (Acte 3, scène 3, LISIDAN)
- Elle est sourde à mes voeux, cette aveugle Déesse, v.678 (Acte 3, scène 3, LISIDAN)
- Et rien ne m'est sensible au prix de ton absence. v.683 (Acte 3, scène 4, ÉRANTE)
- Cette peine est conjointe aux fidèles amours. v.684 (Acte 3, scène 4, LISIDAN)
- Et d'offrir à ses voeux l'amitié qui m'est due, v.691 (Acte 3, scène 4, LISIDAN)
- Et c'est vous offenser qu'y songer seulement. v.693 (Acte 3, scène 4, LISIDAN)
- C'est beaucoup de tourment, qu'un peu de jalousie, v.694 (Acte 3, scène 4, ÉRANTE)
- Car de la perdre après, il est bien malaisé, v.696 (Acte 3, scène 4, ?RANTE)
- Restreignez mon espoir en d'étroites limites, v.702 (Acte 3, scène 4, LISIDAN)
- Me fera détester moi-même, et me haïr. v.713 (Acte 3, scène 4, LISIDAN)
- Qui blâment sans sujet, ou prisent leur destin, v.716 (Acte 3, scène 4, ÉRANTE)
- Ce vice à mon avis est un défaut extrême, v.718 (Acte 3, scène 4, ?RANTE)
- Mais depuis qu'il est fait, je ne change jamais. v.721 (Acte 3, scène 4, ?RANTE)
- Une amour de deux ans, m'est donc ingrate, et vaine, v.723 (Acte 3, scène 4, LISIDAN)
- Et c'est là Lisidan le sujet de vos plaintes. v.726 (Acte 3, scène 4, ÉRANTE)
- Il est assez puissant. v.727 (Acte 3, scène 4, LISIDAN)
- Dionys est charmé des beautés d'Amélie, v.730 (Acte 3, scène 4, ÉRANTE)
- Il n'est inquiétude égale à son souci, v.732 (Acte 3, scène 4, ?RANTE)
- Vous savez quelle humeur aux vieillards est commune, v.738 (Acte 3, scène 4, ?RANTE)
- Mon père est de ce nombre, et son contentement v.740 (Acte 3, scène 4, ?RANTE)
- Il sait que Dionys n'est riche qu'en mérites, v.742 (Acte 3, scène 4, ?RANTE)
- Si j'obtiens cet effet, Amélie est plus vaine, v.750 (Acte 3, scène 4, ?RANTE)
- Si mon amour est tel qu'on la puisse amortir, v.756 (Acte 3, scène 4, ?RANTE)
- (Monsieur) et qu'au besoin votre langue est muette, v.767 (Acte 3, scène 5, ÉRANTE)
- Voyez si quelquefois mon sentiment est faux ; v.773 (Acte 3, scène 5, DIONYS)
- Sans mérite, sans bruit, sans estime et sans bien, v.776 (Acte 3, scène 5, DIONYS)
- Qui n'a qu'un point de bon, c'est qu'il sait, qu'il n'a rien. v.777 (Acte 3, scène 5, DIONYS)
- Et n'est-ce pas assez que d'en sentir l'effet ! v.785 (Acte 3, scène 5, ÉRANTE)
- Il s'est entretenu d'un espoir inutile, v.806 (Acte 3, scène 5, ÉRANTE)
- Sa vanité, Monsieur, est sans comparaison, v.808 (Acte 3, scène 5, ?RANTE)
- Est-ce assez consulter ? v.820 (Acte 3, scène 5, ÉRANTE)
- Oui, quand les destinées, v.822 (Acte 3, scène 5, DIONYS)
- Et vous n'estimez pas une conquête aisée. v.843 (Acte 3, scène 6, AMÉLIE)
- Je sais tout, c'est assez ; hé quoi tant d'amitié v.848 (Acte 3, scène 6, AMÉLIE)
- C'est vouloir l'impossible. v.860 (Acte 3, scène 6, DIONYS)
- Quelle borne, destins à mes maux est prescrite. v.870 (Acte 3, scène 6, LISIDAN)
- Que ce coeur est atteint d'un sensible regret ? v.877 (Acte 3, scène 6, AMÉLIE)
- On contraint vos désirs ? L'amour est né sans père, v.890 (Acte 3, scène 6, DIONYS)
- C'est souffrir sans mourir, pire, que le trépas. v.897 (Acte 3, scène 6, DIONYS)
- Est offerte à propos à notre doux caprice, v.931 (Acte 3, scène 6, AMÉLIE)
- Plus, que n'est à sa grâce, v.934 (Acte 3, scène 6, DIONYS)
- Quel destin a si tôt changé tes qualités ; v.969 (Acte 3, scène 7, AMÉLIE)
- Je suis sage, et divine, et tu m'estimes fort v.980 (Acte 3, scène 7, ÉRANTE)
- Dieux ; il est bien aisé de te persuader ? v.985 (Acte 3, scène 7, ?RANTE)
- Mais, j'ai dessein de rire, et c'est dont je me plains ; v.993 (Acte 3, scène 7, ?RANTE)
- Comme vos deux beautés, ma flamme est immortelle, v.1011 (Acte 3, scène 7, DIONYS)
- Tu sais que ton objet m'est plus cher que le jour ; v.1033 (Acte 3, scène 7, ÉRANTE)
- Il est mort. v.1041 (Acte 3, scène 8, ÉMILE)
- Ce n'est pas ma coutume. v.1042 (Acte 3, scène 8, LE VALET)
- Je confesse mon crime, il est grand en effet, v.1048 (Acte 3, scène 8, DIONYS)
- Mais l'amour est auteur de ce mal que j'ai fait, v.1049 (Acte 3, scène 8, DIONYS)
- À cet aimable objet, dont mon âme est blessée. v.1051 (Acte 3, scène 8, DIONYS)
- Pour moi, jamais ce fer n'est tiré vainement. v.1079 (Acte 3, scène 8, DIONYS)
- Donnons, c'est trop longtemps différer mon trépas. v.1082 (Acte 3, scène 8, DIONYS)
- C'est trop délibérer. v.1084 (Acte 3, scène 8, DIONYS)
- Ma haine est apaisée, v.1084 (Acte 3, scène 8, ÉMILE)
- Est-ce assez consulter ? v.1090 (Acte 3, scène 8, DIONYS)
- Ô Dieux ! Que promptement, ma fureur est calmée, v.1092 (Acte 3, scène 8, ÉMILE)
- Qu'on va donner de gloire à nos gestes guerriers, v.1094 (Acte 3, scène 8, LE VALET)
- Qui lui font estimer toutes ses actions, v.1103 (Acte 3, scène 8, DIONYS)
- Ce passe-temps est doux : mais il est tard, adieu, v.1106 (Acte 3, scène 8, AMÉLIE)
- Que de trouble divers mon âme est agitée ! v.1112 (Acte 3, scène 8, ÉRANTE)
- Dieux ! Tant de violence est bientôt arrêtée : v.1113 (Acte 3, scène 8, ?RANTE)
- M'est-il permis de soupirer ici ? v.1117 (Acte 4, scène 1, CLORIS)
- S'il est ainsi déserts, écoutez mon tourment, v.1120 (Acte 4, scène 1, CLORIS)
- Et maintenant tout son peuple est en guerre. v.1127 (Acte 4, scène 1, CLORIS)
- Je suis, quand il n'est plus ; il est mort, et je vis, v.1134 (Acte 4, scène 1, CLORIS)
- Quel destin m'a sauvée, et quelle ingratitude, v.1135 (Acte 4, scène 1, CLORIS)
- Ha ! Que depuis ce jour, j'ai détesté mon sort, v.1141 (Acte 4, scène 1, CLORIS)
- C'est sous ce beau feuillage v.1143 (Acte 4, scène 2, DIONYS)
- Il n'est si malheureux sous l'empire d'amour, v.1145 (Acte 4, scène 2, CLORIS)
- Si la mort n'était sourde, et que les destinées, v.1151 (Acte 4, scène 2, CLORIS)
- Ô Ciel ! Est-ce trop peu, de ma dure infortune, v.1167 (Acte 4, scène 2, CLORIS)
- Ô Dieux ! Qu'il est saisi d'une douleur amère, v.1171 (Acte 4, scène 2, AMÉLIE)
- Mais las ! C'est bien l'esprit le plus dissimulé, v.1193 (Acte 4, scène 3, LA-NOURRICE)
- Lors, comme j'estimais voir son humeur si nue, v.1199 (Acte 4, scène 3, LA NOURRICE)
- Qui bonne, comme elle est, n'ayant pu l'arrêter, v.1205 (Acte 4, scène 3, LA NOURRICE)
- C'est là les menacer de beaucoup de misère, v.1215 (Acte 4, scène 3, LA-NOURRICE)
- Mais il est bien aisé d'apaiser sa colère, v.1216 (Acte 4, scène 3, LA NOURRICE)
- Est sensible, Madame, au récit de ma peine ; v.1231 (Acte 4, scène 4, CLORIS)
- Mon sexe est déguisé, par ce faux vêtement. v.1232 (Acte 4, scène 4, CLORIS)
- A bien depuis ce temps changé mes destinées ; v.1243 (Acte 4, scène 4, CLORIS)
- Les brasiers qu'on restreint, deviennent plus ardents. v.1257 (Acte 4, scène 4, CLORIS)
- Le pilote est troublé, son adresse est frivole, v.1282 (Acte 4, scène 4, CLORIS)
- Ne crains rien, me dit-il, le ciel est moins barbare, v.1286 (Acte 4, scène 4, CLORIS)
- Mais, comme elle est aveugle, alors qu'elle nous prend, v.1303 (Acte 4, scène 4, AMÉLIE)
- Nous tenant, elle est sourde, et jamais ne nous rend. v.1304 (Acte 4, scène 4, AM?LIE)
- Enfin la proie est nôtre. v.1307 (Acte 4, scène 5, ÉRASTE)
- Dieux ! Qu'est-ce que je vois ! Cet amant infidèle, v.1317 (Acte 4, scène 5, AMÉLIE)
- Sans doute est le sujet des pleurs de cette belle ; v.1318 (Acte 4, scène 5, AM?LIE)
- Hélas ! Éraste est mort, et cette image vaine, v.1321 (Acte 4, scène 5, CLORIS)
- Je vous son même poil, c'est sa main qui le touche, v.1326 (Acte 4, scène 5, CLORIS)
- Ô divine douceur, dont mon âme est ravie ! v.1329 (Acte 4, scène 5, CLORIS)
- Ha ! Madame est-ce vous ? v.1331 (Acte 4, scène 5, ÉRASTE)
- Que je bénis le ciel, et que mon sort est doux, v.1332 (Acte 4, scène 5, ?RASTE)
- Quoi, ce corps est pourvu, de sa grâce première ? v.1334 (Acte 4, scène 5, ?RASTE)
- Et ce soin qu'il a pris est ce qui m'en délivre, v.1342 (Acte 4, scène 5, AMÉLIE)
- En ces premiers transports, la joie est dangereuse. v.1346 (Acte 4, scène 5, AM?LIE)
- J'accusais le destin, de vous avoir ravie, v.1400 (Acte 4, scène 5, ÉRASTE)
- De tous nos déplaisirs l'amour est triomphant v.1418 (Acte 4, scène 5, ÉRASTE)
- Ô dieux ! Qu'il est charmant ! v.1434 (Acte 4, scène 5, CLORIS)
- Il est en mon pouvoir de divertir sa peine, v.1437 (Acte 4, scène 6, LISIDAN)
- Le plaisir est plus doux, après un long tourment, v.1450 (Acte 5, scène 1, DIONYS)
- Votre possession est l'objet de mes larmes, v.1460 (Acte 5, scène 2, CLORIS)
- Amélie est un nom, qu'on sait par tout le monde, v.1464 (Acte 5, scène 2, CLORIS)
- Vous avez vu l'état, où mon âme est réduite v.1481 (Acte 5, scène 2, CLORIS)
- Ma foi s'est engagée, et (vous seul excepté,) v.1490 (Acte 5, scène 2, AMÉLIE)
- Ce crime est le plus noir qui souille ses autels, v.1494 (Acte 5, scène 2, AM?LIE)
- Et qui lui fit jamais détester les mortels ; v.1495 (Acte 5, scène 2, AM?LIE)
- Que c'est témérité que de voir vos attraits, v.1502 (Acte 5, scène 2, DIONYS)
- Mon sort est au-dessous de la mort où j'aspire, v.1504 (Acte 5, scène 2, DIONYS)
- Je me rends, je suis prise, et tant de modestie v.1508 (Acte 5, scène 2, AMÉLIE)
- Toute raison est faible, et tous respects bannis, v.1511 (Acte 5, scène 2, AM?LIE)
- C'est trop délibérer. v.1518 (Acte 5, scène 2, DIONYS)
- Est-ce toi, mon souci ? v.1519 (Acte 5, scène 2, AMÉLIE)
- Qu'est-ce que tu me dis ? v.1524 (Acte 5, scène 2, AMÉLIE)
- S'est affranchi des lois de son premier vainqueur ; v.1543 (Acte 5, scène 2, AMÉLIE)
- Mon refroidissement t'est un sensible outrage, v.1548 (Acte 5, scène 2, AM?LIE)
- Mais il est Dionys, moindre que ton courage v.1549 (Acte 5, scène 2, AM?LIE)
- Mais non, c'est trop presser une mort si facile, v.1556 (Acte 5, scène 2, DIONYS)
- Le reste de ce jour ne m'est pas inutile, v.1557 (Acte 5, scène 2, DIONYS)
- Et quel est ce rival ? v.1574 (Acte 5, scène 3, LISIDAN)
- Hélas, m'est elle due ? Et la crois-tu coupable, v.1592 (Acte 5, scène 3, DIONYS)
- Cet agréable objet dont ma soeur est atteinte v.1604 (Acte 5, scène 3, ÉRANTE)
- Est fille comme nous, et leur flamme une feinte. v.1605 (Acte 5, scène 3, ?RANTE)
- Il a même avoué, que ta Dame t'est due, v.1620 (Acte 5, scène 3, LISIDAN)
- Ce dessein est plaisant. v.1640 (Acte 5, scène 3, LISIDAN)
- C'est être criminel, et mériter sa haine. v.1641 (Acte 5, scène 3, DIONYS)
- Ce suprême bonheur, est le seul où j'aspire, v.1648 (Acte 5, scène 4, CLORIS)
- L'affaire est d'importance, et différée, empire. v.1649 (Acte 5, scène 4, CLORIS)
- Dionys est heureux, si vous êtes heureuse v.1653 (Acte 5, scène 4, ÉRANTE)
- Je n'ai point murmuré, le respect qui me reste, v.1664 (Acte 5, scène 4, DIONYS)
- M'a fait souffrir sans plainte un tort si manifeste, v.1665 (Acte 5, scène 4, DIONYS)
- De qui l'affection m'est assez apparente. v.1673 (Acte 5, scène 4, DIONYS)
- J'obéis au destin qui change mon martyre, v.1680 (Acte 5, scène 4, AMÉLIE)
- Il ne me reste pas un regret seulement ; v.1683 (Acte 5, scène 4, DIONYS)
- Il faut rester ingrate à ces rares bontés v.1740 (Acte 5, scène 5, AMÉLIE)
- Ce coeur est un rocher qu'on n'ébranle jamais. v.1765 (Acte 5, scène 6, ÉMILE)
- Dieux ! Le plaisant courroux, dont son âme est atteinte, v.1794 (Acte 5, scène 6, ÉMILE)
- Je ne m'oppose point, au bonheur qui t'est dû, v.1804 (Acte 5, scène 6, ?MILE)
- C'est trop perdre de temps, à l'entretien des fous, v.1812 (Acte 5, scène 6, DIONYS)
- C'est trop fait pour un coup, allons parmi les pots v.1832 (Acte 5, scène 6, LE VALET)
LE BÉLISSAIRE (1644)
- En hommes plus qu'en grains, la campagne est fertile, v.7 (Acte 1, scène 1, ALVARE)
- La ville est un désert, et les champs une ville ; v.8 (Acte 1, scène 1, ALVARE)
- Seul la butte, l'objet et l'estime de tous. v.14 (Acte 1, scène 1, ALVARE)
- Si quelque marque, Alvare, est due à mes victoires, v.15 (Acte 1, scène 1, BÉLISSAIRE)
- C'est en ôter le prix au Ciel, dont je la tiens ; v.18 (Acte 1, scène 1, B?LISSAIRE)
- Et mon bras n'est du sien qu'un chétif instrument, v.21 (Acte 1, scène 1, B?LISSAIRE)
- Mourons, ou vengeons-nous, l'endroit est favorable. v.28 (Acte 1, scène 2, LÉONSE)
- Quand je reviens vainqueur, quand tout m'est favorable, v.35 (Acte 1, scène 2, BÉLISSAIRE)
- De quel trouble importun est mon âme saisie ? v.40 (Acte 1, scène 2, LÉONSE)
- Lâche, que tardes-tu ? L'occasion est belle. v.51 (Acte 1, scène 2, LÉONSE)
- N'en désespère point, c'est un soin que j'embrasse, v.56 (Acte 1, scène 2, BÉLISSAIRE)
- Mais toujours dans mon âme son mérite est tracé, v.62 (Acte 1, scène 2, B?LISSAIRE)
- Mes soins lui produiront des fruits de mon estime. v.64 (Acte 1, scène 2, B?LISSAIRE)
- Et je me venge assez si j'acquiers ton estime, v.100 (Acte 1, scène 2, BÉLISSAIRE)
- Et ne me retiens point le fruit qui m'en est dû ; v.102 (Acte 1, scène 2, B?LISSAIRE)
- Par force ou par douceur, si c'est votre dessein, v.121 (Acte 1, scène 2, ALVARE)
- Ce sexe en la vengeance est le plus obstiné, v.133 (Acte 1, scène 2, BÉLISSAIRE)
- Vous en voulant, sans doute elle est d'autorité. v.137 (Acte 1, scène 2, ALVARE)
- Toute femme est puissante avecque la beauté ; v.138 (Acte 1, scène 2, BÉLISSAIRE)
- Oui, (votre Majesté, s'il lui plaît, me pardonne) v.147 (Acte 1, scène 3, CAMILLE)
- La mort de ce Héros est, ce me semble, le pire : v.152 (Acte 1, scène 3, CAMILLE)
- Madame, achevez donc, quel est votre dessein ? v.154 (Acte 1, scène 3, CAMILLE)
- Mais enfin je le hais, cette louange est vaine, v.159 (Acte 1, scène 3, THÉODORE)
- Louer ce que j'abhorre, est accroître ma haine ; v.160 (Acte 1, scène 3, TH?ODORE)
- Je connais son mérite, et l'ai trop estimé, v.161 (Acte 1, scène 3, TH?ODORE)
- Ma haine est un effet d'une amour irritée, v.163 (Acte 1, scène 3, TH?ODORE)
- Sans son crédit enfin, le mien est imparfait, v.201 (Acte 1, scène 3, THÉODORE)
- C'est d'où provient ma haine, et de quoi je me venge. v.204 (Acte 1, scène 3, TH?ODORE)
- Sa louange, en sa bouche est un trait enflammé, v.213 (Acte 1, scène 4, THÉODORE)
- Est-ce, lâche, est-ce ainsi que tu tiens ta promesse. v.216 (Acte 1, scène 4, TH?ODORE)
- Si par un geste seul, vous tâchez de lui plaire, v.224 (Acte 1, scène 4, TH?ODORE)
- Philippe est le parti dont je vous ai fait choix, v.233 (Acte 1, scène 4, THÉODORE)
- La haine d'une femme est un mal sans remède : v.235 (Acte 1, scène 4, ANTHONIE)
- Vient recevoir le prix de ses gestes guerriers ; v.242 (Acte 1, scène 5, L'EMPEREUR)
- J'estime trop, Seigneur, ce qu'il a fait pour nous, v.246 (Acte 1, scène 5, THÉODORE)
- En ce commun tribut de souhaits et d'estime, v.259 (Acte 1, scène 6, THÉODORE)
- Aussi bien que nos voeux, votre heur est légitime ; v.260 (Acte 1, scène 6, TH?ODORE)
- S'il m'est aussi courtois qu'il m'a permis de l'être ; v.264 (Acte 1, scène 6, LÉONSE)
- De ces faveurs, Seigneur, un vassal est indigne. v.267 (Acte 1, scène 6, BÉLISSAIRE)
- Crois que rien ne l'égale, et qu'il n'est point de Roi v.269 (Acte 1, scène 6, L'EMPEREUR)
- Qui vaille, en mon estime, un vassal comme toi, v.270 (Acte 1, scène 6, L'EMPEREUR)
- Est moins à souhaiter, que d'être Bélisaire, v.272 (Acte 1, scène 6, L'EMPEREUR)
- Est bien plus glorieux que de la gouverner ; v.274 (Acte 1, scène 6, L'EMPEREUR)
- Et nul ne s'est sauvé qui ne se soit soumis ; v.314 (Acte 1, scène 6, BÉLISSAIRE)
- Comme rien n'est égal à ta valeur extrême, v.327 (Acte 1, scène 6, L'EMPEREUR)
- Il est tien, et je puis le ranger sous ta loi, v.333 (Acte 1, scène 6, L'EMPEREUR)
- La grâce de Léonse est celle que j'implore. v.355 (Acte 1, scène 6, BÉLISSAIRE)
- Est digne de pardon, puisqu'il l'est de ton soin ; v.358 (Acte 1, scène 6, L'EMPEREUR)
- Puisqu'il a mérité l'honneur de ton estime ; v.360 (Acte 1, scène 6, L'EMPEREUR)
- Il m'aura découverte, et la trame est connue. v.367 (Acte 1, scène 6, THÉODORE)
- Lâche, est-ce là l'ardeur que tu faisais paraître, v.379 (Acte 1, scène 6, THÉODORE)
- Son mépris paraît trop, ma doute n'est point vaine. v.400 (Acte 1, scène 6, BÉLISSAIRE)
- D'un tyrannique objet déchargez votre estime, v.423 (Acte 2, scène 2, ANTHONIE)
- C'est ainsi qu'un grand coeur enfante un grand souhait, v.445 (Acte 2, scène 3, THÉODORE)
- Ou craignez la fureur dont mon âme est saisie, v.451 (Acte 2, scène 3, TH?ODORE)
- Quelle tristesse, hélas ! Est peinte en son visage ; v.455 (Acte 2, scène 3, ANTHONIE)
- J'ai si bien ménagé tous mes gestes guerriers, v.465 (Acte 2, scène 4, BÉLISSAIRE)
- Si c'est qu'absolument ma mort soit résolue, v.487 (Acte 2, scène 4, B?LISSAIRE)
- Que ma froideur vous sert, et vous est importante. v.496 (Acte 2, scène 4, ANTHONIE)
- Dissuader d'aimer n'est pas vouloir qu'on meure, v.504 (Acte 2, scène 4, ANTHONIE)
- De mon malheur, enfin, la trame est découverte, v.519 (Acte 2, scène 5, BÉLISSAIRE)
- C'est elle à qui Léonse avait juré ma perte ; v.520 (Acte 2, scène 5, B?LISSAIRE)
- Il n'est pas inouï qu'une femme se change, v.523 (Acte 2, scène 5, B?LISSAIRE)
- Mais de ce changement le genre est bien étrange, v.524 (Acte 2, scène 5, B?LISSAIRE)
- Qu'elle est, comme tes faits, sans borne et sans mesure, v.536 (Acte 2, scène 6, L'EMPEREUR)
- Cet honneur, grand Monarque, est sans proportion v.545 (Acte 2, scène 6, BÉLISSAIRE)
- Et celui d'Anthonie est mon premier malheur. v.570 (Acte 2, scène 7, BÉLISSAIRE)
- Rome, voici celui que le sort te destine, v.571 (Acte 2, scène 7, B?LISSAIRE)
- Voyons ; c'est pour Narsès que la faveur incline, v.572 (Acte 2, scène 7, B?LISSAIRE)
- Et ce grade éminent est peu pour sa vertu ; v.574 (Acte 2, scène 7, B?LISSAIRE)
- Et tout crime est permis quand il vous agrandit ; v.590 (Acte 2, scène 8, NARSÈS)
- Qui ne s'est obligé qu'à la perte d'un homme, v.591 (Acte 2, scène 8, NARS?S)
- N'est pas tant son portrait que son original : v.602 (Acte 2, scène 8, NARS?S)
- Est prête de trancher d'un seul coup de ciseau : v.606 (Acte 2, scène 8, NARS?S)
- C'est Narsès que je nomme ; ô preuve non commune v.619 (Acte 2, scène 8, NARS?S)
- Mais quel funeste objet se présente à ma vue ? v.636 (Acte 2, scène 9, BÉLISSAIRE)
- Que le péril, sans doute, est proche de la gloire ; v.652 (Acte 2, scène 9, B?LISSAIRE)
- N'est pas une union digne d'étonnement ; v.654 (Acte 2, scène 9, B?LISSAIRE)
- Les estimant tous deux capables de ce titre, v.663 (Acte 2, scène 10, BÉLISSAIRE)
- Voyez qu'une bonne âme est une sûre garde, v.667 (Acte 2, scène 10, B?LISSAIRE)
- Et ce noir attentat s'est conçu dans ma Cour ! v.677 (Acte 2, scène 11, L'EMPEREUR)
- C'est à moi de trancher cette fatale trame ; v.680 (Acte 2, scène 11, L'EMPEREUR)
- Son salut est le mien, et ce traître attentat v.681 (Acte 2, scène 11, L'EMPEREUR)
- Théodore ne peut, s'il est vrai qu'elle m'aime, v.683 (Acte 2, scène 11, L'EMPEREUR)
- Anthonie est l'objet pour qui son coeur soupire, v.687 (Acte 2, scène 11, L'EMPEREUR)
- Narsès nous l'apprendra, l'avis est de sa main. v.690 (Acte 2, scène 11, L'EMPEREUR)
- J'en venais rendre grâce à votre Majesté. v.694 (Acte 2, scène 12, NARSÈS)
- Ayant des qualités dignes de son estime, v.695 (Acte 2, scène 12, L'EMPEREUR)
- Le choix qu'il fait de toi sans doute est légitime ; v.696 (Acte 2, scène 12, L'EMPEREUR)
- Oui, Seigneur il est mien. v.698 (Acte 2, scène 12, NARSÈS)
- Et j'ai peine d'ouïr qu'un nom qui m'est si cher, v.709 (Acte 2, scène 12, L'EMPEREUR)
- C'est un fort ennemi qu'une méchante femme, v.719 (Acte 2, scène 13, L'EMPEREUR)
- À quel point il m'est cher d'en conserver le cours ; v.726 (Acte 2, scène 13, L'EMPEREUR)
- C'est en vain que je porte un diadème au front, v.741 (Acte 2, scène 14, THÉODORE)
- S'il ne m'est pas permis de venger un affront ; v.742 (Acte 2, scène 14, TH?ODORE)
- Régner dans l'impuissance est un malheur plus grand, v.745 (Acte 2, scène 14, TH?ODORE)
- Et le trépas est doux à qui tue en mourant. v.746 (Acte 2, scène 14, TH?ODORE)
- Son sujet te regarde, et ma cause est la tienne ; v.748 (Acte 2, scène 15, THÉODORE)
- L'entreprise en est grande, et l'ennemi puissant ; v.753 (Acte 2, scène 15, PHILIPPE)
- Et c'est me menacer d'un aimable supplice. v.755 (Acte 2, scène 15, PHILIPPE)
- Mais en cas de vengeance, où rien n'est défendu, v.777 (Acte 2, scène 16, THÉODORE)
- Qui restreint mon pouvoir, qui rebuta mes voeux, v.790 (Acte 2, scène 17, THÉODORE)
- De soi-même un bon acte est l'objet et le prix. v.805 (Acte 2, scène 18, BÉLISSAIRE)
- Autant que je l'adore, et qu'elle est adorable ; v.824 (Acte 3, scène 1, BÉLISSAIRE)
- C'est Théodore, enfin, qui (par un ordre exprès) v.833 (Acte 3, scène 1, B?LISSAIRE)
- L'intérêt de Philippe à qui sa Majesté v.837 (Acte 3, scène 1, BÉLISSAIRE)
- La bonne conscience est une sûre garde ; v.844 (Acte 3, scène 1, B?LISSAIRE)
- L'occasion est belle, et m'offre les cheveux. v.858 (Acte 3, scène 2, PHILIPPE)
- Elle est intéressée, et je suis irrité. v.870 (Acte 3, scène 2, PHILIPPE)
- C'est peu pour la fureur qui tous deux nous consomme, v.871 (Acte 3, scène 2, PHILIPPE)
- Réservez ces devoirs, ma main en est indigne, v.888 (Acte 3, scène 2, BÉLISSAIRE)
- Si c'est pour nous unir d'une étroite concorde, v.891 (Acte 3, scène 2, BÉLISSAIRE)
- De quel transport, Philippe, est votre âme ravie, v.896 (Acte 3, scène 2, BÉLISSAIRE)
- J'y fais ce qu'un acier est entre deux aimants. v.906 (Acte 3, scène 2, PHILIPPE)
- Je vous comprends, enfin (si ma doute n'est vaine) v.915 (Acte 3, scène 2, BÉLISSAIRE)
- Oui, Seigneur, je l'avoue, et qu'il est de justice v.919 (Acte 3, scène 2, PHILIPPE)
- Que son impunité m'accroîtrait votre estime, v.924 (Acte 3, scène 2, PHILIPPE)
- En un coeur qu'elle oblige, et qui vous est acquis ; v.926 (Acte 3, scène 2, PHILIPPE)
- Quelle est cette inhumaine à qui mon mauvais sort v.933 (Acte 3, scène 2, BÉLISSAIRE)
- Est-ce Camille ? v.937 (Acte 3, scène 2, BÉLISSAIRE)
- Son crédit est trop faible, et son esprit trop sain. v.938 (Acte 3, scène 2, PHILIPPE)
- Elle est trop sage, et n'entreprendrait point v.941 (Acte 3, scène 2, PHILIPPE)
- Qu'une femme est à craindre, et hait obstinément ! v.950 (Acte 3, scène 3, BÉLISSAIRE)
- C'est à vous. v.971 (Acte 3, scène 4, NARSÈS)
- Et qu'il est de mes soins et le charme et l'appui, v.973 (Acte 3, scène 4, L'EMPEREUR)
- Puisque ce port céleste, et ce divin aspect, v.989 (Acte 3, scène 4, L'EMPEREUR)
- Votre courroux est juste, et ma mort légitime ; v.999 (Acte 3, scène 4, BÉLISSAIRE)
- Le songe est un tableau des passions humaines, v.1003 (Acte 3, scène 4, L'EMPEREUR)
- Mais puisqu'il m'est aisé d'en réprimer l'effort v.1009 (Acte 3, scène 4, L'EMPEREUR)
- Quand d'un coup de ta main Anthonie est le prix, v.1017 (Acte 3, scène 5, THÉODORE)
- Voici le fer encor destiné pour sa perte, v.1019 (Acte 3, scène 5, PHILIPPE)
- Mais la commodité ne s'en est pas offerte. v.1020 (Acte 3, scène 5, PHILIPPE)
- Dieu ! Qu'est-ce que je vois : v.1021 (Acte 3, scène 5, L'EMPEREUR)
- Pour l'exécution de ce funeste arrêt. v.1026 (Acte 3, scène 5, PHILIPPE)
- Madame, Bélisaire est utile à l'Empire ; v.1032 (Acte 3, scène 5, PHILIPPE)
- Dieu ! Tant de bruit est vain, et ne l'éveille pas ! v.1037 (Acte 3, scène 5, PHILIPPE)
- Qu'une inclination rare au point qu'est la nôtre, v.1047 (Acte 3, scène 5, L'EMPEREUR)
- Fait qu'au besoin toujours l'un est l'Argus de l'autre ; v.1048 (Acte 3, scène 5, L'EMPEREUR)
- Et qu'outre le bon oeil dont il est vu des Cieux, v.1049 (Acte 3, scène 5, L'EMPEREUR)
- C'est à moi-même, à moi, que l'attentat s'adresse. v.1056 (Acte 3, scène 5, L'EMPEREUR)
- N'est que le déplaisir qu'il faille que sa gloire v.1067 (Acte 3, scène 5, L'EMPEREUR)
- Que ton ingratitude est sans comparaison, v.1074 (Acte 3, scène 5, L'EMPEREUR)
- N'est-ce pas plus son bras que le mien qui l'élève ? v.1080 (Acte 3, scène 5, L'EMPEREUR)
- Et ne s'est-il pas fait et tracé de son sang, v.1081 (Acte 3, scène 5, L'EMPEREUR)
- Aux hommes un chef-d'oeuvre où le Ciel s'est tari, v.1098 (Acte 3, scène 5, L'EMPEREUR)
- C'est pour le garantir, et t'arrêter le bras, v.1105 (Acte 3, scène 5, L'EMPEREUR)
- Quel importun sommeil s'est glissé sous mes yeux ? v.1122 (Acte 3, scène 5, BÉLISSAIRE)
- M'a fait, en autres avis, estimer à propos v.1125 (Acte 3, scène 6, L'EMPEREUR)
- J'estime encor t'ôter la part que j'en retiens, v.1150 (Acte 3, scène 7, L'EMPEREUR)
- Ils viennent de toi seul, et toi seul en est digne ; v.1152 (Acte 3, scène 7, L'EMPEREUR)
- Quoi que le sort te donne, il t'est encor avare, v.1168 (Acte 3, scène 7, L'EMPEREUR)
- Si, sans le mériter, ma fortune est si grande, v.1175 (Acte 3, scène 7, BÉLISSAIRE)
- Quel vassal à ce lieu s'est jamais vu monté ; v.1202 (Acte 3, scène 7, BÉLISSAIRE)
- Et le mal qui redouble est loin de s'alléger ; v.1209 (Acte 4, scène 1, THÉODORE)
- Si la source du mal l'est aussi du remède, v.1216 (Acte 4, scène 1, CAMILLE)
- Tout en est criminel, le mal et le remède, v.1224 (Acte 4, scène 1, THÉODORE)
- Et ce qui m'est venu contre sa volonté, v.1225 (Acte 4, scène 1, TH?ODORE)
- Et ce qui m'est produit de sa pure bonté ; v.1226 (Acte 4, scène 1, TH?ODORE)
- Et c'est à ma grandeur un reproche fatal, v.1233 (Acte 4, scène 1, TH?ODORE)
- Est d'un sourd attentat les soumettre à ses lois. v.1246 (Acte 4, scène 1, TH?ODORE)
- Et si par tous les soins, dont mon sexe est capable, v.1267 (Acte 4, scène 1, THÉODORE)
- Le dessein de sa perte est si bien concerté, v.1269 (Acte 4, scène 1, TH?ODORE)
- Bélisaire, un mot ; le sort m'est bien contraire, v.1291 (Acte 4, scène 2, THÉODORE)
- Comme futur vassal de votre Majesté, v.1305 (Acte 4, scène 2, BÉLISSAIRE)
- Restreignirent mes voeux aux termes du respect ; v.1314 (Acte 4, scène 2, BÉLISSAIRE)
- Je sus qu'à m'approcher du céleste flambeau, v.1317 (Acte 4, scène 2, B?LISSAIRE)
- N'est reçu pour amour, il l'est pour sacrifice ; v.1336 (Acte 4, scène 2, THÉODORE)
- Est bien moins offensif qu'un mépris apparent ; v.1342 (Acte 4, scène 2, TH?ODORE)
- Est lutter vainement contre ma destinée, v.1360 (Acte 4, scène 2, TH?ODORE)
- Il se trouble ! Espérons, c'est déjà quelque effet, v.1377 (Acte 4, scène 2, THÉODORE)
- L'adversaire en désordre est à moitié défait, v.1378 (Acte 4, scène 2, TH?ODORE)
- Sous cette écharpe, encor, quelque embûche est tendue. v.1387 (Acte 4, scène 2, BÉLISSAIRE)
- C'est un gage divin, et le soin qu'en eut pris v.1397 (Acte 4, scène 2, BÉLISSAIRE)
- Et l'honneur m'en est doux. v.1405 (Acte 4, scène 3, ANTHONIE)
- Le piège est échappé, fuyons, retirons-nous. v.1406 (Acte 4, scène 3, BÉLISSAIRE)
- Est-ce là de quel soin vous vous en détachez ? v.1413 (Acte 4, scène 4, THÉODORE)
- Mais quel est ce papier ? v.1414 (Acte 4, scène 4, TH?ODORE)
- Aux esprits curieux un refus est un crime ; v.1416 (Acte 4, scène 4, THÉODORE)
- N'est pas la passion dont il est agité. v.1418 (Acte 4, scène 4, ANTHONIE)
- Que tu m'es importune, et que ton joug est rude ! v.1420 (Acte 4, scène 4, ANTHONIE)
- Qu'aussi bien que l'effet, la feinte encor t'est vaine ; v.1424 (Acte 4, scène 5, THÉODORE)
- Que de ce fier rocher toute approche est bannie, v.1427 (Acte 4, scène 5, TH?ODORE)
- Et notre bonne estime, et notre autorité ; v.1434 (Acte 4, scène 5, TH?ODORE)
- Qu'il m'est également, et cher, et nécessaire, v.1472 (Acte 4, scène 6, L'EMPEREUR)
- Et qu'il est mon ami, si vous êtes ma femme. v.1480 (Acte 4, scène 6, L'EMPEREUR)
- Il n'est tigre d'Asie, il n'est lion d'Afrique, v.1492 (Acte 4, scène 6, THÉODORE)
- Ni monstre si funeste, et si fort à dompter, v.1493 (Acte 4, scène 6, TH?ODORE)
- Ô funeste cahot de désordre et de trouble, v.1531 (Acte 4, scène 6, L'EMPEREUR)
- Quand tout semble apaisé, c'est quand le mal redouble ; v.1532 (Acte 4, scène 6, L'EMPEREUR)
- J'en connais l'écriture, elle est de Bélisaire ; v.1540 (Acte 4, scène 8, L'EMPEREUR)
- Assez visiblement manifestent sa flamme, v.1566 (Acte 4, scène 8, L'EMPEREUR)
- Est moins une pitié, qu'un effet amoureux ; v.1568 (Acte 4, scène 8, L'EMPEREUR)
- Lui seul en est capable, et la compassion v.1571 (Acte 4, scène 8, L'EMPEREUR)
- De ma plus chère estime attaquer la splendeur ! v.1600 (Acte 4, scène 9, L'EMPEREUR)
- Si de ce sentiment mon esprit est capable, v.1613 (Acte 4, scène 9, BÉLISSAIRE)
- Mais le Ciel m'est témoin d'une fidélité, v.1615 (Acte 4, scène 9, B?LISSAIRE)
- Ô Terre tu le sais ! Je vous atteste, ô Cieux ! v.1619 (Acte 4, scène 9, B?LISSAIRE)
- Quel mystère est caché dessous cette menace ? v.1625 (Acte 4, scène 10, BÉLISSAIRE)
- Quelle est femme, et qu'il est de son ordre inconstant v.1627 (Acte 4, scène 10, B?LISSAIRE)
- Ce n'est point ce revers, quoique si rigoureux, v.1631 (Acte 4, scène 10, B?LISSAIRE)
- Et que c'est un instinct qu'elle ne peut dompter, v.1635 (Acte 4, scène 10, B?LISSAIRE)
- Notre malheur n'est pas de choir, mais de monter. v.1636 (Acte 4, scène 10, B?LISSAIRE)
- C'est contre l'apparence et le raisonnement, v.1643 (Acte 5, scène 1, BÉLISSAIRE)
- Il est hors de soupçon, qu'elle ait pu m'imposer v.1647 (Acte 5, scène 1, B?LISSAIRE)
- Cet heur me reste, au moins en ce malheur extrême, v.1649 (Acte 5, scène 1, B?LISSAIRE)
- Que la plus forte preuve est celle de soi-même, v.1650 (Acte 5, scène 1, B?LISSAIRE)
- Et que tout me manquant, je me reste au besoin ; v.1652 (Acte 5, scène 1, B?LISSAIRE)
- J'ai de sa Majesté reçu l'ordre fatal v.1663 (Acte 5, scène 2, LÉONSE)
- Le plus cher favori n'est rien qu'un peu de boue, v.1669 (Acte 5, scène 2, BÉLISSAIRE)
- Il n'est si haut crédit que le temps ne consomme, v.1673 (Acte 5, scène 2, B?LISSAIRE)
- Puisque l'homme est mortel, et qu'il provient de l'homme ; v.1674 (Acte 5, scène 2, B?LISSAIRE)
- Est seul indépendant et du temps et du sort ; v.1676 (Acte 5, scène 2, B?LISSAIRE)
- Tenez, et profitez de ce funeste exemple, v.1677 (Acte 5, scène 2, B?LISSAIRE)
- Croyez que sa disgrâce avec vous m'est commune. v.1694 (Acte 5, scène 3, NARSÈS)
- Que ton faste est trompeur ! Et quoi qu'il ait de beau, v.1703 (Acte 5, scène 4, BÉLISSAIRE)
- Que le chemin est court d'un Palais au tombeau ! v.1704 (Acte 5, scène 4, B?LISSAIRE)
- Elle par qui l'Aurore est sujette à ses lois ! v.1711 (Acte 5, scène 4, BÉLISSAIRE)
- C'est moi qui vous arrête, et qui vous la demande. v.1718 (Acte 5, scène 5, L'EMPEREUR)
- Et de qui la valeur, comme elle est sans pareille ; v.1721 (Acte 5, scène 5, BÉLISSAIRE)
- Et que vous destinant à ce degré suprême, v.1773 (Acte 5, scène 5, BÉLISSAIRE)
- Que le lieu de sa source est encore douteux, v.1787 (Acte 5, scène 5, B?LISSAIRE)
- Par l'heur de mes travaux, vous est obéissant ; v.1796 (Acte 5, scène 5, B?LISSAIRE)
- Par moi l'une et l'autre Inde est sujette à l'Empire, v.1797 (Acte 5, scène 5, B?LISSAIRE)
- Et, si je l'ose dire à votre Majesté, v.1799 (Acte 5, scène 5, B?LISSAIRE)
- Chaque pas de ma gloire en est un de ma chute, v.1814 (Acte 5, scène 5, B?LISSAIRE)
- Et le seul souvenir restant de vos présents, v.1815 (Acte 5, scène 5, B?LISSAIRE)
- Si par quelque rapport ma foi vous est suspecte, v.1825 (Acte 5, scène 5, B?LISSAIRE)
- Est-il rien que l'envie ou n'attaque, ou n'infecte ? v.1826 (Acte 5, scène 5, B?LISSAIRE)
- Et pour moi seul, hélas ! N'est-il point d'équité ? v.1844 (Acte 5, scène 5, B?LISSAIRE)
- Ma conservation est de votre intérêt ; v.1848 (Acte 5, scène 5, B?LISSAIRE)
- Cesse vaine pitié, dont mon coeur est transi ! v.1851 (Acte 5, scène 5, PHILIPPE)
- C'est à vous, justes Cieux ! À vous que je me plains ; v.1856 (Acte 5, scène 5, BÉLISSAIRE)
- Philippe, à quelle fin destine-t-on ma vie ? v.1865 (Acte 5, scène 5, B?LISSAIRE)
- Allons, s'il faut mourir il est temps de partir, v.1867 (Acte 5, scène 5, B?LISSAIRE)
- Sa perte est de ses faits un indigne salaire, v.1882 (Acte 5, scène 6, L'EMPEREUR)
- Ce crime, de mes voeux est un prix bien indigne ; v.1893 (Acte 5, scène 6, L'EMPEREUR)
- Sa perte est à l'État de trop grand préjudice, v.1901 (Acte 5, scène 6, L'EMPEREUR)
- C'est pour cet intérêt que je vous ai fait voir v.1903 (Acte 5, scène 6, L'EMPEREUR)
- C'est être criminel que d'être soupçonné. v.1908 (Acte 5, scène 6, L'EMPEREUR)
- Surprise tout_à_coup d'un funeste accident, v.1911 (Acte 5, scène 7, CAMILLE)
- S'est à force du sein la parole arrachée, v.1914 (Acte 5, scène 7, CAMILLE)
- Qu'on sauve Bélisaire, et qu'il est innocent ; v.1916 (Acte 5, scène 7, CAMILLE)
- Et qu'Anthonie est celle à qui l'écrit s'adresse : v.1918 (Acte 5, scène 7, CAMILLE)
- Là son teint est pâli, son oeil s'est égaré, v.1919 (Acte 5, scène 7, CAMILLE)
- Anthonie à ce bruit si funeste à ses voeux, v.1923 (Acte 5, scène 7, CAMILLE)
- Passe à tous les excès dont la rage est capable ; v.1926 (Acte 5, scène 7, CAMILLE)
- Ô funeste retour ! v.1935 (Acte 5, scène 8, L'EMPEREUR)
- Votre ordre le portait, il est exécuté ; v.1940 (Acte 5, scène 8, PHILIPPE)
- Ô funeste disgrâce ! Ô douleur non prévue ! v.1957 (Acte 5, scène 8, L'EMPEREUR)
- Bélisaire n'est plus ! Hélas ! Il paraît bien v.1959 (Acte 5, scène 8, L'EMPEREUR)
- Hélas ! Quel est le gouffre où vous m'avez plongé ? v.1967 (Acte 5, scène 8, L'EMPEREUR)
- Aussi bien, après toi, quelle attente me reste v.1985 (Acte 5, scène 8, L'EMPEREUR)
- Ta mort est un malheur à tout l'État funeste, v.1986 (Acte 5, scène 8, L'EMPEREUR)
LE VÉRITABLE SAINT GENEST (1648)
- S'il veut, la voix d'un songe est celle d'un oracle ; v.10 (Acte 1, scène 1, VALÉRIE)
- Je puis, s'il m'est permis, et si la vérité v.19 (Acte 1, scène 1, VAL?RIE)
- Maximin, achevant tant de gestes guerriers, v.43 (Acte 1, scène 1, VAL?RIE)
- N'est point à votre crainte, un juste fondement : v.52 (Acte 1, scène 1, CAMILLE)
- Il est de ses États le plus solide appui ; v.60 (Acte 1, scène 1, CAMILLE)
- Il en tient le timon, il en est le pilote, v.62 (Acte 1, scène 1, CAMILLE)
- Prescrit-il son pouvoir ? Et quand il en est las, v.75 (Acte 1, scène 1, VALÉRIE)
- Il est vrai que la mort, contre son inconstance, v.81 (Acte 1, scène 1, VAL?RIE)
- Mais, si c'est un remède, il est bien violent. v.84 (Acte 1, scène 1, VAL?RIE)
- Le plus grand des larcins, est celui de la gloire. v.98 (Acte 1, scène 2, CAMILLE)
- Par lui, l'Empire est calme, et n'a plus d'ennemis ; v.107 (Acte 1, scène 3, DIOCLÉTIAN)
- Ce présent, Maximin, est encore au-dessous v.119 (Acte 1, scène 3, DIOCL?TIAN)
- Et restreint envers vous, ma force, en l'accroissant. v.124 (Acte 1, scène 3, DIOCL?TIAN)
- Est plutôt mériter son mépris, que sa grâce ; v.134 (Acte 1, scène 3, MAXIMIN)
- Qu'un berger est assis au trône de l'Empire ; v.142 (Acte 1, scène 3, MAXIMIN)
- Et qu'enfin votre ouvrage est une oeuvre imparfaite. v.146 (Acte 1, scène 3, MAXIMIN)
- Suffit que c'est mon choix, et que j'ai connaissance v.153 (Acte 1, scène 3, DIOCLÉTIAN)
- Si ce front n'est menteur, vous approuvez mon choix ; v.184 (Acte 1, scène 3, DIOCL?TIAN)
- Oui Seigneur, je l'approuve, et bénis le destin, v.191 (Acte 1, scène 3, VALÉRIE)
- Mon songe est expliqué ; j'épouse en ce grand homme v.193 (Acte 1, scène 3, VAL?RIE)
- Un Berger, il est vrai, mais qui commande à Rome ; v.194 (Acte 1, scène 3, VAL?RIE)
- Et ce qui fut ma peur, est enfin mon souhait. v.196 (Acte 1, scène 3, VAL?RIE)
- Et que ce qu'on redoute, est enfin ce qu'on aime. v.201 (Acte 1, scène 3, CAMILLE)
- Genest attend, Seigneur, dans un désir extrême, v.202 (Acte 1, scène 4, LE PAGE)
- De s'acquitter des voeux dûs à vos Majestés. v.203 (Acte 1, scène 4, LE PAGE)
- Que vous-même estimez, et trouvez si charmant. v.208 (Acte 1, scène 4, CAMILLE)
- Genest, ton soin m'oblige, et la cérémonie v.225 (Acte 1, scène 5, DIOCLÉTIAN)
- Du beau jour où ma fille à ce prince est unie, v.226 (Acte 1, scène 5, DIOCL?TIAN)
- Et dans l'état qu'il est, ne peut sans être ingrat, v.231 (Acte 1, scène 5, DIOCL?TIAN)
- Est contre la tristesse un si présent remède, v.246 (Acte 1, scène 5, DIOCL?TIAN)
- Crois qu'elle est légitime, et ne t'en défends point. v.252 (Acte 1, scène 5, DIOCLÉTIAN)
- Quelle plume est en règne, et quel fameux esprit v.255 (Acte 1, scène 5, DIOCL?TIAN)
- S'est acquis dans le cirque un plus juste crédit. v.256 (Acte 1, scène 5, DIOCL?TIAN)
- Mon goût, à dire vrai, n'est point pour les récents ; v.260 (Acte 1, scène 5, GENEST)
- Et dont l'estime enfin ne peut être effacée, v.269 (Acte 1, scène 5, GENEST)
- (Et de qui certes l'art, comme l'estime est juste,) v.281 (Acte 1, scène 5, GENEST)
- J'ai su la haute estime où l'on les a tenus, v.287 (Acte 1, scène 5, VALÉRIE)
- Ton art est toujours même, et tes charmes égaux, v.291 (Acte 1, scène 5, VAL?RIE)
- L'épreuve en est aisée. v.297 (Acte 1, scène 5, MAXIMIN)
- Si votre nom, Seigneur, nous est libre en la scène ; v.298 (Acte 1, scène 5, GENEST)
- Il est beau ; mais encor, avec peu de dépense, v.313 (Acte 2, scène 1, GENEST)
- Et comme à la nature, est nuisible à notre art, v.331 (Acte 2, scène 1, DECORATEUR)
- Ne délibère plus, Adrian, il est temps, v.335 (Acte 2, scène 2, GENEST)
- Si la gloire te plaît, l'occasion est belle, v.337 (Acte 2, scène 2, GENEST)
- De ces faux courtisans, toute ma loge est pleine ; v.358 (Acte 2, scène 3, MARCELE)
- On sait que votre estime est assez confirmée ; v.386 (Acte 2, scène 3, GENEST)
- Si ton dieu veut ta mort, c'est déjà trop vécu ; v.392 (Acte 2, scène 4, GENEST)
- Contre qui ma défense est vaine et criminelle ; v.410 (Acte 2, scène 4, GENEST)
- Poursuis Genest ton personnage, v.421 (Acte 2, scène 4, VOIX DU CIEL)
- S'est voulu divertir par cette feinte voix, v.436 (Acte 2, scène 4, GENEST)
- Dont ce rebelle coeur s'est presque départi ; v.440 (Acte 2, scène 4, GENEST)
- Hâtez-vous, il est temps, toute la Cour arrive. v.446 (Acte 2, scène 5, DECORATEUR)
- Et de qui l'action, m'est d'importance extrême, v.449 (Acte 2, scène 5, GENEST)
- Mon goût, quoi qu'il en soit, est pour la tragédie ; v.453 (Acte 2, scène 6, VALÉRIE)
- L'objet en est plus haut, l'action plus hardie ; v.454 (Acte 2, scène 6, VAL?RIE)
- Et les pensers pompeux et pleins de majesté, v.455 (Acte 2, scène 6, VAL?RIE)
- Pour le bien figurer, Genest n'oubliera rien ; v.475 (Acte 2, scène 6, DIOCLÉTIAN)
- Ne délibère plus, Adrian, il est temps, v.477 (Acte 2, scène 7, ADRIAN)
- Si la gloire te plaît, l'occasion est belle ; v.479 (Acte 2, scène 7, ADRIAN)
- Si ton dieu veut ta mort, c'est déjà trop vécu. v.494 (Acte 2, scène 7, ADRIAN)
- Cette vigueur, peut-être, est un effort humain ? v.513 (Acte 2, scène 7, ADRIAN)
- Et comme les effets, la source en est divine. v.516 (Acte 2, scène 7, ADRIAN)
- C'est du ciel que me vient cette noble vigueur, v.517 (Acte 2, scène 7, ADRIAN)
- D'un bruit, dont au palais votre estime est noircie, v.536 (Acte 2, scène 8, FLAVIE)
- Les uns, que pour railler, cette erreur s'est semée, v.539 (Acte 2, scène 8, FLAVIE)
- Laissons éprouver l'art, où la force est sans fruit ; v.554 (Acte 2, scène 8, FLAVIE)
- Il est plus de captifs, que de fers et de chaînes : v.556 (Acte 2, scène 8, FLAVIE)
- La mort ; pour la trop voir, ne leur est plus sauvage ; v.559 (Acte 2, scène 8, FLAVIE)
- La douceur est souvent une invincible amorce, v.563 (Acte 2, scène 8, FLAVIE)
- Ha ! S'est-il écrié, César, tout est perdu ; v.566 (Acte 2, scène 8, FLAVIE)
- Qu'est-ce, a dit l'Empereur, interdit et troublé, v.569 (Acte 2, scène 8, FLAVIE)
- Le ciel s'est-il ouvert ? Le monde a-t-il tremblé ? v.570 (Acte 2, scène 8, FLAVIE)
- Rome, d'un étranger, est-elle la conquête ? v.572 (Acte 2, scène 8, FLAVIE)
- (Signes avant-coureurs d'un funeste accident) v.578 (Acte 2, scène 8, FLAVIE)
- Pâlit, frappe du pied, frémit, déteste, tonne, v.579 (Acte 2, scène 8, FLAVIE)
- Et nous fait voir au vif le geste et la couleur v.581 (Acte 2, scène 8, FLAVIE)
- De César, de son maître, il paye ainsi l'estime ! v.584 (Acte 2, scène 8, FLAVIE)
- C'est le dieu que je sers, qui fait régner les rois, v.589 (Acte 2, scène 8, ADRIAN)
- César m'abandonnant, Christ est mon assurance ; v.603 (Acte 2, scène 8, ADRIAN)
- C'est l'espoir des mortels, dépouillés d'espérance. v.604 (Acte 2, scène 8, ADRIAN)
- L'indigence est à l'homme un monstre redoutable. v.607 (Acte 2, scène 8, FLAVIE)
- Dont on est possédé, plutôt que possesseur. v.610 (Acte 2, scène 8, ADRIAN)
- Non, non, mon sang, Flavie, est tout prêt à sortir. v.614 (Acte 2, scène 8, ADRIAN)
- Si vous vous obstinez, votre perte est certaine. v.615 (Acte 2, scène 8, FLAVIE)
- L'attente m'en est douce, et la menace vaine. v.616 (Acte 2, scène 8, ADRIAN)
- À peine, depuis l'heure, à ce noeud destinée, v.623 (Acte 2, scène 8, FLAVIE)
- C'est de vous arrêter, et vous charger de chaînes, v.659 (Acte 2, scène 8, FLAVIE)
- En cet acte, Genest, à mon gré se surpasse. v.667 (Acte 2, scène 9, DIOCLÉTIAN)
- L'art en est merveilleux, il faut que je l'avoue ; v.675 (Acte 3, scène 1, MAXIMIN)
- Mais l'acteur qui paraît est celui qui me joue ; v.676 (Acte 3, scène 1, MAXIMIN)
- Et qu'avec Genest, j'ai vu se concerter. v.677 (Acte 3, scène 1, MAXIMIN)
- Est devant tous les temps, et devant tous les êtres ; v.684 (Acte 3, scène 2, ADRIAN)
- C'est lui, qui du néant a tiré l'univers, v.685 (Acte 3, scène 2, ADRIAN)
- Les rois sont ses sujets, le monde est son partage ; v.692 (Acte 3, scène 2, ADRIAN)
- Si l'onde est agitée, il la peut affermir ; v.693 (Acte 3, scène 2, ADRIAN)
- Il est maître de tout, comme il en est la source ; v.696 (Acte 3, scène 2, ADRIAN)
- Loin de nous accabler, leur faix est notre appui, v.705 (Acte 3, scène 2, ADRIAN)
- Et c'est par ces chaînons, qu'il nous attire à lui. v.706 (Acte 3, scène 2, ADRIAN)
- Ô dure cruauté du destin de la Cour, v.713 (Acte 3, scène 2, MAXIMIN)
- Est-elle en votre estime une action si noire ? v.728 (Acte 3, scène 2, ADRIAN)
- Insolent, est-ce à toi de te choisir des Dieux ? v.749 (Acte 3, scène 2, MAXIMIN)
- J'emploierai ma justice, où ma faveur est vaine ; v.779 (Acte 3, scène 2, MAXIMIN)
- Un supplice commun est une impunité. v.794 (Acte 3, scène 3, MAXIMIN)
- Ô nouvelle trop vraie ! Est-ce là mon époux ? v.797 (Acte 3, scène 5, NATALIE)
- Doivent être communs, à qui la couche l'est ; v.806 (Acte 3, scène 5, ADRIAN)
- N'est l'effet ni des lois, ni des raisons humaines ; v.816 (Acte 3, scène 5, ADRIAN)
- Te feront mieux trouver, que ce qui t'est ôté. v.838 (Acte 3, scène 5, ADRIAN)
- Ma soeur, (c'est le seul nom dont je te puisse nommer) v.845 (Acte 3, scène 5, ADRIAN)
- Tu saurais que la mort, par qui l'âme est ravie, v.847 (Acte 3, scène 5, ADRIAN)
- Est la fin de la mort, plutôt que de la vie ! v.848 (Acte 3, scène 5, ADRIAN)
- Qu'il n'est amour ni vie en ce terrestre lieu, v.849 (Acte 3, scène 5, ADRIAN)
- Car qu'est-ce qu'une esclave a de plus, que des pleurs ? v.882 (Acte 3, scène 5, NATALIE)
- Et détester autant les dieux de ton époux, v.889 (Acte 3, scène 5, NATALIE)
- Cette céleste ardeur, dont Dieu t'avais touchée ? v.912 (Acte 3, scène 5, ADRIAN)
- Par un ordre céleste, aux mortels inconnu, v.929 (Acte 3, scène 5, ADRIAN)
- Chacun part de ce lieu, quand son temps est venu ; v.930 (Acte 3, scène 5, ADRIAN)
- Lorsque Dieu nous appelle, il est temps de répondre ; v.932 (Acte 3, scène 5, ADRIAN)
- Et si de ton tyran le funeste courroux v.945 (Acte 3, scène 5, NATALIE)
- Je ne partirai point de ce funeste lieu, v.953 (Acte 3, scène 5, ADRIAN)
- Et détestant les dieux, par un long entretien, v.961 (Acte 3, scène 6, NATALIE)
- Au nom saint et sacré de la céleste Cour, v.986 (Acte 3, scène 6, NATALIE)
- Déteste ton erreur, rends-toi le ciel prospère ; v.988 (Acte 3, scène 6, NATALIE)
- Vois combien cette mort importe à ton estime ! v.991 (Acte 3, scène 6, NATALIE)
- Mais toi, contiens ton zèle, il m'est assez connu, v.993 (Acte 3, scène 6, ADRIAN)
- Et songe que ton temps n'est pas encor venu ; v.994 (Acte 3, scène 6, ADRIAN)
- Donnons air au beau feu dont notre âme est pressée ; v.1015 (Acte 3, scène 7, NATALIE)
- Altère les plaisirs de votre majesté, v.1026 (Acte 3, scène 8, GENEST)
- Écoutons ; car Genest dedans cette action, v.1033 (Acte 4, scène 1, DIOCLÉTIAN)
- Si le ciel, Adrian, ne t'est bientôt propice, v.1035 (Acte 4, scène 2, FLAVIE)
- Si César m'est cruel, il me sera prospère, v.1063 (Acte 4, scène 2, ADRIAN)
- C'est lui que je soutiens, c'est en lui que j'espère ; v.1064 (Acte 4, scène 2, ADRIAN)
- S'il n'est vain, pour le moins tourne à confusion. v.1074 (Acte 4, scène 2, FLAVIE)
- Nous est de sa personne une assez sûre garde. v.1087 (Acte 4, scène 2, FLAVIE)
- J'approche de la porte ; et l'on ouvre, c'est elle. v.1100 (Acte 4, scène 3, ADRIAN)
- Est-ce là ce martyr, ce vainqueur des Enfers ? v.1102 (Acte 4, scène 4, NATALIE)
- Demander lâchement le prix qui t'en est dû ; v.1118 (Acte 4, scène 4, NATALIE)
- Et prendre au ciel le lieu qui t'était destiné. v.1146 (Acte 4, scène 4, NATALIE)
- M'avoir ôté mes fers, n'est qu'une vaine adresse v.1155 (Acte 4, scène 4, ADRIAN)
- Quoiqu'un grand t'entreprenne, un plus grand est pour toi ; v.1173 (Acte 4, scène 4, NATALIE)
- Dont le plus ferme état est toujours inconstant, v.1185 (Acte 4, scène 4, NATALIE)
- L'effet en est trop lent, l'heure en est trop tardive ; v.1196 (Acte 4, scène 4, ADRIAN)
- Est, que la loi contraire au Dieu que je professe, v.1199 (Acte 4, scène 4, ADRIAN)
- Quoi, le vol que tu prends vers les célestes plaines, v.1203 (Acte 4, scène 4, NATALIE)
- Je sais combien César t'est un faible adversaire, v.1219 (Acte 4, scène 5, ANTHYME)
- Par qui presque en tous lieux la croix est arborée, v.1236 (Acte 4, scène 5, ADRIAN)
- Ha, Lentule ! En l'ardeur dont mon âme est pressée, v.1243 (Acte 4, scène 5, ADRIAN)
- Adrian a parlé, Genest parle à son tour ! v.1246 (Acte 4, scène 5, ADRIAN)
- Ce n'est plus Adrian, c'est Genest qui respire, v.1247 (Acte 4, scène 5, ADRIAN)
- Un ministre céleste, avec une eau sacrée, v.1251 (Acte 4, scène 5, ADRIAN)
- Descends, céleste acteur ; tu m'attends ! Tu m'appelles ! v.1255 (Acte 4, scène 5, ADRIAN)
- Voyez avec quel art, Genest sait aujourd'hui, v.1261 (Acte 4, scène 5, DIOCLÉTIAN)
- De son métier, sans doute, est l'adresse suprême. v.1264 (Acte 4, scène 5, VALÉRIE)
- Genest, que vous cherchez, a troublé l'action ; v.1270 (Acte 4, scène 6, MARCELE)
- Et confus qu'il s'est vu, nous a quitté la place. v.1271 (Acte 4, scène 6, MARCELE)
- Suprême Majesté, qui jettes dans les âmes, v.1275 (Acte 4, scène 7, GENEST)
- Certes, ou ce spectacle est une vérité, v.1285 (Acte 4, scène 7, PLANCIEN)
- Marcele, et vous Sergeste, avec qui tant de fois, v.1289 (Acte 4, scène 7, GENEST)
- Mon coeur illuminé d'une grâce céleste... v.1295 (Acte 4, scène 7, GENEST)
- Il ne dit pas un mot du couplet qui lui reste. v.1296 (Acte 4, scène 7, MARCELE)
- Il n'en est plus besoin. v.1298 (Acte 4, scène 7, GENEST)
- Est une comédie où j'ignorais mon rôle ; v.1304 (Acte 4, scène 7, GENEST)
- M'a départi sa grâce, est mon approbateur, v.1313 (Acte 4, scène 7, GENEST)
- Excusez-les, Seigneur, la faute en est à moi, v.1322 (Acte 4, scène 7, GENEST)
- Ce n'est plus Adrian, c'est Genest qui s'exprime ; v.1324 (Acte 4, scène 7, GENEST)
- Ce jeu n'est plus un jeu, mais une vérité, v.1325 (Acte 4, scène 7, GENEST)
- Qu'une céleste main m'a daigné conférer, v.1329 (Acte 4, scène 7, GENEST)
- Comme vous, des chrétiens j'ai détesté la secte ; v.1336 (Acte 4, scène 7, GENEST)
- Et cette salutaire et céleste liqueur, v.1353 (Acte 4, scène 7, GENEST)
- Je renonce à la haine, et déteste l'envie, v.1355 (Acte 4, scène 7, GENEST)
- Leur créance est ma foi, leur espoir est le mien, v.1357 (Acte 4, scène 7, GENEST)
- C'est leur dieu que j'adore, enfin je suis chrétien ; v.1358 (Acte 4, scène 7, GENEST)
- Je sais de quel repos cette peine est suivie, v.1363 (Acte 4, scène 7, GENEST)
- Il est temps maintenant de réjouir les anges ; v.1368 (Acte 4, scène 7, GENEST)
- Il est temps de prétendre à des prix immortels, v.1369 (Acte 4, scène 7, GENEST)
- Il est temps de passer du théâtre aux autels ; v.1370 (Acte 4, scène 7, GENEST)
- Mon rôle est achevé, je n'ai plus rien à dire. v.1372 (Acte 4, scène 7, GENEST)
- Et des autres, le nom à peine en est resté. v.1382 (Acte 4, scène 7, GENEST)
- Fermez les actions par un geste sanglant ; v.1386 (Acte 4, scène 7, DIOCLÉTIAN)
- Genest, qui des chrétiens a professé la foi. v.1398 (Acte 4, scène 8, MARCELE)
- Menez Genest, chargé de chaînes, v.1400 (Acte 4, scène 8, PLANCIEN)
- Son audace est coupable, autant que son erreur, v.1405 (Acte 4, scène 9, PLANCIEN)
- Sa foi, comme son art, vous est-elle commune ? v.1408 (Acte 4, scène 9, PLANCIEN)
- Ne m'obligeait parfois au travestissement. v.1414 (Acte 4, scène 9, MARCELE)
- À des crimes, parfois, la grâce est légitime, v.1423 (Acte 4, scène 9, PLANCIEN)
- Et si Genest persiste en son aveuglement, v.1425 (Acte 4, scène 9, PLANCIEN)
- C'est lui qui veut sa mort, et rend son jugement ; v.1426 (Acte 4, scène 9, PLANCIEN)
- Descends-tu des célestes plaines, v.1439 (Acte 5, scène 1, GENEST)
- N'est jamais sans quelque vapeur ; v.1444 (Acte 5, scène 1, GENEST)
- Pour lui la mort est salutaire ; v.1451 (Acte 5, scène 1, GENEST)
- Est travailler, pour l'acquérir ; v.1464 (Acte 5, scène 1, GENEST)
- Et bien, Genest, cette ardeur insensée, v.1471 (Acte 5, scène 2, MARCELE)
- Te dure-t-elle encore, ou t'est-elle passée ? v.1472 (Acte 5, scène 2, MARCELE)
- Si tu ne fais pour toi, si le jour ne t'est cher, v.1473 (Acte 5, scène 2, MARCELE)
- Si tu nous dois chérir, c'est en cette occurrence, v.1479 (Acte 5, scène 2, MARCELE)
- Car séparés de toi, quelle est notre espérance ? v.1480 (Acte 5, scène 2, MARCELE)
- Et que peut plus un corps, dont le chef est à bas ? v.1482 (Acte 5, scène 2, MARCELE)
- Ce n'est que de tes jours, que dépend notre vie, v.1483 (Acte 5, scène 2, MARCELE)
- Et vous reconnaîtrez, s'il est un heur plus doux, v.1489 (Acte 5, scène 2, GENEST)
- S'est forgée à plaisir une divinité ? v.1502 (Acte 5, scène 2, MARCELE)
- Et si le tien, Genest, ne m'est point inconnu ; v.1514 (Acte 5, scène 2, MARCELE)
- Et pour quelque sujet, mais qui nous est caché, v.1517 (Acte 5, scène 2, MARCELE)
- Mais dans toutes les cours cette plainte est commune, v.1523 (Acte 5, scène 2, MARCELE)
- Est l'art où le mérite est moins considéré. v.1530 (Acte 5, scène 2, MARCELE)
- Si de quelque besoin ta vie est traversée, v.1535 (Acte 5, scène 2, MARCELE)
- Non, Marcele, notre art n'est pas d'une importance, v.1547 (Acte 5, scène 2, GENEST)
- Si mépriser leurs dieux, est leur être rebelle, v.1563 (Acte 5, scène 2, GENEST)
- C'est un crime innocent dont je fais vanité. v.1566 (Acte 5, scène 2, GENEST)
- Que ton aveuglement est un mal sans remède ; v.1580 (Acte 5, scène 2, MARCELE)
- Et si ce n'est pour toi, conserve-toi pour nous ; v.1582 (Acte 5, scène 2, MARCELE)
- Se plaindre de mourir, c'est se plaindre d'être homme, v.1611 (Acte 5, scène 2, GENEST)
- Toute perte est légère, à qui s'acquiert un dieu. v.1617 (Acte 5, scène 2, GENEST)
- Et dont le plus grand roi, n'est qu'un simple sujet, v.1637 (Acte 5, scène 5, DIOCLÉTIAN)
- À maintenir la leur, n'est jamais trop sévère ; v.1644 (Acte 5, scène 5, DIOCL?TIAN)
- Du reste des chrétiens, r'adresseraient les pas : v.1646 (Acte 5, scène 5, DIOCL?TIAN)
- Mon soin nuit plus aux Dieux, qu'il ne leur est utile, v.1651 (Acte 5, scène 5, DIOCL?TIAN)
- Et le caprice est tel, de ces extravagants, v.1653 (Acte 5, scène 5, DIOCL?TIAN)
- Genest, dont cette secte aussi folle que vaine, v.1655 (Acte 5, scène 5, DIOCL?TIAN)
- Outre l'impiété, ce mépris manifeste, v.1659 (Acte 5, scène 5, DIOCL?TIAN)
- Mêle notre intérêt à l'intérêt céleste ; v.1660 (Acte 5, scène 5, DIOCL?TIAN)
- Si déjà sur le bois d'un théâtre funeste, v.1667 (Acte 5, scène 5, MAXIMIN)
- Il n'a représenté l'action qui lui reste. v.1668 (Acte 5, scène 5, MAXIMIN)
- Ces gens, qu'en Genest seul vous sacrifiez tous ; v.1674 (Acte 5, scène 6, VALÉRIE)
- Tous savent que son crime est indigne de grâce ; v.1676 (Acte 5, scène 6, VAL?RIE)
- Mais il est à leur vie, un si puissant secours, v.1677 (Acte 5, scène 6, VAL?RIE)
- Demande une injustice à votre majesté. v.1682 (Acte 5, scène 6, VAL?RIE)
- Mais où l'irrévérence et l'orgueil manifeste, v.1687 (Acte 5, scène 6, DIOCLÉTIAN)
- Joint l'intérêt d'État, à l'intérêt céleste, v.1688 (Acte 5, scène 6, DIOCL?TIAN)
- Le plaindre, est (au mépris de notre autorité) v.1689 (Acte 5, scène 6, DIOCL?TIAN)
- C'est d'un bras qui l'irrite, arrêter la tempête v.1691 (Acte 5, scène 6, DIOCL?TIAN)
- Ha ! Seigneur, il est vrai ; mais de cette tempête, v.1695 (Acte 5, scène 6, MARCELE)
- Si la grâce, Seigneur, n'est due à son offense, v.1699 (Acte 5, scène 6, OCTAVE)
- Quelque compassion l'est à notre innocence. v.1700 (Acte 5, scène 6, OCTAVE)
- Par qui tant de bonheur, à Rome est destiné ; v.1710 (Acte 5, scène 6, DIOCLÉTIAN)
- Ô funeste discours ! v.1726 (Acte 5, scène 7, OCTAVE)
- Et nos coeurs détestant ses sentiments chrétiens, v.1737 (Acte 5, scène 7, PLANCIEN)
- Mais sa grâce n'est plus au pouvoir des humains. v.1746 (Acte 5, scène 7, VALÉRIE)
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LA DIANE (1635)
- Joins ton pouvoir au mien, roi de ma destinée ; v.25 (Acte 1, scène 1, DIANE)
- Que de cruels soucis mon âme est agitée ! v.30 (Acte 1, scène 2, CÉLIRÉE)
- Et votre perte seule est cause de ces pertes. v.50 (Acte 1, scène 2, DOROTHÉE)
- Il est désespéré d'avoir perdu ses peines ; v.54 (Acte 1, scène 2, DOROTHÉE)
- Depuis un jour ou deux s'est dérobé de moi ; v.64 (Acte 1, scène 2, DOROTHÉE)
- Il l'est allé trouver, et s'est fait son cocher. v.68 (Acte 1, scène 2, DOROTH?E)
- Le traître s'est couvert des couleurs d'un perfide ; v.70 (Acte 1, scène 2, DOROTH?E)
- Convié de ma part, il n'est rien qu'il ne fasse. v.74 (Acte 1, scène 2, CÉLIRÉE)
- Si la fin de ce jour n'est celle de ma vie ; v.78 (Acte 1, scène 2, CÉLIRÉE)
- Ne sors point de Paris le reste de ce jour ; v.80 (Acte 1, scène 2, C?LIR?E)
- C'est mon dernier recours parmi tant de malheurs. v.91 (Acte 1, scène 2, CÉLIRÉE)
- Et, sans vouloir entrer, elle s'est retirée, v.101 (Acte 1, scène 3, CÉLIRÉE)
- La perte d'un traître est heureuse. v.105 (Acte 1, scène 3, ORANTE)
- Il est toujours lui-même, et moi toujours Diane. v.114 (Acte 1, scène 3, ORANTE)
- Plus estimable que l'or : v.126 (Acte 1, scène 3, ORANTE)
- Je ne l'estime pas. v.144 (Acte 1, scène 3, CÉLIRÉE)
- Et qu'elle est favorable à tes prétentions, v.147 (Acte 1, scène 3, ORANTE)
- Par cet heureux malheur Ariste est sans rivaux : v.159 (Acte 1, scène 3, ORANTE)
- Qui vous est destiné pour charmeur de vos peines, v.165 (Acte 1, scène 4, FILÉMON)
- Que l'épine est souvent sous les plus belles roses ! v.186 (Acte 1, scène 4, FILÉMON)
- Que tout est incertain, et que les plus contents v.187 (Acte 1, scène 4, FIL?MON)
- Et c'est au dernier jour que j'ai plus à douter v.191 (Acte 1, scène 4, FIL?MON)
- Mon bien ou mon malheur est-il encor douteux ? v.195 (Acte 1, scène 4, ORANTE)
- Il n'est pas au logis. v.218 (Acte 1, scène 5, SYLVIAN)
- Je crois qu'il est aux bains. v.221 (Acte 1, scène 5, SYLVIAN)
- Et puis c'est un peu loin. v.224 (Acte 1, scène 5, SYLVIAN)
- Il est vrai que trois pieds, pour loin que je vous mène, v.225 (Acte 1, scène 5, SYLVIAN)
- Diane m'est ôtée, et, sans m'ôter la vie, v.229 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Mon maître ce matin est sorti dès l'aurore, v.261 (Acte 2, scène 2, SYLVIAN)
- Eh quoi ! C'est vous, Damon ? v.263 (Acte 2, scène 2, SYLVIAN)
- Ô dieux ! C'est Sylvian. Eh ! Quelle frénésie v.265 (Acte 2, scène 2, DAMON)
- Ma vie est bien changée, et je n'espère pas v.283 (Acte 2, scène 2, SYLVIAN)
- C'est bien un autre dieu que ce Pan qu'on réclame v.285 (Acte 2, scène 2, SYLVIAN)
- Lysimant est mon maître ; v.293 (Acte 2, scène 2, SYLVIAN)
- Et quelle est la beauté dont les yeux triomphants v.295 (Acte 2, scène 2, DAMON)
- Adieu ; te suffit-il ? c'est elle que je sers. v.300 (Acte 2, scène 2, SYLVIAN)
- Dieux ! Si jamais le foudre est parti de vos mains, v.307 (Acte 2, scène 2, DAMON)
- S'il est fait pour punir les crimes des humains, v.308 (Acte 2, scène 2, DAMON)
- Que le soleil est chaud ! Que son oeil est riant ! v.323 (Acte 2, scène 3, LYSIMANT)
- Et que déjà cet astre est loin de l'orient ! v.324 (Acte 2, scène 3, LYSIMANT)
- La résolution où mon destin me range ! v.330 (Acte 2, scène 3, LYSIMANT)
- Qui s'acquiert tant d'estime en nos opinions, v.340 (Acte 2, scène 3, LYSIMANT)
- Et ce métal rend beau tout ce qui ne l'est pas. v.348 (Acte 2, scène 3, LYSIMANT)
- Ce qui doit être un choix m'est une obéissance, v.350 (Acte 2, scène 3, LYSIMANT)
- Hélas ! Rien n'est égal aux rigueurs de mon sort, v.359 (Acte 2, scène 3, LYSIMANT)
- Mais que de vains pensers mon âme est agitée ! v.361 (Acte 2, scène 3, LYSIMANT)
- (Car Orante est un bien que je perds sans regret), v.375 (Acte 2, scène 4, LYSIMANT)
- Va triompher des coeurs au lieu qui t'est prescrit, v.379 (Acte 2, scène 4, ORANTE)
- Il est vrai que j'aimai cette jeune bergère, v.389 (Acte 2, scène 4, LYSIMANT)
- Le temps est médecin de toutes les douleurs, v.407 (Acte 2, scène 4, LYSIMANT)
- Et l'on s'est consolé pour de pires malheurs. v.408 (Acte 2, scène 4, LYSIMANT)
- Ce malheur m'est égal, mais mon âge m'apprend v.419 (Acte 2, scène 5, FILÉMON)
- Mon courage est plus fort que cette affliction, v.428 (Acte 2, scène 6, LYSIMANT)
- Et si je dois mourir, c'est d'un excès de joie v.429 (Acte 2, scène 6, LYSIMANT)
- Et ton juste courroux ne m'est qu'officieux, v.435 (Acte 2, scène 6, LYSIMANT)
- Et que c'est me venger d'un bien qu'elle me fait. v.448 (Acte 2, scène 6, LYSIMANT)
- Dis que c'est de ma part. v.469 (Acte 2, scène 7, LYSIMANT)
- Orante est engagée, et, malheureux ! Le jour v.495 (Acte 3, scène 1, ARISTE)
- Que c'est perdre mon temps que de vous désirer, v.516 (Acte 3, scène 2, ARISTE)
- Que vous lui destiniez le plaisir qui m'est dû, v.519 (Acte 3, scène 2, ARISTE)
- Et qu'il s'est enrichi du bien que j'ai perdu ? v.520 (Acte 3, scène 2, ARISTE)
- Qu'on est peut-être injuste alors qu'on vous accuse, v.522 (Acte 3, scène 2, ARISTE)
- Las ! Qu'est-il nécessaire, v.529 (Acte 3, scène 2, ARISTE)
- Et j'atteste le ciel de la confusion v.547 (Acte 3, scène 2, ARISTE)
- Entendez-les ou non, c'est ce qui ne m'importe ; v.562 (Acte 3, scène 2, ARISTE)
- Mon coeur est dépouillé de tous ces vains respects, v.563 (Acte 3, scène 2, ARISTE)
- C'est fait, je ne sens plus cette ardeur insensée ; v.589 (Acte 3, scène 4, ORANTE)
- Il est bien malaisé de dégager nos âmes v.593 (Acte 3, scène 4, CÉLIRÉE)
- Et donnez votre coeur tandis qu'il est à vous ; v.604 (Acte 3, scène 4, CÉLIRÉE)
- Il est passionné de vos aimables charmes, v.609 (Acte 3, scène 4, CÉLIRÉE)
- Tout est indifférent à cette âme légère. v.614 (Acte 3, scène 4, ORANTE)
- Qu'il est vrai qu'autrefois j'estimais son visage, v.629 (Acte 3, scène 4, CÉLIRÉE)
- Mais s'il s'est obligé d'aimer cette maîtresse, v.653 (Acte 3, scène 4, ORANTE)
- Lysandre, c'est son nom, lorsqu'il fut un peu grand, v.675 (Acte 3, scène 4, CÉLIRÉE)
- Il fut en Orient tenter les destinées, v.681 (Acte 3, scène 4, C?LIR?E)
- Et n'est point revenu depuis beaucoup d'années ; v.682 (Acte 3, scène 4, C?LIR?E)
- Ton esprit vaut beaucoup, mon âme en est ravie ; v.689 (Acte 3, scène 4, ORANTE)
- C'est mon dernier remède en ce malheur extrême, v.697 (Acte 3, scène 5, CÉLIRÉE)
- Pour elle Florimant déteste sa fortune, v.717 (Acte 3, scène 7, FILÉMON)
- Cléonte en est touché, Tyrsis en est jaloux, v.719 (Acte 3, scène 7, FIL?MON)
- Que mon pouvoir est grand, et qu'avec peu d'efforts v.731 (Acte 3, scène 7, FIL?MON)
- C'est en cet équipage v.737 (Acte 3, scène 8, DIANE)
- Voyons s'il est chez lui. v.747 (Acte 3, scène 8, DIANE)
- C'est ici. v.750 (Acte 3, scène 9, LE LAQUAIS)
- Ah ! Que je dois de voeux au céleste pouvoir, v.751 (Acte 3, scène 10, DIANE)
- Qui me rend en ces lieux où mon âme est ravie, v.753 (Acte 3, scène 10, DIANE)
- Ô dieux ! Est-ce Lysandre ? v.759 (Acte 3, scène 10, ORIMAND)
- C'est lui, n'en doutons plus ; cet aimable visage v.765 (Acte 3, scène 10, ORIMAND)
- On amène après moi ce que les destinées v.773 (Acte 3, scène 10, DIANE)
- Ariste n'est-il plus si cher à tes regards ? v.795 (Acte 4, scène 2, FILÉMON)
- J'aille vouer au ciel le reste de mon âge ; v.802 (Acte 4, scène 2, ORANTE)
- Est venu m'aborder avecque tant d'audace, v.830 (Acte 4, scène 2, ORANTE)
- Vos amants vous flattaient, s'ils vous ont estimée ; v.837 (Acte 4, scène 2, ORANTE)
- Il aurait accusé les seules destinées, v.849 (Acte 4, scène 2, FILÉMON)
- Il ne fait qu'arriver, et ce n'est pas sans peine v.877 (Acte 4, scène 4, ORIMAND)
- N'est-il pas là-dedans ? v.886 (Acte 4, scène 4, ORIMAND)
- Est-il quelque malheur égal à tes désastres, v.893 (Acte 4, scène 5, LYSIMANT)
- Ridicule jouet des destins et des astres ? v.894 (Acte 4, scène 5, LYSIMANT)
- Cette union, commune au reste des humains, v.903 (Acte 4, scène 5, LYSIMANT)
- N'est pas, infortuné, permise à tes desseins, v.904 (Acte 4, scène 5, LYSIMANT)
- Et l'un et l'autre amant est resté sans parti ; v.908 (Acte 4, scène 6, DIANE)
- Puisque tout est contraire à mon contentement, v.919 (Acte 4, scène 7, ORANTE)
- Dieux ! Qu'est-il survenu ? que ce visage est triste ! v.921 (Acte 4, scène 7, CÉLIRÉE)
- Une pareille affaire est de tant d'importance v.925 (Acte 4, scène 7, CÉLIRÉE)
- Est la première au rang des libres actions ; v.928 (Acte 4, scène 7, C?LIR?E)
- C'est là qu'innocemment un esprit se dispense v.929 (Acte 4, scène 7, C?LIR?E)
- C'est là qu'il faut oser, et qu'un coeur abattu v.931 (Acte 4, scène 7, C?LIR?E)
- De ceux dont en ce point le droit est limité ; v.944 (Acte 4, scène 7, CÉLIRÉE)
- Je passe pour Lysandre en l'estime de tous, v.947 (Acte 4, scène 7, C?LIR?E)
- Et Rosinde m'estime en qualité d'époux. v.948 (Acte 4, scène 7, C?LIR?E)
- J'estime également ses voeux et ses mépris ; v.976 (Acte 4, scène 9, LYSIMANT)
- Et quel est son malheur, brûlant pour de la glace ! v.990 (Acte 4, scène 9, CÉLIRÉE)
- Son visage est pourvu de tous les ornements v.991 (Acte 4, scène 9, C?LIR?E)
- Ce vous est un grand mal qu'un peu de patience. v.1006 (Acte 4, scène 9, CÉLIRÉE)
- Pour être cru fidèle, est-ce assez qu'une dame v.1009 (Acte 4, scène 9, C?LIR?E)
- Le plus indifférent est toujours malheureux : v.1012 (Acte 4, scène 9, C?LIR?E)
- Le plus libre est esclave, et le plus froid soupire. v.1014 (Acte 4, scène 9, C?LIR?E)
- L'apparence est douteuse, et ses signes parfaits v.1015 (Acte 4, scène 9, C?LIR?E)
- Orante est si blessée, et sa peine si vraie, v.1017 (Acte 4, scène 9, C?LIR?E)
- Qu'il n'est tourment égal à ceux que j'ai soufferts, v.1023 (Acte 4, scène 9, LYSIMANT)
- Que Diane m'est chère à l'égal de ma vie ; v.1041 (Acte 4, scène 9, LYSIMANT)
- Ton zèle est estimable, et ta condition v.1055 (Acte 4, scène 9, LYSIMANT)
- S'est chargé des papiers de certains marchands morts, v.1063 (Acte 4, scène 9, CÉLIRÉE)
- L'auteur de la nouvelle est cousin d'Orimand, v.1067 (Acte 4, scène 9, C?LIR?E)
- L'or n'est pas seul aimable, et sous ces vêtements v.1087 (Acte 4, scène 9, CÉLIRÉE)
- La vertu quelquefois s'est acquis des amants. v.1088 (Acte 4, scène 9, C?LIR?E)
- Elle qui se donnait est en pouvoir de prendre. v.1094 (Acte 4, scène 9, C?LIR?E)
- Oui, c'est elle que tes yeux v.1095 (Acte 4, scène 9, DIANE)
- Celle qui s'est réduite à servir ta maîtresse, v.1098 (Acte 4, scène 9, DIANE)
- Car le ciel m'est témoin qu'au moins ce lâche coeur v.1107 (Acte 4, scène 9, LYSIMANT)
- Estimez-nous déjà sous une loi commune, v.1121 (Acte 4, scène 9, DIANE)
- Il est chez Orimand. v.1123 (Acte 4, scène 9, DIANE)
- Lysandre est-il ici ? v.1125 (Acte 4, scène 10, DIANE)
- Que son affection m'est fort indifférente ; v.1130 (Acte 4, scène 10, LYSIMANT)
- Ô dieux ! Le doux espoir dont mon âme est flattée ! v.1137 (Acte 4, scène 10, DIANE)
- D'un berger estimé dans tout le paysage, v.1145 (Acte 5, scène 1, SYLVIAN)
- Mon espérance est vaine, on n'a point vu paraître v.1157 (Acte 5, scène 1, SYLVIAN)
- Dont les traits sont communs, dont l'humeur est si vaine, v.1194 (Acte 5, scène 3, ORANTE)
- Qu'on ne peut estimer que par civilité, v.1195 (Acte 5, scène 3, ORANTE)
- J'ai trouvé des défauts où la grâce est extrême, v.1201 (Acte 5, scène 3, ARISTE)
- J'ai changé vos attraits, ce teint en est blêmi, v.1203 (Acte 5, scène 3, ARISTE)
- De qui daigne m'aimer est digne de pitié ; v.1216 (Acte 5, scène 3, ORANTE)
- Ah ! C'est trop de rigueur ! Et cette indifférence v.1221 (Acte 5, scène 3, ARISTE)
- Et c'est trop m'affliger que de me soutenir. v.1224 (Acte 5, scène 3, ARISTE)
- En l'extrême rigueur dont ce coeur est touché, v.1227 (Acte 5, scène 3, ARISTE)
- Il est près de mourir pour prouver son péché ; v.1228 (Acte 5, scène 3, ARISTE)
- Et qu'il n'est point d'objet si digne de nos larmes. v.1230 (Acte 5, scène 3, ARISTE)
- Quel bien est comparable à mon contentement ? v.1252 (Acte 5, scène 3, ARISTE)
- Le ciel est favorable à l'ardeur qui la presse. v.1254 (Acte 5, scène 4, DOROTHÉE)
- Elle s'est déguisée avecque tant de peine v.1257 (Acte 5, scène 4, DOROTH?E)
- Qu'il est bien mal aisé que sa feinte soit vaine, v.1258 (Acte 5, scène 4, DOROTH?E)
- Et c'est par ta faveur que tous les amoureux v.1267 (Acte 5, scène 4, DOROTH?E)
- Ce lieu, comme ton coeur, est-il inaccessible ? v.1274 (Acte 5, scène 5, DOROTHÉE)
- Ô dieux ! C'est Dorothée. v.1281 (Acte 5, scène 5, SYLVIAN)
- Ce n'est plus que son corps, l'âme lui fut ôtée v.1282 (Acte 5, scène 5, DOROTHÉE)
- Lysandre est de retour, allons-y seulement. v.1300 (Acte 5, scène 6, DOROTHÉE)
- Le seul bien de vous voir est l'objet de mes pas. v.1311 (Acte 5, scène 7, DIANE)
- On ne révoque point l'arrêt des destinées v.1313 (Acte 5, scène 7, LYSIMANT)
- Puisqu'il n'est pas aveugle au présent qu'il en fait, v.1316 (Acte 5, scène 7, LYSIMANT)
- Qui me fait enquérir si certain bruit est vain ? v.1324 (Acte 5, scène 7, DOROTHÉE)
- Son mérite est si grand, que cette aimable fille v.1337 (Acte 5, scène 7, DOROTHÉE)
- Est chère à tout le monde autant qu'à sa famille. v.1338 (Acte 5, scène 7, DOROTH?E)
- Qu'à l'appui de vos jours les dieux ont destiné ! v.1356 (Acte 5, scène 8, LYSANDRE)
- Mon fils, de quelle erreur cet homme est-il troublé ? v.1359 (Acte 5, scène 8, ORIMAND)
- Et si, comme on le croit, ton bras est tout puissant, v.1371 (Acte 5, scène 8, LYSANDRE)
- A résolu ma mort, je reste sans défense, v.1386 (Acte 5, scène 8, DIANE)
- Le ciel est contre moi, conspire avecque lui : v.1396 (Acte 5, scène 8, DIANE)
- Est-ce Diane ? ô dieux ! v.1405 (Acte 5, scène 8, LYSIMANT)
- Il faut voir ce que c'est. v.1407 (Acte 5, scène 9, FILÉMON)
- C'est Diane elle-même ! Offrons-lui du secours. v.1414 (Acte 5, scène 9, SYLVIAN)
- Et le ciel, toutefois, ne l'y destinait pas. v.1442 (Acte 5, scène 10, DAMON)
- Non, non, il est certain que ma soeur voit le jour, v.1477 (Acte 5, scène 10, LYSANDRE)
- Boulogne est son village, et Diane son nom ; v.1486 (Acte 5, scène 10, LYSANDRE)
- C'est ton portrait vivant, et pour la reconnaître v.1487 (Acte 5, scène 10, LYSANDRE)
- Enfin, heureux amant, le soin des destinées v.1499 (Acte 5, scène 10, DIANE)
- Que mon âme est ravie ! v.1507 (Acte 5, scène 10, FILÉMON)
- Mais c'est trop consulter, puisque mes voeux sont vains. v.1537 (Acte 5, scène 10, SYLVIAN)
- Puisque tout est contraire à ta persévérance, v.1547 (Acte 5, scène 10, SYLVIAN)
AGESILAN de COLCHOS (1637)
- Puisque de ce combat l'issue est incertaine, v.1 (Acte 1, scène 1, BRUNEO)
- Non non, en un duel dont ma tête est le prix, v.4 (Acte 1, scène 1, FLORISEL)
- La grâce que j'implore est commune à tous deux, v.7 (Acte 1, scène 1, BRUNEO)
- Mais ne relâchons point, trop de vigueur me reste, v.9 (Acte 1, scène 1, BRUNEO)
- Pour rendre ce refus à son auteur funeste. v.10 (Acte 1, scène 1, BRUNEO)
- Qu'à tous mes ennemis ma tête est exposée, v.33 (Acte 1, scène 1, FLORISEL)
- Cet arrêt me fait grâce, ce ne m'est pas contraire, v.37 (Acte 1, scène 1, BRUNEO)
- D'observer de tout point la loi qui m'est prescrite, v.42 (Acte 1, scène 1, BRUNEO)
- J'osais destiner des caresses ; v.62 (Acte 1, scène 1, BRUNEO)
- Enfin (cher Darinel) il reste de te dire v.77 (Acte 1, scène 2, AGESILAN)
- Il n'est rien d'adorable après votre visage. v.85 (Acte 1, scène 2, DARINEL)
- Lors d'un geste affecté, certes Mademoiselle, v.93 (Acte 1, scène 2, DARINEL)
- Si la Dame rougit, c'est d'un amour extrême, v.97 (Acte 1, scène 2, DARINEL)
- Qu'elle réponde ou non, c'est d'amour tout de même. v.98 (Acte 1, scène 2, DARINEL)
- Ils s'estiment reçus dès qu'ils se sont offerts, v.99 (Acte 1, scène 2, DARINEL)
- Et dans leur sentiment la plus libre est aux fers. v.100 (Acte 1, scène 2, DARINEL)
- Mais quel funeste objet à mes yeux se présente v.105 (Acte 1, scène 2, DARINEL)
- Sans doute il ne vit plus, quelle est cette aventure ? v.109 (Acte 1, scène 2, AGESILAN)
- Fait voir qu'il n'est pas mort, et qu'un peu de secours v.111 (Acte 1, scène 2, AGESILAN)
- C'est la seule maîtresse v.118 (Acte 1, scène 2, DARINEL)
- La vie aux gens de cour n'est jamais importune, v.139 (Acte 1, scène 2, AGESILAN)
- Telle n'est la mère d'amour, v.147 (Acte 1, scène 2, AGESILAN)
- Et telle n'est au Ciel l'amante v.154 (Acte 1, scène 2, AGESILAN)
- S'il vous est agréable apprenez en deux mots, v.158 (Acte 1, scène 2, BRUNEO)
- Quelle est cette beauté fatale à mon repos, v.159 (Acte 1, scène 2, BRUNEO)
- Sydonie, est un nom connu de tout le monde, v.160 (Acte 1, scène 2, BRUNEO)
- La Guindaye est une île à son pouvoir soumise, v.164 (Acte 1, scène 2, BRUNEO)
- Florisel, c'est son nom, sous les fausses promesses v.168 (Acte 1, scène 2, BRUNEO)
- Il m'est honteux de vivre à ce ressouvenir, v.198 (Acte 1, scène 2, BRUNEO)
- Que qui ne l'aime pas, est sans cour, ou sans yeux. v.203 (Acte 1, scène 2, BRUNEO)
- Elle est de mille rois l'amour et les délices, v.208 (Acte 1, scène 2, BRUNEO)
- Elle est par cet édit promise pour conquête, v.216 (Acte 1, scène 2, BRUNEO)
- Votre malheur est grand, mais la confiance en fin v.230 (Acte 1, scène 2, AGESILAN)
- Adoucit le plus rude, et le pire destin, v.231 (Acte 1, scène 2, AGESILAN)
- Est contre ses assauts un effort glorieux : v.234 (Acte 1, scène 2, AGESILAN)
- Et c'est en quelque sorte être victorieux, v.235 (Acte 1, scène 2, AGESILAN)
- Est-ce qui vous plaît tant ? v.243 (Acte 1, scène 2, BRUNEO)
- Il est à vous adieu, mais en ce don funeste, v.244 (Acte 1, scène 2, BRUNEO)
- Vous prenez un serpent, un poison, une peste, v.245 (Acte 1, scène 2, BRUNEO)
- Florisel est vaillant, j'éprouve à mon dommage, v.248 (Acte 1, scène 2, BRUNEO)
- Combien il a d'adresse, et quel est son courage, v.249 (Acte 1, scène 2, BRUNEO)
- De quel effort ô Dieux ! est mon âme agitée ? v.260 (Acte 1, scène 2, AGESILAN)
- Par quel sort est si tôt ma raison enchantée ? v.261 (Acte 1, scène 2, AGESILAN)
- Il t'est permis un jour de répandre des larmes. v.269 (Acte 1, scène 2, AGESILAN)
- Que ton âme est tranquille, et n'en est pas ravie. v.276 (Acte 1, scène 2, AGESILAN)
- Quand mon cour est touché d'un si cruel martyre, v.285 (Acte 1, scène 2, AGESILAN)
- Est-il un autre esprit, à ton esprit pareil ? v.303 (Acte 1, scène 2, AGESILAN)
- D'une si douce ardeur, mon cour est embrasé, v.306 (Acte 1, scène 2, AGESILAN)
- Que tout dessein me tarde, et que tout m'est aisé. v.307 (Acte 1, scène 2, AGESILAN)
- Que vois-je, de quel genre est sa mélancolie ? v.308 (Acte 1, scène 2, DARINEL)
- Quel est ce feu qu'il vante, et qu'il trouve si doux ? v.309 (Acte 1, scène 2, DARINEL)
- Il est vrai qu'elle a droit de vouloir mon supplice, v.312 (Acte 2, scène 1, FLORISEL)
- Mais lorsque de faveurs une âme est assouvie, v.316 (Acte 2, scène 1, FLORISEL)
- La fuite en ce besoin est un remède honnête, v.320 (Acte 2, scène 1, FLORISEL)
- Mais qu'elle est abusée, et que la plus divine, v.332 (Acte 2, scène 1, FLORISEL)
- Lorsqu'elle donne tout, est près de sa ruine. v.333 (Acte 2, scène 1, FLORISEL)
- Quand un objet est beau, mes yeux en sont ravis, v.335 (Acte 2, scène 1, FLORISEL)
- Le lieu de mes plaisirs m'est un lieu de supplices, v.345 (Acte 2, scène 1, FLORISEL)
- Je ne la puis haïr, j'estime son courage, v.353 (Acte 2, scène 1, FLORISEL)
- Que Diane pour eux est un objet fatal, v.358 (Acte 2, scène 1, FLORISEL)
- Le démon des guerriers n'est pas toujours égal, v.366 (Acte 2, scène 1, ARLANDES)
- Et de tant d'ennemis, l'un à peine est à bas, v.370 (Acte 2, scène 1, ARLANDES)
- Peste de mon repos, et pour tout dire amour : v.379 (Acte 2, scène 2, ROSARAN)
- Tu te rends invisible et ton renom est tel : v.387 (Acte 2, scène 2, ROSARAN)
- Que sa folie est rare, ô rencontre plaisante ! v.392 (Acte 2, scène 2, FLORISEL)
- Ô ciel de tant d'amants quel sera le destin, v.394 (Acte 2, scène 2, ROSARAN)
- Oui, sais-tu quel il est ? v.399 (Acte 2, scène 2, ROSARAN)
- On dit qu'il est vaillant, mais votre seul aspect v.406 (Acte 2, scène 2, FLORISEL)
- Que mon âme est ravie. v.412 (Acte 2, scène 2, ARLANDES)
- Si le sort est pour toi, moins qu'un honteux trépas. v.427 (Acte 2, scène 2, ARLANDES)
- Elle a trop peu d'attraits, et j'estime insensé, v.429 (Acte 2, scène 2, FLORISEL)
- Ce visage est grossier, je n'y vois rien de doux, v.437 (Acte 2, scène 2, FLORISEL)
- Retenez, la fureur, dieux quelle est sa manie, v.452 (Acte 2, scène 2, ROSARAN)
- N'est que de vous offrir le secours de mon bras, v.462 (Acte 2, scène 2, ROSARAN)
- Tyran des libertés, amour, peste des âmes v.479 (Acte 2, scène 2, ROSARAN)
- C'est agir (ce me semble) un peu légèrement ; v.494 (Acte 2, scène 3, DARINEL)
- Qui s'offre, c'est à charge, et l'on l'estime peu. v.498 (Acte 2, scène 3, DARINEL)
- Cet avis ce me semble est le plus à propos, v.517 (Acte 2, scène 3, DARINEL)
- Ce qu'on dit de Vénus, et de Pâris n'est pas, v.525 (Acte 2, scène 3, DARAIDE)
- Outre la voix, sa grâce est infinie, v.537 (Acte 2, scène 4, DIANE)
- Épargne-moi l'affront de rester sans parole, v.545 (Acte 2, scène 4, DARAIDE)
- Si son portrait au reste a d'agréables charmes, v.549 (Acte 2, scène 4, DARINEL)
- J'entends du bruit, c'est elle. v.555 (Acte 2, scène 4, DARINEL)
- C'est aujourd'hui, Madame, et c'est moi qui le fais. v.568 (Acte 2, scène 5, DARAIDE)
- Si l'avare qu'elle est, m'avait fait mériter v.571 (Acte 2, scène 5, DARAIDE)
- Et son esprit est rare encor plus que sa voix. v.576 (Acte 2, scène 5, ARDENIE)
- Qu'elle est votre pays, et qui vous mène ici ? v.584 (Acte 2, scène 5, DIANE)
- La Crête est le séjour, où j'ai pris la naissance, v.585 (Acte 2, scène 5, DARAIDE)
- Par un secret instinct s'est pour vous destinée : v.594 (Acte 2, scène 5, DARAIDE)
- Mon nom est Daraide. v.601 (Acte 2, scène 5, DARAIDE)
- Votre peur n'est pas tant que je ne la reçoive, v.609 (Acte 2, scène 5, DIANE)
- Comme votre désir est que je vous la doive, v.610 (Acte 2, scène 5, DIANE)
- Quelle est cette étrangère ? v.617 (Acte 2, scène 6, SYDONIE)
- Que j'allais demander à votre Majesté. v.620 (Acte 2, scène 6, DIANE)
- Et que vous me louerez de l'avoir estimée. v.626 (Acte 2, scène 6, DIANE)
- À votre Majesté. v.634 (Acte 2, scène 7, PAGE)
- Ha Florisel est mort, n'en as-tu rien appris ? v.636 (Acte 2, scène 7, SYDONIE)
- Ô détestable effet d'un amour enragé ! v.643 (Acte 2, scène 7, SYDONIE)
- Quel repos, quel honneur, et quel bien m'est rendu, v.647 (Acte 2, scène 7, SYDONIE)
- Un oubli fut son crime, une mort est sa peine : v.653 (Acte 2, scène 7, SYDONIE)
- Détournez de mes yeux ce funeste spectacle, v.657 (Acte 2, scène 7, SYDONIE)
- Vouloir voir leur vengeance, est une cruauté. v.660 (Acte 2, scène 7, SYDONIE)
- Mais simple, cette mort est encore incertaine, v.661 (Acte 2, scène 7, SYDONIE)
- Ton regret est honteux, ta plainte illégitime. v.666 (Acte 2, scène 7, SYDONIE)
- Et qui ne le voit mort, n'est vengé qu'à demi, v.672 (Acte 2, scène 7, SYDONIE)
- Mais il vient, et je meurs, Florisel est-il mort ? v.680 (Acte 2, scène 7, SYDONIE)
- Envoyé pour hommage à vos célestes charmes, v.681 (Acte 2, scène 8, BRUNEO)
- Tous flattés de l'objet de votre Majesté, v.683 (Acte 2, scène 8, BRUNEO)
- Et le commandement m'est un heureux supplice. v.690 (Acte 2, scène 8, BRUNEO)
- Admire les beautés dont la terre est pourvue, v.705 (Acte 3, scène 1, DIANE)
- Elle est seule en la tour, et je suis peu sensée, v.713 (Acte 3, scène 1, ARDENIE)
- Quel est ton sentiment ? v.725 (Acte 3, scène 1, DIANE)
- Que savons-nous, c'est peut-être vous-même, v.726 (Acte 3, scène 1, ARDENIE)
- Si ton intention est de me rendre vaine, v.745 (Acte 3, scène 1, DIANE)
- Et je m'estimerai seule égale à moi-même, v.750 (Acte 3, scène 1, DIANE)
- Tu ne vois qu'un défaut, où tout est si charmant, v.751 (Acte 3, scène 1, DIANE)
- C'est que je ne te puis rendre ton Compliment, v.752 (Acte 3, scène 1, DIANE)
- Je voudrais que l'amant que le ciel me destine, v.762 (Acte 3, scène 1, ARDENIE)
- Que cet émail est rare, et que l'oeil enchanté v.787 (Acte 3, scène 1, ARDENIE)
- Mais, ô beaux ornements dont la terre est parée, v.789 (Acte 3, scène 1, ARDENIE)
- Que votre éclat si doux est de courte durée, v.790 (Acte 3, scène 1, ARDENIE)
- Ce qui, s'il est bien pris, n'a ni sens, ni réplique. v.802 (Acte 3, scène 2, DARAIDE)
- Mes yeux en sont charmés, mon âme en est ravie, v.814 (Acte 3, scène 2, DARINEL)
- C'est bien ce qui me semble, v.849 (Acte 3, scène 2, DARINEL)
- Est-ce là paraître homme ? v.850 (Acte 3, scène 2, DARINEL)
- À mes travaux passés est trop de récompense ? v.858 (Acte 3, scène 2, DARAIDE)
- Voyez que tout est calme, et que ces doux Zéphyrs, v.863 (Acte 3, scène 3, DARAIDE)
- Enfin je dois parler, et c'est trop me contraindre v.869 (Acte 3, scène 3, ARDENIE)
- Mon esprit, Daraide, en est un peu malade, v.874 (Acte 3, scène 3, ARDENIE)
- Je vous veux déclarer quelle est ma fantaisie, v.886 (Acte 3, scène 3, DARAIDE)
- Dieux j'ai longtemps dormi, quelle est votre dispute ? v.894 (Acte 3, scène 3, DIANE)
- Car le gain de sa cause, est à votre avantage. v.898 (Acte 3, scène 3, ARDENIE)
- Si votre cause est juste, et si je l'entreprends, v.899 (Acte 3, scène 3, DIANE)
- C'est un procès d'amour. v.904 (Acte 3, scène 3, ARDENIE)
- Parlez-vous, car trop d'art à son discours est joint, v.912 (Acte 3, scène 3, DIANE)
- Pareille à ces faux dieux, dont l'arrogance est telle, v.917 (Acte 3, scène 3, DARAIDE)
- Et partager un coeur, qui vous est destiné : v.920 (Acte 3, scène 3, DARAIDE)
- Il nuit de savoir trop, l'éloquence est suspecte, v.925 (Acte 3, scène 3, DIANE)
- Donc puisqu'à toutes trois l'affaire est d'importance, v.929 (Acte 3, scène 3, DIANE)
- La justice est sans yeux, je n'avais plus de vue, v.944 (Acte 3, scène 3, DIANE)
- Ce bouquet est pour vous. v.947 (Acte 3, scène 3, DIANE)
- Encore un, ma peine est beaucoup soulagée. v.955 (Acte 3, scène 3, ARDENIE)
- Et c'est ce que mérite une ardeur insensée, v.979 (Acte 3, scène 4, ARDENIE)
- Quoi mon aversion est encore douteuse, v.982 (Acte 3, scène 4, ARDENIE)
- C'est mériter mon mal que de craindre sa peine, v.986 (Acte 3, scène 4, ARDENIE)
- Où le bruit des beautés dont l'Infante est pourvue, v.990 (Acte 3, scène 5, ANAXARTE)
- Me promet cet honneur de votre Majesté. v.993 (Acte 3, scène 5, ANAXARTE)
- Je vous suis obligée, et sa gloire est insigne, v.994 (Acte 3, scène 5, SYDONIE)
- Sans se rendre visible, est partout adorée, v.1003 (Acte 3, scène 5, ANAXARTE)
- Mycènes est mon pays, Anaxarte mon nom, v.1004 (Acte 3, scène 5, ANAXARTE)
- Telle n'est pas Diane en la voûte des Cieux, v.1009 (Acte 3, scène 6, ANAXARTE)
- Si ce n'est sans plaisir, au moins sans vanité. v.1013 (Acte 3, scène 6, SYDONIE)
- En ayant tant parlé, l'avait trop estimée. v.1015 (Acte 3, scène 6, ANAXARTE)
- Elle est avare encor à ses perfections : v.1017 (Acte 3, scène 6, ANAXARTE)
- Et c'est avec regret qu'il faut que mon courage, v.1018 (Acte 3, scène 6, ANAXARTE)
- Quel est donc ce dessein ? v.1022 (Acte 3, scène 6, SYDONIE)
- À qui cède en beauté le reste de la Grèce. v.1023 (Acte 3, scène 6, ANAXARTE)
- Qu'elle est le seul objet dont toute âme est ravie, v.1027 (Acte 3, scène 6, ANAXARTE)
- Et prétends en un mot prouver ce qui n'est pas. v.1033 (Acte 3, scène 6, ANAXARTE)
- C'est à moi seule, à moi qu'appartient cette gloire, v.1035 (Acte 3, scène 6, DARAIDE)
- Que j'obtienne ce bien de votre Majesté, v.1036 (Acte 3, scène 6, DARAIDE)
- Si mon sexe est suspect, mon honneur se hasarde, v.1039 (Acte 3, scène 6, DARAIDE)
- Et s'il est au besoin permis de se vanter, v.1040 (Acte 3, scène 6, DARAIDE)
- Ailleurs que sur un luth, ma main s'est occupée, v.1042 (Acte 3, scène 6, DARAIDE)
- Dieux ! qu'est-ce que je vois ? v.1052 (Acte 3, scène 6, ARDENIE)
- Craignez que tel qu'il est, il ne vous traite mal. v.1057 (Acte 3, scène 6, DARAIDE)
- Il n'est pas temps ici d'éprouver leur puissance. v.1059 (Acte 3, scène 6, DARAIDE)
- C'est un soin qui m'importe, et c'est bien mon ennuie. v.1067 (Acte 3, scène 6, DARAIDE)
- Mon sexe à votre peur est une excuse heureuse, v.1074 (Acte 3, scène 6, DARAIDE)
- Je suis fille, il est vrai, mais assez généreuse, v.1075 (Acte 3, scène 6, DARAIDE)
- De toutes les beautés, Diane est la première, v.1078 (Acte 3, scène 6, DARAIDE)
- Ce miracle d'amour à soi seul est pareil, v.1080 (Acte 3, scène 6, DARAIDE)
- Lucelle est moins qu'un ombre, auprès de ce soleil ; v.1081 (Acte 3, scène 6, DARAIDE)
- C'est un indigne objet des voeux d'un honnête homme, v.1082 (Acte 3, scène 6, DARAIDE)
- Enfin c'est trop mêler l'outrage à l'arrogance, v.1086 (Acte 3, scène 6, ANAXARTE)
- Quelle adresse est égale à sa valeur extrême ? v.1090 (Acte 3, scène 6, DIANE)
- Que ce prodige est rare, et que le ciel vous aime. v.1091 (Acte 3, scène 6, ARDENIE)
- D'un pouvoir plus qu'humain ce bras est soutenu, v.1096 (Acte 3, scène 6, ANAXARTE)
- Et je protesterai devant toute la terre, v.1098 (Acte 3, scène 6, ANAXARTE)
- Est le plus digne objet qui respire le jour. v.1101 (Acte 3, scène 6, DARAIDE)
- Quel miracle, inconnu, nous est venu des cieux. v.1109 (Acte 3, scène 6, DIANE)
- C'est le moindre devoir que mon bras vous destine, v.1110 (Acte 3, scène 6, DARAIDE)
- C'est trop m'être inutile, et me causer des larmes : v.1115 (Acte 3, scène 6, SYDONIE)
- C'est le dernier espoir qui reste à ta douleur, v.1120 (Acte 3, scène 6, SYDONIE)
- Et rien n'est impossible à sa rare valeur. v.1121 (Acte 3, scène 6, SYDONIE)
- Par ce qui t'est plus cher, rends-moi belle guerrière, v.1122 (Acte 3, scène 6, SYDONIE)
- Que c'est toi qu'il destine à venger mon injure. v.1127 (Acte 3, scène 6, SYDONIE)
- J'égale au sort des Dieux le destin de mes jours : v.1129 (Acte 3, scène 6, DARAIDE)
- Son mérite est extrême, il est sage, il est Prince, v.1166 (Acte 4, scène 1, ARDENIE)
- Falanges est son père, et Colchos sa province, v.1167 (Acte 4, scène 1, ARDENIE)
- Je le devrais, hélas ! mais il n'est plus de saison, v.1172 (Acte 4, scène 1, DIANE)
- Ce n'est pas qu'en effet l'honneur ne m'en soit doux ; v.1192 (Acte 4, scène 2, DARAIDE)
- Mais cet éloignement m'est un combat funeste, v.1198 (Acte 4, scène 2, DARAIDE)
- Où mes plaisirs mourront, si la clarté me reste ; v.1199 (Acte 4, scène 2, DARAIDE)
- Il faut que je vous quitte, et c'est le seul dessein, v.1200 (Acte 4, scène 2, DARAIDE)
- Ma peine est incroyable, et j'éprouve en ce jour v.1212 (Acte 4, scène 2, DIANE)
- Qu'il est des amitiés plus fortes que l'amour ; v.1213 (Acte 4, scène 2, DIANE)
- Quelle est cette action, où ma mère t'oblige : v.1219 (Acte 4, scène 2, DIANE)
- Et l'une, et l'autre m'est également sensible : v.1223 (Acte 4, scène 2, DIANE)
- Dieux ! Quel est ce dédale, il faut que Daraide v.1226 (Acte 4, scène 2, DIANE)
- Si j'avais fait outrage à vos célestes charmes, v.1242 (Acte 4, scène 2, DARAIDE)
- Il est besoin encor d'une bonté plus rare. v.1254 (Acte 4, scène 2, DARAIDE)
- Quel est ce dernier point ? v.1262 (Acte 4, scène 2, DARAIDE)
- Ce rival est jaloux des chastes privautés, v.1272 (Acte 4, scène 2, DARAIDE)
- Je suis Agesilan, Daraide n'est plus : v.1281 (Acte 4, scène 2, DARAIDE)
- S'il vous est une injure attend son châtiment. v.1285 (Acte 4, scène 2, DARAIDE)
- Ô mort dernier espoir qui reste au misérable, v.1298 (Acte 4, scène 2, DARAIDE)
- Dieux ! combien d'artifice à son amour est joint ? v.1300 (Acte 4, scène 2, ARDENIE)
- Et qu'une même chose est de flamme, et de glace : v.1303 (Acte 4, scène 2, ARDENIE)
- Quel est cet accident, qu'a Daraide, ô Dieux ! v.1308 (Acte 4, scène 3, SYDONIE)
- Et c'est ce qui la met au point que vous voyez, v.1312 (Acte 4, scène 3, ARDENIE)
- Dieux ! Qu'est-ce que je vois ? Quelle est votre bonté ! v.1320 (Acte 4, scène 3, DARAIDE)
- Et quel indigne soin prend votre Majesté ; v.1321 (Acte 4, scène 3, DARAIDE)
- Que votre Majesté ne considère pas. v.1325 (Acte 4, scène 3, DARAIDE)
- Les Dieux me sont témoins qu'elle m'est toujours chère, v.1338 (Acte 4, scène 4, DIANE)
- Que mon cour, je l'avoue, en est un peu jaloux, v.1341 (Acte 4, scène 4, DIANE)
- Je reste sans souhaits, et je pars trop contente : v.1347 (Acte 4, scène 4, DARAIDE)
- Calmez, hélas ! calmez ce funeste courroux, v.1348 (Acte 4, scène 4, DARAIDE)
- Mon cour vous aime entier, entier il est à vous : v.1349 (Acte 4, scène 4, DARAIDE)
- Il n'a pas d'autre objet, c'est son unique ennuie, v.1350 (Acte 4, scène 4, DARAIDE)
- A ces conditions Daraide m'est chère, v.1354 (Acte 4, scène 4, DIANE)
- Autant qu'elle l'est aux fleurs cette douce lumière, v.1355 (Acte 4, scène 4, DIANE)
- Et faillir de la sorte est prouver son succès. v.1361 (Acte 4, scène 4, DIANE)
- L'honneur de satisfaire à votre Majesté. v.1369 (Acte 4, scène 4, DARAIDE)
- Sous quel Ciel respirai-je, et quel est ce rivage ; v.1371 (Acte 4, scène 5, FLORISEL)
- Vous dont un même coup tranche la destinée, v.1391 (Acte 4, scène 5, FLORISEL)
- Ce confus souvenir reste sans assurance, v.1410 (Acte 4, scène 5, FLORISEL)
- Telle n'est pas Zatyr, Samothrace, Lemnos, v.1412 (Acte 4, scène 5, FLORISEL)
- Ce palais est celui de cette triste Reine, v.1414 (Acte 4, scène 5, FLORISEL)
- Nous avons vu l'amour, tel qu'il est en Cythère, v.1419 (Acte 4, scène 5, FLORISEL)
- Jeté par ton malheur en un lieu si funeste, v.1422 (Acte 4, scène 5, FLORISEL)
- Quelle assurance, hélas ! Et quel pouvoir te reste, v.1423 (Acte 4, scène 5, FLORISEL)
- Et quel est ce guerrier, qu'un destin si cruel, v.1436 (Acte 4, scène 6, DARAIDE)
- N'a pu : le dois-je croire ? Ô dieux ? C'est Florisel ! v.1437 (Acte 4, scène 6, DARAIDE)
- Je vois Agesilan, s'il est vrai que je veille, v.1439 (Acte 4, scène 6, FLORISEL)
- Où la fin de vos jours est un souhait si cher, v.1444 (Acte 4, scène 6, DARAIDE)
- Apprenez en deux mots quelle est mon aventure, v.1450 (Acte 4, scène 6, FLORISEL)
- Et j'apprendrai de vous celle qui m'est future, v.1451 (Acte 4, scène 6, FLORISEL)
- Et si pour votre amour ma tête est nécessaire, v.1459 (Acte 4, scène 6, FLORISEL)
- Après notre combat, vous restez en ces lieux ; v.1465 (Acte 4, scène 6, DARAIDE)
- Laissez-moi de repos le reste de ce jour ; v.1469 (Acte 4, scène 6, FLORISEL)
- Je te dois satisfaire, et ta perte m'est dure, v.1479 (Acte 5, scène 1, SYDONIE)
- Mais qu'il m'est dur aussi de perdre Florisel, v.1480 (Acte 5, scène 1, SYDONIE)
- C'est moi que je poursuis, et c'est moi que je tue, v.1483 (Acte 5, scène 1, SYDONIE)
- Et qu'en moi ses défauts accroissent son estime ; v.1491 (Acte 5, scène 1, SYDONIE)
- Ce cruel m'est plus cher, qu'alors que dans mes bras, v.1492 (Acte 5, scène 1, SYDONIE)
- Ce dessein furieux, ce funeste souhait, v.1496 (Acte 5, scène 1, SYDONIE)
- Cet amour est cruel, qui lui coûte la vie, v.1499 (Acte 5, scène 1, SYDONIE)
- Quel rocher est ton cour, si tu ne fonds en larmes ; v.1503 (Acte 5, scène 1, SYDONIE)
- Quelles sont ces ardeurs, et quel est cet amour v.1504 (Acte 5, scène 1, SYDONIE)
- S'il t'est possible alors de conserver le jour, v.1505 (Acte 5, scène 1, SYDONIE)
- Qu'il vive cet ingrat, ce détestable amant, v.1512 (Acte 5, scène 2, SYDONIE)
- Si son crime fut grand, mon amour est extrême, v.1514 (Acte 5, scène 2, SYDONIE)
- M'obéir est me nuire, un amant irrité v.1516 (Acte 5, scène 2, SYDONIE)
- Puisque j'ai pu déplaire à votre Majesté. v.1525 (Acte 5, scène 2, DARAIDE)
- Ô Dieux ! Que me dis-tu ! S'il est vrai Daraide v.1530 (Acte 5, scène 2, SYDONIE)
- Mais bouillante qu'elle est abat ce qu'elle peut, v.1557 (Acte 5, scène 2, SYDONIE)
- C'est moi qui l'ai poussée, et moi qui la désire ; v.1559 (Acte 5, scène 2, SYDONIE)
- Ce n'est plus à l'amour à lui prêter des armes, v.1563 (Acte 5, scène 2, SYDONIE)
- Cette feinte est un jeu dont j'ignore la cause, v.1570 (Acte 5, scène 3, DARINEL)
- Il s'est par un naufrage, v.1574 (Acte 5, scène 3, DARINEL)
- Sur la foi de mon maître, il est ici venu ; v.1577 (Acte 5, scène 3, DARINEL)
- Viens, faisons mort encor celui qui ne l'est point, v.1580 (Acte 5, scène 3, ARDENIE)
- Dedans le sein de l'onde, il s'est précipité, v.1589 (Acte 5, scène 3, ARDENIE)
- Il faut savoir au vrai combien elle est atteinte. v.1594 (Acte 5, scène 3, ARDENIE)
- Sa vie est au pouvoir de votre Majesté ; v.1601 (Acte 5, scène 4, DARAIDE)
- Comment, il n'est pas mort, ma Daraide, ô Dieux ! v.1608 (Acte 5, scène 4, SYDONIE)
- Par quel secret pouvoir, par quelle destinée, v.1630 (Acte 5, scène 4, SYDONIE)
- Tout perfide qu'il est, insensible, intraitable, v.1633 (Acte 5, scène 4, SYDONIE)
- Avec ces qualités, il m'est encor aimable, v.1634 (Acte 5, scène 4, SYDONIE)
- Je lui serais humaine, autant qu'il m'est cruel, v.1636 (Acte 5, scène 4, SYDONIE)
- Il me fuit, et la mort à ses yeux est plus belle, v.1638 (Acte 5, scène 4, SYDONIE)
- Sa vie est en vos mains. v.1643 (Acte 5, scène 4, DARAIDE)
- L'une, et l'autre m'est dure, et l'une et l'autre est douce, v.1645 (Acte 5, scène 4, SYDONIE)
- Le reste de mes jours pût rester endormi, v.1656 (Acte 5, scène 4, SYDONIE)
- Quoiqu'il s'acquittât mal de l'amour qui m'est dû, v.1657 (Acte 5, scène 4, SYDONIE)
- Il est cruel, ingrat, perfide suborneur, v.1667 (Acte 5, scène 4, SYDONIE)
- C'est moi qui cet objet à vos regards expose ; v.1686 (Acte 5, scène 4, DARAIDE)
- C'est moi seul qui fis renaître vos soucis v.1687 (Acte 5, scène 4, DARAIDE)
- Dieux ! Qu'est-ce que je vois ! v.1692 (Acte 5, scène 4, FLORISEL)
- Que fait la Reine, ô ciel ! Quelle funeste ennui v.1693 (Acte 5, scène 4, FLORISEL)
- J'en fuis, en la suivant, cent que tu me destines, v.1701 (Acte 5, scène 4, SYDONIE)
- Puis-je estimer hélas qu'une beauté si rare, v.1705 (Acte 5, scène 4, FLORISEL)
- (Puisque seul j'ai failli,) ce funeste dessein. v.1708 (Acte 5, scène 4, FLORISEL)
- Contre mon sein tournée, elle est bien plus hardie, v.1714 (Acte 5, scène 4, SYDONIE)
- Laisse lui témoigner ce reste de vigueur, v.1715 (Acte 5, scène 4, SYDONIE)
- C'est toi qui veux ma mort, c'est toi qui l'as armée : v.1718 (Acte 5, scène 4, SYDONIE)
- C'est de ce traître prix que tu payes mes voeux, v.1719 (Acte 5, scène 4, SYDONIE)
- De m'être plus humain de rester en ces lieux : v.1724 (Acte 5, scène 4, SYDONIE)
- C'est tenir, Florisel, contre le jugement : v.1732 (Acte 5, scène 4, FLORISEL)
- S'il vous est doux encor d'asservir ma raison, v.1739 (Acte 5, scène 4, FLORISEL)
- Et si mon repentir est encor de saison. v.1740 (Acte 5, scène 4, FLORISEL)
- D'un lien éternel conjoins nos destinées. v.1750 (Acte 5, scène 4, FLORISEL)
- Adorable merveille, est-il mon châtiment ? v.1756 (Acte 5, scène 4, FLORISEL)
- Mon seul remède, hélas ! est de ne vivre plus. v.1768 (Acte 5, scène 5, DIANE)
- Oui l'espérance nuit, et n'est plus de saison, v.1771 (Acte 5, scène 5, ARDENIE)
- Agesilan n'est plus, tous mes plaisirs sont morts, v.1775 (Acte 5, scène 5, DIANE)
- Est un trop doux effort de mon ressentiment : v.1780 (Acte 5, scène 5, DIANE)
- Hélas ? Préparez-vous ? C'est son corps qu'on apporte. v.1786 (Acte 5, scène 5, ARDENIE)
- Dieux qu'est-ce que je vois ? v.1793 (Acte 5, scène 6, SYDONIE)
- La force qui me reste, v.1793 (Acte 5, scène 6, DIANE)
- Ne pourrait pas souffrir, ce spectacle funeste ; v.1794 (Acte 5, scène 6, DIANE)
- Est-ce moi qui les blesse ; et suspend leur pouvoir, v.1799 (Acte 5, scène 6, DARAIDE)
- Ma Diane est-ce moi que vous craignez de voir ? v.1800 (Acte 5, scène 6, DARAIDE)
- Quoi c'est toi que j'entends, ma chère Daraide ? v.1801 (Acte 5, scène 6, DIANE)
- Elle vous fait juger, combien elle est atteinte. v.1810 (Acte 5, scène 6, ARDENIE)
- Pour rester tous contents, accordez-moi sa grâce. v.1813 (Acte 5, scène 6, DARAIDE)
- Quel bonheur est pareil à celui de ces lieux ? v.1824 (Acte 5, scène 6, ARDENIE)
- Me joindre à Sydonie est la peine d'un crime ! v.1826 (Acte 5, scène 6, FLORISEL)
- Ô Dieux ! ô protecteurs du destin des mortels v.1827 (Acte 5, scène 6, FLORISEL)
- Combien à nos désirs la Fortune est prospère, v.1829 (Acte 5, scène 6, DIANE)
- Je demande, Madame, à votre majesté, v.1835 (Acte 5, scène 6, DARAIDE)
- Que trop visiblement, mon bonheur me destine, v.1838 (Acte 5, scène 6, DARAIDE)
- Oui, ce prix est dû ; mais ô belle guerrière v.1841 (Acte 5, scène 6, SYDONIE)
- Que peut-elle pour vous ? quelle est votre prière, v.1842 (Acte 5, scène 6, SYDONIE)
- Et depuis quelques jours, il est en cette cour. v.1848 (Acte 5, scène 6, DARAIDE)
- Grande Reine, c'est moi, qui sous ce vêtement, v.1855 (Acte 5, scène 6, DARAIDE)
- Dieux ! qu'est ce que j'entends ! ô divine merveille ! v.1857 (Acte 5, scène 6, SYDONIE)
- Daraide n'est plus. v.1863 (Acte 5, scène 6, DARAIDE)
- Quelle joie est pareille à mon ravissement ? v.1864 (Acte 5, scène 6, DIANE)
- Avant la fin du jour joignent nos destinées. v.1870 (Acte 5, scène 6, FLORISEL)
- Et telle est ma disgrâce, v.1880 (Acte 5, scène 7, TROISIEME CAVALIER)
- M'envoie humble captif à votre Majesté ; v.1882 (Acte 5, scène 7, TROISIEME CAVALIER)
- C'est lui que nous voyons. v.1885 (Acte 5, scène 7, TROISIEME CAVALIER)
- L'édit est consommé, nos soins sont superflus v.1893 (Acte 5, scène 8, ROSARAN)
- Votre amour est vengée, et Florisel n'est plus, v.1894 (Acte 5, scène 8, ROSARAN)
- Dieux ! Quel est-ce discours, v.1897 (Acte 5, scène 8, SYDONIE)
- Ô qu'il est insensé ! v.1897 (Acte 5, scène 8, DARAIDE)
- C'est un esprit d'amour profondément blessé v.1898 (Acte 5, scène 8, FLORISEL)
- Généreux Cavalier, si Florisel est mort, v.1901 (Acte 5, scène 8, SYDONIE)
- Il n'est pas déplaisant en sa mélancolie, v.1920 (Acte 5, scène 8, FLORISEL)
LES CAPTIFS (1640)
- Et m'enquérir de vous quelle est cette tristesse, v.5 (Acte 1, scène 1, OLYMPIE)
- Quel est ce déplaisir qui depuis quelques jours v.11 (Acte 1, scène 1, OLYMPIE)
- Ne m'est pas si fâcheux à supporter qu'à dire, v.18 (Acte 1, scène 1, PHILÉNIE)
- Quand il est négligent et qu'il se fie en eux, v.32 (Acte 1, scène 1, PHILÉNIE)
- L'esprit est aveuglé des lumières du corps, v.35 (Acte 1, scène 1, PHIL?NIE)
- Les yeux ne peuvent rien où l'esprit est le maître, v.37 (Acte 1, scène 1, OLYMPIE)
- Il n'est point aveuglé quand il ne veut pas l'être, v.38 (Acte 1, scène 1, OLYMPIE)
- Une manne funeste, un fiel délicieux, v.51 (Acte 1, scène 1, PHILÉNIE)
- L'esprit est bien confus alors que le discours, v.59 (Acte 1, scène 1, OLYMPIE)
- C'est d'amour en un mot que votre coeur soupire. v.61 (Acte 1, scène 1, OLYMPIE)
- Lorsque la chose est faite on n'en consulte plus v.64 (Acte 1, scène 1, OLYMPIE)
- Ah ! ce second secret, m'est un second tourment v.68 (Acte 1, scène 1, PHILÉNIE)
- Mon vainqueur est aux fers, un captif me captive, v.69 (Acte 1, scène 1, PHIL?NIE)
- C'est assez le nommer, parlez à votre tour, v.71 (Acte 1, scène 1, PHIL?NIE)
- C'est l'un d'eux, en effet. v.77 (Acte 1, scène 1, PHILÉNIE)
- Cette lettre il est vrai, lui portait ma franchise : v.81 (Acte 1, scène 1, PHILÉNIE)
- Est-ce ainsi que tu sers une honteuse amour, v.83 (Acte 1, scène 1, PHIL?NIE)
- D'un si perfide tour Célie est incapable, v.85 (Acte 1, scène 1, OLYMPIE)
- Ne l'en accusez point le sort en est coupable. v.86 (Acte 1, scène 1, OLYMPIE)
- Si même la main parle où la bouche est muette, v.90 (Acte 1, scène 1, PHILÉNIE)
- Il est serf de fortune et non pas de naissance, v.94 (Acte 1, scène 1, PHIL?NIE)
- J'ignore qui je vois, ce n'est pas Philénie, v.102 (Acte 1, scène 1, OLYMPIE)
- Si cette sage fille est encor elle-même, v.105 (Acte 1, scène 1, OLYMPIE)
- Et ce n'est qu'un pour nous, qu'aimer et que faillir, v.112 (Acte 1, scène 1, OLYMPIE)
- Puisque le testament qu'a laissé votre père v.117 (Acte 1, scène 1, OLYMPIE)
- On sait qu'au vôtre aussi le testament du mien v.123 (Acte 1, scène 1, PHILÉNIE)
- C'est à mon père enfin d'ordonner là-dessus, v.144 (Acte 1, scène 1, OLYMPIE)
- Vous vous procurerez une mauvaise estime, v.149 (Acte 1, scène 1, OLYMPIE)
- Sa façon montre assez qu'il est digne de moi, v.152 (Acte 1, scène 1, PHILÉNIE)
- La belle pauvreté n'est pas moins importune, v.153 (Acte 1, scène 1, OLYMPIE)
- Si leur avis me choque il n'est plus de saison, v.156 (Acte 1, scène 1, PHILÉNIE)
- Ce spectre dont toujours l'indigence est suivie v.163 (Acte 1, scène 2, ERGAZILE)
- C'est d'elle assurément que je tiens la clarté, v.165 (Acte 1, scène 2, ERGAZILE)
- Mais qui n'est patient jusqu'à ce dernier point v.189 (Acte 1, scène 2, ERGAZILE)
- Reçoit un pire affront, c'est de ne dîner point : v.190 (Acte 1, scène 2, ERGAZILE)
- C'est bien le plus sensible et de cette disgrâce, v.191 (Acte 1, scène 2, ERGAZILE)
- Est tombé par malheur aux mains des ennemis, v.194 (Acte 1, scène 2, ERGAZILE)
- D'où ma dernière attente enfin s'est envolée, v.200 (Acte 1, scène 2, ERGAZILE)
- Et l'air de la cuisine est venu jusqu'à moi. v.210 (Acte 1, scène 2, ERGAZILE)
- Puisqu'il est en besoin d'une pareille grâce. v.216 (Acte 1, scène 3, HAEGÉE)
- Et que par la rigueur de mon mauvais destin, v.217 (Acte 1, scène 3, HAEG?E)
- Il est de leur parti devenu le butin. v.218 (Acte 1, scène 3, HAEG?E)
- Est semblable à l'oiseau dont on n'a point de soin, v.222 (Acte 1, scène 3, HAEG?E)
- C'est assez discourir, fais ce que je t'ordonne. v.228 (Acte 1, scène 3, HAEGÉE)
- Mais tout cela n'est rien, au prix d'un bon repas ; v.230 (Acte 1, scène 3, ERGAZILE)
- Pour l'odeur d'un festin, pour sa seule fumée, v.232 (Acte 1, scène 3, ERGAZILE)
- C'est de votre malheur que je suis macéré, v.237 (Acte 1, scène 3, ERGAZILE)
- Mais tel est mon malheur et le destin des armes, v.251 (Acte 1, scène 3, HAEGÉE)
- L'heur que nous possédons qu'alors qu'il est absent ; v.261 (Acte 1, scène 3, ERGAZILE)
- Quand on n'a plus un bien c'est quand on le ressent. v.262 (Acte 1, scène 3, ERGAZILE)
- J'estimais votre fils, mais c'est depuis sa prise, v.263 (Acte 1, scène 3, ERGAZILE)
- Et de quelle valeur nous est un bon ami, v.265 (Acte 1, scène 3, ERGAZILE)
- Qu'il était mon support et mon dieu domestique, v.271 (Acte 1, scène 3, HAEGÉE)
- Oh ! qu'en ce mauvais siècle un honnête homme est rare, v.275 (Acte 1, scène 3, ERGAZILE)
- Le plus jeune aujourd'hui comme un autre est avare, v.276 (Acte 1, scène 3, ERGAZILE)
- Plaise aux bontés des Dieux, plaise à vos bons destins, v.297 (Acte 1, scène 3, ERGAZILE)
- Et plaise au bon Bacchus le gros Dieu des festins. v.298 (Acte 1, scène 3, ERGAZILE)
- Elle est encor entière, et n'usera jamais. v.302 (Acte 1, scène 3, ERGAZILE)
- Ce m'est bien plus qu'à lui le jour de ma naissance : v.315 (Acte 1, scène 3, ERGAZILE)
- Il n'est charme si doux qui ne cède aux merveilles v.323 (Acte 2, scène 1, PSEUDOLE)
- Et chacun est d'accord que le bien de t'ouïr, v.325 (Acte 2, scène 1, PSEUDOLE)
- Est l'heur le plus parfait dont un Roi peut jouir. v.326 (Acte 2, scène 1, PSEUDOLE)
- Sache qu'il est des biens dont le vol est permis, v.337 (Acte 2, scène 1, CÉLIE)
- Et c'est encor en quoi tu ne te connais point, v.346 (Acte 2, scène 1, CÉLIE)
- Mais qu'ils sont abusés, la bouche est loin du sein, v.349 (Acte 2, scène 1, C?LIE)
- Garder bien une femme, est une vaine tâche, v.359 (Acte 2, scène 1, PSEUDOLE)
- Ce n'est pas d'aujourd'hui que je le reconnais, v.366 (Acte 2, scène 1, CÉLIE)
- L'amour qui me possède est une autre puissance, v.399 (Acte 2, scène 3, PHILÉNIE)
- Est confuse, me quitte, et s'enfuit à sa vue, v.408 (Acte 2, scène 3, PHIL?NIE)
- Et c'est en ce transport, dont mon âme est ravie, v.411 (Acte 2, scène 3, PHIL?NIE)
- Au reste il sait braver, le malheur qui le brave, v.415 (Acte 2, scène 3, PHIL?NIE)
- C'est à moi seulement que cet heur appartient ; v.418 (Acte 2, scène 3, PHIL?NIE)
- Il est sien par les fers, il est mien par la flamme, v.420 (Acte 2, scène 3, PHIL?NIE)
- Et le pouvoir des Dieux, me l'ayant destiné, v.421 (Acte 2, scène 3, PHIL?NIE)
- Mais véritablement cette folie est belle, v.428 (Acte 2, scène 3, CÉLIE)
- Que vous et votre bien restiez dans leur maison, v.438 (Acte 2, scène 3, C?LIE)
- Vous nous en excitez, mais elle vous est vaine, v.460 (Acte 2, scène 4, PSEUDOLE)
- C'est un faible secours que la compassion, v.462 (Acte 2, scène 4, PSEUDOLE)
- L'oiseau n'est guère sûr quand il n'est plus en cage. v.472 (Acte 2, scène 4, PSEUDOLE)
- Souviens-toi qu'aujourd'hui, ton nom est Philocrate, v.484 (Acte 2, scène 5, PHILOCRATE)
- C'est d'elle seule aussi que dépend mon remède. v.495 (Acte 2, scène 5, PHILOCRATE)
- C'est un nom que sur moi tu t'acquiers aujourd'hui, v.501 (Acte 2, scène 5, PHILOCRATE)
- Et puisque du dessein ton esprit est auteur, v.505 (Acte 2, scène 5, PHILOCRATE)
- C'est d'où dépend le bien que le ciel me prépare. v.515 (Acte 2, scène 5, PHILOCRATE)
- D'une si belle esclave, un esclave est indigne, v.527 (Acte 2, scène 5, TYNDARE)
- Tu destinais mon maître à cet honneur insigne, v.528 (Acte 2, scène 5, TYNDARE)
- Et l'âme d'un esclave, est parfois la mieux née. v.536 (Acte 2, scène 5, PHILOCRATE)
- Le ciel me destinait double captivité, v.541 (Acte 2, scène 5, TYNDARE)
- Allons ce temps suffit leur conférence est faite, v.543 (Acte 2, scène 6, PSEUDOLE)
- Ton nom est ? v.559 (Acte 2, scène 7, HAEGÉE)
- La fin de la misère où ma vie est réduite, v.564 (Acte 2, scène 7, PHILOCRATE)
- De quelle race est-il ? v.569 (Acte 2, scène 7, HAEGÉE)
- Son père est-il vivant ? v.571 (Acte 2, scène 7, HAEGÉE)
- Et tout nous est commun sous des chaînes communes, v.588 (Acte 2, scène 7, TYNDARE)
- C'est ainsi que de nous la fortune se joue, v.591 (Acte 2, scène 7, TYNDARE)
- Il est serf en Élide, et nous en AEtolie : v.596 (Acte 2, scène 7, TYNDARE)
- Il est sans doute un Dieu qui jette ici les yeux, v.597 (Acte 2, scène 7, TYNDARE)
- Et croyez que mon père, avare comme il est, v.613 (Acte 2, scène 7, TYNDARE)
- Est bien plus serf que moi, mais de son intérêt, v.614 (Acte 2, scène 7, TYNDARE)
- Qu'ici dans les malheurs que le sort me destine. v.616 (Acte 2, scène 7, TYNDARE)
- Ce que vous proposez est la même équité ; v.629 (Acte 2, scène 7, TYNDARE)
- Demain, s'il est ainsi, nous vous le pouvons rendre, v.632 (Acte 2, scène 7, PHILOCRATE)
- Du père de mon maître Argante est créature, v.636 (Acte 2, scène 7, PHILOCRATE)
- Et mettez ma rançon à l'estime de deux, v.649 (Acte 2, scène 7, TYNDARE)
- S'il n'est connu chez nous son entremise est vaine, v.652 (Acte 2, scène 7, TYNDARE)
- Ma fortune, Tyndare, à tes soins est commise, v.663 (Acte 2, scène 7, TYNDARE)
- La clef de ma prison en tes mains est remise, v.664 (Acte 2, scène 7, TYNDARE)
- Que tout ce que j'ai fait est beaucoup au dessous v.685 (Acte 2, scène 7, PHILOCRATE)
- J'atteste aussi des Dieux la science suprême, v.691 (Acte 2, scène 7, PHILOCRATE)
- Comme la pauvreté dont il est provenu, v.736 (Acte 3, scène 1, ERGAZILE)
- Encor cet art naissant était en quelque estime, v.737 (Acte 3, scène 1, ERGAZILE)
- La bourse est à chacun sa plus belle maîtresse, v.750 (Acte 3, scène 1, ERGAZILE)
- Et le Soleil conduit par un mauvais destin v.771 (Acte 3, scène 1, ERGAZILE)
- Mais où tend son amour, puisque ce testament, v.775 (Acte 3, scène 2, HAEGÉE)
- Par qui ce testament est de nulle valeur. v.779 (Acte 3, scène 2, OLYMPIE)
- Un esclave en prit un, l'autre est pris par la guerre, v.786 (Acte 3, scène 2, HAEGÉE)
- De quelque changement, Philénie est capable, v.797 (Acte 3, scène 2, OLYMPIE)
- Et c'est un jeune esprit qui se rendra traitable, v.798 (Acte 3, scène 2, OLYMPIE)
- Il est des ennemis qu'il faut battre de loin, v.803 (Acte 3, scène 2, OLYMPIE)
- La consolation qui reste à ma vieillesse v.805 (Acte 3, scène 2, HAEGÉE)
- Est de te voir si jeune avoir tant de sagesse, v.806 (Acte 3, scène 2, HAEG?E)
- Philocrate me reste et sur sa probité, v.815 (Acte 3, scène 2, HAEG?E)
- Et ne s'estime point de tant d'attraits pourvu v.827 (Acte 3, scène 3, TYNDARE)
- La mienne n'est plus mienne, elle est à la fortune. v.834 (Acte 3, scène 3, TYNDARE)
- Mais quand le Soleil luit je sais bien qu'il est jour. v.836 (Acte 3, scène 3, PSEUDOLE)
- N'est ni sans jugement, ni sans proportion : v.840 (Acte 3, scène 3, PSEUDOLE)
- La pensée est fort belle. v.853 (Acte 3, scène 3, TYNDARE)
- Et quand j'ai tant rêvé que ma veine en est lasse, v.857 (Acte 3, scène 3, PSEUDOLE)
- Je déteste la muse et maudis le parnasse. v.858 (Acte 3, scène 3, PSEUDOLE)
- Le voilà, parlez-lui, s'il est connu de vous. v.859 (Acte 3, scène 4, HAEGÉE)
- Que vois-je ô justes Dieux, quel est votre courroux v.860 (Acte 3, scène 4, TYNDARE)
- Tyndare est son valet, Philocrate est son nom. v.880 (Acte 3, scène 4, HAEGÉE)
- Éloignez-vous Haegée, il est frappé de rage, v.881 (Acte 3, scène 4, TYNDARE)
- De ses plus chers parents il est abandonné, v.888 (Acte 3, scène 4, TYNDARE)
- Et le garder est bien acheter sa franchise. v.890 (Acte 3, scène 4, TYNDARE)
- Certes le danger hors ce passe-temps est rare. v.905 (Acte 3, scène 4, PSEUDOLE)
- Pour qui cet imposteur en ton estime passe ? v.922 (Acte 3, scène 4, CRISIMANT)
- Est allé moyenner le retour de mon fils. v.924 (Acte 3, scène 4, HAEGÉE)
- C'est un vice commun à tous les malheureux, v.931 (Acte 3, scène 4, TYNDARE)
- Crois que sous cette erreur quelque fourbe est tissue, v.937 (Acte 3, scène 4, CRISIMANT)
- Ce Tyndare est lui-même, hé quoi cet effronté ! v.943 (Acte 3, scène 4, CRISIMANT)
- Il est vrai que je sers, v.947 (Acte 3, scène 4, TYNDARE)
- Et que la liberté m'est aussi naturelle v.949 (Acte 3, scène 4, TYNDARE)
- Il va s'il n'est lié nous sauter au visage, v.954 (Acte 3, scène 4, TYNDARE)
- C'est le plus sûr remède. v.962 (Acte 3, scène 4, TYNDARE)
- Saches encor un coup que Tyndare est son nom, v.979 (Acte 3, scène 4, CRISIMANT)
- Il est temps de finir ce douteux entretien, v.986 (Acte 3, scène 4, HAEGÉE)
- C'est lui. v.1001 (Acte 3, scène 4, CRISIMANT)
- C'est lui-même ô malheur, v.1003 (Acte 3, scène 4, HAEGÉE)
- Qu'est-ce, allons-nous au bois, v.1019 (Acte 3, scène 5, ARBAX)
- Liez, et jusqu'au sang serrez ce détestable, v.1020 (Acte 3, scène 5, HAEGÉE)
- N'est-ce pas l'action que vous me reprochez. v.1027 (Acte 3, scène 5, TYNDARE)
- Mon ami par son art s'est tiré de ces lieux, v.1039 (Acte 3, scène 5, CRISIMANT)
- Sa vie est en tes mains, sa gorge t'est offerte, v.1044 (Acte 3, scène 5, CRISIMANT)
- Il est assez de fers pour retenir ses pas, v.1047 (Acte 3, scène 5, HAEGÉE)
- Et s'il est favorable à l'objet qui l'adore, v.1048 (Acte 3, scène 5, HAEG?E)
- Tout en est criminel jusques à son mérite, v.1057 (Acte 3, scène 5, HAEG?E)
- C'est assez qu'une fois ma bonté trop aisée v.1084 (Acte 3, scène 6, HAEGÉE)
- Ne viens-je point trop tard, le couvert est-il mis, v.1091 (Acte 3, scène 7, ERGAZILE)
- C'est mon premier travail, ce sera le dernier, v.1106 (Acte 4, scène 1, PSEUDOLE)
- Ah ! j'y suis, encor deux, et l'oeuvre est achevée, v.1113 (Acte 4, scène 1, PSEUDOLE)
- Bon, ce terme, ce semble est né pour la pensée, v.1116 (Acte 4, scène 1, PSEUDOLE)
- Le vers n'en est contraint ni la rime forcée, v.1117 (Acte 4, scène 1, PSEUDOLE)
- La cadence en est bonne, et le son en est doux. v.1118 (Acte 4, scène 1, PSEUDOLE)
- Ah ! mon Ange est-ce vous. v.1119 (Acte 4, scène 2, PSEUDOLE)
- Que la raison lui cède, et n'est pas la plus forte, v.1125 (Acte 4, scène 2, CÉLIE)
- Pour être bientôt fou, c'est assez de l'Amour ; v.1131 (Acte 4, scène 2, C?LIE)
- Cet Art donne aux plus sages une mauvaise estime, v.1132 (Acte 4, scène 2, C?LIE)
- Ce mot de Printanier, ce me semble est d'élite ; v.1143 (Acte 4, scène 2, PSEUDOLE)
- Ce n'est point là parler en terme d'écoliers. v.1145 (Acte 4, scène 2, PSEUDOLE)
- On sait bien que cet Art n'est point mon exercice, v.1147 (Acte 4, scène 2, PSEUDOLE)
- Mais le bien défaillant on est mal à son aise, v.1154 (Acte 4, scène 2, CÉLIE)
- La nuit n'est pas plaisante à qui jeûne le jour, v.1157 (Acte 4, scène 2, C?LIE)
- L'Amour tout Dieu qu'il est, est un enfant gourmand v.1160 (Acte 4, scène 2, C?LIE)
- Ayant la clef du coeur, toute autre clef est tienne, v.1171 (Acte 4, scène 2, PSEUDOLE)
- Tout petit Dieu qu'il est il fait de grandes choses ; v.1179 (Acte 4, scène 3, PSEUDOLE)
- Si ce m'est un objet de plaisir ou d'horreur, v.1185 (Acte 4, scène 4, PHILÉNIE)
- Il est charmant, mais serf, il est serf, mais charmant ; v.1189 (Acte 4, scène 4, PHIL?NIE)
- D'un si faible courroux votre âme est enflammée ; v.1199 (Acte 4, scène 5, TYNDARE)
- Que sur ce détestable, et sur ce malheureux v.1204 (Acte 4, scène 5, TYNDARE)
- Et ce m'est un Arrêt de la Nature même, v.1210 (Acte 4, scène 5, TYNDARE)
- Et quiconque est né serf vit pour être odieux, v.1216 (Acte 4, scène 5, TYNDARE)
- À quiconque est né libre, et quiconque a des yeux. v.1217 (Acte 4, scène 5, TYNDARE)
- Il est de votre honneur que je perde le jour, v.1220 (Acte 4, scène 5, TYNDARE)
- Et c'est à votre haine à venger votre amour. v.1221 (Acte 4, scène 5, TYNDARE)
- Le sujet de ma plainte en ce point est extrême, v.1222 (Acte 4, scène 5, PHILÉNIE)
- Que ce visage auguste, et ce modeste port v.1232 (Acte 4, scène 5, PHIL?NIE)
- C'est un Tyran qui règne, et qu'on ne peut chasser, v.1257 (Acte 4, scène 5, PHIL?NIE)
- Un pouvoir qui s'étend, et qu'on ne peut restreindre, v.1258 (Acte 4, scène 5, PHIL?NIE)
- Mon propre témoignage à votre plainte est joint, v.1260 (Acte 4, scène 5, TYNDARE)
- L'estime que je fais ôte du prix aux choses, v.1278 (Acte 4, scène 5, TYNDARE)
- La tache est infaillible où je porte les doigts, v.1280 (Acte 4, scène 5, TYNDARE)
- Et comme d'un affront laver de mon estime. v.1283 (Acte 4, scène 5, TYNDARE)
- Maîtres de nos destins, Puissances souveraines ! v.1298 (Acte 4, scène 5, TYNDARE)
- Ma vie est superflue en ce mortel séjour, v.1304 (Acte 4, scène 5, TYNDARE)
- C'est mon premier malheur que d'avoir vu le jour, v.1305 (Acte 4, scène 5, TYNDARE)
- Puisque c'est un Arrêt du sort qui me poursuit, v.1308 (Acte 4, scène 5, PHILÉNIE)
- Il faut aveuglément suivre la Destinée, v.1310 (Acte 4, scène 5, PHIL?NIE)
- Et qu'au reste du temps, à mes jours destiné, v.1340 (Acte 4, scène 7, ERGAZILE)
- Mon innocence est grande, il faut que je l'avoue, v.1350 (Acte 4, scène 8, HAEGÉE)
- On montre au doigt la dupe, et la fourbe est prisée : v.1355 (Acte 4, scène 8, HAEG?E)
- Que toujours le savoir n'est pas un fruit du temps : v.1360 (Acte 4, scène 8, HAEG?E)
- Suivons-le, c'est chez moi que son chemin s'adresse. v.1367 (Acte 4, scène 8, HAEG?E)
- Je publie, avertis, et [je] proteste encore, v.1371 (Acte 4, scène 8, ERGAZILE)
- Est-il fou, quelle est cette menace ? v.1378 (Acte 4, scène 8, HAEGÉE)
- Le vin le fait parler, c'est dans cette liqueur v.1384 (Acte 4, scène 8, HAEGÉE)
- Et mon métier n'est plus celui d'un Parasite, v.1387 (Acte 4, scène 8, ERGAZILE)
- Il n'est ni sort ni rang, à ma fortune égal, v.1388 (Acte 4, scène 8, ERGAZILE)
- Et tant il m'est au port arrivé de richesses ; v.1391 (Acte 4, scène 8, ERGAZILE)
- Un seul homme est mon or, ma richesse, et mon bien, v.1396 (Acte 4, scène 8, ERGAZILE)
- Et de combien aux Dieux sa vie est obligée ; v.1399 (Acte 4, scène 8, ERGAZILE)
- Leur soin de son repos est le visible appui, v.1400 (Acte 4, scène 8, ERGAZILE)
- Et manifestement s'est employé pour lui. v.1401 (Acte 4, scène 8, ERGAZILE)
- Mais quel est ce bonheur, où ma part est si bonne ? v.1403 (Acte 4, scène 8, HAEGÉE)
- Qu'est-ce ? v.1437 (Acte 4, scène 8, ERGAZILE)
- Est-ce à jeun, ou soûl que tu parles ainsi ? v.1437 (Acte 4, scène 8, HAEGÉE)
- Est-ce par un excès de jeûner ou de boire, v.1438 (Acte 4, scène 8, HAEG?E)
- Non, c'est par un excès de joie et de plaisir v.1440 (Acte 4, scène 8, ERGAZILE)
- Donne-moi donc la main, le Ciel t'est favorable ; v.1443 (Acte 4, scène 8, ERGAZILE)
- Mais, la Table est l'Autel, où je suis réclamé. v.1452 (Acte 4, scène 8, ERGAZILE)
- Étant tel, est-il rien à quoi tu me disposes ? v.1454 (Acte 4, scène 8, HAEGÉE)
- Mais un second bonheur à ce premier est joint, v.1468 (Acte 4, scène 8, ERGAZILE)
- Il n'est rien plus certain. v.1476 (Acte 4, scène 8, ERGAZILE)
- Je renais aujourd'hui si mon espoir n'est vain. v.1477 (Acte 4, scène 8, HAEGÉE)
- Et ce transport est-il le prix qu'on me destine. v.1482 (Acte 4, scène 8, ERGAZILE)
- C'est ta possession, c'est ton gouvernement. v.1485 (Acte 4, scène 8, HAEGÉE)
- Oh qu'il est éloquent ! l'agréable parole, v.1486 (Acte 4, scène 8, ERGAZILE)
- C'est le port où je tends, je n'y cours pas j'y vole. v.1487 (Acte 4, scène 8, ERGAZILE)
- Il est deux fois mon fils, et moi deux fois son père ; v.1493 (Acte 5, scène 1, HAEGÉE)
- Est rajeuni, mon fils, quand tu l'as embrassé : v.1495 (Acte 5, scène 1, HAEG?E)
- De ce mourant Éson, ta veue est la Médée, v.1497 (Acte 5, scène 1, HAEG?E)
- Que ne dois-je au trompeur dont la fourbe est si belle, v.1536 (Acte 5, scène 1, HAEGÉE)
- C'est lui qui met ma joie à son degré suprême, v.1540 (Acte 5, scène 1, HAEG?E)
- Autant pressé de fers qu'il est troublé d'ennuis. v.1546 (Acte 5, scène 1, HAEGÉE)
- Je l'ai fait criminel, m'aimer est son offense, v.1548 (Acte 5, scène 1, PHILOCRATE)
- Qui dessus mon rapport ne s'est point défendu, v.1566 (Acte 5, scène 2, ÉRIMAND)
- Tu vois en quelles mains ta fortune est rendue, v.1580 (Acte 5, scène 2, HAEGÉE)
- Et que ta mort m'est libre autant qu'elle t'est due ; v.1581 (Acte 5, scène 2, HAEG?E)
- Car de tes maux enfin le plus grand est la mort, v.1583 (Acte 5, scène 2, HAEG?E)
- Tout malheureux qu'on est c'est un grand bien que d'être. v.1585 (Acte 5, scène 2, HAEG?E)
- Je sais trop combien juste est ma punition. v.1590 (Acte 5, scène 2, STALAGME)
- Suivez votre courroux puisqu'il est légitime, v.1592 (Acte 5, scène 2, STALAGME)
- À ce triple forfait, triple supplice est dû. v.1595 (Acte 5, scène 2, STALAGME)
- Noble au reste, et du sang des Poliplusiens. v.1599 (Acte 5, scène 2, STALAGME)
- C'est mon père, ô bons Dieux ! quelle est cette aventure ? v.1600 (Acte 5, scène 2, PHILOCRATE)
- Celui qui l'acheta destina son servage v.1608 (Acte 5, scène 2, STALAGME)
- Je revois Crisophore, et Tyndare est Crisale. v.1616 (Acte 5, scène 2, HAEGÉE)
- Oh ! céleste faveur tu n'eus jamais d'égale. v.1617 (Acte 5, scène 2, HAEG?E)
- Quoi, je vais voir mon frère, oh ! quelle est ma fortune ? v.1624 (Acte 5, scène 2, CRISOPHORE)
- Des lieux où des damnés l'âme est à la torture ; v.1633 (Acte 5, scène 3, TYNDARE)
- Mais, qu'est-ce que je vois, m'abusez-vous mes yeux ? v.1638 (Acte 5, scène 3, TYNDARE)
- C'est sans doute en ce sens que vous êtes mon père, v.1644 (Acte 5, scène 3, TYNDARE)
- C'est d'Haegée en effet que tu reçus le jour, v.1650 (Acte 5, scène 3, PHILOCRATE)
- Quoi, Tyndare, est mon frère ? ô Dieux ! cette aventure v.1668 (Acte 5, scène 4, OLYMPIE)
- Que Crisale est un nom qui fut mien autrefois, v.1678 (Acte 5, scène 4, TYNDARE)
- Et qu'Haegée est quelqu'un à qui j'appartenais, v.1679 (Acte 5, scène 4, TYNDARE)
- Il m'en restait pourtant si peu de connaissance, v.1680 (Acte 5, scène 4, TYNDARE)
- Possédez la Beauté qui vous est destinée, v.1684 (Acte 5, scène 4, OLYMPIE)
- Puisqu'il faut accomplir la Loi du Testament v.1686 (Acte 5, scène 4, OLYMPIE)
- C'est de leurs propres mains qu'elle vous est donnée ; v.1689 (Acte 5, scène 4, OLYMPIE)
- Sa part est légitime en ces communs transports ; v.1695 (Acte 5, scène 4, HAEGÉE)
- Et louez-en le Ciel, puisqu'il en est auteur, v.1715 (Acte 5, scène 5, HAEGÉE)
- Crisale de retour est prêt à satisfaire v.1716 (Acte 5, scène 5, HAEG?E)
- Aux lois du Testament laissé par votre Père ; v.1717 (Acte 5, scène 5, HAEG?E)
- Que je déteste autant que chacun la révère ; v.1725 (Acte 5, scène 5, PHILÉNIE)
- Chaque partie est là le bourreau de son tout ; v.1735 (Acte 5, scène 5, PHIL?NIE)
- Ce n'est pas que ce sein enferme un coeur barbare ; v.1740 (Acte 5, scène 5, PHIL?NIE)
- Il s'est laissé toucher aux charmes de Tyndare ; v.1741 (Acte 5, scène 5, PHIL?NIE)
- Dieux ! que ce passe-temps est merveilleux et rare. v.1756 (Acte 5, scène 5, PHILOCRATE)
- Souffrez qu'il vous salue, il n'est pas loin d'ici. v.1759 (Acte 5, scène 5, OLYMPIE)
- C'est trop vous consumer en désirs superflus, v.1778 (Acte 5, scène 5, HAEGÉE)
- Et vous aimez, ma fille, un homme qui n'est plus, v.1779 (Acte 5, scène 5, HAEG?E)
- Crisale de retour s'est défait de Tyndare. v.1780 (Acte 5, scène 5, HAEG?E)
- Quel bonheur m'est rendu. v.1803 (Acte 5, scène 6, PHILÉNIE)
- Quel bien m'est préparé. v.1803 (Acte 5, scène 6, TYNDARE)
- S'il vous plait, il n'est rien où je ne me dispose. v.1805 (Acte 5, scène 6, OLYMPIE)
- Et c'est trop peu donner de me donner moi-même. v.1809 (Acte 5, scène 6, PHILOCRATE)
- Chacun est satisfait, v.1811 (Acte 5, scène 6, ÉRIMAND)
- Dieux ! quelle est la fureur dont il est animé ? v.1814 (Acte 5, scène 7, CÉLIE)
- Et toute viande est bonne à la faim qui le presse. v.1817 (Acte 5, scène 7, CUISINIER)
- Qu'est-ce ? v.1818 (Acte 5, scène 7, HAEGÉE)
- Il n'est tonneau chez vous qu'Ergazile ne perce, v.1820 (Acte 5, scène 7, CÉLIE)
- Aux termes qu'il leur plaît, est-elle limitée ? v.1833 (Acte 5, scène 8, ERGAZILE)
- C'est toi qui m'y commets, je m'en acquitte bien, v.1834 (Acte 5, scène 8, ERGAZILE)
- Pseudole, qu'est ceci, je n'y puis rien connaître. v.1844 (Acte 5, scène 9, CÉLIE)
- Est de sa Philénie absolu possesseur, v.1846 (Acte 5, scène 9, PSEUDOLE)
- Tu ris, mais s'il n'est beau que mon amour te touche, v.1852 (Acte 5, scène 9, PSEUDOLE)
- Oui, n'en veux-tu qu'un seul, oui, Célie est à toi, v.1854 (Acte 5, scène 9, CÉLIE)
ANTIGONE (1638)
- C'est bien, ô nuit, c'est de tes plus noirs pavots v.5 (Acte 1, scène 1, JOCASTE)
- Que tu m'as distillé ce funeste repos. v.6 (Acte 1, scène 1, JOCASTE)
- Allons tôt ; c'est trop d'ordre en ce désordre extrême ; v.8 (Acte 1, scène 1, JOCASTE)
- Nature, confonds-les, c'est ici ton office : v.11 (Acte 1, scène 1, JOCASTE)
- Toi, flanc incestueux dont il sont pris naissance, v.15 (Acte 1, scène 1, JOCASTE)
- Madame, il n'est plus temps. v.17 (Acte 1, scène 2, ANTIGONE)
- C'est ce que de la tour j'ai clairement pu voir ; v.21 (Acte 1, scène 2, ANTIGONE)
- Il s'est soustrait d'adresse, et pour un bel ouvrage. v.28 (Acte 1, scène 2, JOCASTE)
- Arrêtez." Cette voix est à peine entendue v.51 (Acte 1, scène 2, ANTIGONE)
- Chacun reste interdit, l'oeil et le bras levé ; v.53 (Acte 1, scène 2, ANTIGONE)
- Le coup demeure en l'air et n'est point achevé. v.54 (Acte 1, scène 2, ANTIGONE)
- Mon sang en est le prix, je viens te l'apporter ; v.58 (Acte 1, scène 2, ANTIGONE)
- Et de frayeur encore tout mon sang est glacé : v.73 (Acte 1, scène 2, ANTIGONE)
- Mais vous allez savoir comme tout s'est passé. v.74 (Acte 1, scène 2, ANTIGONE)
- La victoire est commune, ou plutôt la défaite : v.76 (Acte 1, scène 3, ETEOCLE)
- Le sort est bien égal, il se déclare tard, v.77 (Acte 1, scène 3, ETEOCLE)
- Maudite ambition ! Abominable peste ! v.79 (Acte 1, scène 3, JOCASTE)
- Monstre altéré de sans, que ton fruit est funeste ! v.80 (Acte 1, scène 3, JOCASTE)
- Au reste, un fondement reste à notre espérance, v.87 (Acte 1, scène 3, ETEOCLE)
- Telle est l'arrêt des dieux. v.92 (Acte 1, scène 3, ETEOCLE)
- Se voyant comme il est dernier de sa race, v.94 (Acte 1, scène 3, ETEOCLE)
- Il s'est soustrait de nous, et du haut de la tour, v.96 (Acte 1, scène 3, ETEOCLE)
- S'est immolé lui-même aux yeux de tout le monde. v.99 (Acte 1, scène 3, ETEOCLE)
- Voilà que les surgeons d'un sang incestueux v.112 (Acte 1, scène 3, CRÉON)
- Nous, vous nous destinez, innocentes victimes, v.114 (Acte 1, scène 3, CR?ON)
- Ce malheur est commun avec notre misère, v.138 (Acte 1, scène 4, HÉMON)
- Mais, Madame, mon sens ne s'est point démenti, v.144 (Acte 1, scène 4, H?MON)
- Cet esprit violent, si ma crainte n'est vaine, v.146 (Acte 1, scène 4, H?MON)
- De ma part je proteste, en ces divines mains, v.156 (Acte 1, scène 4, HÉMON)
- (Comme notre génie est quelquefois prophète) v.171 (Acte 1, scène 4, ANTIGONE)
- Ce combat, cher Hémon, au moins s'est-il passé v.176 (Acte 1, scène 4, ANTIGONE)
- Madame, c'est ici que je vous ai servie : v.178 (Acte 1, scène 4, HÉMON)
- Polynice est vivant, mais il vous dois la vie. v.179 (Acte 1, scène 4, H?MON)
- Au combat plus ardent ne s'est précipité, v.181 (Acte 1, scène 4, H?MON)
- Il conserve en sa vie un bien qui vous est dû ; v.200 (Acte 1, scène 4, H?MON)
- Mais je suis toujours même, et lui s'est démenti. v.217 (Acte 1, scène 4, ANTIGONE)
- Reste lâche et honteux de tant de compagnies v.222 (Acte 1, scène 6, POLYNICE)
- C'est, mon père, un dessein que je devais éclore v.230 (Acte 1, scène 6, POLYNICE)
- C'est moi, chétif, c'est moi qui dedans vos états, v.244 (Acte 1, scène 6, POLYNICE)
- Est le tison fatal qui vous consume tous ; v.249 (Acte 1, scène 6, POLYNICE)
- Il est temps, ou jamais, que je vous satisfasse, v.255 (Acte 1, scène 6, POLYNICE)
- Songez quel est le sang que vous voulez verser ; v.260 (Acte 1, scène 6, ARGIE)
- La chose est résolue, et la nature même v.262 (Acte 1, scène 6, POLYNICE)
- Outre qu'elle est muette où parle la raison, v.264 (Acte 1, scène 6, POLYNICE)
- Est le ressentiment qui le touche le moins, v.285 (Acte 1, scène 6, POLYNICE)
- M'en reste-t-il à boire, et ne voudriez-vous point v.300 (Acte 1, scène 6, POLYNICE)
- Et trop de honte est joint à mon retardement. v.308 (Acte 1, scène 6, POLYNICE)
- Qu'un traître a peu de coeur, et qu'un perfide est lâche ! v.335 (Acte 2, scène 1, POLYNICE)
- Quel destin entre nous met cet éloignement ? v.345 (Acte 2, scène 2, ANTIGONE)
- Un seul embrassement ne vous est pas permis ; v.348 (Acte 2, scène 2, ANTIGONE)
- Le soleil s'est caché pour semblable querelle. v.355 (Acte 2, scène 2, ANTIGONE)
- Est-ce de la façon qu'on demande ses droits ? v.357 (Acte 2, scène 2, ANTIGONE)
- Était-il d'un bon frère et d'un prince modeste v.358 (Acte 2, scène 2, ANTIGONE)
- De paraître d'abord en cet état funeste, v.359 (Acte 2, scène 2, ANTIGONE)
- Il ne diffère point, ce n'est qu'un même sang v.376 (Acte 2, scène 2, ANTIGONE)
- C'est d'où nous vient aussi même droit à l'empire v.378 (Acte 2, scène 2, POLYNICE)
- De qui, non sans raison, Étéocle est jaloux, v.397 (Acte 2, scène 2, ANTIGONE)
- Et le fer est tout prêt à tomber de ses mains : v.409 (Acte 2, scène 2, ANTIGONE)
- Ton appel est, au reste, un bien que je t'envie ; v.434 (Acte 2, scène 3, ETEOCLE)
- Et ce n'est que du temps que tu m'as devancé. v.437 (Acte 2, scène 3, ETEOCLE)
- Que ta fois s'est donnée et qu'il la faut tenir ? v.445 (Acte 2, scène 3, POLYNICE)
- C'est leur mère. Ô nature ! Assiste son dessein. v.452 (Acte 2, scène 4, 2ND-CAPITAINE)
- Ce flanc dont vous sortez est en butte à vos coups. v.465 (Acte 2, scène 4, JOCASTE)
- Si ce n'est que la guerre encore vous assemble ; v.479 (Acte 2, scène 4, JOCASTE)
- L4heur de vous entrevoir ne vous est pas permis : v.480 (Acte 2, scène 4, JOCASTE)
- Eh ! Quel est cet abord ? Qu'il est peu gracieux ! v.488 (Acte 2, scène 4, JOCASTE)
- Si ce n'est que ma foi soit suspecte aussi. v.493 (Acte 2, scène 4, JOCASTE)
- Votre parole enfin m'est suspecte aussi; v.500 (Acte 2, scène 4, POLYNICE)
- Durant ce différend dont le sort est arbitre ? v.507 (Acte 2, scène 4, POLYNICE)
- Hélas ! Qu'en la fureur dont votre âme est pressée v.510 (Acte 2, scène 4, JOCASTE)
- Mais tous deux pour tous deux c'est pour vous que je tremble. v.519 (Acte 2, scène 4, JOCASTE)
- Mais fasse leur bonté, fassent mes destinées v.526 (Acte 2, scène 4, JOCASTE)
- C'est un droit qu'on m'ôtait et dont je suis jalouse.. v.535 (Acte 2, scène 4, JOCASTE)
- Ce funeste parti plus tôt que demandé : v.545 (Acte 2, scène 4, JOCASTE)
- Car quelle est cette guerre et quels sont ses objets ? v.548 (Acte 2, scène 4, JOCASTE)
- C'est ce qu'on peut nomme votre parti contraire. v.550 (Acte 2, scène 4, JOCASTE)
- De ce funeste hymen nous sommes le douaire ; v.551 (Acte 2, scène 4, JOCASTE)
- Il est vrai que sans moi vous n'auriez pas la guerre ; v.562 (Acte 2, scène 4, POLYNICE)
- Il est vrai que sans vous Thèbes serait sans guerre ; v.566 (Acte 2, scène 4, ETEOCLE)
- Et le droit que je veux est au bout de ce fer. v.583 (Acte 2, scène 4, POLYNICE)
- La valeur est honteuse en pareil différend, v.590 (Acte 2, scène 4, JOCASTE)
- Thèbes, vous le savez, est un fatal empire, v.605 (Acte 2, scène 4, JOCASTE)
- Et son trône est un lieu funeste à son roi : v.606 (Acte 2, scène 4, JOCASTE)
- Mais quoi ! Son règne plaît, le vôtre est redouté ; v.611 (Acte 2, scène 4, JOCASTE)
- Qui règne aimé des siens en est moins absolu ; v.614 (Acte 2, scène 4, POLYNICE)
- Plus est permis aux rois à qui plus on s'oppose ; v.616 (Acte 2, scène 4, POLYNICE)
- L'amour de ses sujets est une sûre garde. v.620 (Acte 2, scène 4, JOCASTE)
- Ma constance est à bout, la nature se tait, v.638 (Acte 2, scène 4, JOCASTE)
- Adieu, non plus mes fils, mais odieuses pestes, v.640 (Acte 2, scène 4, JOCASTE)
- Et détestables fruits de meurtres et d'incestes : v.641 (Acte 2, scène 4, JOCASTE)
- Son entremise est vaine. v.644 (Acte 2, scène 4, 1ER-CAPITAINE)
- Enfin le champ est libre, et rien ne vous sépare : v.645 (Acte 2, scène 4, CRÉON)
- Tel est ton ordre aux biens que tu nous fais ; v.670 (Acte 3, scène 1, ANTIGONE)
- S'il est vrai que tu n'as point d'yeux v.675 (Acte 3, scène 1, ANTIGONE)
- Est-ce plutôt à de hauts lieux v.676 (Acte 3, scène 1, ANTIGONE)
- Étéocle est-il mort ? v.689 (Acte 3, scène 2, ANTIGONE)
- Où plus que les vaincus la nature est vaincue, v.695 (Acte 3, scène 2, ANTIGONE)
- Où le crime s'est vu par le crime étouffer, v.696 (Acte 3, scène 2, ANTIGONE)
- Non, elle est en un point où rien ne peut l'accroître ; v.699 (Acte 3, scène 2, ANTIGONE)
- Du geste chacun d'eux l'un l'autre se dévore : v.707 (Acte 3, scène 2, HÉMON)
- Couleur ni mouvement ne reste à son visage ; v.738 (Acte 3, scène 2, HÉMON)
- Elle est mienne, et le sang par deux fois me la donne. v.747 (Acte 3, scène 2, H?MON)
- Mais sa main est à peine à cette oeuvre occupée, v.751 (Acte 3, scène 2, H?MON)
- Que l'autre, ramassant un reste de vigueur v.752 (Acte 3, scène 2, H?MON)
- "Quoi ! Ta rage, dit-il, n'est donc pas assouvie, v.758 (Acte 3, scène 2, H?MON)
- Ta perfidie arrête où ton âme n'est pas ? v.760 (Acte 3, scène 2, H?MON)
- La lumière de ses yeux est pour jamais ravie ; v.767 (Acte 3, scène 2, H?MON)
- Que votre mort, ma mère, est un bien que j'envie, v.770 (Acte 3, scène 2, ANTIGONE)
- Oui, digne de leur rage et funeste à tous deux. v.777 (Acte 3, scène 3, ANTIGONE)
- C'est un bien qu'on lui doit et que le sang lui donne. v.779 (Acte 3, scène 3, ANTIGONE)
- Non, Hémon est ici qui ne m'en a rien dit. v.781 (Acte 3, scène 3, ANTIGONE)
- Jocaste défaite ! Ô destin inhumain ! v.788 (Acte 3, scène 4, HÉMON)
- Que, s'il n'est supportable, il faudra qu'il m'emporte : v.795 (Acte 3, scène 4, ANTIGONE)
- C'est bien visiblement, ma soeur, ma chère Ismène, v.806 (Acte 3, scène 5, ANTIGONE)
- Sa parricide erreur nous fut un coup funeste, v.810 (Acte 3, scène 5, ANTIGONE)
- Et, vierges, nous portons la peine d'un inceste. v.811 (Acte 3, scène 5, ANTIGONE)
- Telle qu'est cette loi, telle est aussi la peine ; v.826 (Acte 3, scène 5, ISMÈNE)
- La première est impie et l'autre est inhumaine ; v.827 (Acte 3, scène 5, ISM?NE)
- Car entre elles il met ce funeste rapport v.828 (Acte 3, scène 5, ISM?NE)
- C'est à nous qu'elle parle, à nous qu'elle s'adresse : v.831 (Acte 3, scène 5, ANTIGONE)
- Or, il est temps, ma soeur, de montrer qui nous sommes, v.834 (Acte 3, scène 5, ANTIGONE)
- C'est ici que le sang et la condition v.836 (Acte 3, scène 5, ANTIGONE)
- Quand l'une peut manquer, l'autre est bien imparfait. v.852 (Acte 3, scène 5, ANTIGONE)
- En ces précautions la faiblesse est visible. v.854 (Acte 3, scène 5, ANTIGONE)
- La promptitude aussi bien souvent est nuisible. v.855 (Acte 3, scène 5, ISMÈNE)
- Pour un acte si juste, il est vrai, mais Créon ne l'est pas. v.856 (Acte 3, scène 5, ANTIGONE)
- Et s'il est inhumain serez-vous inhumaine ? v.857 (Acte 3, scène 5, ANTIGONE)
- Le dessein sans effet est aussi sans mérite. v.859 (Acte 3, scène 5, ANTIGONE)
- N'est-ce pas profiter que d'inhumer les morts ? v.861 (Acte 3, scène 5, ANTIGONE)
- Considérez, ma soeur, que, restant sans défense, v.867 (Acte 3, scène 5, ISMÈNE)
- Ce n'est pas qu'en effet notre soin se refuse ; v.871 (Acte 3, scène 5, ISM?NE)
- Qui n'est pas assuré travaille mollement, v.877 (Acte 3, scène 5, ANTIGONE)
- Si rien est à cacher, cachez votre faiblesse ; v.891 (Acte 3, scène 5, ANTIGONE)
- Mais ce n'est pas assez d'entreprendre ardemment ; v.897 (Acte 3, scène 5, ISMÈNE)
- L'honneur de l'entreprise est en l'événement. v.898 (Acte 3, scène 5, ISM?NE)
- C'est bien ma perte, hélas ! Elle m'est bien sensible. v.912 (Acte 3, scène 6, ARGIE)
- Car c'est à mon devoir qu'appartient ce souci ; v.922 (Acte 3, scène 6, ARGIE)
- C'est pour ce triste soin, dont mon devoir me presse, v.923 (Acte 3, scène 6, ARGIE)
- Thèbes n'est pas fort loin, j'entrevois ses murailles. v.932 (Acte 3, scène 6, MENETTE)
- Ce n'est pas elle aussi qui guide ici mes pas, v.941 (Acte 3, scène 6, ARGIE)
- Et toi, mon cher époux s'il reste après les morts. v.949 (Acte 3, scène 6, ARGIE)
- Guide-moi par les tiens à ce funeste office ; v.951 (Acte 3, scène 6, ARGIE)
- C'est toi seul que je cherche en ces funestes lieux ; v.953 (Acte 3, scène 6, ARGIE)
- Quel intérêt l'y pousse, et quel est son souci ? v.961 (Acte 3, scène 7, ANTIGONE)
- Ce soir est tout à moi, seule j'ai droit ici. v.962 (Acte 3, scène 7, ANTIGONE)
- Est-ce Argie ? Ô ma soeur ! Quel bonheur me conduit ? v.970 (Acte 3, scène 7, ANTIGONE)
- Ou plutôt quel destin, à mon bonheur contraire, v.971 (Acte 3, scène 7, ANTIGONE)
- Qui me montre la soeur lorsque le frère est mort. v.986 (Acte 3, scène 7, ARGIE)
- Ce n'est pas sans raison que sa perte m'est dure ; v.991 (Acte 3, scène 7, ANTIGONE)
- Mais las ! Il vous a vue, et cette vue est vaine ; v.1003 (Acte 3, scène 7, ARGIE)
- Il s'est pu cette fois défendre de vos charmes. v.1007 (Acte 3, scène 7, ARGIE)
- Mais si mal à propos Étéocle est sorti, v.1010 (Acte 3, scène 7, ANTIGONE)
- Enfin l'État est clame, et le dieux ont permis v.1017 (Acte 4, scène 1, CRÉON)
- Des volontés des dieux est fidèle interprète ; v.1020 (Acte 4, scène 1, CR?ON)
- Son oracle est suivi de visibles effets ; v.1021 (Acte 4, scène 1, CR?ON)
- Pour profiter pour moi lui-même s'est perdu, v.1025 (Acte 4, scène 1, CR?ON)
- Pour élever mon sang mon sang s'est répandu ; v.1026 (Acte 4, scène 1, CR?ON)
- Mais plaindre son trépas est altérer sa gloire ; v.1027 (Acte 4, scène 1, CR?ON)
- Le seul, tout mort qu'il est, nous gagne le victoire : v.1028 (Acte 4, scène 1, CR?ON)
- Qui s'est ouvertement contre lui déclaré, v.1042 (Acte 4, scène 1, CR?ON)
- Ce zèle est sans exemple et serait tout nouveau. v.1054 (Acte 4, scène 1, CLÉODAMAS)
- C'est trop, Cléodamas, exagérer son crime : v.1055 (Acte 4, scène 1, ÉPHISE)
- Et faire grâce au crime est faire honneur aux Dieux ! v.1078 (Acte 4, scène 1, CRÉON)
- Est être cher aux dieux et mériter leur soin ! v.1086 (Acte 4, scène 1, CR?ON)
- Non, non, c'est de nos maux faire le ciel complice ; v.1087 (Acte 4, scène 1, CR?ON)
- C'est de la piété faire un appât au vice : v.1088 (Acte 4, scène 1, CR?ON)
- C'est ne pouvoir plier sous un joug qui déplaît, v.1090 (Acte 4, scène 1, CR?ON)
- Quiconque lui destine un autre monument. v.1098 (Acte 4, scène 1, CR?ON)
- Mais son crime est utile et contient quelquefois v.1105 (Acte 4, scène 1, CRÉON)
- Ô vertu criminelle ! Ô pitié funeste, v.1111 (Acte 4, scène 2, CAPITAINE)
- Du mépris de la mort preuve trop manifeste ! v.1112 (Acte 4, scène 2, CAPITAINE)
- Qu'est-ce ? Quelle nouvelle ? v.1113 (Acte 4, scène 2, CRÉON)
- Ah ! Quel est mon malheur, v.1113 (Acte 4, scène 2, CAPITAINE)
- Ô race détestable et digne de son sort ! v.1121 (Acte 4, scène 2, CRÉON)
- Quoi ! Cette misérable, à mon fils destinée, v.1131 (Acte 4, scène 2, CRÉON)
- Amenez cette peste, et qu'on cherche une peine v.1139 (Acte 4, scène 2, CR?ON)
- D'un seul signe d'effroi ce front est-il capable ? v.1143 (Acte 4, scène 3, CRÉON)
- C'est à moi, Sire, à moi qu'en est dû le supplice ; v.1150 (Acte 4, scène 3, MENETTE)
- Je suis auteur de tout, elle n'est que complice. v.1151 (Acte 4, scène 3, MENETTE)
- Ici la faute est juste et la loi criminelle ; v.1178 (Acte 4, scène 3, ANTIGONE)
- Plus son mépris me touche et plus elle en est vaine ; v.1198 (Acte 4, scène 3, CRÉON)
- Qui de six pieds sous terre à son prince est avare, v.1219 (Acte 4, scène 3, ARGIE)
- Vous avez enfreint l'un, et l'autre vous est due. v.1223 (Acte 4, scène 3, CRÉON)
- Il est vrai, mais son frère a le premier failli. v.1241 (Acte 4, scène 3, ARGIE)
- Ah ! Ce reproche est juste : il est vrai, je fus lâche. v.1282 (Acte 4, scène 4, ISMÈNE)
- Et leur extravagance est sans comparaison. v.1289 (Acte 4, scène 4, CRÉON)
- Vous-même à votre fils vous l'avez destinée : v.1290 (Acte 4, scène 4, ISMÈNE)
- Si le ciel n'est injuste, il vengera sa mort. v.1300 (Acte 4, scène 4, ISMÈNE)
- Le crime qu'elle a fait est d'autre qualité. v.1313 (Acte 4, scène 4, CRÉON)
- Ce procédé n'est pas sans quelque violence : v.1315 (Acte 4, scène 5, ÉPHISE)
- L'honneur qu'on rend aux morts est une vieille loi ; v.1316 (Acte 4, scène 5, ?PHISE)
- Antigone est sa soeur, elle est votre parente ; v.1318 (Acte 4, scène 5, ?PHISE)
- Vous en privez Hémon, Ismène est innocente ; v.1319 (Acte 4, scène 5, ?PHISE)
- L'autre est veuve d'un mort. Que votre jugement v.1320 (Acte 4, scène 5, ?PHISE)
- Elle est juste en l'amant qui perd une maîtresse : v.1327 (Acte 4, scène 5, CRÉON)
- Mais d'autre part, Hémon, elle est injuste aussi v.1328 (Acte 4, scène 5, CR?ON)
- Votre intérêt, Monsieur, sur tout autre m'est doux. v.1333 (Acte 4, scène 5, HÉMON)
- S'est formé de soi-même un mortel adversaire ; v.1342 (Acte 4, scène 5, CRÉON)
- Doux à ses ennemis, funeste à sa maison. v.1344 (Acte 4, scène 5, CR?ON)
- Une mauvaise femme est un méchant ami v.1351 (Acte 4, scène 5, CR?ON)
- J'entends ce qu'on estime et ce qu'on désapprouve, v.1374 (Acte 4, scène 5, HÉMON)
- Et vous est présenté pas tous vos courtisans. v.1380 (Acte 4, scène 5, H?MON)
- Ce qu'elle a fait est juste, et dans tous les esprits, v.1387 (Acte 4, scène 5, H?MON)
- C'est à peu près, Monsieur, ce que je viens d'entendre, v.1389 (Acte 4, scène 5, H?MON)
- N'est pas une action contraire à la sagesse : v.1394 (Acte 4, scène 5, H?MON)
- Ne voir que pas son sens est le propre des dieux, v.1395 (Acte 4, scène 5, H?MON)
- Comme il l'est des mortels de voir par beaucoup d'yeux. v.1396 (Acte 4, scène 5, H?MON)
- La raison n'est pas mûre en si verte saison. v.1404 (Acte 4, scène 5, CRÉON)
- Non, s'il passe pour tel ailleurs qu'en votre estime. v.1406 (Acte 4, scène 5, HÉMON)
- Lui-même est criminel s'il censure son prince. v.1409 (Acte 4, scène 5, CRÉON)
- Tu contestes, mutin, contre ton propre père ? v.1417 (Acte 4, scène 5, CRÉON)
- Ne m'est-il pas permis de conserver mon droit ? v.1419 (Acte 4, scène 5, CRÉON)
- Parler pour une fille est ton plus digne emploi. v.1423 (Acte 4, scène 5, CRÉON)
- Et ne chérir pas tant ce qui m'est odieux. v.1435 (Acte 4, scène 5, CRÉON)
- Combien il est fatal d'irriter mon pouvoir, v.1443 (Acte 4, scène 5, CRÉON)
- J'avais bien malgré vous senti ma destinée. v.1450 (Acte 5, scène 1, HÉMON)
- Règne pernicieux ! Joug, certes, détestable, v.1457 (Acte 5, scène 1, H?MON)
- Antigone est pieuse et révère les dieux, v.1463 (Acte 5, scène 1, H?MON)
- Et c'est pourquoi l'on veut qu'on l'égorge à mes yeux ! v.1464 (Acte 5, scène 1, H?MON)
- Je ne vous puis farder ce funeste rapport : v.1475 (Acte 5, scène 2, ÉPHISE)
- C'est fait de la princesse ; il a signé sa mort. v.1476 (Acte 5, scène 2, ?PHISE)
- C'est fait de la princesse ! Ah ! Force, ma colère, v.1477 (Acte 5, scène 2, HÉMON)
- Quel est donc cet arrêt ? v.1495 (Acte 5, scène 2, HÉMON)
- L'as-tu fait souvenir que c'est de sa main même v.1501 (Acte 5, scène 2, HÉMON)
- Mais le plus dur rocher est moins rocher que lui, v.1516 (Acte 5, scène 2, ÉPHISE)
- Qu'un chêne n'est ému du souffle du zéphyr. v.1518 (Acte 5, scène 2, ?PHISE)
- Ah ! Pourquoi n'est quelque autre auteur de cet outrage v.1529 (Acte 5, scène 3, HÉMON)
- On m'arrache la vie, et tel est mon destin v.1535 (Acte 5, scène 3, H?MON)
- Et pour toute raisons, qui m'attaque est mon père. v.1538 (Acte 5, scène 3, H?MON)
- Forçons l'antre funeste où l'on tient enfermé v.1543 (Acte 5, scène 3, H?MON)
- Pour un si beau dessin il n'est port trop close. v.1545 (Acte 5, scène 3, H?MON)
- Sire, il est amoureux. v.1557 (Acte 5, scène 4, ÉPHISE)
- C'est Tyrésie. Ô ciel ! Sois lassé de nos pleurs, v.1567 (Acte 5, scène 5, ÉPHISE)
- C'est aux hommes aussi à conduire les hommes. v.1570 (Acte 5, scène 5, TYRESIE)
- C'est l'unique secret qui vous a couronné. v.1576 (Acte 5, scène 5, TYRESIE)
- Bien moindre que ne doit ce funeste présage. v.1582 (Acte 5, scène 5, TYRESIE)
- Un nombre de corbeaux aussi funestes qu'elles, v.1589 (Acte 5, scène 5, TYRESIE)
- Enfin tout n'est qu'horreur et que confusion, v.1603 (Acte 5, scène 5, TYRESIE)
- Il faut bien que cet art, saint et sacré qu'il est, v.1615 (Acte 5, scène 5, CRÉON)
- L'or est un charme étrange, un métal précieux v.1619 (Acte 5, scène 5, CR?ON)
- Plus aveugle est que moi tel qui ne croit pas l'être. v.1634 (Acte 5, scène 5, TYRESIE)
- C'est bien vous emporter pour un esprit si sain. v.1635 (Acte 5, scène 5, CRÉON)
- Est trop honteux pour moi, trop glorieux pour lui. v.1668 (Acte 5, scène 6, CRÉON)
- C'est à vous d'en résoudre avec votre sagesse. v.1669 (Acte 5, scène 6, CLÉODAMAS)
- Hémon s'est fait passage en la funeste roche v.1682 (Acte 5, scène 7, CAPITAINE)
- Elle en est quitte, Sire, et c'en est déjà fait ; v.1684 (Acte 5, scène 7, CAPITAINE)
- La prince sur son corps déteste votre empire, v.1685 (Acte 5, scène 7, CAPITAINE)
- De quel triste succès est ma rage suivie ! v.1689 (Acte 5, scène 7, CRÉON)
- Courons, sauvons mon fils, ou c'est fait de ma vie. v.1690 (Acte 5, scène 7, CR?ON)
- Beaux restes d'Antigone, ouvre encor les yeux, v.1692 (Acte 5, scène 8, HÉMON)
- Le coeur plus que l'oreille est sourd à ma prière ; v.1697 (Acte 5, scène 8, H?MON)
- Ton amour s'est éteint avecque ta lumière ; v.1698 (Acte 5, scène 8, H?MON)
- C'est en vain qu'aux enfers je vais suivre tes pas, v.1699 (Acte 5, scène 8, H?MON)
- Vous l'offensez, au reste, et soupçonnez à tort v.1715 (Acte 5, scène 8, ISMÈNE)
- C'est un nom qu'elle emporte au-delà du trépas, v.1719 (Acte 5, scène 8, ISM?NE)
- Je pusse à ce beau corps rendre l'âme est la voix, v.1724 (Acte 5, scène 8, HÉMON)
- Mais depuis qu'une vie est tombée en tes mains, v.1731 (Acte 5, scène 8, H?MON)
- Ce butin est trop cher, et j'ai tort si j'espère v.1733 (Acte 5, scène 8, H?MON)
- Et de quel vain regret est votre âme pressée ? v.1745 (Acte 5, scène 9, CRÉON)
- À quel point vous emporte une funeste amour ! v.1746 (Acte 5, scène 9, CR?ON)
- Ce corps qui fut à vous reste en votre puissance, v.1756 (Acte 5, scène 9, HÉMON)
- Le coup est imparfait s'il ne passe en mon sein, v.1759 (Acte 5, scène 9, CRÉON)
- C'est sur vous que du ciel doit tomber le courroux. » v.1771 (Acte 5, scène 9, HÉMON)
- À ma fureur encor quelque respect est joint, v.1774 (Acte 5, scène 9, H?MON)
- Ô ciel ! Qu'aux châtiments ta justice est sévère, v.1784 (Acte 5, scène 9, CLÉODAMAS)
- Et qu'il est dangereux d'exciter ta colère. v.1785 (Acte 5, scène 9, CL?ODAMAS)
LES DEUX PUCELLES (1639)
- Mais qu'importe pourquoi sa clarté s'est couverte, v.15 (Acte 1, scène 1, ANTOINE)
- À quel excès de joie est mon âme ravie ! v.20 (Acte 1, scène 1, ANTOINE)
- Estimait Jupiter ses larcins amoureux, v.22 (Acte 1, scène 1, ANTOINE)
- La main qui s'est piquée en aime mieux les roses, v.28 (Acte 1, scène 1, ANTOINE)
- Toute chose est promise à ma longue poursuite, v.32 (Acte 1, scène 1, ANTOINE)
- Qui ne se précipite est lâche en ces combats, v.37 (Acte 1, scène 1, ANTOINE)
- L'amour ne doit plus rien à qui s'est fait attendre, v.39 (Acte 1, scène 1, ANTOINE)
- Me suit-il de si près ? Est-ce toi Lindamor ? v.49 (Acte 1, scène 1, ANTOINE)
- Comment ce n'est pas fait ? et je vous trouve encor ? v.50 (Acte 1, scène 2, LINDAMOR)
- Sautez, courez, volez, c'est trop peu que d'aller. v.58 (Acte 1, scène 2, LINDAMOR)
- Certes, beaucoup de honte est jointe à ma paresse, v.59 (Acte 1, scène 2, ANTOINE)
- Où quelque glace encor reste parmi les flammes, v.67 (Acte 1, scène 2, ANTOINE)
- Où la crainte est encor si proche du désir, v.69 (Acte 1, scène 2, ANTOINE)
- L'amour qu'elle a pour vous est certes sans exemple, v.75 (Acte 1, scène 2, LINDAMOR)
- Mais allez, il est tard, et tantôt, ou demain, v.77 (Acte 1, scène 2, LINDAMOR)
- Ne me l'expose point criminel comme il est. v.82 (Acte 1, scène 2, ANTOINE)
- Qu'a-t-elle retenu, qu'est-ce qu'elle conserve ? v.112 (Acte 1, scène 2, THÉODOSE)
- Sa franchise est sans art, et le Dieu de Cythère, v.115 (Acte 1, scène 2, TH?ODOSE)
- Est plus nu dans son sein, qu'en celui de sa mère, v.116 (Acte 1, scène 2, TH?ODOSE)
- Non, fuyons Lindamor, au moment qui nous reste, v.127 (Acte 1, scène 2, TH?ODOSE)
- Fuyons une fortune à mon repos funeste, v.128 (Acte 1, scène 2, TH?ODOSE)
- Et ne point triompher, quand la palme est si prête, v.136 (Acte 1, scène 2, LINDAMOR)
- C'est une vertu rare, au-dessus du penser, v.137 (Acte 1, scène 2, LINDAMOR)
- Elle est rare, il est vrai, mais lâche ce me semble, v.139 (Acte 1, scène 2, ANTOINE)
- Qui fuit l'occasion, alors qu'elle est si belle, v.143 (Acte 1, scène 2, ANTOINE)
- Sagesse, ni vertu n'est ici de saison, v.149 (Acte 1, scène 2, ANTOINE)
- Et c'est être insensé, qu'avoir de la raison. v.150 (Acte 1, scène 2, ANTOINE)
- Elle vous est ouverte. v.151 (Acte 1, scène 2, LINDAMOR)
- Chaque pas que je fais est ici criminel, v.153 (Acte 1, scène 2, ANTOINE)
- Pour quitter ce dessein, il est trop avancé. v.166 (Acte 1, scène 2, ANTOINE)
- Astres, Globes roulants sur la voûte Céleste, v.225 (Acte 1, scène 3, LÉOCADIE)
- Suivez plus lentement le chemin qui vous reste, v.226 (Acte 1, scène 3, L?OCADIE)
- Tu n'éclaireras pas l'incestueux martyre, v.241 (Acte 1, scène 3, L?OCADIE)
- Et qu'Hymen est tout prêt de permettre à nos sens. v.244 (Acte 1, scène 3, L?OCADIE)
- Et qu'est-ce qu'un amant doit trouver d'impossible ? v.250 (Acte 1, scène 3, L?OCADIE)
- L'amour le conduit bien, tout aveugle qu'il est, v.251 (Acte 1, scène 3, L?OCADIE)
- Il n'est si haut rocher, ni si bas précipice v.253 (Acte 1, scène 3, L?OCADIE)
- Pour elle, il n'est dessein, ni trop grand, ni trop haut, v.255 (Acte 1, scène 3, L?OCADIE)
- Hélas ! qu'il est bien vrai chétives que nous sommes, v.261 (Acte 1, scène 3, L?OCADIE)
- Et que leur passion est toute en leur discours. v.264 (Acte 1, scène 3, L?OCADIE)
- Il n'est si mauvais temps ni si cruel orage, v.273 (Acte 1, scène 3, L?OCADIE)
- Dieux ! qu'est-ce que je vois ? v.275 (Acte 1, scène 4, DON SANCHE)
- Enfin, j'entends du bruit, cher Antoine est-ce toi ? v.276 (Acte 1, scène 4, LÉOCADIE)
- Antoine, est-ce pas toi ? qui te fait cher Amant, v.279 (Acte 1, scène 4, LÉOCADIE)
- Le sommeil s'est saisi de ceux de nos Argus , v.284 (Acte 1, scène 4, L?OCADIE)
- Et notre intelligence est un secret mystère, v.285 (Acte 1, scène 4, L?OCADIE)
- Tranchez mes destinées, v.309 (Acte 1, scène 4, DON SANCHE)
- Quelle flamme, quel fer, quel poison, quelle peste v.317 (Acte 1, scène 4, DON SANCHE)
- Au prix de cet affront, pouvait m'être funeste ? v.318 (Acte 1, scène 4, DON SANCHE)
- Et qu'un monstre funeste à sa pudicité , v.323 (Acte 1, scène 4, DON SANCHE)
- Le malheur ignoré, n'est malheur qu'à demi ; v.328 (Acte 1, scène 4, DON SANCHE)
- Quel est ce demi Dieu, qui sous notre figure , v.333 (Acte 2, scène 1, ALCIONNE)
- Est venu terminer le jour, et sa carrière, v.342 (Acte 2, scène 1, ALCIONNE)
- Sache qu'elle te nuit jalouse comme elle est, v.360 (Acte 2, scène 1, ALCIONNE)
- Et qu'hôtesse qui plaît est le bonheur de l'Hôte, v.362 (Acte 2, scène 1, ALCIONNE)
- Autant de fois je dis, cet homme est sans exemple, v.374 (Acte 2, scène 1, ALCIONNE)
- La chambre qui restait vient d'être retenue, v.397 (Acte 2, scène 2, ALCIONNE)
- Pour passer toutefois mon cheval est si las, v.399 (Acte 2, scène 2, ALEXANDRE)
- Dieux ! qu'il est honnête homme, et qu'il est malaisé, v.403 (Acte 2, scène 2, ALCIONNE)
- Que le pouvoir est grand, où la grâce est extrême, v.417 (Acte 2, scène 2, ALCIONNE)
- Restreignez mes ardeurs à d'innocentes flammes, v.422 (Acte 2, scène 2, ALCIONNE)
- Il n'est repos égal à celui de mes jours, v.428 (Acte 2, scène 2, ALCIONNE)
- Mais ce n'est pas d'amour que procède ma joie, v.429 (Acte 2, scène 2, ALCIONNE)
- À quoi te résous-tu ? quelle est ta destinée ? v.438 (Acte 2, scène 3, THÉODOSE)
- Hélas ? quelle est ma vie ? et dans quelles mémoires, v.441 (Acte 2, scène 3, TH?ODOSE)
- Il est à cet ingrat, il partit avec lui. v.456 (Acte 2, scène 3, TH?ODOSE)
- Leur repos, n'est pas fait pour ceux des misérables, v.486 (Acte 2, scène 4, THÉODOSE)
- Est le seul bien qui reste aux extrêmes douleurs. v.492 (Acte 2, scène 4, THÉODOSE)
- Sans rien considérer, tout travail vous est beau, v.503 (Acte 2, scène 4, THÉODOSE)
- Sans doute qu'au point où son âme est pressée, v.505 (Acte 2, scène 4, ALEXANDRE)
- L'amour qui n'est que haine à ses propres sujets v.524 (Acte 2, scène 4, THÉODOSE)
- Quoi ! ce malheur est joint à mon cruel tourment, v.539 (Acte 2, scène 4, THÉODOSE)
- Votre ennui s'est trahi par votre propre bouche, v.549 (Acte 2, scène 4, ALEXANDRE)
- Et le ciel m'est témoin à quel point il me touche, v.550 (Acte 2, scène 4, ALEXANDRE)
- Est, ou de vous servir, ou de vous consoler. v.552 (Acte 2, scène 4, ALEXANDRE)
- Peut-être que ce mal dont votre âme est saisie, v.561 (Acte 2, scène 4, ALEXANDRE)
- S'il est vrai que la voix soit le miroir de l'âme, v.565 (Acte 2, scène 4, THÉODOSE)
- Un secret déclaré, n'en est pas moins secret, v.567 (Acte 2, scène 4, TH?ODOSE)
- Quand il n'est pas tombé dans un sein indiscret. v.568 (Acte 2, scène 4, TH?ODOSE)
- Votre coeur est sensible au sujet de ma plainte, v.570 (Acte 2, scène 4, TH?ODOSE)
- De rester toutefois, c'est ce que je ne puis, v.575 (Acte 2, scène 4, THÉODOSE)
- Et me fassent rester en ce lieu sans contrainte. v.582 (Acte 2, scène 4, TH?ODOSE)
- Théodose est le nom de cette infortunée, v.593 (Acte 2, scène 4, THÉODOSE)
- Et ce m'est déjà trop, qu'elle soit domestique . v.598 (Acte 2, scène 4, TH?ODOSE)
- Du reste, les destins leur sont assez avares, v.601 (Acte 2, scène 4, TH?ODOSE)
- Son nom est Alexandre ; en tout il me surmonte , v.605 (Acte 2, scène 4, TH?ODOSE)
- L'étude à Salamanque est son seul entretien, v.607 (Acte 2, scène 4, TH?ODOSE)
- Cependant que l'amour en ces lieux est le mien ; v.608 (Acte 2, scène 4, TH?ODOSE)
- Veillé-je, est-il bien vrai que j'ai les yeux ouverts ? v.611 (Acte 2, scène 4, ALEXANDRE)
- Me coula dans le sein ce funeste poison. v.620 (Acte 2, scène 4, THÉODOSE)
- Toutes ses actions, tous ses soins, tous ses gestes v.621 (Acte 2, scène 4, TH?ODOSE)
- M'étaient de son amour des signes manifestes, v.622 (Acte 2, scène 4, TH?ODOSE)
- Antoine, (ô nom fatal, c'est celui de ce traître) v.633 (Acte 2, scène 4, TH?ODOSE)
- Était prêt d'adoucir ma triste destinée, v.646 (Acte 2, scène 4, THÉODOSE)
- Hier, il disparut, et ma fortune est telle v.653 (Acte 2, scène 4, TH?ODOSE)
- Cette ennuyeuse histoire, est du sort lamentable, v.665 (Acte 2, scène 4, TH?ODOSE)
- Non non, je ne dors pas, il n'est âme si dure, v.673 (Acte 2, scène 4, ALEXANDRE)
- Hé Dieux ! est-il possible, v.685 (Acte 2, scène 4, THÉODOSE)
- Qu'est-ce que j'entends ? bons Dieux ! est-il croyable v.689 (Acte 2, scène 4, THÉODOSE)
- Quel destin est le mien ? qui m'a conduite ici ? v.703 (Acte 2, scène 4, THÉODOSE)
- Dieux ! qu'est-ce que je vois ? quelle est cette aventure, v.709 (Acte 2, scène 5, ALCIONNE)
- Quel est ton différend contre ma liberté, v.720 (Acte 2, scène 5, ALCIONNE)
- Mon respect est déjà bien près de ses limites, v.722 (Acte 2, scène 5, ALCIONNE)
- Et certes, mon amour n'est pas fort loin, d'oser v.723 (Acte 2, scène 5, ALCIONNE)
- La grâce est là plus douce. v.725 (Acte 2, scène 5, ALCIONNE)
- Elle est ici plus mâle v.725 (Acte 2, scène 5, ALCIONNE)
- Mais la perfection en tous deux est égale, v.726 (Acte 2, scène 5, ALCIONNE)
- Cette importune ardeur, dont mon âme est pressée, v.733 (Acte 2, scène 5, ALCIONNE)
- Qu'est-ce ! qu'as-tu trouvé ? tu n'espérais rien moins. v.744 (Acte 2, scène 6, ALCIONNE)
- Je venais l'éveiller, est-ce de quoi te plaindre ? v.750 (Acte 2, scène 6, ALCIONNE)
- Çà, partons, est-il tard ? v.769 (Acte 2, scène 6, ALEXANDRE)
- Le jour naissant est proche, v.769 (Acte 2, scène 6, ALCIONNE)
- Complice comme elle est, d'un affront qui vous touche) v.782 (Acte 2, scène 6, THÉODOSE)
- Et dans un grand dessein, pleurer c'est s'affaiblir. v.812 (Acte 3, scène 1, ALEXANDRE)
- Parmi tant de malheurs, que ce m'est de bonheur v.823 (Acte 3, scène 1, THÉODOSE)
- Si c'est pour mes supplices, v.833 (Acte 3, scène 2, THÉODOSE)
- Que résoudrai-je hélas ! quel est notre dessein ! v.835 (Acte 3, scène 2, ALEXANDRE)
- C'est leur premier butin. v.836 (Acte 3, scène 2, FILÉMOND)
- Le plus utile avis, c'est de n'en chercher point. v.844 (Acte 3, scène 2, FIL?MOND)
- Castelblanc n'est pas loin. v.846 (Acte 3, scène 2, ALEXANDRE)
- Qu'un instable pouvoir gouverne nos destins, v.847 (Acte 3, scène 3, LÉOCADIE)
- C'est ce que l'on conserve avec le plus de soins, v.859 (Acte 3, scène 3, L?OCADIE)
- Et c'est le bien pourtant, que je plaindrai le moins. v.860 (Acte 3, scène 3, L?OCADIE)
- Tu sais que m'épargner, c'est m'être plus nuisible, v.865 (Acte 3, scène 3, L?OCADIE)
- Ainsi, tu fais moins voir quelle est ta cruauté, v.867 (Acte 3, scène 3, L?OCADIE)
- En ce que tu m'as pris, qu'en ce qui m'est resté , v.868 (Acte 3, scène 3, L?OCADIE)
- Et ne m'outrager point, m'est un outrage extrême, v.869 (Acte 3, scène 3, L?OCADIE)
- Ce tigre, ce corbeau, ce voleur est un Dieu. v.880 (Acte 3, scène 3, L?OCADIE)
- Dieux ! quel est ce spectacle ? v.885 (Acte 3, scène 4, ALEXANDRE)
- Troupe, bien plus que moi chère à la destinée, v.886 (Acte 3, scène 4, LÉOCADIE)
- La faveur qu'il implore est une oeuvre divine, v.893 (Acte 3, scène 4, THÉODOSE)
- Quel est votre pays ? v.897 (Acte 3, scène 4, ALEXANDRE)
- Aussi, porter l'épée est ma profession, v.899 (Acte 3, scène 4, LÉOCADIE)
- Et ma nef échappée est revenue au port. v.912 (Acte 3, scène 5, ALCIONNE)
- Que faible est le lien ! que doux est le servage, v.925 (Acte 3, scène 5, ALCIONNE)
- Ma cendre est amortie, et n'a plus de chaleur. v.928 (Acte 3, scène 5, ALCIONNE)
- C'est un enfant rusé, dont la subtile adresse v.933 (Acte 3, scène 6, ALCIONNE)
- Car la plus forte branle alors qu'elle est pressée. v.937 (Acte 3, scène 6, ALCIONNE)
- Malheureux est celui de ma profession, v.943 (Acte 3, scène 6, DORILAS)
- Mon repos n'est point calme, auprès de tant d'appas, v.947 (Acte 3, scène 6, DORILAS)
- Tout cela m'est suspect, et cette courtoisie, v.953 (Acte 3, scène 6, DORILAS)
- Une petite femme, est souvent un grand mal. v.956 (Acte 3, scène 6, DORILAS)
- Quel, s'il ne vous importe, est cet heureux séjour, v.959 (Acte 3, scène 7, ALEXANDRE)
- S'il est près de Séville, où j'ai pris ma naissance. v.962 (Acte 3, scène 7, ALEXANDRE)
- Don Denis de Cardène est le nom de mon père, v.965 (Acte 3, scène 7, LÉOCADIE)
- S'il vous est à propos de ne vous pas ouvrir ; v.971 (Acte 3, scène 7, ALEXANDRE)
- Que répondrai-je hélas ! que le ciel m'est contraire, v.973 (Acte 3, scène 7, LÉOCADIE)
- Il est vrai, que Don Sanche a cette seule fille, v.982 (Acte 3, scène 7, LÉOCADIE)
- Je prétendais au reste, un rang en votre estime, v.985 (Acte 3, scène 7, L?OCADIE)
- Il vous est important de celer votre race, v.994 (Acte 3, scène 7, ALEXANDRE)
- Par deux fortes raisons ma doute est confirmée, v.1013 (Acte 3, scène 8, THÉODOSE)
- Dont l'une est de vous voir choquer la renommée, v.1014 (Acte 3, scène 8, TH?ODOSE)
- Aussi, j'ai cru dès lors, que votre modestie, v.1017 (Acte 3, scène 8, TH?ODOSE)
- À qui saura garder, et chérir votre estime. v.1030 (Acte 3, scène 8, TH?ODOSE)
- Combien de mon destin je me devrais louer, v.1032 (Acte 3, scène 8, LÉOCADIE)
- Il est vrai, je suis fille, et la moins fortunée , v.1037 (Acte 3, scène 8, L?OCADIE)
- Mon père en est Prévôt, et Don Sanche est son nom ; v.1044 (Acte 3, scène 8, L?OCADIE)
- Elle est bien au-dessous de ces titres d'honneur, v.1051 (Acte 3, scène 8, L?OCADIE)
- Et que ce bruit fameux n'est dû qu'à son bonheur. v.1052 (Acte 3, scène 8, L?OCADIE)
- Loin de vous obliger, vous est encore avare. v.1054 (Acte 3, scène 8, THÉODOSE)
- Certes, il vaut beaucoup, son mérite est extrême, v.1074 (Acte 3, scène 8, THÉODOSE)
- Mon visage lui plut, j'estimai ses mérites, v.1081 (Acte 3, scène 8, LÉOCADIE)
- Et qu'en est-il suivi, que lui permîtes-vous, v.1087 (Acte 3, scène 8, THÉODOSE)
- Ô quelle est ma misère ! v.1089 (Acte 3, scène 8, THÉODOSE)
- Et son geste confus, figurant ses douleurs, v.1096 (Acte 3, scène 8, LÉOCADIE)
- Ce venin si funeste, et si pernicieux, v.1099 (Acte 3, scène 8, L?OCADIE)
- Hélas ! J'ouvris l'oreille à ce conseil funeste ; v.1113 (Acte 3, scène 8, L?OCADIE)
- Écoutez ce qui reste, v.1114 (Acte 3, scène 8, LÉOCADIE)
- Oui, c'est Thé..., Théodose, v.1149 (Acte 3, scène 8, LÉOCADIE)
- Mais c'est peu de matière à tant de renommée, v.1162 (Acte 3, scène 8, THÉODOSE)
- Pour moi, son ignorance est une trahison, v.1171 (Acte 3, scène 8, LÉOCADIE)
- Si ces rois éternels du destin des humains v.1223 (Acte 4, scène 2, ALEXANDRE)
- La tristesse éloquente est bien loin d'être extrême, v.1225 (Acte 4, scène 2, LÉOCADIE)
- Et laisse indifférents, et le blâme, et l'estime, v.1229 (Acte 4, scène 2, L?OCADIE)
- Il est vain de répondre, où si visiblement v.1231 (Acte 4, scène 2, ALEXANDRE)
- Il est certain qu'alors vos soupirs, et vos larmes, v.1241 (Acte 4, scène 2, ALEXANDRE)
- Attachée à ce tronc, plaignant votre destin, v.1248 (Acte 4, scène 2, ALEXANDRE)
- Ce n'est plus la pitié qui prend votre intérêt v.1251 (Acte 4, scène 2, ALEXANDRE)
- Mais la secrète loi d'estimer ce qui plaît : v.1252 (Acte 4, scène 2, ALEXANDRE)
- D'une grande beauté, la puissance est si grande v.1253 (Acte 4, scène 2, ALEXANDRE)
- Agréez qu'en ce rang j'estime vos mérites, v.1257 (Acte 4, scène 2, ALEXANDRE)
- N'est-ce donc point assez de ma triste fortune, v.1261 (Acte 4, scène 2, LÉOCADIE)
- Et penser à mon mal, est mon unique bien. v.1272 (Acte 4, scène 2, LÉOCADIE)
- C'est trop mettre d'obstacle, à votre solitude, v.1273 (Acte 4, scène 2, ALEXANDRE)
- Mais tout est bientôt prêt pour notre partement . v.1275 (Acte 4, scène 2, ALEXANDRE)
- Et le temps nous est cher. v.1276 (Acte 4, scène 2, ALEXANDRE)
- Quelle est ma frénésie ? ô honte irréparable ! v.1281 (Acte 4, scène 2, LÉOCADIE)
- Mais quel est votre ennui ? pourquoi par tant de pleurs v.1291 (Acte 4, scène 3, ALCIONNE)
- C'est lui ; sauve, ma main, sauve ton homicide ; v.1302 (Acte 4, scène 4, LÉOCADIE)
- Recueillez à l'écart la force qui vous reste, v.1305 (Acte 4, scène 4, L?OCADIE)
- Tant, que soit cette trêve à ces traîtres funeste. v.1306 (Acte 4, scène 4, L?OCADIE)
- Cherchons-lui du secours ; quel est cet accident ? v.1308 (Acte 4, scène 4, ALCIONNE)
- Hélas mon maître est mort. v.1317 (Acte 4, scène 4, LINDAMOR)
- Et chétive, je reste en proie à mes ennuis ? v.1320 (Acte 4, scène 4, LÉOCADIE)
- Qu'est-ce ? v.1328 (Acte 4, scène 5, ALEXANDRE)
- Hélas, tout mon bien, tout mon espoir est mort v.1328 (Acte 4, scène 5, THÉODOSE)
- Antoine a sous l'effort de leur funeste lame, v.1329 (Acte 4, scène 5, TH?ODOSE)
- L'un ni l'autre, n'est mort ; aidez-moi je vous prie. v.1338 (Acte 4, scène 5, ALEXANDRE)
- Toujours d'un plus fâcheux le dernier est suivi v.1340 (Acte 4, scène 5, ALCIONNE)
- Que le repos est doux ! heureux qui le possède, v.1342 (Acte 4, scène 5, DORILAS)
- Il t'en reste à fermer, ne sors point de ces lieux, v.1344 (Acte 4, scène 5, THÉODOSE)
- La mort, cette importune est toujours à ta suite v.1350 (Acte 4, scène 5, ALCIONNE)
- Le moment qu'il vous laisse à rester en ce lieu, v.1368 (Acte 4, scène 6, LÉOCADIE)
- Parlez, que craignez-vous ? ce respect est frivole, v.1373 (Acte 4, scène 6, ANTOINE)
- (Si toutefois l'arrêt de votre sort est tel, v.1387 (Acte 4, scène 6, LÉOCADIE)
- Je veux mieux espérer du soin des destinées, v.1389 (Acte 4, scène 6, L?OCADIE)
- Est le fatal effet de votre changement , v.1396 (Acte 4, scène 6, L?OCADIE)
- C'est vous qu'en ces habits je proposais d'atteindre, v.1397 (Acte 4, scène 6, L?OCADIE)
- Et c'est vous (cher Antoine) à qui je me dois plaindre v.1398 (Acte 4, scène 6, L?OCADIE)
- Ou qui veut partager ce qui n'est dû qu'à moi ; v.1400 (Acte 4, scène 6, L?OCADIE)
- Si près de traverser le funeste passage, v.1409 (Acte 4, scène 6, ANTOINE)
- Il est bien temps, qu'enfin je vous montre mon âme v.1413 (Acte 4, scène 6, ANTOINE)
- À qui cède en beauté le reste de Séville, v.1422 (Acte 4, scène 6, ANTOINE)
- Que mon coeur est un bien, qu'on ne lui peut ravir ; v.1424 (Acte 4, scène 6, ANTOINE)
- Dieux ! que vois-je ! À quel point est mon âme ravie ? v.1453 (Acte 4, scène 6, ANTOINE)
- Que douce m'est la mort où je revoie ma vie ? v.1454 (Acte 4, scène 6, ANTOINE)
- Ô soupçons superflus ! ma perte est trop certaine, v.1461 (Acte 4, scène 6, LÉOCADIE)
- La mort va te venger, elle vient, elle est proche, v.1466 (Acte 4, scène 6, L?OCADIE)
- Est souvent à la mort une aussi courte voie, v.1474 (Acte 4, scène 6, ALEXANDRE)
- L'ordre du désespoir est un désordre extrême, v.1481 (Acte 4, scène 7, LÉOCADIE)
- Qui peut sinon ta mort réparer ton estime, v.1493 (Acte 4, scène 7, L?OCADIE)
- Il n'est courroux du ciel, ni menace des flots, v.1507 (Acte 4, scène 8, ALCIONNE)
- L'amour est, je l'avoue, une sensible peine, v.1509 (Acte 4, scène 8, ALCIONNE)
- Mais l'amour quand on veut est bien près de la haine, v.1510 (Acte 4, scène 8, ALCIONNE)
- Mais il est bien léger, v.1520 (Acte 4, scène 8, ALCIONNE)
- Allons, jusqu'où jamais mon sexe n'est allé v.1528 (Acte 4, scène 8, LÉOCADIE)
- Parce que je connais qu'il vous est importun, v.1539 (Acte 4, scène 9, THÉODOSE)
- Chétive que je suis, mon malheur est extrême, v.1541 (Acte 4, scène 9, LÉOCADIE)
- La subtile qu'elle est, en m'ôtant mon amant, v.1543 (Acte 4, scène 9, L?OCADIE)
- Certes, c'est aujourd'hui, si jamais aventure, v.1545 (Acte 4, scène 9, THÉODOSE)
- Et c'est une faveur, que vous pouvez vanter ; v.1552 (Acte 4, scène 9, TH?ODOSE)
- Quel fondement enfin reste à notre querelle ? v.1557 (Acte 4, scène 9, LÉOCADIE)
- C'est de ma destinée un bizarre caprice, v.1561 (Acte 4, scène 9, THÉODOSE)
- Mais mon sort n'est pas tel, belle Léocadie, v.1565 (Acte 4, scène 9, TH?ODOSE)
- L'amour n'est pas si près de couronner nos voeux v.1567 (Acte 4, scène 9, TH?ODOSE)
- Pour me ravir un bien qui m'est si précieux : v.1572 (Acte 4, scène 9, TH?ODOSE)
- Ma vie est en vos mains, elle vous est offerte : v.1578 (Acte 4, scène 9, TH?ODOSE)
- Si c'est pour votre bien, je mourrai sans contrainte, v.1581 (Acte 4, scène 9, TH?ODOSE)
- Vous restez sans parole, et ne répondez rien ? v.1584 (Acte 4, scène 9, TH?ODOSE)
- C'est ; le dirai-je hélas ! v.1588 (Acte 4, scène 9, LÉOCADIE)
- C'est ? v.1588 (Acte 4, scène 9, THÉODOSE)
- Sa peine m'est sensible, et toutefois m'oblige, v.1593 (Acte 4, scène 9, THÉODOSE)
- Tant mon cruel destin s'obstine à me poursuivre v.1609 (Acte 5, scène 1, LÉOCADIE)
- La mort te suit toujours, elle est proche à ton aide, v.1613 (Acte 5, scène 1, L?OCADIE)
- À quiconque est poussé de semblable fureur. v.1620 (Acte 5, scène 1, L?OCADIE)
- C'est la plus courte voie, à la miséricorde, v.1645 (Acte 5, scène 1, PREMIER ARCHER)
- S'est au sang innocent, quinze, ou vingt fois trempée, v.1662 (Acte 5, scène 1, LÉOCADIE)
- Je vois bien que la mort ne m'est pas évitable, v.1682 (Acte 5, scène 1, LÉOCADIE)
- Alors que la Justice, est sourde à la pitié. v.1687 (Acte 5, scène 1, L?OCADIE)
- Quelque jeune qu'il soit est un savant pilote, v.1698 (Acte 5, scène 3, ALCIONNE)
- Derechef je t'atteste, auteur de l'univers, v.1707 (Acte 5, scène 4, DON LOUIS)
- S'il est vrai qu'à tes yeux nos secrets soient ouverts, v.1708 (Acte 5, scène 4, DON LOUIS)
- Ce bras est propre encor, à servir mon courage, v.1725 (Acte 5, scène 4, DON LOUIS)
- Ce fer a quelquefois lâché des coups funestes, v.1729 (Acte 5, scène 4, DON LOUIS)
- Poussé d'une vigueur, qui laisse encor des restes v.1730 (Acte 5, scène 4, DON LOUIS)
- L'âge affaiblit mon coeur , mais il est toujours haut, v.1731 (Acte 5, scène 4, DON LOUIS)
- Et si mon sang ne bout, il est encore chaud, v.1732 (Acte 5, scène 4, DON LOUIS)
- Les voici, ne montrons, de geste, ou de visage, v.1737 (Acte 5, scène 4, DON LOUIS)
- Ce venimeux aspic, funeste à nos familles, v.1746 (Acte 5, scène 5, DON HENRI)
- Qu'en mon fils, comme ailleurs je déteste le vice, v.1757 (Acte 5, scène 5, DON LOUIS)
- Mon père ha ! que sous moi la terre n'est ouverte ! v.1773 (Acte 5, scène 6, THÉODOSE)
- Et qu'il est malaisé d'être cruel, et père ! v.1790 (Acte 5, scène 6, DON HENRI)
- Est une loi prescrite à mon ressentiment. v.1792 (Acte 5, scène 6, DON LOUIS)
- Avait bien mérité pareille destinée, v.1806 (Acte 5, scène 6, DON SANCHE)
- Mais c'est à son auteur, que ma fureur s'adresse v.1813 (Acte 5, scène 6, DON SANCHE)
- Il reste assez de coeur à ce débile corps, v.1815 (Acte 5, scène 6, DON SANCHE)
- Je vous dois, il est vrai, raison de cette injure, v.1821 (Acte 5, scène 6, ANTOINE)
- Le crime que j'ai fait est de cette nature, v.1822 (Acte 5, scène 6, ANTOINE)
- Dieux ! C'est mon fils, v.1832 (Acte 5, scène 7, DON HENRI)
- Dieux ! qu'est-ce que je vois ? v.1839 (Acte 5, scène 7, DON SANCHE)
- Celui que vous voyez est tombé dans nos pièges, v.1845 (Acte 5, scène 7, PREMIER ARCHER)
- Ma voix s'il est besoin avouera mon silence, v.1858 (Acte 5, scène 7, LÉOCADIE)
- Voyez, que tant d'horreur est jointe à mon ennui, v.1867 (Acte 5, scène 7, L?OCADIE)
- Qu'il est même insensible à l'ingrat que je suis v.1868 (Acte 5, scène 7, L?OCADIE)
- Mon destin à ces gens a fait prendre une route, v.1877 (Acte 5, scène 7, L?OCADIE)
- Ta faute n'est pas tienne, elle est de la fortune, v.1894 (Acte 5, scène 7, DON SANCHE)
- Ô ciel ! que tu me ris, et que tout m'est prospère ! v.1914 (Acte 5, scène 7, ALEXANDRE)
- C'est par vous que mon bien tout exemple surpasse, v.1930 (Acte 5, scène 7, LÉOCADIE)
LA CÉLIANE (1637)
- Il est bien malaisé, suivant l'ordre des choses, v.1 (Acte 1, scène 1, FLORIMANT)
- Et que le plus heureux s'estime si content, v.3 (Acte 1, scène 1, FLORIMANT)
- Est-il quelque douceur que je n'aie éprouvée ? v.6 (Acte 1, scène 1, FLORIMANT)
- Et depuis quelques jours, elle est plus solitaire. v.18 (Acte 1, scène 1, FLORIMANT)
- Ce teint n'est plus si vif, ni cet oeil si joyeux. v.19 (Acte 1, scène 1, FLORIMANT)
- Puisqu'elle est ordinaire aux amoureux absents. v.28 (Acte 1, scène 1, PAMPHILE)
- Le Soleil comme il est sur le rivage More , v.30 (Acte 1, scène 1, PAMPHILE)
- Jugez de quels attraits cette belle est pourvue, v.33 (Acte 1, scène 1, PAMPHILE)
- Une autre m'estimait, dont j'abhorrais les fers, v.35 (Acte 1, scène 1, PAMPHILE)
- Nestor , pour son ami, n'en eut pas la moitié. v.44 (Acte 1, scène 1, PAMPHILE)
- J'effacerai les noms d'Oreste, et de Pylade. v.50 (Acte 1, scène 1, PAMPHILE)
- Que la même faveur ne m'est-elle permise ? v.53 (Acte 1, scène 1, PAMPHILE)
- Non c'est trop consulter en ce lâche entretien, v.165 (Acte 1, scène 2, NISE)
- Justes Dieux ! c'est Pamphile, oui je suis ton dessein : v.177 (Acte 1, scène 2, NISE)
- En telle occasion, dont la fin est douteuse, v.191 (Acte 1, scène 2, NISE)
- Le silence est louable, et la vie est honteuse . v.192 (Acte 1, scène 2, NISE)
- Puisqu'il est un présent de Pamphile à sa Nise. v.200 (Acte 1, scène 2, NISE)
- Et ton soin n'est pas vrai si mon crime n'est faux. v.210 (Acte 1, scène 2, PAMPHILE)
- Tu sais combien l'ardeur qui nous conjoint est pure, v.211 (Acte 1, scène 2, PAMPHILE)
- C'est Pamphile qui pleure, et meurt à vos genoux, v.245 (Acte 1, scène 2, PAMPHILE)
- Si ma fidélité vous est si peu connue, v.255 (Acte 1, scène 2, PAMPHILE)
- Aux célestes attraits de vos yeux adorables ? v.272 (Acte 1, scène 2, PAMPHILE)
- Vous connaîtriez alors si ma constance est vraie, v.279 (Acte 1, scène 2, PAMPHILE)
- Et le Ciel est témoin, que jamais ses transports v.293 (Acte 1, scène 2, PAMPHILE)
- Vous fit mal estimer de ma fidélité. v.302 (Acte 1, scène 2, PAMPHILE)
- Ah ! que la feinte est vaine en un esprit jaloux ! v.305 (Acte 1, scène 2, PAMPHILE)
- Ta Nise, cher Pamphile, est enfin satisfaite, v.327 (Acte 1, scène 2, NISE)
- Et de qui ton esprit est enfin triomphant. v.330 (Acte 1, scène 2, NISE)
- Ce qui me reste encore de vigueur ne me laisse. v.336 (Acte 1, scène 2, NISE)
- Le lieu de Florimant est au bout de la plaine, v.343 (Acte 1, scène 2, PAMPHILE)
- Céliane est sensible à ma longue amitié. v.350 (Acte 1, scène 3, FLORIMANT)
- Que je n'estimais plus le titre de fidèle ; v.360 (Acte 1, scène 3, FLORIMANT)
- Ce soin n'est plus celui qui mon âme importune, v.371 (Acte 1, scène 3, FLORIMANT)
- Vous fît imaginer qu'elle estime vos chaînes. v.386 (Acte 1, scène 3, PHILIDOR)
- Il est vrai que ses yeux refusent mon hommage, v.399 (Acte 1, scène 3, PHILIDOR)
- Que son coeur est de marbre, aussi bien que son sein v.400 (Acte 1, scène 3, PHILIDOR)
- Que si ton coeur est juste, il faut qu'il brûle aussi. v.416 (Acte 2, scène 1, FLORIMANT)
- C'est de nous, que vos chants doivent prendre des lois, v.427 (Acte 2, scène 1, FLORIMANT)
- Son destin doit avoir votre âme rassurée : v.430 (Acte 2, scène 1, FLORIMANT)
- Et ce lascif n'est plus qu'un oiseau comme vous . v.432 (Acte 2, scène 1, FLORIMANT)
- Un même instant est doux, et cruel à mes sens. v.440 (Acte 2, scène 1, FLORIMANT)
- Elle est plus absolue, étant plus rigoureuse, v.454 (Acte 2, scène 1, CÉLIANE)
- Et que de notre coeur le vôtre est triomphant ; v.460 (Acte 2, scène 1, C?LIANE)
- Tu ne dois plus douter, si mon âme est atteinte, v.481 (Acte 2, scène 1, CÉLIANE)
- Ton coeur est criminel, qu'il soit le juge aussi. v.492 (Acte 2, scène 1, FLORIMANT)
- Est-ce assez me punir de t'appeler mon âme, v.497 (Acte 2, scène 1, CÉLIANE)
- Vont joindre à ton destin ma fortune, et mon âge ; v.518 (Acte 2, scène 2, NISE)
- Ma lèvre est suspendue, en cette égalité, v.531 (Acte 2, scène 2, PAMPHILE)
- Ce bonheur est commun à mes habits aussi ; v.544 (Acte 2, scène 2, NISE)
- N'est le premier objet de l'amoureuse flamme ; v.546 (Acte 2, scène 2, NISE)
- Quand l'esprit s'est acquis de bonnes qualités, v.547 (Acte 2, scène 2, NISE)
- C'est à lui seulement qu'on doit ses libertés : v.548 (Acte 2, scène 2, NISE)
- Comme il est sans défauts, nos amitiés sont telles : v.549 (Acte 2, scène 2, NISE)
- Comme il est immortel, elles sont immortelles ; v.550 (Acte 2, scène 2, NISE)
- Son coeur est toujours sain, sa flamme toujours douce, v.557 (Acte 2, scène 2, NISE)
- J'y plaignais les amants dont l'espérance est vaine. v.576 (Acte 2, scène 3, CÉLIANE)
- Ce coeur n'est point encore sensible à mes soupirs. v.581 (Acte 2, scène 3, PHILIDOR)
- Aussi peu, que ce bois l'est à ceux des Zéphyrs. v.582 (Acte 2, scène 3, CÉLIANE)
- Et Florimant est cher à vos yeux, qu'il adore ? v.583 (Acte 2, scène 3, PHILIDOR)
- Autant comme Zéphyr l'est aux filles de Flore . v.584 (Acte 2, scène 3, CÉLIANE)
- Si dessus vos esprits ma prière est sans charmes, v.591 (Acte 2, scène 3, PAMPHILE)
- Céliane est le prix qui fait votre querelle, v.603 (Acte 2, scène 3, PAMPHILE)
- Et qu'un même destin vous fait brûler pour elle. v.604 (Acte 2, scène 3, PAMPHILE)
- Il est vrai qu'au pouvoir de sa rare beauté, v.613 (Acte 2, scène 3, PAMPHILE)
- Nise est : v.625 (Acte 2, scène 3, PAMPHILE)
- Elle est ? v.625 (Acte 2, scène 3, FLORIMANT)
- Que ton discours est faible, après tant d'apparences ! v.628 (Acte 3, scène 1, CÉLIANE)
- Nourrice, il est trop vrai, le nom de Florimant, v.629 (Acte 3, scène 1, C?LIANE)
- Est le nom d'un perfide, et d'un ingrat amant ; v.630 (Acte 3, scène 1, C?LIANE)
- Sans couleur, et sans geste, il recula deux pas. v.634 (Acte 3, scène 1, C?LIANE)
- Je crois, que tout ce mal n'est qu'en l'opinion ; v.650 (Acte 3, scène 1, LA NOURRICE)
- Pensait le conserver, est celui qui m'en prive. v.660 (Acte 3, scène 1, CÉLIANE)
- Célestes qui voyez quel charme m'a séduit, v.715 (Acte 3, scène 2, FLORIMANT)
- D'un ami détestable, et d'un perfide amant. v.728 (Acte 3, scène 2, FLORIMANT)
- Il t'est facile encor de rompre tes liens, v.732 (Acte 3, scène 2, FLORIMANT)
- Et ton abord possible est odieux à Nise. v.738 (Acte 3, scène 2, FLORIMANT)
- En cette occasion, ciel, enfer, destinée, v.745 (Acte 3, scène 2, PAMPHILE)
- Mais cessant de m'aimer, conservez cette estime, v.773 (Acte 3, scène 2, FLORIMANT)
- Que je sais reconnaître, et détester mon crime, v.774 (Acte 3, scène 2, FLORIMANT)
- Et que le détestant, ce coeur, qu'il a noirci v.775 (Acte 3, scène 2, FLORIMANT)
- Si ma voix est contraire à mon intention. v.800 (Acte 3, scène 2, PAMPHILE)
- Et que l'objet est vil d'une amitié si forte ! v.802 (Acte 3, scène 2, FLORIMANT)
- Ami, seul estimable entre tous les amis ; v.807 (Acte 3, scène 2, FLORIMANT)
- Comment je pourrai perdre un bien qui m'est si cher ? v.820 (Acte 3, scène 2, PAMPHILE)
- Que je n'estime rien au prix de vos faveurs, v.840 (Acte 3, scène 2, PAMPHILE)
- J'atteste ces esprits, pour qui la vérité v.867 (Acte 3, scène 2, PAMPHILE)
- Je me fais un outrage, en ce funeste lieu, v.875 (Acte 3, scène 2, PAMPHILE)
- Ordonne à qui tu veux, la faveur qui t'est due, v.906 (Acte 3, scène 2, NISE)
- (Mon coeur) ce déplaisir m'est plus doux, que ta perte. v.910 (Acte 3, scène 2, NISE)
- Ingrat ne force point tes gestes, ni ta voix, v.920 (Acte 4, scène 1, CÉLIANE)
- Ce n'est pas mon sujet, qui te rend solitaire, v.921 (Acte 4, scène 1, C?LIANE)
- Et ce n'est plus à moi, que tu tâches de plaire. v.922 (Acte 4, scène 1, C?LIANE)
- Mon pouvoir est trop faible à te contraindre tant, v.923 (Acte 4, scène 1, C?LIANE)
- Quel envieux destin, homicide, inhumaine, v.925 (Acte 4, scène 1, FLORIMANT)
- Céliane est la seule à qui je rends hommage, v.942 (Acte 4, scène 1, FLORIMANT)
- Et que ton lâche esprit dont le crime est vainqueur, v.963 (Acte 4, scène 1, CÉLIANE)
- Si son coeur est sensible à ma chaste amitié, v.983 (Acte 4, scène 1, FLORIMANT)
- Ce jour, qui te destine à tant d'heureuses nuits, v.988 (Acte 4, scène 2, PAMPHILE)
- Puisque à vos passions le Ciel m'a destinée, v.1017 (Acte 4, scène 2, NISE)
- Oui, ce corps est à vous, et la mort seulement v.1019 (Acte 4, scène 2, NISE)
- Que ma victoire est belle, et mon destin heureux, v.1023 (Acte 4, scène 2, FLORIMANT)
- Et dans ce déplaisir dont une âme est atteinte, v.1029 (Acte 4, scène 2, FLORIMANT)
- Et mon ingratitude est sans comparaison. v.1032 (Acte 4, scène 2, FLORIMANT)
- Il est vrai que j'offense une amour trop parfaite, v.1037 (Acte 4, scène 2, FLORIMANT)
- Il est mort pour Pamphile, et ces dernières larmes, v.1053 (Acte 4, scène 2, PAMPHILE)
- C'est fait, je n'aime plus. v.1055 (Acte 4, scène 2, PAMPHILE)
- Qu'autant qu'il est permis de chérir la vertu . v.1056 (Acte 4, scène 2, PAMPHILE)
- Pamphile, mon trépas, est-il considérable ? v.1062 (Acte 4, scène 2, FLORIMANT)
- C'est peu que de ma mort : pour un si digne objet, v.1063 (Acte 4, scène 2, FLORIMANT)
- Que son humeur est plus que mon corps déguisée. v.1088 (Acte 4, scène 3, CÉLIANE)
- Ah Dieux ! c'est Philidor, plût au Ciel, que leur perte v.1091 (Acte 4, scène 3, CÉLIANE)
- La récompense, ami, ne t'est que trop certaine, v.1100 (Acte 4, scène 3, PHILIDOR)
- Ses yeux, sa même voix, son geste, sa parole. v.1103 (Acte 4, scène 3, PHILIDOR)
- Qu'un remède est aisé, dans l'esprit d'un malade, v.1135 (Acte 4, scène 3, PHILIDOR)
- Il est constant aussi, qu'entre toutes les Dames, v.1143 (Acte 4, scène 3, PHILIDOR)
- Pour ce qu'elle est contraire à mon humeur joyeuse. v.1156 (Acte 4, scène 3, JULIE)
- Et si c'est là t'aimer, je confesse que j'aime ; v.1164 (Acte 4, scène 3, JULIE)
- Mon coeur n'est point sensible aux traits dont tu te plains . v.1166 (Acte 4, scène 3, JULIE)
- J'oserais bien jurer, qu'il est entier encore ; v.1168 (Acte 4, scène 3, JULIE)
- Fuis-moi, recherche-moi, tout m'est indifférent : v.1178 (Acte 4, scène 3, JULIE)
- C'est l'objet de tes voeux, je n'en suis point fâchée, v.1180 (Acte 4, scène 3, JULIE)
- Je t'estimais jadis le Phénix de ces lieux , v.1185 (Acte 4, scène 3, PHILIDOR)
- Comment puis-je assurer, si quelque chose est beau, v.1189 (Acte 4, scène 3, PHILIDOR)
- Mais c'est trop Philidor, choquer ton sentiment, v.1193 (Acte 4, scène 3, JULIE)
- Ô Dieux ! le bel aveugle, et qu'il est peu timide, v.1199 (Acte 4, scène 3, JULIE)
- Et que c'est mal aimer, que d'aimer de la sorte ; v.1204 (Acte 4, scène 3, PHILIDOR)
- Ton coeur éprouvera, si l'amour est un jeu. v.1206 (Acte 4, scène 3, PHILIDOR)
- En l'état où je suis, que cette crainte est vaine, v.1211 (Acte 4, scène 3, JULIE)
- C'est un faible moyen envers cet inconstant, v.1213 (Acte 4, scène 3, JULIE)
- La mort m'est favorable, et la vie importune, v.1228 (Acte 4, scène 4, NISE)
- De ce qui restera de ce fatal breuvage, v.1235 (Acte 4, scène 4, NISE)
- C'est bien traiter l'amour à la façon antique. v.1288 (Acte 4, scène 5, JULIE)
- Ailleurs qu'en ces deux points l'amour est sans puissance, v.1295 (Acte 4, scène 5, JULIE)
- Quel est ce paysan ? v.1299 (Acte 4, scène 5, JULIE)
- Mais la couleur est peu, leur odeur fait leur prix . v.1304 (Acte 4, scène 5, CÉLIANE)
- C'est Céliane, ô Dieux ! que mon âme est ravie . v.1305 (Acte 4, scène 5, JULIE)
- Nise la méconnaît, que ce plaisir est doux ! v.1315 (Acte 4, scène 5, JULIE)
- C'est trop dissimuler, Céliane c'est vous. v.1316 (Acte 4, scène 5, JULIE)
- C'est Céliane, ô Dieux ! v.1317 (Acte 4, scène 5, NISE)
- Et ce reste de fleurs est réservé pour elle. v.1318 (Acte 4, scène 5, CÉLIANE)
- Et ce que vous craignez est ce que je désire. v.1322 (Acte 4, scène 5, NISE)
- Qu'elle est bien déguisée! v.1325 (Acte 4, scène 5, JULIE)
- C'est un faible sujet pour attirer mes pas. v.1332 (Acte 4, scène 5, CÉLIANE)
- C'est l'unique sujet de ce déguisement. v.1340 (Acte 4, scène 5, JULIE)
- C'est pour nous rendre après notre flamme plus douce, v.1362 (Acte 5, scène 1, FLORIMANT)
- Après un peu de maux, m'est un trop digne prix. v.1364 (Acte 5, scène 1, FLORIMANT)
- Mon frère n'est pas seul. v.1365 (Acte 5, scène 2, JULIE)
- N'estimeras-tu pas ma gloire sans seconde, v.1369 (Acte 5, scène 2, FLORIMANT)
- Hélas ! que l'apparence est un miroir bien faux. v.1383 (Acte 5, scène 2, JULIE)
- Il est vrai que je suis d'une humeur trop facile , v.1417 (Acte 5, scène 3, NISE)
- Je suis coupable, autant que ta naissance est vile. v.1418 (Acte 5, scène 3, NISE)
- N'est qu'une couverture, à ton bien destinée. v.1426 (Acte 5, scène 3, NISE)
- Dieux ! que n'est mon mérite égal à mon bonheur ? v.1432 (Acte 5, scène 3, CÉLIANE)
- Agréables transports, dont mon âme est ravie, v.1437 (Acte 5, scène 3, C?LIANE)
- Du funeste conseil de son sort déplorable. v.1446 (Acte 5, scène 3, JULIE)
- Le présent qu'il vous fit est un don qu'il regrette. v.1450 (Acte 5, scène 3, JULIE)
- La feinte est bien conduite, v.1457 (Acte 5, scène 3, JULIE)
- Mille fois ma franchise à ta voix s'est rendue, v.1461 (Acte 5, scène 3, JULIE)
- C'est gausser à propos ; mais peu de paysans, v.1463 (Acte 5, scène 3, CÉLIANE)
- Dieux ! quelle affection est pareille à la vôtre ; v.1465 (Acte 5, scène 3, NISE)
- C'est l'ordinaire humeur des hommes de ce temps, v.1475 (Acte 5, scène 3, CÉLIANE)
- Cette feinte est requise à mon contentement. v.1480 (Acte 5, scène 3, JULIE)
- Cet infidèle amant m'est plus cher que le jour, v.1483 (Acte 5, scène 3, JULIE)
- Il est trop malaisé de souffrir ses mépris, v.1488 (Acte 5, scène 4, PHILIDOR)
- Julie est d'une humeur qui la rend plus aimable. v.1490 (Acte 5, scène 4, PHILIDOR)
- Si ce n'est que mes voeux sont beaucoup refroidis, v.1496 (Acte 5, scène 4, PHILIDOR)
- Et le sensible ennui dont son âme est comblée ; v.1522 (Acte 5, scène 4, NISE)
- (Après ce que je vois) que la mienne est blessée. v.1534 (Acte 5, scène 4, PHILIDOR)
- Une si belle mort ne m'est point redoutable : v.1538 (Acte 5, scène 4, CÉLIANE)
- Fait qu'au point de mourir ma joie est sans seconde, v.1542 (Acte 5, scène 4, C?LIANE)
- Elle est sourde à ma plainte, et se rit de mes pleurs. v.1548 (Acte 5, scène 4, C?LIANE)
- Eh bien parfait amant, est-ce assez ? je vous aime, v.1553 (Acte 5, scène 4, NISE)
- Que tu vois maintenant ton destin glorieux ! v.1560 (Acte 5, scène 4, CÉLIANE)
- Ma raison s'est toujours son usage épargné, v.1564 (Acte 5, scène 4, JULIE)
- Sous ses premiers vainqueurs mon âme est asservie, v.1569 (Acte 5, scène 4, PHILIDOR)
- Ne m'obligez pas tant, c'est prendre trop de soin, v.1575 (Acte 5, scène 4, JULIE)
- Vous revenez trop tard, et mon âme est guérie, v.1578 (Acte 5, scène 4, JULIE)
- Est la punition de mon peu de constance. v.1582 (Acte 5, scène 4, PHILIDOR)
- Si c'est vous rebuter, v.1587 (Acte 5, scène 4, JULIE)
- C'est l'unique moyen de vivre sans souci. v.1595 (Acte 5, scène 4, PHILIDOR)
- Est l'unique sujet du tourment que j'endure, v.1606 (Acte 5, scène 4, JULIE)
- C'est assez mon souci, maintenant prends la peine, v.1613 (Acte 5, scène 4, JULIE)
- Divertis son dessein, il est : suis cette voie . v.1617 (Acte 5, scène 4, JULIE)
- Pamphile est dans le bois, et Florimant aussi, v.1619 (Acte 5, scène 4, JULIE)
- Et votre maladie est proche du remède. v.1622 (Acte 5, scène 4, JULIE)
- Par qui ton sort fut joint au destin de nos âmes, v.1630 (Acte 5, scène 5, PAMPHILE)
- Nise est à Florimant, tout espoir m'est ôté, v.1639 (Acte 5, scène 5, PAMPHILE)
- Différer mon trépas, c'est une lâcheté, v.1640 (Acte 5, scène 5, PAMPHILE)
- Encor parmi l'horreur de ce dessein funeste, v.1641 (Acte 5, scène 5, PAMPHILE)
- Et parmi tant de maux, quelque plaisir me reste, v.1642 (Acte 5, scène 5, PAMPHILE)
- Redouter le trépas, c'est l'avoir mérité. v.1656 (Acte 5, scène 5, PAMPHILE)
- Le jour t'est agréable, et la mort m'est de même. v.1666 (Acte 5, scène 5, PAMPHILE)
- Est l'objet le plus saint qui respire le jour. v.1668 (Acte 5, scène 5, FLORIMANT)
- Si le crime est prisable, et si c'est innocence v.1669 (Acte 5, scène 5, FLORIMANT)
- Il est temps d'achever ces agréables feintes, v.1681 (Acte 5, scène 6, JULIE)
- Que mon espoir est faible, et que ma crainte est grande , v.1689 (Acte 5, scène 6, NISE)
- Et quoi qu'on attribue au céleste pouvoir, v.1699 (Acte 5, scène 6, NISE)
- Ta présence m'est douce, et la sienne ennuyeuse, v.1709 (Acte 5, scène 6, NISE)
- C'était par un destin également propice : v.1713 (Acte 5, scène 6, CÉLIANE)
- En ce ressentiment, c'est trop de retenue, v.1721 (Acte 5, scène 6, FLORIMANT)
- L'injure qu'il nous fait nous est assez connue. v.1722 (Acte 5, scène 6, FLORIMANT)
- Le traître s'est caché sous la tapisserie ; v.1726 (Acte 5, scène 6, FLORIMANT)
- Car ma possession t'est fort considérable ; v.1734 (Acte 5, scène 6, FLORIMANT)
- Que l'Amour est puissant dans le coeur d'une Dame ! v.1745 (Acte 5, scène 6, FLORIMANT)
- Ô qu'elle en est remplie, Artémise en eut moins . v.1752 (Acte 5, scène 6, FLORIMANT)
- Céliane est sensible aux maux, que j'ai soufferts. v.1760 (Acte 5, scène 6, FLORIMANT)
- Elle est due à l'amant qui meurt d'amour pour elle, v.1762 (Acte 5, scène 6, PAMPHILE)
- Est privé trop longtemps du bonheur de la voir. v.1764 (Acte 5, scène 6, PAMPHILE)
- Viens traître recevoir la faveur qui t'est due, v.1766 (Acte 5, scène 6, FLORIMANT)
- Ô Dieux ! c'est Céliane. v.1769 (Acte 5, scène 6, FLORIMANT)
- Que rien n'est plus contraire au bonheur que je veux. v.1796 (Acte 5, scène 6, JULIE)
- Tu promets de m'aimer, cet amant est à Nise, v.1809 (Acte 5, scène 6, JULIE)
- Si bien que notre joie est sans comparaison. v.1812 (Acte 5, scène 6, JULIE)
LAURE PERSÉCUTÉE (1639)
- Son ordre est un bouclier à la main qui le sert, v.11 (Acte 1, scène 1, LE COMTE)
- Aimer est mon forfait, et mon juge est mon père. v.21 (Acte 1, scène 1, ORANTÉE)
- Quel forfait est plus doux ? Quel juge plus sévère ? v.22 (Acte 1, scène 1, ORANT?E)
- Aimer est un beau crime, et surtout excusable ; v.25 (Acte 1, scène 1, LE COMTE)
- Et la proportion est où sont les plaisirs. v.32 (Acte 1, scène 1, ORANTÉE)
- Notre intérêt est joint à la rigueur du Roi : v.35 (Acte 1, scène 1, LE COMTE)
- Un prince comme vous est plus aux siens qu'à soi. v.36 (Acte 1, scène 1, LE COMTE)
- Elle est noble, on le croit ; mais, au reste, seigneur, v.55 (Acte 1, scène 1, LE COMTE)
- Sache que cette main soutiendra son estime, v.69 (Acte 1, scène 1, ORANTÉE)
- S'offre, s'il est besoin, de laver mon offense, v.78 (Acte 1, scène 1, LE COMTE)
- Et de faire rester froide et sans mouvement v.79 (Acte 1, scène 1, LE COMTE)
- Quel importun devoir m'est enjoint aujourd'hui ! v.91 (Acte 1, scène 1, LE COMTE)
- Va, comte, je me rends ; c'est assez, je te suis. v.92 (Acte 1, scène 1, ORANTÉE)
- Fait voir qu'il est parfois maître de la fortune. v.98 (Acte 1, scène 2, LYDIE)
- Ce n'est qu'un faux éclat qui brille, mais qui trompe. v.102 (Acte 1, scène 2, LAURE)
- Et souvent tout offrir est un adroit refus. v.104 (Acte 1, scène 2, LAURE)
- Autant qu'il est aimable, autant il est constant. v.111 (Acte 1, scène 2, LYDIE)
- Nous est un trait mortel qui nous perce le sein. v.116 (Acte 1, scène 2, LAURE)
- Pour vous dire en deux mots quelle est votre misère, v.125 (Acte 1, scène 3, OCTAVE)
- Ce prince est arrêté par l'ordre de son père, v.126 (Acte 1, scène 3, OCTAVE)
- La porte en est fermée, et contre sa poursuite v.129 (Acte 1, scène 3, OCTAVE)
- Eh bien ! Il faut mourir si c'est l'arrêt du sort. v.132 (Acte 1, scène 3, LAURE)
- Après tout, c'est un fruit de l'amour d'Orantée. v.134 (Acte 1, scène 3, LAURE)
- De vous travestir. v.136 (Acte 1, scène 3, OCTAVE)
- Celui qui le portait est mort depuis trois jours. v.139 (Acte 1, scène 3, OCTAVE)
- C'est une folle crainte indigne de mon sein. v.151 (Acte 1, scène 4, LYDIE)
- Est bien prompt à venir, mais bien lent à chasser. v.155 (Acte 1, scène 4, LYDIE)
- Eh bien, s'est-il rendu ? v.156 (Acte 1, scène 5, LE ROI)
- C'en est fait, Sire : au reste, v.156 (Acte 1, scène 5, LE COMTE)
- D'un esprit si tranquille et d'un oeil si modeste, v.157 (Acte 1, scène 5, LE COMTE)
- Dessus ses volontés est toujours souveraine ? v.161 (Acte 1, scène 5, LE ROI)
- Est le salut du reste et le repos du prince. v.185 (Acte 1, scène 5, LE COMTE)
- J'ai su qu'elle est ici par quelqu'un de mes gens ; v.187 (Acte 1, scène 5, LE ROI)
- Et, brûlant d'étouffer ce serpent domestique, v.188 (Acte 1, scène 5, LE ROI)
- Qu'est-ce ? v.198 (Acte 1, scène 7, LE ROI)
- Quelle est cette contrainte ? v.200 (Acte 1, scène 7, LE ROI)
- Et je vais, s'il plaît, Sire, à votre majesté, v.206 (Acte 1, scène 7, LAURE)
- De beauté ni de grâce estimable à ce point : v.215 (Acte 1, scène 7, LAURE)
- J'estime sa vertu bien plus que son visage ; v.216 (Acte 1, scène 7, LAURE)
- Et, si je l'ose dire, en effet elle est sage. v.217 (Acte 1, scène 7, LAURE)
- Je proteste des dieux la grandeur souveraine v.220 (Acte 1, scène 7, LE ROI)
- Après la question et l'arrêt de ma mort ? v.223 (Acte 1, scène 7, LAURE)
- Ton pouvoir est trop faible, ou l'heure de ma mort v.238 (Acte 1, scène 8, ORANTÉE)
- Ôte à mon désespoir ces funestes matières, v.248 (Acte 1, scène 8, ORANT?E)
- Est-ce vous, ma princesse ? Ô sort ! Que tu m'es doux ! v.266 (Acte 1, scène 9, ORANTÉE)
- Qui vous a conseillé ce travestissement ? v.271 (Acte 1, scène 9, ORANTÉE)
- De ce pas à moi-même il s'est enquis de moi, v.275 (Acte 1, scène 9, LAURE)
- Vienne donc le parti qui vous est destiné, v.278 (Acte 1, scène 9, LAURE)
- Avec votre naissance est sans proportion. v.283 (Acte 1, scène 9, LAURE)
- Le peuple est en ce point plus heureux que les rois, v.286 (Acte 1, scène 9, LAURE)
- Oui, Laure, nos destins auront même aventure ; v.300 (Acte 1, scène 9, ORANTÉE)
- Je lui mande en deux mots que ma foi s'est donnée v.304 (Acte 1, scène 9, ORANTÉE)
- Que si, mutin qu'il est, il montre seulement v.330 (Acte 1, scène 10, LE ROI)
- Monsieur, s'il m'est permis, v.370 (Acte 1, scène 10, ORANTÉE)
- Laure est l'achèvement de toutes les merveilles ; v.376 (Acte 1, scène 10, ORANT?E)
- Sa grâce est sans défaut, ses vertus sans pareilles ; v.377 (Acte 1, scène 10, ORANT?E)
- Ta passion est juste, et ta Laure, dis-tu, v.394 (Acte 1, scène 10, LE ROI)
- Est la sagesse même, et la même vertu ! v.395 (Acte 1, scène 10, LE ROI)
- L'un est d'un faible esprit, l'autre d'un homme fort ; v.403 (Acte 1, scène 10, LE COMTE)
- L'un est une puissance, et l'autre est un servage. v.405 (Acte 1, scène 10, LE COMTE)
- Ce corps qui vient de vous est votre absolument ; v.406 (Acte 1, scène 10, ORANTÉE)
- L'esprit, qui vient du ciel, est à lui seulement : v.407 (Acte 1, scène 10, ORANT?E)
- Le ciel est donc auteur de ton aveuglement ? v.411 (Acte 1, scène 10, LE ROI)
- Sa providence donc te destine une femme v.412 (Acte 1, scène 10, LE ROI)
- Et capable de tout, si ce n'est d'un refus ; v.415 (Acte 1, scène 10, LE ROI)
- Au reste, à ce qu'on dit, bien moins belle que vaine, v.416 (Acte 1, scène 10, LE ROI)
- C'est là ce digne objet et ce choix précieux v.418 (Acte 1, scène 10, LE ROI)
- Qu'à l'honneur de ta couche ont destiné les cieux ? v.419 (Acte 1, scène 10, LE ROI)
- Laure, au reste, est honnête, et j'atteste les dieux v.426 (Acte 1, scène 10, ORANTÉE)
- Non, seigneur, il n'est rien que Laure ne surpasse ; v.432 (Acte 1, scène 10, ORANT?E)
- Auprès de ce qu'elle est toute grandeur est basse : v.433 (Acte 1, scène 10, ORANT?E)
- Et par ce qui m'est cher, le bien de votre vie. v.453 (Acte 1, scène 10, ORANTÉE)
- Que cette affaire donc reste aux termes qu'elle est. v.454 (Acte 1, scène 10, LE ROI)
- La frayeur que tu fais est une douce peine. v.461 (Acte 1, scène 11, ORANTÉE)
- Prouver en tes habits que ta grâce est extrême : v.473 (Acte 1, scène 11, ORANTÉE)
- Mon âme t'est un temple, et mon coeur un autel ; v.481 (Acte 2, scène 1, OCTAVE)
- Et celui seul est fou qui confie une femme : v.495 (Acte 2, scène 1, OCTAVE)
- C'est là qu'il est fatal d'éprouver ses amis, v.496 (Acte 2, scène 1, OCTAVE)
- C'est là que pour soi-même on n'est pas trop fidèle v.498 (Acte 2, scène 1, OCTAVE)
- Et c'est de ce seul bien que l'avarice est belle. v.499 (Acte 2, scène 1, OCTAVE)
- Le bien présent est sûr, les futurs sont trompeurs ; v.512 (Acte 2, scène 2, LE ROI)
- Dont l'âge le plus beau n'est pas encore ourdi ? v.521 (Acte 2, scène 2, OCTAVE)
- En quoi qui soit utile à votre majesté ; v.533 (Acte 2, scène 2, OCTAVE)
- Oui, tout auteur qu'il est de mon cruel ennui, v.536 (Acte 2, scène 2, LE ROI)
- As vu naître et durer cette funeste amour, v.545 (Acte 2, scène 2, LE ROI)
- De toute la Hongrie est l'heur et l'espérance ; v.555 (Acte 2, scène 2, LE ROI)
- Le prince n'en est pas moins soumis et fidèle. v.563 (Acte 2, scène 2, OCTAVE)
- Autant qu'il l'estimait je l'ai dépeinte infâme, v.566 (Acte 2, scène 2, LE ROI)
- C'est donc en ce besoin qu'il faut que l'art agisse, v.574 (Acte 2, scène 2, LE ROI)
- Avecque cet accès qui t'est libre auprès d'eux, v.576 (Acte 2, scène 2, LE ROI)
- C'est ici que l'honneur est conjoint à la ruse : v.578 (Acte 2, scène 2, LE ROI)
- Rends-toi digne du rang que je t'ai destiné. v.585 (Acte 2, scène 2, LE ROI)
- Il n'est point de secret que le zèle n'inspire v.586 (Acte 2, scène 2, OCTAVE)
- C'est vouloir au soleil ôter de la lumière, v.594 (Acte 2, scène 2, OCTAVE)
- Faire au prince abusé détester ses appas, v.600 (Acte 2, scène 2, OCTAVE)
- C'est le prix que je veux de ma fidélité v.604 (Acte 2, scène 2, OCTAVE)
- Si je rends ce service à votre majesté. v.605 (Acte 2, scène 2, OCTAVE)
- Attend qu'on la présente à votre majesté. v.617 (Acte 2, scène 4, LE COMTE)
- Qu'elle entre, voyons-la : si c'est quelque déesse, v.622 (Acte 2, scène 4, LE ROI)
- Mon nom est Éliante, et mon père autrefois v.632 (Acte 2, scène 5, LAURE)
- Sa perte avecque vous m'est un commun malheur, v.637 (Acte 2, scène 5, LE ROI)
- Et vois que c'est celui qui m'avait vue au temple, v.671 (Acte 2, scène 5, LAURE)
- Vengeur de l'innocence et destructeur du vice, v.678 (Acte 2, scène 5, LAURE)
- Sire, il n'est nécessaire v.690 (Acte 2, scène 5, LAURE)
- La charge que j'en ai de votre majesté. v.697 (Acte 2, scène 5, LE COMTE)
- De quels puissants efforts mon coeur est combattu ! v.704 (Acte 2, scène 5, LE ROI)
- Que ta conquête est riche, et que la violence v.706 (Acte 2, scène 5, LE ROI)
- Dont on peut t'acquérir est une belle offense ! v.707 (Acte 2, scène 5, LE ROI)
- Dieux ! Quel est ce pouvoir, que votre majesté v.712 (Acte 2, scène 5, LE COMTE)
- Mais quel est son visage, où presque l'abondance v.714 (Acte 2, scène 5, LE ROI)
- Jamais avec son prince on ne perd son estime ; v.731 (Acte 2, scène 6, LE COMTE)
- Est à la plus honnête une honorable perte. v.739 (Acte 2, scène 6, LAURE)
- Il est plus absolu que dessus ses états. v.741 (Acte 2, scène 6, LAURE)
- Est à votre fortune un heureux fondement. v.745 (Acte 2, scène 6, LE COMTE)
- Dès ce soir même. Adieu, car il est tard ; v.748 (Acte 2, scène 6, LAURE)
- C'en est fait, la place s'est rendue, v.750 (Acte 2, scène 7, LE COMTE)
- Et contre cet assaut s'est fort peu défendue. v.751 (Acte 2, scène 7, LE COMTE)
- Que votre épargne, Sire, est un fort arsenal, v.752 (Acte 2, scène 7, LE COMTE)
- Et que l'or est un charme à la vertu fatal ! v.753 (Acte 2, scène 7, LE COMTE)
- Et quiconque est esclave en si belle prison v.756 (Acte 2, scène 7, LE ROI)
- Mais encor quelle est l'heure et la place assignée ? v.758 (Acte 2, scène 7, LE ROI)
- Chez elle pour ce soir la parole est donnée. v.759 (Acte 2, scène 7, LE COMTE)
- Plus vite qu'un éclair s'est ravie à mes yeux. v.769 (Acte 2, scène 8, ORANTÉE)
- Touchant quelle promesse, et quelle est cette femme ? v.770 (Acte 2, scène 8, LE ROI)
- C'est, Seigneur, cette infâme, v.771 (Acte 2, scène 8, ORANTÉE)
- C'est celle qui tantôt, sous un habit de page, v.774 (Acte 2, scène 8, ORANT?E)
- C'est celle où vos flatteurs trouvent tant de défauts, v.776 (Acte 2, scène 8, ORANT?E)
- Vous voir et vous ôter cette mauvaise estime ; v.779 (Acte 2, scène 8, ORANT?E)
- Que je vois ces beaux yeux qui font mes destinées, v.787 (Acte 2, scène 8, ORANT?E)
- C'est là qu'il faut, Lydie, attendre ma venue, v.815 (Acte 3, scène 1, OCTAVE)
- Beaucoup d'art, sans mentir, à ce mystère est joint. v.825 (Acte 3, scène 1, LYDIE)
- Eh quoi ! Ne sais-tu pas où Laure en est réduite ? v.826 (Acte 3, scène 1, OCTAVE)
- Le trait est d'habile homme et d'un esprit bien sain. v.840 (Acte 3, scène 1, LYDIE)
- De ces divers détours la route est malaisée ; v.846 (Acte 3, scène 2, OCTAVE)
- Car il est important, et j'y saurai pourvoir, v.852 (Acte 3, scène 2, OCTAVE)
- Le triomphe obtenu, la dépouille en est tienne, v.874 (Acte 3, scène 3, LE ROI)
- Ce soleil, comme l'autre, est digne d'un Icare. v.883 (Acte 3, scène 4, OCTAVE)
- Eh bien ! La fourbe. Octave, est-elle pas plaisante ? v.886 (Acte 3, scène 5, LAURE)
- Mon espoir est trahi, mes secrets découverts, v.888 (Acte 3, scène 5, OCTAVE)
- Est-il temps que l'effet succède à la promesse, v.890 (Acte 3, scène 5, LAURE)
- Oui, Madame, il est vrai, ces innocents appas... v.896 (Acte 3, scène 5, OCTAVE)
- La fourbe, encore un coup, n'est-elle pas plaisante ? v.903 (Acte 3, scène 5, LAURE)
- C'est assez, il l'a vue... On vous cherche ; entrons tôt. v.909 (Acte 3, scène 5, OCTAVE)
- C'est elle ; mon amour ne dément point ma vue. v.910 (Acte 3, scène 6, ORANTÉE)
- Est-ce Laure ? v.911 (Acte 3, scène 6, LE ROI)
- Oui, Monsieur, c'est Laure, je l'ai vue : v.911 (Acte 3, scène 6, ORANTÉE)
- Ce désir te serait une funeste envie, v.954 (Acte 3, scène 7, ORANTÉE)
- L'Amour est bien enfant quand, tremblant et timide, v.958 (Acte 3, scène 7, LYDIE)
- Souffrons, puisqu'il est dieu, que tout lui soit permis, v.960 (Acte 3, scène 7, LYDIE)
- Quoi ! Laure est infidèle ? v.966 (Acte 3, scène 7, OCTAVE)
- Octave est indomptable ? v.966 (Acte 3, scène 7, LYDIE)
- De cette trahison mon coeur n'est pas capable. v.967 (Acte 3, scène 7, OCTAVE)
- Ah ! C'est trop. v.969 (Acte 3, scène 7, ORANTÉE)
- Oui, je te la remets, perfide, elle est à toi. v.977 (Acte 3, scène 8, ORANTÉE)
- Ah ! Ciel ! Ce n'est point toi qui régis la nature ; v.982 (Acte 3, scène 8, ORANT?E)
- La terre, quoi qu'on die, est sans stabilité ; v.985 (Acte 3, scène 8, ORANT?E)
- L'astre du jour est fixe, et sa lumière est sombre ; v.987 (Acte 3, scène 8, ORANT?E)
- Et rien n'est assuré puisqu'elle ne l'est pas. v.989 (Acte 3, scène 8, ORANT?E)
- Combien il est trompeur d'abonder en son sens, v.993 (Acte 3, scène 8, LE ROI)
- Et que la passion est un aveugle guide v.994 (Acte 3, scène 8, LE ROI)
- C'est le bruit de la ville et celui de ma cour v.996 (Acte 3, scène 8, LE ROI)
- Est-il oeil qu'il n'aveugle, est-il coeur qu'il ne brûle ? v.1003 (Acte 3, scène 8, ORANTÉE)
- Que, destinés si haut, nous descendions si bas. v.1013 (Acte 3, scène 8, LE ROI)
- Il reste donc, mon fils, d'accomplir mon attente, v.1014 (Acte 3, scène 8, LE ROI)
- Le bruit de ses appas est assez répandu v.1016 (Acte 3, scène 8, LE ROI)
- Tous mes fers sont brisés, toute ma flamme est morte ; v.1018 (Acte 3, scène 8, ORANTÉE)
- Il reste encor, mon fils, un seul point que je veux. v.1025 (Acte 3, scène 8, LE ROI)
- C'est assez la punir qu'en perdre la mémoire. v.1031 (Acte 3, scène 8, LE ROI)
- Cet arrêt est un frein à mon juste courroux. v.1032 (Acte 3, scène 8, ORANTÉE)
- Et de qui savez-vous que Laure est infidèle ? v.1058 (Acte 3, scène 10, OCTAVE)
- Quoique instruit de sa vie, il est vrai, je l'ai tue, v.1062 (Acte 3, scène 10, OCTAVE)
- Il est vrai que depuis quelque jours v.1072 (Acte 3, scène 10, OCTAVE)
- Est bien moins un excès qu'un défaut de courage, v.1091 (Acte 3, scène 11, ORANTÉE)
- Est un honteux reproche à mon honnêteté ; v.1093 (Acte 3, scène 11, ORANT?E)
- Dont il est dangereux de se laisser guérir, v.1096 (Acte 3, scène 11, ORANT?E)
- Ne le ressens-tu point ? Est-il tout sur mon front ? v.1101 (Acte 3, scène 11, ORANT?E)
- Oui, perfide, il est vrai, mais lui bien moins que moi. v.1117 (Acte 3, scène 3, ORANTÉE)
- Raillez-vous ? Eh ! Seigneur, quelle est cette visite ? v.1118 (Acte 3, scène 3, LAURE)
- Ce murmure aujourd'hui m'est tout indifférent, v.1121 (Acte 3, scène 3, ORANTÉE)
- Quel est donc entre vous ce secret entretien ? v.1125 (Acte 3, scène 3, LAURE)
- Il reste à ces beaux yeux des libertés à prendre, v.1134 (Acte 3, scène 3, ORANTÉE)
- Ce n'est pas que la perte en effet en fût grande ; v.1143 (Acte 3, scène 3, ORANT?E)
- C'est à son seul pouvoir qu'appartient la défense v.1150 (Acte 3, scène 3, LAURE)
- La résolution n'en est pas si facile. v.1155 (Acte 3, scène 3, LAURE)
- Hélas ! À mes regards l'ingrate s'est ravie. v.1162 (Acte 3, scène 3, ORANTÉE)
- Rue où ma liberté s'est si bien égarée, v.1167 (Acte 4, scène , ORANTÉE)
- Aux soins de deux voleurs mon esprit s'est remis, v.1180 (Acte 4, scène , ORANT?E)
- Que ta triste semence est féconde en malheurs ! v.1201 (Acte 4, scène 2, OCTAVE)
- Dont la marque si fraîche est encor sur mon front, v.1217 (Acte 4, scène 2, ORANTÉE)
- Et toute mon amour est encore en mon âme. v.1219 (Acte 4, scène 2, ORANT?E)
- Notre paix est aisée et notre grâce est proche. v.1223 (Acte 4, scène 2, OCTAVE)
- C'est un fatal dessein pour notre liberté v.1224 (Acte 4, scène 2, OCTAVE)
- Rien n'est plus éloquent que les pleurs d'une femme ; v.1226 (Acte 4, scène 2, OCTAVE)
- C'est une eau merveilleuse et qui nourrit la flamme ; v.1227 (Acte 4, scène 2, OCTAVE)
- Qui consent de l'entendre est près de l'exaucer. v.1229 (Acte 4, scène 2, OCTAVE)
- Comme sa voix est douce elle est persuasive, v.1230 (Acte 4, scène 2, OCTAVE)
- Si l'esprit n'est gagné la volonté se rend ; v.1233 (Acte 4, scène 2, OCTAVE)
- Tout en est éloquent, ses yeux aident sa bouche ; v.1235 (Acte 4, scène 2, OCTAVE)
- Et toutefois sa vie est un pur artifice : v.1239 (Acte 4, scène 2, OCTAVE)
- Laure, en un mot, seigneur, n'est pas loin de sa paix. v.1240 (Acte 4, scène 2, OCTAVE)
- Tu crois qu'il m'est aisé d'en être exempt aussi ; v.1261 (Acte 4, scène 2, ORANTÉE)
- C'est un surcroît de mal, et non pas un remède. v.1283 (Acte 4, scène 2, OCTAVE)
- Ne me conteste point. v.1300 (Acte 4, scène 2, ORANTÉE)
- Quel est votre dessein ? v.1300 (Acte 4, scène 2, OCTAVE)
- Mon honneur me retient quand mon amour est prête, v.1303 (Acte 4, scène 2, ORANTÉE)
- Mais ce jour-là n'est plus. Achève ton histoire. v.1315 (Acte 4, scène 2, ORANTÉE)
- Octave, c'est assez, l'histoire est achevée. v.1323 (Acte 4, scène 2, ORANTÉE)
- Sans doute, et c'est, seigneur, l'histoire qu'il vous faut. v.1328 (Acte 4, scène 2, OCTAVE)
- Qui me demande ? Qu'est-ce ? v.1332 (Acte 4, scène 3, LAURE)
- Attendez. C'est, Madame, v.1334 (Acte 4, scène 3, OCTAVE)
- Mais, Seigneur, il est tard et temps de s'en aller. v.1349 (Acte 4, scène 4, OCTAVE)
- Si j'ose l'aborder son pardon est certain ; v.1364 (Acte 4, scène 5, ORANTÉE)
- C'est trop délibérer ; levons-nous, parlons-lui, v.1368 (Acte 4, scène 5, ORANT?E)
- C'est Octave. Un mot, et je vous laisse. v.1370 (Acte 4, scène 6, ORANTÉE)
- J'aurais tort il est vrai, si je trouvais étrange v.1382 (Acte 4, scène 6, LAURE)
- Puisqu'enfin c'est l'arrêt et d'un père et d'un roi, v.1384 (Acte 4, scène 6, LAURE)
- C'est mal faire paraître une illustre naissance v.1390 (Acte 4, scène 6, LAURE)
- Et c'est bien démentir cette discrétion v.1392 (Acte 4, scène 6, LAURE)
- Et de sa jalousie est le seul fondement. v.1397 (Acte 4, scène 6, ORANTÉE)
- Octave, rêvez-vous ? Quoi ! Votre humeur est vaine v.1398 (Acte 4, scène 6, LAURE)
- Lydie, est-il bien vrai que nous ne dormions pas ? v.1412 (Acte 4, scène 8, LAURE)
- Qui déplaît à son prince est digne du trépas. v.1420 (Acte 4, scène 8, LAURE)
- C'est bien porter le coup le plus dissimulé v.1424 (Acte 4, scène 8, ORANTÉE)
- Certes, Octave est lâche au péril de sa vie ; v.1434 (Acte 4, scène 8, ORANT?E)
- Considérez, seigneur, qu'il n'est adresse humaine v.1454 (Acte 4, scène 8, LAURE)
- Subtil au point qu'il est, le Roi n'ait dû tenter ; v.1457 (Acte 4, scène 8, LAURE)
- C'est sans doute un esprit assez plein d'artifice v.1459 (Acte 4, scène 8, LAURE)
- Octave est en effet auteur de l'artifice ; v.1466 (Acte 4, scène 8, LYDIE)
- Ô malheureuse nuit ! La fourbe est découverte, v.1478 (Acte 4, scène 9, OCTAVE)
- C'est pour avoir trop eu que j'eus trop peu de zèle. v.1487 (Acte 4, scène 9, OCTAVE)
- Et c'est la seule mort qui nous doit désunir. v.1505 (Acte 4, scène 9, ORANTÉE)
- Seigneur, votre alliance est déjà trop tardive ; v.1510 (Acte 4, scène 9, OCTAVE)
- La nouvelle ce soir en est venue au Roi. v.1512 (Acte 4, scène 9, OCTAVE)
- Soyons bons ménagers de ce reste de temps ; v.1517 (Acte 4, scène 9, ORANTÉE)
- Où tend mon ambassade et quel est mon emploi, v.1541 (Acte 5, scène 2, ARBAN)
- Car il m'est défendu, par ordre exprès du prince, v.1542 (Acte 5, scène 2, ARBAN)
- La princesse arrivant, le moment est venu v.1562 (Acte 5, scène 3, CLIDAMAS)
- Que ce discours, mon père, est plein d'obscurité ! v.1566 (Acte 5, scène 3, LAURE)
- Non, ce n'est point, ma fille, en ce débile corps v.1570 (Acte 5, scène 3, CLIDAMAS)
- Et si dès aujourd'hui l'infante est à la cour, v.1578 (Acte 5, scène 3, CLIDAMAS)
- Lydie, ô dieux ! Quelle est cette merveille ? v.1580 (Acte 5, scène 4, LAURE)
- Un regard, un souris, un geste, une action, v.1586 (Acte 5, scène 4, LYDIE)
- Les bruits, à quelque point qu'ils vous aient estimée, v.1604 (Acte 5, scène 5, LE ROI)
- Que c'est à la Hongrie à produire des reines, v.1613 (Acte 5, scène 6, ORANTÉE)
- Une jeune beauté, qui nous est inconnue, v.1624 (Acte 5, scène 7, OCTAVE)
- M'exposez en deux mots quel est ce différent. v.1647 (Acte 5, scène 8, L'INFANTE)
- Le ciel à mes malheurs destine du refuge, v.1648 (Acte 5, scène 8, LAURE)
- Ce puissant Roi des coeurs est auteur du souci v.1654 (Acte 5, scène 8, LAURE)
- Mais qui peut fuir l'amour ? Est-il rien qu'il ne touche ? v.1657 (Acte 5, scène 8, LAURE)
- Ce jour, qui vous est doux autant qu'il m'est contraire, v.1664 (Acte 5, scène 8, LAURE)
- Qui destine plus haut la foi que j'ai de lui, v.1670 (Acte 5, scène 8, LAURE)
- Cette affaire, Monsieur, est assez d'importance v.1684 (Acte 5, scène 8, L'INFANTE)
- L'Amour n'est point sujet au respect d'un parent ; v.1691 (Acte 5, scène 8, L'INFANTE)
- Et, tout-puissant qu'il est, à son pouvoir suprême v.1700 (Acte 5, scène 8, L'INFANTE)
- Qu'embrasser vos genoux ; c'est ma seule éloquence : v.1709 (Acte 5, scène 8, LAURE)
- Est-il ici ? v.1714 (Acte 5, scène 8, L'INFANTE)
- Qui vous est obligé de l'arrêt qui vous l'ôte, v.1716 (Acte 5, scène 8, ORANTÉE)
- Certes, non sans raison, elle reste confuse. v.1720 (Acte 5, scène 8, LYDIE)
- Ce sont de mon destin de bizarres effets, v.1726 (Acte 5, scène 8, ORANTÉE)
- Mais qu'il est difficile aux maux insupportables v.1736 (Acte 5, scène 8, ORANT?E)
- Toute l'intelligence en est au sentiment ; v.1738 (Acte 5, scène 8, ORANT?E)
- Et c'est par ce malheur qu'en cette occasion, v.1758 (Acte 5, scène 8, ORANT?E)
- De plaisir, de repos, d'estime, de grandeur, v.1779 (Acte 5, scène 8, ORANTÉE)
- Dans la nécessité, quand elle est absolue, v.1784 (Acte 5, scène 8, L'INFANTE)
- Toute âme qui consulte est trop tard résolue. v.1785 (Acte 5, scène 8, L'INFANTE)
- Pour le faire accomplir mon secours est tout prêt ; v.1787 (Acte 5, scène 8, L'INFANTE)
- Et que sa majesté m'ordonna de vous rendre, v.1796 (Acte 5, scène , CLIDAMAS)
- Jusqu'au jour destiné pour votre mariage, v.1805 (Acte 5, scène , L'INFANTE)
- En vos mains de ma part une lettre est remise, v.1809 (Acte 5, scène , L'INFANTE)
- Ma chère Laure, ô dieux ! Quelle est cette aventure ? v.1813 (Acte 5, scène , ORANTÉE)
- Approchons, qu'est ceci ? v.1814 (Acte 5, scène , OCTAVE)
- Voilà le testament qu'en mourant je vous laisse. » v.1826 (Acte 5, scène , L'INFANTE)
- Ô ma soeur ! Quelle est cette rencontre ? v.1834 (Acte 5, scène , L'INFANTE)
- Quelle heureuse fortune à la nôtre est égale ? v.1838 (Acte 5, scène , ORANTÉE)
- Destinait son enfance au pouvoir de la mort : v.1840 (Acte 5, scène , CLIDAMAS)
- Comme il n'est que vapeur, ne produit que du vent. v.1844 (Acte 5, scène , CLIDAMAS)
- Si ce n'est quand les lois d'hyménée et d'amour v.1871 (Acte 5, scène , CLIDAMAS)
- Par qui de ce secret le temps est expiré. v.1888 (Acte 5, scène , CLIDAMAS)
- Nous avons su dompter l'ambitieux destin. v.1892 (Acte 5, scène 10, LE ROI)
- D'un différent d'amour : vous saurez quel il est ; v.1895 (Acte 5, scène 10, L'INFANTE)
- Quel est donc cet arrêt ? v.1901 (Acte 5, scène 10, LE ROI)
- Et qu'il baise les mains à votre majesté v.1903 (Acte 5, scène 10, L'INFANTE)
- Car Laure est innocente, et j'ai su l'artifice v.1909 (Acte 5, scène 10, ORANTÉE)
- Mon coeur ne m'est point traître, et, promettant sa foi, v.1955 (Acte 5, scène 10, ORANTÉE)
Dans les 1862 textes du corpus, il y a 22 textes (soit une présence dans 1,18 % des textes) dans lesquels il y a 5380 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 244,55 occurences par texte.
n° | Titres | Prologue | Acte 2 | Acte 3 | Acte 4 | Acte 6 | Acte 1 | Acte 5 | Total |
1 | LES SOSIES | 8 | 48 | 67 | 86 | 46 | 0 | 0 | 255 |
2 | LA BAGUE DE L'OUBLI | 0 | 32 | 42 | 24 | 0 | 39 | 62 | 199 |
3 | IPHIGÉNIE | 0 | 57 | 60 | 73 | 0 | 40 | 54 | 284 |
4 | HERCULE MOURANT | 0 | 35 | 52 | 30 | 0 | 28 | 27 | 172 |
5 | COSROËS | 0 | 44 | 57 | 30 | 0 | 34 | 50 | 215 |
6 | LA BELLE ALPHRÈDE | 0 | 62 | 66 | 59 | 0 | 33 | 70 | 290 |
7 | DON BERNARD DE CABRERE | 0 | 32 | 49 | 38 | 0 | 51 | 45 | 215 |
8 | VENCESLAS | 0 | 34 | 36 | 39 | 0 | 40 | 56 | 205 |
9 | AMARILLIS | 0 | 52 | 32 | 47 | 0 | 48 | 39 | 218 |
10 | CLÉAGÉNOR et DORISTÉE | 0 | 27 | 44 | 62 | 0 | 55 | 71 | 259 |
11 | L'HYPOCONDRIAQUE | 0 | 39 | 69 | 65 | 0 | 18 | 48 | 239 |
12 | LES OCCASIONS PERDUES | 0 | 51 | 33 | 72 | 0 | 33 | 72 | 261 |
13 | AMÉLIE | 0 | 46 | 75 | 39 | 0 | 41 | 40 | 241 |
14 | LE BÉLISSAIRE | 0 | 51 | 50 | 49 | 0 | 52 | 51 | 253 |
15 | LE VÉRITABLE SAINT GENEST | 0 | 48 | 39 | 59 | 0 | 40 | 50 | 236 |
16 | LA DIANE | 0 | 30 | 32 | 46 | 0 | 27 | 43 | 178 |
17 | AGESILAN de COLCHOS | 0 | 58 | 79 | 53 | 0 | 51 | 90 | 331 |
18 | LES CAPTIFS | 0 | 50 | 50 | 69 | 0 | 59 | 60 | 288 |
19 | ANTIGONE | 0 | 45 | 60 | 63 | 0 | 47 | 51 | 266 |
20 | LES DEUX PUCELLES | 0 | 62 | 58 | 71 | 0 | 51 | 36 | 278 |
21 | LA CÉLIANE | 0 | 30 | 23 | 55 | 0 | 36 | 69 | 213 |
22 | LAURE PERSÉCUTÉE | 0 | 54 | 56 | 49 | 0 | 75 | 50 | 284 |
Total | 8 | 987 | 1129 | 1178 | 46 | 898 | 1134 | 5380 |